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Avengers : vous pouvez désormais louer le chalet de Tony Stark sur Airbnb

Pas de doute, l’annonce postée sur Airbnb correspond bien à l’habitation des Stark dans le dernier Avengers.
Toujours pas remis d’Avengers : Endgame ? Cet hôte pourrait bien avoir la solution pour réconforter quelques fans. En effet, celui-ci propose une cabane au bord de l’eau à la location. Jusque-là, rien d’incroyable, si ce n’est qu’en y regardant de plus près, celle-ci ressemble à s’y méprendre à la maison de Tony Stark dans le célèbre film.

Alors retiré du monde des super-héros pour prendre soin de sa femme et de sa fille, le personnage s’était offert une modeste bâtisse, qu’on voit à de nombreuses reprises au cours du long-métrage. C’est notamment dans ce lieu que les Avengers s’étaient réunis pour faire leurs adieux à Tony Stark, après qu’il a sauvé l’humanité (encore une fois).

Située en Géorgie aux États-Unis, la vétuste habitation est donc bien à louer, pour la modique somme de 335 $ (environ 296 euros) par nuit, le prix à payer pour fouler le sol où nos héros favoris ont séjourné lors du tournage. Pour l’heure, l’hôte n’a pas confirmé dans son annonce qu’il s’agissait du chalet utilisé pour le film.

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Crédit immobilier : comment baisser la facture de 17% en renégociant son assurance emprunteur

Alors que les taux de crédit immobilier ont atteint un plus bas historique, la part de l’assurance de prêt dans le coût total du crédit augmente mécaniquement. A tel point qu’elle représente 40% de la facture totale en 2019, comme le montrent nos simulations. Le bon réflexe à avoir : déléguer son assurance.
“Historiques”, “au plus bas”, “plus que jamais attractifs”… Les adjectifs adossés aux taux actuels de crédit immobilier sont dithyrambiques. Il faut dire que le phénomène mérite quelques superlatifs. Jamais emprunter n’aura coûté si peu cher dans l’histoire. A 1,29% en moyenne toutes durées confondues, "les taux des crédits immobiliers s’établissent maintenant au niveau le plus bas jamais constaté jusqu’alors", résume ainsi l’observatoire Crédit Logement/CSA. Une excellente nouvelle pour les acquéreurs. Si d’autres diminutions pourraient très bien intervenir dans les mois suivants, elles ne sauraient être significatives, tant les taux actuels sont ridiculement avantageux. Les marges de négociations ne se trouvent donc plus sur le crédit en lui même, mais sur l’assurance qui l’accompagne.

Car si le coût du crédit immobilier – c’est à dire les intérêts versés à la banque pendant le remboursement – dépend directement des taux, l’assurance emprunteur est en revanche fixe, car le montant des cotisations ne dépend pas de la politique de la Banque centrale européenne. Autrement dit : que les taux soient élevés ou faibles, assurer son emprunt engendre le même coût. Et plus les taux sont bas, plus la part que représente l’assurance emprunteur dans le coût total du crédit est élevée. En témoignent les simulations de Capital réalisées par le courtier en Crédit immobilier Cafpi.

Ce tableau compare le coût d’un crédit de 250.000 euros, souscrit par un couple de moins de 40 ans pour acquérir une résidence principale, à trois dates de la décennie actuelle. En 2011, alors que le taux de crédit était d’environ 4% pour notre couple, les intérêts représentaient plus de 113.000 euros. Un montant qui diminue avec le temps. Car en 2015, avec un taux de 2%, le crédit ne représentait plus que 53.500 euros. Enfin, en 2019, avec un taux de 1%, les intérêts sont même tombés à 26.000 euros. En revanche, pour ces 3 montants, le taux d’assurance du groupe est resté identique à 0,35%, soit un coût fixe de 17.500 euros.

C’est bien pour cela que le poids de l’assurance emprunteur augmente avec le temps. Alors qu’elle ne représentait que 13,35% du coût total du crédit en 2011, sa part a doublé pour parvenir en 2015 à près de 25%. Aujourd’hui, en contractant un prêt, l’assurance représente… 40% des intérêts dus à la banque.

Pour faire baisser le coût du crédit en 2019, il convient donc de s’intéresser tout particulièrement à l’assurance emprunteur. Cela tombe bien, puisqu’il existe deux lois qui vous permettent de faire jouer la concurrence et ainsi ne pas rester enchaîné à votre banque. La loi Hamon donne la possibilité à l’emprunteur de résilier son assurance dans les 12 mois suivant la signature du contrat afin de trouver un meilleur prix, sous réserve cependant que les garanties offertes par la banque concurrente soient équivalentes.

Un moyen de pression utile, qui permet à l’emprunteur à la fois de négocier une réduction de son taux d’assurance auprès de sa banque actuelle, ou même de changer de crémerie. Et sachez également que la loi du Sénateur socialiste Martial Bourquin autorise les particuliers à résilier chaque année, à la date d’anniversaire du contrat, son assurance emprunteur. De quoi permettre d’accentuer un peu plus les marges de négociations. D’après les simulations de Cafpi, notre couple a en effet tout intérêt à déléguer son assurance auprès d’une autre banque. Car elle ferait baisser son taux d’assurance de près d’un tiers, à environ 25% du coût total du crédit. Un poids comparable à celui constaté en 2015 qui permettrait de faire baisser le coût total du crédit de 17,1%.

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Immobilier : ce que vous pouvez acheter avec votre salaire

Les disparités sont grandes selon les régions et les villes : les prix ont par exemple progressé de 12% en Île-de-France, de 19% à Paris et de «seulement» 7% en Province (terme utilisé par l’Insee).

Cette hausse des prix de l’immobilier n’a pas forcément pénalisé le pouvoir d’achat des potentiels acquéreurs car, dans le même temps, le taux des crédits immobiliers ont fortement reculé et naviguent aujourd’hui autour de 1,30% (hors assurance, obligatoire dans les faits).

21 m2 à Paris ou 161 m2 à Saint-Etienne
Dans ce contexte, que pouvez-vous acheter selon vos revenus ? Deux courtiers immobiliers ont publié chacun une étude ce jeudi 16 mai permettant de répondre à cette question de manière générale.

Selon Meilleurtaux, qui met à jour son «Palmares du pouvoir d’achat immobilier» tous les mois, vous pouvez acquérir 161 mètres carrés à Saint-Etienne en remboursant 1.000 euros par mois pendant 20 ans (hors frais d’agence et de notaires).

Selon ce même critère, il est possible d’acheter 133 mètres carrés au Mans, 112 m2 au Havre, 102 m2 à Nîmes, 94 m2 à Angers et 92 m2 à Toulon.

À l’autre extrémité, vous ne pourrez acheter «que» 21 m2 à Paris, 47 m2 à Bordeaux et à Lyon, 52 m2 à Nice, 62 m2 à Rennes et 63 m2 à Strasbourg. À Lille et Toulouse, vous pourriez investir dans un peu moins de 70 m2 et dans 73 m2 à Marseille.

Que peut acheter le Français «moyen» ?
Plutôt que de partir du montant des mensualités, le courtier Voufinancer a de son coté estimé le pouvoir d’achat immobilier du Français «moyen». À savoir, une personne gagnant le salaire moyen estimé à 2.238 euros par mois par l’Insee (données 2016).

Ce Français qui souhaiterait arrêter de louer son appartement pour acheter pourrait acquérir 16 m2 à Paris et 92 m2 à Clermont Ferrand. Au milieu, il pourrait devenir propriétaire d’un appartement de 37 m2 à Bordeaux ou d’une maison de 49 m2 à Lille. Il pourrait s’offrir 67 m2 à Marseille mais moins de 60 m2 à Toulouse ou à Nantes.

Pour ses calculs, Vousfinancer retient l’hypothèse d’une prise de crédit immobilier sur 20 ans avec un apport correspondant à 10% du prix du bien.

En s’intéressant au salaire médian (50% des gens gagnent plus et 50% gagnent moins) estimé à 1.789 euros par l’Insee, le courtier constate que «la moitié des Français travaillant à temps plein dans le privé (…) ne pourraient pas acheter plus de 13 m2 à Paris, 30 m2 à Bordeaux ou 31 m2 à Lyon».

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Peut-on modifier l’ordre du jour d’une AG de copropriétaires ?

Djibril demande au syndic d’inscrire une question à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale de copropriété. Mais le syndic refuse cette demande, parce qu’il a déjà envoyé les convocations… L’ordre du jour peut-il être modifié ?

En théorie, non, l’ordre du jour ne peut pas être modifié, il n’existe plus d’ordre du jour complémentaire. Une fois que la convocation a été envoyée, l’assemblée doit s’en tenir à ce qui a été indiqué. Les copropriétaires peuvent demander au syndic l’inscription de questions à l’ordre du jour, et ce à tout moment. Le syndic a l’obligation d’inscrire ces questions à l’ordre de la prochaine assemblée générale. Nous sommes face au cas d’une question tardive, qui arrive alors que les convocations ont déjà été envoyées.

Si le délai entre la convocation et l’assemblée générale n’a pas expiré, il est toujours possible d’envoyer une nouvelle notification. Ce délai entre les deux évènements est de 21 jours minimum. Mais si les 21 jours sont déjà écoulés, il faudrait annuler l’assemblée générale et en reconvoquer une deuxième…

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Immobilier : quel pouvoir d’achat avec un salaire moyen ?

Avec un salaire moyen de 2.238 euros nets par mois selon l’Insee, on peut s’acheter entre 16 et 92 m2 dans les grandes villes de France.
Selon l’Insee, le salaire moyen en France s’élève à 2.238 euros nets par mois. Un salaire qui ne permet pas de loger tous les Français à la même enseigne. D’après les Notaires, le prix médian du mètre carré en France atteint 2.040 euros, ce qui en théorie offre pour un salaire moyen un pouvoir d’achat immobilier de 76 m². Mais en raison des écarts de prix entre les plus grandes villes de France, une étude du courtier en crédit Vousfinancer révèle que  ce pouvoir d’achat varie du simple au sextuple .

« Avec un salaire moyen de 2.238 euros nets par mois, on peut actuellement emprunter 154.519 euros à un taux de 1,40 % sur 20 ans. C’est donc le montant moyen théorique d’un crédit immobilier sur 20 ans (avec 10 % d’apport), une somme qui, rappelons-le, a été boostée par  la baisse des taux ces dernières années mais qui reste insuffisante dans certaines villes pour acheter une surface assez grande pour se loger » analyse Sandrine Allonier, porte-parole de Vousfinancer.

16 m2 à Paris, 67 m2 à Marseille
Signe du fossé entre la capitale et le reste de la France, un salaire moyen à Paris ne permet guère d’envisager d’acquérir plus qu’un studio. Selon Vousfinancer, en s’endettant sur 20 ans, un revenu mensuel permet d’acheter 16 m² à Paris.

Pas étonnant quand on sait que  le mètre carré flirte avec la moyenne des 10.000 euros dans la capitale. Au podium des villes les moins abordables, on retrouve ensuite Bordeaux avec une surface moyenne de 37 m² suivie de Lyon avec 39 m². A Lille, le courtier en crédit relève qu’avec 154.519 euros, il est possible de devenir propriétaire d’un 49 m².

Pour dépasser les 50 m², c’est dans l’Ouest qu’il faut se tourner avec Rennes (52 m²) et Nantes (57 m²). Les deux capitales de l’Occitanie sont également plus accessibles avec un pouvoir d’achat de 57 m² à Toulouse et de 59 m² à Montpellier. Strasbourg offre la possibilité d’acquérir un 60 m² alors que dans le Sud, les prix à Marseille permettent de s’offrir 67 m² en moyenne. Grenoble (74 m²) et Clermont Ferrand (92 m²) permettent d’augmenter encore la surface achetable et s’affichent comme les villes les plus abordables selon Vousfinancer.

Inégalités Femmes-Hommes
Autre enseignement à tirer de la publication de l’Insee : les écarts de salaires hommes femmes ont un impact sur l’accès au crédit. Les femmes dans le privé gagnent en moyenne 1.969 euros nets/mois contre 2.431 euros pour les hommes, soit un écart de 18,9 % qui tend tout de même à se réduire selon l’Insee. Conséquence, une femme peut emprunter en moyenne 135.946 euros, soit 32.000 euros de moins que les hommes. Avec un prix moyen du m2 en France à 2.040 euros, c’est 16 m² de moins.

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Vente d’un logement : attention à ne rien dissimuler

Fin 2010, un couple vend un logement dans la région de Pau (Pyrénées-Atlantiques) sans dire aux acheteurs qu’une rocade est sur le point d’être construite à moins de 50 mètres. Les acquéreurs ont attaqué les vendeurs et obtenu l’annulation de la vente ainsi que le remboursement des sommes versées. A leur tour, les vendeurs se sont retournés contre Optimhome, l’agence immobilière chargée de la transaction, lui reprochant de ne pas avoir attiré leur attention sur la nécessité d’informer les acquéreurs du projet de rocade.

Dans un arrêt du 9 janvier 2019 récemment rendu public, la Cour de cassation leur a donné raison. Elle rappelle que la loi Hoguet (du 2 janvier 1970), qui régit la profession, impose à l’agent immobilier un devoir de conseil : il aurait dû attirer l’attention des vendeurs sur les risques encourus s’ils refusaient de prévenir les acheteurs. « Dans ce cas, c’est pousser très loin le devoir de conseil car les vendeurs ont menti sciemment aux acheteurs. Ils étaient, en effet, membres d’un comité de défense contre la rocade et connaissaient l’étendue du projet. Les vendeurs, pris à leur propre jeu, ont plutôt voulu trouver un coupable en la personne de l’agent immobilier », pense Olivier Colcombet, président du réseau immobilier Optimhome.

Plus que de simples renseignements
Pour autant, les tribunaux estiment que le devoir de conseil de l’agent est plus étendu que de fournir de simples renseignements lors de la visite du logement. « Il doit se renseigner, vérifier la régularité de la transaction et les décisions sont encore plus strictes lorsque l’agent est chargé de rédiger l’avant-contrat de vente », précise maître Camille Fourier-Ferrand, avocate au cabinet Cornet Vincent Ségurel.

Sans être un architecte ou un maçon, l’agent n’est pas un profane en matière d’immobilier et doit apporter une valeur ajoutée qui n’est pas à la portée de particuliers. « L’agent doit être bien implanté localement afin de connaître de façon très approfondie la ville ou le quartier où le logement est vendu, ce qui permet de ne rien ignorer des défauts que pourrait présenter le bien », estime Christine Fumagalli, présidente du réseau Orpi.

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La décision de la Cour de cassation rappelle aussi l’importance pour les vendeurs de ne pas mentir. Le couple a été condamné à l’annulation de la vente, donc à rembourser 173 000 euros aux acheteurs. Le couple a ensuite réussi à revendre le logement mais au prix de 119 000 euros. « Nous traitons régulièrement des dossiers de ce type et cela crée de lourds problèmes financiers pour les personnes », regrette maître Camille Fourier-Ferrand. Dans le cas de la maison proche de la rocade, il y a eu « dol », c’est-à-dire une manœuvre frauduleuse visant à cacher volontairement un vice dans le logement. Mais il peut exister un vice caché que les vendeurs ignorent et qui se révèle une fois le logement vendu.

Les acquéreurs ont alors cinq ans pour agir en justice contre leur vendeur à partir du moment où le vice se déclare. S’il est difficile de prévoir des vices cachés, il est en tout cas important de ne pas chercher à cacher un défaut du bien, comme de passer un coup de peinture sur des tâches d’humidité ou de dissimuler qu’il est situé juste à coté d’une boîte de nuit.

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Travaux dans votre logement : quelles sont les aides et les subventions en 2019 ? | Au coeur de l’Immo

En 2019, vous souhaitez effectuer des travaux énergétiques dans votre maison ou dans votre appartement ? Savez-vous qu’il existe de nombreux aides pour vous aider à financer votre projet ? Au coeur de l’Immo vous dévoile les différentes aides et subventions pour la réalisation de travaux de rénovation énergétique ainsi que les conditions pour les obtenir !

les aides subventions pour les travaux de votre logement en 2019, source : Unsplash

Pour vous inciter les particuliers à se lancer dans la réalisation de travaux de rénovation énergétique, le gouvernement à mis en place plusieurs aides. Parmi les plus connus, on peut citer le CITE, le chèque énergétique ou l’éco-PTZ. Mais d’autres subventions peuvent vous être accordées comme l’aide de l’Anah, la Prime Énergie ou le prêt de la CAF.

Le Crédit d’Impôt pour la Transition Energétique (CITE)
Le CITE, qu’est-ce que c’est ?
Le CITE est un crédit d’impôt qui s’applique à certaines dépenses d’isolation du logement ou d’équipements dont l’objectif est de le rendre moins gourmand en énergie. Il prend en charge 30% des dépenses. En 2020, ce dernier sera transformé en prime.

Le CITE, qui peut en bénéficier ?
Le CITE s’adresse au propriétaire qui souhaitent rénover leur résidence principale. Cette dernière doit être achevée depuis au moins 2 ans. Les travaux de rénovation doivent être réalisés par une entreprise certifiée “RGE”. 

Les aides de l’Agence National de l’Habitat (ANAH)
Les aides de l’ANAH, qu’est-ce que c’est ?
L’Agence nationale de l’habitat accorde des subventions pour les propriétaires ou copropriétaires qui souhaitent entreprendre des travaux dans les logements ou immeubles anciens.

Les aides de l’ANAH, qui peut en bénéficier ?
Ces subventions s’adressent à trois profils différents :

Les propriétaires occupants
Les propriétaires occupants aux revenus modestes ou très modestes peuvent demander une subvention à l’ANAH pour la réalisation de travaux dans leur logement âgé de plus de 15 ans.. Ces derniers doivent s’engager à rester dans leur logement pendant au moins 6 ans.

Les propriétaires bailleurs
Les propriétaires bailleurs qui font appel à l’ANAH s’engagent à pratiquer des loyers intermédiaires, sociaux ou très sociaux.En effet, l’accord de cette subvention induit la signature d’une convention à loyer maîtrisé avec l’Anah. Le logement loué doit également avoir été construit il y a plus de 15 ans.

Les syndicats de copropriété
L’ANAH accorde ses subventions aux copropriétés qui sont en difficulté et qui ont été construites il y a plus de 15 ans. Elles doivent relever d’un arrêté ou d’une décision de justice. Enfin les lots de copropriétés de la résidence doivent être au moins à 75% des résidences principales.

“ Le saviez-vous ?
Les propriétaires d’un bien construit avant 1989 peuvent faire une demande d’exonération partielle ou totale de leur taxe foncière auprès de leur Mairie afin de réaliser des travaux de rénovation énergétique. “
L’Éco Prêt à Taux Zéro
L’Éco PTZ, qu’est-ce que c’est ? 
L’Éco PTZ est un prêt accordé par l’État sans intérêt. Il permet donc d’alléger la charge de financement de travaux énergétique.

L’Éco PTZ, qui peut en bénéficier ?
L’Éco PTZ s’adresse aux propriétaires et aux syndics de copropriété qui habitent ou louent ou gèrent un bien construit avant le 1er janvier 1990. Le logement doit être la résidence principale du propriétaire ou de son locataire.

La Prime Énergie via les dispositifs Certificats d’Économie d’Énergie (CEE)
La Prime Énergie, qu’est-ce que c’est ?
La Prime Énergie est une mesure créée par les producteurs d’énergie. Elle se présente sous la forme d’un chèque de banque encaissable.

La Prime Énergie, qui peut en bénéficier ?
La Prime Énergie s’adresse aux propriétaires d’un bien de plus de 2 ans. Sa demande doit être effectuée avant la signature du devis fait par un artisan certifié “RGE”.

Le Pacte Énergie Solidarité pour vos travaux en 2019
Le Pacte Énergie Solidarité, qu’est-ce que c’est ?
Le Pacte Énergie Solidarité est également une aide pour les travaux financée par les fournisseurs d’énergie. Elle permet le financement des travaux d’isolation de combles perdus pour seulement 1 euro

Le Pacte Énergie Solidarité, qui peut en bénéficier ?
Cet avantage s’adresse exclusivement aux ménages les plus modestes. Par exemple le plafond de revenus d’un ménage de deux personnes habitant en province est de 26 811 euros.

“ Le saviez-vous ?
La TVA est réduite pour les matériaux écologiques. Les matériaux de rénovation verts utilisés par vos prestataires bénéficient donc d’une TVA réduite à 5,5 % ou intermédiaire à 10 %. Cet avantage aura donc un impacte sur la facture de l’artisan contacté. “

L’aide de la caisse de retraite pour financer des travaux dans votre logement

L’aide de la caisse de retraite, qu’est-ce que c’est ?
L’aide de la caisse de retraite a pour objectif de prévenir de la perte d’autonomie. Ainsi, elle peut prendre en charge une partie des coûts des travaux d’amélioration ou d’adaptation du logement tels que l’isolation thermique,l’aménagement des sanitaires, le changement de revêtement de sols, la motorisation des volets roulants…
Le montant de l’aide peut atteindre 3 500 €.
L’aide de la caisse de retraite, qui peut en bénéficier ?
L’aide de la caisse de retraite s’adresse aux retraités du régime ayant exercé leur activité la plus longue au sein de ce dernier. Elle n’est pas cumulable avec certaines aides : Allocation personnalisée d’autonomie, Allocation compensatrice pour tierce personne, Prestation de compensation du handicap, Majoration pour tierce personne ou allocation veuvage.

Le prêt de la Caf pour financer des travaux dans votre logement
Le prêt de la Caf, qu’est-ce que c’est ?
La Caf peut accorder un prêt, remboursable sous 3 ans, pour financer des travaux de rénovation, d’amélioration, ou d’isolation thermique.

Le prêt de la Caf, qui peut en bénéficier ?
Le prêt s’adresse au bénéficiaire d’une prestation familiale de la Caf ou aux assistants maternels. La seule condition pour ces derniers est le fait de résider en France.

L’aide aux travaux d’insonorisation d’un logement proche d’un aéroport
Pour les personnes habitantes à proximité des 10 principaux aéroports de France, il peut être nécessaire d’effectuer des travaux d’insonorisation. L’exploitant de l’aéroport proche du logement peut alors prendre en charge, dans la limite d’un certain plafond, les coûts de l’étude préalable et les travaux. Le montant de cette aide se calcul en fonction de la pièce et de la gêne sonore subit.

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Nexity cède les agences Guy Hoquet au groupe Arche

Nexity vient de céder son réseau d’agences Guy Hoquet au groupe Arche, pour un montant qui reste confidentiel. En apportant ses 30.000 transactions annuelles, le réseau Guy Hoquet complète les marques du groupe Arche : Citya, Belvia et  surtout Laforêt depuis 2017 . Avec les 55.000 ventes du groupe Arche, l’ensemble représente désormais plus de 10 % du marché français de l’immobilier, assure en substance Philippe Briand, président du holding Arche et, par ailleurs, maire (LR) de Saint-Cyr-sur-Loire et président de Tours Métropole Val de Loire.

Le repreneur assure que l’organigramme et surtout le maillage des 550 agences Guy Hoquet seront conservés, même si des doublons géographiques existent avec Citya et Laforêt. « Nous nous appuyons sur des professionnels entrepreneurs qui connaissent leur métier mieux que quiconque », insiste le dirigeant, qui reprend les 3.000 collaborateurs de Guy Hoquet. Traduction : les ajustements viendront des directeurs d’agence eux-mêmes.

Achat d’espace
Pour les économies d’échelle, Philippe Briand préfère cibler d’autres sujets, notamment celui des achats d’espaces sur Internet. « Les prix de ces publicités augmentent de 20 à 25 % par an. En atteignant une taille critique, nous aurons plus de marge de manoeuvre », explique-t-il.

Cette acquisition apporte aussi une clientèle toute trouvée pour les autres activités du groupe Arche, dont le siège est à Tours (Indre-et-Loire). Constitué par Philippe Briand à partir du gestionnaire de biens Citya, il s’est considérablement développé. Il emploie 5.000 personnes et réalise 700 millions d’euros de chiffre d’affaires. Guy Hoquet a réalisé 175 millions l’an passé.

Cette année, Arche lance un nouveau courtier en prêts immobiliers, API Financement, en partenariat avec une dizaine de banques. Les agents immobiliers du groupe proposent aussi des contrats d’assurance, via Saint Pierre Assurances, en partenariat avec des assureurs. Il dispose d’une offre de diagnostic immobilier avec Snexi (Société nationale d’expertise immobilière). L’idée est donc de présenter un panel complet aux locataires et aux propriétaires dans leur parcours résidentiel, de la location à la gestion patrimoniale.

De son côté, Nexity, qui gère la croissance du neuf et des résidences services Domitys, conserve avec Century 21 un réseau « vitré ». « On se focalise sur un seul réseau, le premier de France, pour développer avec plus d’efficacité notre plate-forme de services », commente le président Alain Dinin. Fin avril, le groupe  annonçait un chiffre d’affaires de 881 millions d’euros au premier trimestre, en hausse de 14 %. L’activité de promoteur est en croissance de 7 %. La Bourse saluait mollement cet allégement mercredi, le titre Nexity gagnant 0,3 % en séance.

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Transactions immobilières : L’État met les données à la disposition de tous

Vous avez très certainement entendu parler de la mise à disposition des données du gouvernement, sur les transactions immobilières enregistrées par les notaires. Ces données permettent de connaitre, dans une période entre il y a 6 mois et il y a 5 ans, les prix de ventes, par bien et par adresse donnée. Intéressant a première vue pour estimer un bien immobilier, mais attention à la mauvaise analyse…

Un particulier consultant les prix des biens immobiliers dans sa ville

De nombreux pays, souvent les Etats Unis en tête, permettent depuis déjà des années, de pouvoir consulter des fichiers, mis à disposition par de nombreuses agences immobilières, afin de pouvoir consulter les prix de vente, par taille, date et adresse des biens immobiliers. La première approche est de pouvoir connaitre les prix pratiqués et donc de pouvoir avoir une idée du marché, que ce soit pour vendre ou pour acheter.

Un outil pour le particulier qui veut estimer son bien immobilier
Dans un monde qui se veut toujours plus transparent et où le « voyeurisme » pratiqué par certains sur les réseaux sociaux notamment est important, l’idée de mettre à disposition ces informations parait logique.

C’est ce que Bercy à fait le mercredi 24 avril dernier en permettant librement à tous les internautes, de consulter la base de données des transactions immobilières. Ce fichier va être actualisé tous les 6 mois. Cependant, il est très important de pouvoir analyser ces informations avant de les restituer et surtout de les utiliser.

En effet, il faut souligner avant toute chose, que contrairement à de nombreux pays où la vente d’un bien immobilier doit obligatoirement passer par un professionnel, en France, les chiffres sont clairs : 30% des ventes se font de particulier à particulier…

Dans ce cas, le particulier novice, réalise des recherches parfois sommaires, souvent gratuites : sur internet, afin de pouvoir grossièrement estimer son bien.

Ces informations sur les ventes sont donc forts utiles, il suffit de cibler un quartier, une rue, puis de consulter les prix de vente. Encore faut-il arriver à retrouver sa rue car cela n’est pas forcément évident sur une vue « cadastrale ».

La limite de l’analyse des données sur les transactions immobilières
Estimer justement son bien immobilier semble un peu trop facile me direz-vous semble un peu trop facile me direz-vous, car les seules choses renseignées sont la taille du bien (maison ou terrain, souvent les deux), le nombre de pièces et le prix.

En résumé, une maison parfaitement entretenue, avec des prestations de très bon standing, qui fait 100 m², dans une rue, peut avoir un prix bien différent d’une maison de même taille, dans la même rue, mais qui n’est pas du tout entretenue, avec de gros travaux à faire…

Il ne faut pas oublier non plus, qu’il convient de rajouter des frais de notaire d’environ 8,5 %, des frais d’agence si la vente s’est faite par l’intermédiaire d’une agence (frais tous différents : en pourcentage, au forfait…), des frais bancaires presque toujours… mais différents aussi : caution, frais de dossier ou hypothèque.

Ces chiffres ne veulent donc finalement pas dire grand-chose et peuvent souvent induire en erreur en prenant un prix qui peut être totalement différent de celui de la réalité ou du bien qu’un particulier souhaite estimer seul.

Ces données seront par contre utilisées, et c’est déjà le cas, dans les moindres détails par les sites internet afin de pouvoir capter de nouveaux prospects qui recherchent à estimer leur bien, puis de prendre mandat pour effectuer la vente.

En résumé, des informations peu utiles pour un particulier novice, sauf à vouloir savoir à combien votre voisin a vendu sa maison…

Afin d’avoir des données bien plus pertinentes il conviendrait d’ajouter des critères supplémentaires pour chaque bien, mais aussi, que tous les frais annexes soient transparents et affichés ce qui semble être très difficile à obtenir, compiler et présenter dans les détails.

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Immobilier : le prix des logements neufs au plus haut depuis 2010

Les ventes de logements neufs restent en baisse, du fait d’une offre en berne. Pourtant, la demande, elle, ne dément pas. Conséquence directe : les prix continuent leur inexorable progression.
-36,9%. C’est la préoccupante baisse des mises en ventes de logements neufs au 1er trimestre 2019, par rapport à l’année dernière, selon les derniers chiffres de l’Observatoire de l’immobilier de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Soit près de 13.000 logements en moins… C’est le premier trimestre le plus faible enregistré depuis 2014. Une baisse des offres qui trouve deux explications. Pour commencer, l’approche des élections municipales freine l’enthousiasme des maires, qui sont moins enclins à accorder des permis de construire. Et, deuxième raison, même lorsque les permis sont obtenus, la production est ralentie pour des raisons liées aux coûts des travaux, à la disponibilité des entreprises ou aux recours aux contentieux.

Première conséquence à cela : les promoteurs continuent de puiser dans leurs stocks, qui baissent de plus de 11% et représentent désormais moins de 10 mois de ventes au niveau national. Ce stock tombe même à 8 mois dans plusieurs métropoles (8,2 en Île-de-France, 8,8 à Lyon, 7,4 dans la métropole Montpellier Méditerranée et même 5,6 dans la métropole Angers-Loire).

Autre conséquence directe de cette constante tension sur l’offre commerciale : les prix du neuf continuent de s’envoler. Comptez actuellement 4.271 euros en moyenne le mètre carré dans l’Hexagone, soit une augmentation de 1,8% par rapport au premier trimestre 2018. Une hausse des prix qui ne fait pas forcément les affaires des promoteurs, qui pourraient assister à un nouveau ralentissement du marché en 2019, si la demande venait à diminuer du fait d’une remontée des taux d’emprunt.

Toutefois, cette évolution nationale masque d’importantes disparités locales. En témoigne le tableau ci-dessous, qui regroupe les données de prix moyens au mètre carré des logements collectifs réservés, constatés au premier trimestre par la FPI. Si les prix ont par exemple baissé de près de 3% dans les métropoles de Nice (-2,8%) ou ou de Strasbourg (-2,6%), ils explosent à Orléans (+8,3%), à Rennes (+6,8%) et à Besançon (+12,6%).

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