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LCA-FFB réclame un PTZ sur tout le territoire pour relancer les ventes de maisons neuves | Actualités

LCA-FFB réclame un PTZ sur tout le territoire pour relancer les ventes de maisons neuves
Par Elisabeth Lelogeais le 29 Mars 2019

Le nouveau président du syndicat marche dans les pas de son prédécesseur et plaide pour un retour des aides au logement, Prêt à Taux Zéro et APL accession, afin de favoriser l’accession à la propriété.

Plaidoyer pour une politique du logement favorable à l’accession
Lors de sa Convention Nationale réunissant plus de 400 professionnels, le nouveau président de LCA-FFB, Grégory Monod, a appelé le gouvernement à revenir à des mesures fortes et à rétablir les aides au logement telles qu’elles étaient avant l’an dernier à savoir un prêt à taux zéro identique sur tout le territoire et l’APL Accession. Il a établi, chiffres à l’appui, l’impact direct et rapide de la réforme des aides publiques qui s’est traduit par une dégradation sur l’ensemble du secteur du logement :

Recul de 4,5 % des mises en chantier.
Contraction de 6,3 % des permis de construire.
Chute de 11 % des ventes de l’individuel diffus et groupé.
Diminution des ventes de 1,2 % du logement collectif.
Chute, à moyen terme, de 4 % des mises en vente pour l’individuel groupé et le logement collectif.
Gregory Monod a également souligné l’ampleur des reculs dans les zones B1 et C où la distribution du PTZ a chuté de 47 %, obligeant les primo-accédants à renoncer à leur projet.

De droite à gauche : Grégory Monod, nouveau président, Patrick Vandromme, ancien président et Jacques Chanut, président de la FFB. 
Les aides au logement ne représentent pas un effet d’aubaine. Ils constituent à l’inverse un levier essentiel pour le passage à l’acte des ménages. Si la suppression des aides en 2020 en zones B2 et C était confirmée, c’est le blocage définitif du parcours résidentiel des plus modestes qui est à craindre ».
Grégory Monod, président de LCA-FFB.

Pour une politique lisible et durable du logement
Le nouveau président a rappelé qu’il ne peut y avoir de réponse unique à des enjeux, à des besoins, à des attentes et à des aspirations qui sont par nature  très contrastés selon les contextes territoriaux et qu’il faut se méfier des approches trop simplificatrices opposant les zones dites tendues aux zones dites détendues dans lesquelles la construction neuve serait totalement inutile, et qu’il est nécessaire de conduire des politiques qui associent construction neuve et revitalisation des tissus existants. Aussi a-t-il demandé un zonage pragmatique qui privilégie le projet et le contexte. Une demande qui semble avoir été écoutée, le ministre du Logement, Julien Denormandie, présent par vidéo interposée, a promis d’engager une réflexion profonde de zonage des aides au logement.

Bon à savoir
Sur la future Règlementation Environnementale 2020, E+C-, LCA-FFB demande au gouvernement un délai supplémentaire pour s’assurer de sa soutenabilité technique et économique, de nombreuses incertitudes existent sur la prise en compte du carbone dans la construction.

Sourced through Scoop.it from: actualite.seloger-construire.com

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Top 10 des villes où les loyers sont les moins chers de France ! | Actualités

Top 10 des villes où les loyers sont les moins chers de France !
Par Xavier Beaunieux le 2 Avril 2019

À l’occasion de la publication du millésime 2018 des loyers en France par Clameur, dont SeLoger est partenaire, découvrez les dix villes de plus de 148 000 habitants où louer son logement coûte le moins cher.

#1. Saint-Étienne : 8 €/m² en location
C’est dans la Capitale du Design que les prix des loyers sont les moins élevés. Pour louer un logement à Saint-Étienne, comptez 8 € (hors charges) du m² environ. Pour info, les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent que la préfecture de la Loire arrive également en tête des villes dans lesquelles acheter un bien coûte le moins cher. Dans l’ancien, le m² stéphanois se monnaye ainsi aux alentours de 1 340 €.

En termes de loyers, Saint-Étienne est une ville très, très abordable. 

#2. Nîmes : 10,5 €/m²
Sur la deuxième marche de notre podium, c’est Nîmes que l’on retrouve. Dans la Cité des Antonins, les loyers de marché (issus d’une nouvelle location ou d’une relocation) se limitent à 10,5 € du m². Si elle se caractérise par un marché locatif très actif et des tarifs à la location parmi les plus bas du marché, celle que l’on surnomme la Rome Française offre également une solution de repli aux candidats acquéreurs qui ne disposent pas des moyens financiers pour acheter à Montpellier.

Les loyers y étant moins élevés qu’à Montpellier, Nîmes peut offrir une solution de repli pour un locataire montpellérain qui voudrait louer plus grand pour moins cher ! 

3. Angers : 10,7 €/m²
La médaille de bronze de notre classement est décernée à Angers. Avec un loyer dont la moyenne atteint 10,7 % du m², la Cité du Roi René (d’Anjou, Ndlr) permet ainsi à ses habitants de louer un logement à des tarifs qui restent abordables. Et cela en dépit du fait qu’à Angers, les loyers ont progressé (+ 2,2 %) plus rapidement que l’inflation (+ 0,8 %) en 2018.

La légendaire douceur angevine s’applique aussi aux loyers. 

4. Toulon : 11,5 €/m²
Autre ville dont le montant des loyers fait le bonheur des locataires, Toulon. Si vous louez un logement dans le Port du Levant, comptez 11,5 € du m². Mais la relative ténuité des loyers toulonnais est contrebalancée par la forte demande locative (particulièrement dans l’hyper-centre) dont fait l’objet le premier port militaire de France.

En plus d’être la ville la plus ensoleillée de France (devant Marseille !), Toulon se distingue par des loyers abordables. 

5. Le Havre : 11,5 €/m²
Ex-aequo avec Toulon, Le Havre fait, elle aussi, partie de ces villes françaises au sein desquelles la pression sur les loyers reste somme toute modérée. Dans la Porte Océane, le budget « logement » d’un locataire se limite à 11,5 € (hors charges) du m². Il est également intéressant de préciser qu’à l’instar de Saint-Étienne, Le Havre se distingue par des prix à l’achat qui se situent en deçà des 2 000 € du m² (Source : LPI-SeLoger).

Au Havre, les locataires peuvent profiter de loyers parmi les plus bas du marché. 

Focus sur 5 villes où les loyers dépassent 13 €/m²
Paris : 26,2 €
Nice : 16,4 €
Montpelier : 14 €
Lille : 13,7 €
Bordeaux : 13,6 €
Top 10 des villes où les loyers sont les moins chers de France

#6. Dijon : 11,7 €/m²
Bonne nouvelle pour les locataires dijonnais qui représentent 55 % de la population (Source : Insee) : leur ville compte parmi celles où les loyers sont les plus accessibles. Si un candidat à la location jette son dévolu sur la Capitale des Ducs de Bourgogne, son loyer plafonnera, en moyenne, à 11,7 € du m².

À 11,7 €/m², Dijon est une ville où l’on peut louer un logement à bon marché. 

#7. Reims : 12,1 €/m²
Avec des loyers dont le prix dépasse à peine 12 € du m², Reims fait les yeux doux aux locataires dont le pouvoir d’achat locatif n’est pas extensible et qui estiment que « louer » ne devrait en aucun cas rimer avec « exploser son budget ».

Pour faire des économies de loyers, c’est sur Reims qu’il faut mettre le cap ! 

#8. Rennes : 12,4 €/m²
Si l’on connait Rennes – entre autres – pour ses Transmusicales et sa fameuse rue de la Soif, force est de constater que cette ville fait également partie des endroits où louer son habitation coûte moins cher qu’ailleurs. Les chiffres de Clameur font état de 12,4 € du m² pour une location à Rennes. 

C’est sûr, pour ce qui est des loyers, Rennes, c’est la Reine ! 

#9. Grenoble : 12,4 €/m²
À égalité avec le chef-lieu du département d’Ille-et-Vilaine, Grenoble se caractérise, elle aussi, par des loyers parmi les plus bas des villes françaises de plus de 148 000 habitants. Pour une location dans celle que l’on surnomme la Capitale des Alpes, il faut compter 12,4 € du m² .

Grenoble se caractérise par des loyers dont les montants sont accessibles. 

#10. Villeurbanne : 12,7 €/m²
Limitrophe de Lyon, Villeurbanne est, avec Boulogne-Billancourt, la deuxième ville de banlieue la plus peuplée de France. C’est aussi une ville où le marché locatif local reste bon marché. Hors charges, les loyers s’y situent aux alentours de 12,7 € du m².

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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73 % des acheteurs rencontrent des difficultés à trouver le logement idéal ! | Actualités

73 % des acheteurs rencontrent des difficultés à trouver le logement idéal !

Aujourd’hui, près de 70 % des candidats à l’accession immobilière pensent que c’est le bon moment d’acheter un logement. Mais, face à un marché de plus en plus tendu, 73 % rencontrent des difficultés pour trouver le bien immobilier idéal.

Achat immobilier : les Français freinés par un marché tendu
La volonté de concrétiser un projet d’achat se maintient en ce début d’année : 69 % des candidats à l’accession immobilière considèrent que c’est le bon moment d’acheter. Cet enthousiasme est notamment porté par le fait que la grande majorité de ces futurs acheteurs (79 %) jugent les taux d’intérêts des prêts immobiliers attractifs, déclenchant des envies d’achat toujours nombreuses. Pourtant, la pression sur les acheteurs s’accentue de plus en plus. Selon une étude Logic-Immo & Kantar TNS, il existe aujourd’hui 1,5 acheteur pour 1 vendeur. Ainsi, 56 % des futurs acquéreurs considèrent que, dans leur zone de recherche, il y a plus d’acheteurs que de biens à vendre (contre 47 % en octobre 2018). La pénurie de biens devient même une préoccupation croissante : 73 % sont freinés par des difficultés à trouver un bien qui corresponde à leurs attentes (contre 67 % un an plus tôt). Face à ce ressenti, 82 % des porteurs de projet sont disposés à faire des concessions (contre 73 % en janvier 2018). Des « sacrifices » qui concernent surtout la surface du bien (44 %, soit 4 points de plus qu’en janvier 2018) et la localisation (30 %, soit 8 points de plus qu’un an plus tôt).

56 % des candidats à l’accession estiment qu’il y a plus d’acheteurs que de logements à vendre. © Logic-Immo
Les acheteurs franciliens ressentent davantage la pression du marché.

La pression du marché immobilier est davantage ressentie en Île-de-France, qui concentre un quart des acheteurs immobiliers français, pour seulement un cinquième des vendeurs. Ainsi, les Franciliens sont 66 % à considérer que, dans leur zone de recherche, il y a plus d’acheteurs que de biens à vendre. Près de 6 futurs acheteurs franciliens sur 10 (56 %) considèrent également que l’achat d’un logement est un processus difficile (contre 52 % pour l’ensemble des acheteurs), et ce notamment en raison de la pénurie de biens. Dans la perception des Franciliens, le choix des biens est plus limité (65 % contre 62 % pour l’ensemble des acheteurs) et les biens qui correspondent à leurs attentes partent trop vite (29 % contre 26% pour l’ensemble des acheteurs). En ce qui concernent les prix de vente des logements, 65 % des porteurs de projets franciliens les jugent irréalistes (contre 58% pour l’ensemble des acheteurs). Un ressenti tout à fait logique quand on sait que les prix moyens dépassent désormais les 10 000 € du m² dans la capitale, et que les prix deviennent également très élevés dans de nombreuses communes du Grand Paris.

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L’encadrement des loyers a-t-il eu un effet en France ? | Actualités Location

L’encadrement des loyers a-t-il eu un effet en France ?
Par Xavier Beaunieux le 5 Avril 2019

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Au cours des dernières années, le prix de l’immobilier dans les grandes villes a beaucoup augmenté. Mais qu’en est-il des loyers ? Les locataires des métropoles sont-ils tous logés à la même enseigne ? L’encadrement à Lille et à Paris a-t-il contenu les loyers ? LIEPP/Sciences Po et SeLoger se sont penchés sur le sujet.

A Lyon et à Bordeaux : + de 8 % de hausse sur les loyers en 4 ans
Il résulte de l’analyse à laquelle se sont livrés LIEPP/Sciences Po et SeLoger qu’entre janvier 2015 et novembre dernier, c’est à Lyon et à Bordeaux que les prix des loyers ont progressé le plus fortement. Sur les deux villes, la hausse se chiffre, en effet, à plus de 8 %. C’est donc peu dire que les loyers y ont littéralement bondi ! Pour information, rappelons qu’en ce qui concerne le montant des loyers de marché (issus d’une nouvelle location ou d’une relocation) qui y sont pratiqués, pour l’année 2018, l’Observatoire Clameur – dont SeLoger est partenaire – nous apprend qu’il est de 11,2 €/m² à Lyon et de 13,4 €/m² à Bordeaux.

Entre janvier 2015 et novembre dernier, c’est à Lyon et à Bordeaux que les prix des loyers ont le plus augmenté. ©SeLoger
+ 2,5 % sur les loyers des logements à Lille et à Marseille
S’il est un point sur lequel les deux extrêmes (géographiquement s’entend) que sont les villes de Lille et de Marseille se rejoignent, c’est bien sur l’évolution qu’ont connue leurs loyers au cours des trois dernières années. Jugez plutôt, sur la période de référence, l’augmentation des loyers lillois (13,7 €/m² en 2018) et phocéens (12,4 €/m²) n’a pas dépassé 2,5 %. En comparaison de l’évolution affichée par les loyers lyonnais et bordelais, la dynamique des loyers à Lille et à Marseille paraît ainsi bien modeste.

À Paris, l’encadrement des loyers semble avoir contenu la hausse
Contre toute attente, les loyers dans la capitale n’ont que peu progressé jusqu’au second semestre 2017, mais à partir de ce moment, ils connaissent une augmentation brutale, allant jusqu’à rattraper les loyers de Marseille et de Lille. Si les chercheurs du LIEPP se montrent circonspects sur ce point, il serait tentant d’attribuer ce brusque sursaut de l’évolution des loyers parisiens à l’annulation de l’encadrement des loyers par la justice administrative. En effet, du mois d’août 2015 jusqu’au 28 novembre 2017, date de son annulation, l’encadrement des loyers pourrait avoir rempli son rôle en contenant la hausse de la rémunération des propriétaires.

La hausse limitée des loyers parisiens jusqu’à leur rebond en 2018 serait-elle liée à la mise en place – puis à l’annulation – de l’encadrement des loyers ?  ©SeLoger
Bon à savoir
Entre 2015 et 2017, les loyers parisiens ont peu évolué.

Le prix de l’immobilier progresse plus vite que celui des loyers: + 20 % vs + 5 %
Si les loyers et les prix des logement relevés dans les grandes villes françaises s’étaient livrés à une course dont la ligne de départ se situerait en 2016, c’est le prix de l’immobilier qui, trois ans plus tard, aurait franchi la ligne d’arrivée en premier. En clair, à la question de savoir qui, des loyers ou du prix des logements, a connu l’évolution la plus rapide durant ces dernières années, la réponse est : le prix des logements. Et pour cause, à fin 2018, acheter à Lyon ou encore à Paris coûte 20 % plus cher qu’en 2016, alors que dans le même temps, dans le cas d’une location, le surcoût se limite à 5 %…

Les points clés à retenir
À Lyon et à Bordeaux, l’évolution des loyers a été rapide: +8 %.
À Marseille et à Lille, la progression des loyers a été plus modeste: + 2,5 %.
L’encadrement des loyers semble avoir stabilisé les loyers à Paris entre 2015 et 2017.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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C’est dans le Nord de la France que les taux de crédit immobilier sont les plus attractifs | Actualités

Le Grand Est, les Hauts-de-France et la Normandie sont les régions qui proposent les taux de crédit les plus bas en avril. Le Centre-Val de Loire, la Corse et l’Île-de-France sont celles où les taux d’emprunt sont les plus élevés de l’Hexagone.

Taux de crédit immobilier : On frôle les records historiques !
Les taux de crédit immobilier restent très attractifs en France. Selon le courtier Cafpi, les meilleurs profils ont pu profiter de taux allant jusqu’à 0,65 % sur 10 ans, 0,90 % sur 15 ans, 1,10 % sur 20 ans et 1,20 % sur 25 ans. « On frôle les records historiques d’octobre 2016, où les taux les plus bas s’établissaient à 0,65 % sur 10 ans, 0,90 % sur 15 ans, 1 % sur 20 ans et 1,25 % sur 25 ans », selon Philippe Taboret, Directeur Général Adjoint du courtier en crédit. « Traditionnellement le printemps est une période de taux bas, les acquéreurs préparant leur projet immobilier pour pouvoir déménager pendant l’été et être installés à la rentrée scolaire », ajoute-t-il.

Grand Est, Hauts-de-France, Normandie : les taux les plus bas
Mais ces taux très attractifs cachent de grandes disparités à travers le territoire : c’est dans le Nord de l’Hexagone, à savoir dans le Grand Est, les Hauts-de-France et la Normandie que les taux de crédit sont les plus attractifs en avril. En mars, c’était la Bourgogne-Franche-Comté qui proposait les taux les plus bas. Les régions d’outre-mer, l’Occitanie et la Provence-Alpes-Côte d’Azur se positionnent également parmi les régions les plus attractives, contrairement au Centre-Val de Loire, à la Corse et à l’Île-de-France, qui proposent actuellement les taux les plus élevés.

L’Île-de-France, le Centre-Val-de-Loire et la Corse sont les régions qui proposent les taux les plus hauts. © Cafpi
Les taux de crédit les plus faibles par région
Pour des emprunts contractés sur des durées de 10, 15 et 20 ans, les trois régions qui proposent les meilleurs taux sont : le Grand Est. les Hauts de France et la Normandie. Elles proposent des taux atteignant respectivement 0,65 % sur 10 ans, 0,90 % sur 15 ans et 1,10 % sur 20 ans.
Sur 25 ans, ce sont les régions et départements d’outre-mer qui proposent les taux les plus bas : 1,20 %.
La Nouvelle-Aquitaine se positionne à la seconde place sur 10 ans avec 0,70 %.

L’Occitanie et la Provence-Alpes-Côte d’Azur, sur 15, 20, 25 ans affichent des taux de 0,97 %, 1,14 % et 1,28 %.
Les taux de prêt immobilier les plus élevés par région
C’est l’Île-de-France qui caracole en tête sur 10 ans, avec des taux d’emprunt moyen atteignant 0,90 %. La région francilienne propose également des taux de 1 % sur 15 ans, 1,30 % sur 20 ans et 1,50 % sur 25 ans. Sur 15 ans, c’est en Corse que les taux immobiliers sont les plus hauts avec 1,11 %. Enfin, avec 1,35 % sur 20 ans et 1,54 % sur 25 ans, le Centre-Val de Loire est à la dernière position sur ces durées. La région détient également des taux de 0,75 % sur 10 ans et 1 % sur 15 ans.

Les taux moyens constatés en France
En France, en avril 2019, les taux moyens de crédit constatés atteignent 1 % sur 10 ans, 1,25 % sur 15 ans, 1,45 % sur 20 ans et 1,70 % sur 25 ans.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Les murs porteurs de ces futurs HLM de Reims ont été imprimés en 3D

Des murs porteurs en béton réalisés par impression 3D: le bailleur social Plurial Novilia vient de déposer un permis de construire à Reims pour cinq maisons utilisant cette technique. «Ce ne sont pas les coffrages des murs qui seront imprimés en 3D comme sur un chantier de Nantes voici quelques mois, mais bien les murs porteurs de ces cinq maisons mitoyennes et de plain-pied», explique Jérôme Florentin, directeur de la maîtrise d’ouvrage de Plurial Novilia, filiale du groupe ActionLogement, présentant ce projet comme une première en France.

Terminant un bras de sept mètres d’envergure, la tête d’impression du robot à un million d’euros mis au point par la société Xtreee de Rungis (Val-de-Marne) injectera donc directement le béton par couches successives, dont l’aspect et la texture rappellent la poterie en colombins. «Une unité comparable vient d’être exportée à Dubaï où elle imprime des murs et des escaliers», souligne Alain Guillen, directeur général d’Xtreee, une start-up de 8 salariés crée en décembre 2015 et un million d’euros de chiffre d’affaires.

Pour le dirigeant, le projet rémois, baptisé ViliaPrint et dont le permis de construire a été déposé le 15 mars, est d’autant plus intéressant qu’il sera soumis à l’étape capitale de la certification. Car de l’évaluation que doit réaliser le Centre scientifique et technique du bâtiment d’ici la fin de l’année (test au feu, résistance au vieillissement…) dépendra la possibilité de dupliquer sur d’autres sites français la technique inaugurée à Reims.

Pour Viliaprint, un béton spécifique a été élaboré en partenariat avec la société Vicat à Grenoble. Il s’agissait de concevoir un matériau à la fois suffisamment liquide pour ne pas se solidifier dans la tête d’impression du robot et suffisamment dense pour prendre rapidement et permettre l’impression rapide d’une autre couche. «Avec cette technique, nous économisons 50% de béton», affirme Jérôme Florentin.

Les arguments en faveur de l’impression 3D béton ne manquent pas: gain de matière première, mais aussi de temps (2 heures pour un mur de 6m², trois fois moins qu’en traditionnel), diminution de la pénibilité au travail, hausse des compétences des maçons se transformant en opérateurs, liberté donnée à l’architecte d’imaginer de nouvelles formes comme les murs courbes ou elliptiques du projet ViliaPrint.

Pourtant, la technique reste coûteuse: plus de 30% de surcoût par rapport à une maison traditionnelle. Et ce, bien que la R&D continue sur le robot d’impression et sur le béton, associée à l’utilisation de modules préfabriqués à proximité du futur chantier, aient permis de faire baisser le coût du m² des maisons. «D’environ 4000 euros le m² au début du projet voici un an et demi à 2300/2400 euros le m² aujourd’hui», estime Jérôme Florentin. Une maison ViliaPrint et son jardin pourraient être commercialisés autour de 200.000 euros.

Et à terme, Plurial Novilia veut «faire passer l’impression 3D du stade expérimental actuel au stade pleinement opérationnel et reproductible», assure son directeur général Alain Nicole. «Le marché potentiel est énorme. L’objectif reste bien de réaliser beaucoup d’autres maisons en impression 3D béton pour faire baisser encore leur coût», confirme Jérôme Florentin, qui étudie la possibilité de faire travailler ensemble deux robots d’impression 3D ensemble.

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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Les seniors paient de plus en plus cher leur crédit immobilier

La hausse de la fiscalité sur l’assurance des prêts immobiliers décidée par le gouvernement pénalise encore plus les emprunteurs de plus de 60 ans.
Près d’un salarié âgé de 50 à 65 ans sur deux (47%) a du mal à boucler ses fins de mois, selon un sondage CSA pour Cofidis. Sur les douze derniers mois, un sur trois affirme avoir déjà été à découvert et un sur dix a dû emprunter de l’argent à ses proches. La raison? Ils n’ont pas pu avoir accès à un crédit auprès de leur banque. Pour les emprunteurs de plus de 50 ans, les conditions d’emprunt immobilier sont souvent peu avantageuses du fait de leur âge avancé. «Les durées d’emprunt souhaitées par les seniors sont souvent supérieures à ce que les banques sont prêtes à leur proposer», affirme Cécile Roquelaure, d’Empruntis.

Outre les revenus, qui diminuent à la retraite, l’assurance de prêt est souvent pénalisante pour les emprunteurs de plus de 60 ans. Plus l’emprunteur vieillit, plus le coût est élevé: entre 0,4% et 1% selon les types d’assurance. «L’assurance peut être très chère à cause du risque accru de problèmes de santé de l’emprunteur, notamment si celui-ci a déjà eu des antécédents médicaux, explique Astrid Cousin, de Magnolia.fr, société spécialisée en assurance emprunteur sur Internet. Pour un emprunt de 150.000 euros sur 15 ans, le coût de l’assurance varie entre 10.000 et 30.000 euros si l’emprunteur n’a aucun problème de santé», selon Empruntis. De quoi plomber le budget de l’emprunteur voire d’empêcher le projet immobilier.

Et ce n’est pas tout car un autre élément alourdit le coût de cette assurance. Depuis le 1er janvier dernier, Bercy a étendu la taxe spéciale sur les conventions d’assurance (qui s’élève à 9%) à la garantie décès et non plus seulement aux garanties contre la perte d’emploi, l’incapacité de travail ou la perte d’emploi. Or, les seniors, n’étant plus en activité, n’ont plus besoin de ces garanties. La totalité du coût de l’assurance emprunteur pesant sur la seule garantie décès, l’impact est donc plus important que pour les autres profils d’emprunteurs pour qui cette garantie représente en général 2/3 du tarif global de l’assurance.

Le surcoût s’élève à 131 euros par an pour un retraité de 65 ans empruntant 200.000 sur 20 ans alors qu’il n’est que de 6 euros par an pour un cadre en CDI de 30 ans, selon Magnolia. «Les seniors doivent privilégier des emprunts courts, conseille Cécile Roquelaure. Pour les banquiers, le remboursement du crédit doit se faire dans le cadre de la couverture d’assurance qui encore trop souvent s’arrête à 75/80 ans. Ainsi, lorsqu’un emprunteur de 65 ans finance son projet immobilier, son délai de remboursement sera plus court: 10 voire 15 ans maximum».

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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Coups de pouce à la rénovation : jusqu’à 50% du coût de vos travaux pris en charge !

Primes d’économies d’énergie, crédit d’impôt… Tour d’horizon des aides à la mise aux normes des logements, presque toutes dopées pour 2019.
Un milliard d’euros en deux ans : voilà la manne que le gouvernement s’apprête à distribuer aux familles confrontées à la hausse de leurs dépenses de chauffage, rien que pour respecter son objectif de remplacer 600.000 chaudières vétustes, qu’elles soient au fioul ou au gaz. Si tous les ménages auront droit à une aide, les plus modestes d’entre eux pourront se faire financer entièrement l’opération, facturée un euro symbolique. Les installations de chauffage ne sont d’ailleurs pas les seules concernées par cette généreuse politique : qu’il s’agisse d’installer un double vitrage ou d’isoler ses combles, le cumul des diverses aides permet, comme le montre notre tableau, de se faire rembourser de 25 à 50 % du prix des équipements (la pose n’étant le plus souvent pas subventionnée), le tout, rappelons-le, au taux préférentiel de TVA de 5,5 %.

Ces coups de pouce ne seront pas de trop, car la rénovation thermique d’une maison individuelle coûte 11.750 euros en moyenne selon l’Ademe, pour culminer à 25.000 euros lorsque les travaux permettent de gagner deux crans sur son diagnostic de performance énergétique (DPE). Pour faciliter le travail, le gouvernement a aussi décidé d’unifier les conditions d’octroi de ces aides. C’est ainsi qu’elles imposent toutes de passer par un artisan " reconnu garant de l’environnement " (RGE) et que, dès juillet prochain, elles pourront être demandées quel que soit le logement, du moment qu’il a été construit il y a plus de deux ans. Enfin, elles s’appliquent désormais même si vous n’entreprenez qu’un seul type de travaux.

Première d’entre elles à solliciter : la prime d’économies d’énergie, aussi appelée certificat d’économies d’énergie (CEE). Payées par des fournisseurs comme Total, Engie et EDF, ou des grandes surfaces telles que Carrefour et Leclerc, qui se conforment ainsi à leurs obligations de lutte contre le réchauffement climatique, ces aides ont été récemment dopées pour les remplacements de chaudières (les " coups de pouce " de notre tableau) et ce jusqu’à fin 2020. Autant donc en profiter, même si le système veut que leur coût soit ensuite répercuté… sur la note finale de l’ensemble des clients ! Par simplicité, vous pourrez vous en remettre à l’artisan missionné pour les travaux, qui la déduira de sa facture.

Mais le plus rentable reste de la solliciter directement. Il faudra alors comparer scrupuleusement les offres, le montant variant du simple au double selon l’UFC-Que Choisir. C’est ainsi que, pour une chaudière à haute performance énergétique, le coup de pouce pour une famille de quatre personnes débute à 222 euros chez EDF, qui privilégie sans doute les équipements électriques, pour grimper aux alentours de 290 euros chez Leclerc et Engie, et atteindre 304 euros chez Total. Et encore s’agit-il d’estimations réalisées pour une rénovation dans l’Ain… Le même équipement, mais à installer dans les Bouches-du-Rhône, où les appareils, peu sollicités, polluent moins, rapporte une prime 40 % inférieure.

Variations identiques dans le cas d’une pompe à chaleur, équipement privilégié par les ménages dotés d’une chaudière au fioul, et donc éloignés des réseaux de gaz. " Attention à faire vos démarches en amont, une lettre d’engagement devant être reçue avant toute signature de devis ", prévient Maël Thomas, directeur général de QuelleEnergie.fr, plate-forme de mise en relation avec des artisans. Autre demande à formuler au plus tôt, celle de l’éco-prêt à taux zéro, permettant de financer sans frais jusqu’à 30.000 euros de travaux. Elle a aussi été revue pour 2019 : plus besoin, pour les offres de crédit émises à compter du 1er mars, de s’engager à réaliser un bouquet de deux ou de trois travaux.

Pour celles émises à compter de juillet, la durée maximale d’emprunt sera même uniformément portée de dix à quinze ans dans le cas des travaux les plus coûteux, ce qui permettra d’alléger les mensualités. Attention à la paperasse, puisque pour obtenir cette avance il faudra fournir à la banque les devis correspondant aux travaux, ainsi que les factures.

Avec la troisième et dernière aide, le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE), il faudra se montrer patient, le gouvernement ayant pour l’heure renoncé à la transformer en subvention versée au moment des travaux. Comme son nom l’indique, elle consiste en une réduction d’impôts, perçue l’année suivant l’engagement des dépenses. La mise en place du prélèvement à la source ne changera rien à ce calendrier : pour des travaux payés en début d’année par exemple, ce n’est qu’après la déclaration de revenus correspondante, soit dix-huit mois plus tard, à l’été, que le fisc rabotera votre impôt du montant dû, ou, en cas d’excédent, effectuera un virement. Son montant atteint tout de même 30 % du prix du matériel, hors main-d’œuvre (sauf, dans le cas de ménages modestes, pour des travaux d’isolation ou d’installation de pompes à chaleur), et une fois déduites les autres aides perçues par ailleurs, comme les primes énergie.

À signaler : alors même que ce coup de pouce ne pouvait plus, depuis mi-2018, financer la pose de double vitrage, cette option vient d’être rétablie ! Pour un taux de crédit d’impôt toutefois raboté à 15 %, et un montant plafonné à 100 euros par fenêtre. Attention, vérifiez bien l’éligibilité des équipements : dans le cas contraire, en cas de contrôle de la part du fisc, vous pourriez subir un redressement. Enfin, comme l’indique notre tableau, si vos revenus ne dépassent pas 27.000 euros en région dans le cas d’un couple (35.500 euros en Ile-de-France), n’oubliez pas de solliciter l’Anah, qui finance de 35 à 50 % des travaux.

Ces aides, à la différence des précédentes, ne peuvent cependant concerner que des rénovations de logements de plus de 15 ans, et à la condition de ne pas avoir reçu de prêt à taux zéro dans les cinq dernières années… Vu la complexité de l’affaire, mieux vaut donc se faire guider. " Le mieux est de solliciter le réseau FAIRE, un service public gratuit avec 400 points de contact en France ", indique Gilles Aymoz, responsable du service bâtiment de l’Ademe.

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Usufruit : définition et droits

L’usufruit consiste à jouir d’un bien comme un propriétaire, sous la condition expresse d’en “conserver la substance” (article 578 du Code civil). Cela concerne à la fois des biens meubles ou des biens immeubles.
Définition de l’usufruit
La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu’on n’en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements (article 544 du Code civil).Ce droit est divisé en trois éléments :

l’abusus (ou nue-propriété) désigne la possession du bien au titre de propriétaire,
l’usus correspond au droit de disposer du bien,
le fructus celui d’en percevoir les fruits.
La réunion de l’usus et du fructus désigne l’usufruit.

L’usufruit permet ainsi à l’usufruitier de disposer du bien et de percevoir les revenus associés. Mais il n’est pas le propriétaire du bien car non titulaire de l’abusus. Ainsi, il n’a pas le droit de vendre le bien, ni de le donner et encore moins de le détruire.

L’usufruit prend fin à la mort de son titulaire (l’usufruitier) ou à la fin de la période pour laquelle il a été accordé contractuellement (article 617 du Code civil).

Différents types d’usufruit
II existe des usufruits différents, adaptables selon la situation des personnes concernées.

L’usufruit successif

Le propriétaire d’un bien peut transmettre l’usufruit sur ce bien à un tiers, par donation ou par testament, lequel devient alors l’usufruitier.

Cette transmission peut être assortie d’une clause d’usufruit successif. Concrètement, si l’usufruitier décède avant le terme convenu de l’usufruit, ce droit est automatiquement transmis à une autre personne. En pratique, on parle de “réversion de l’usufruit” ou d’”usufruit éventuel” : le second bénéficiaire ne recevant l’usufruit qu’au décès du premier usufruitier avant le terme convenu.

Dans la pratique, le notaire prévoit souvent des donations avec usufruit successif au profit du survivant des donateurs. Cela permet de conserver un bien dans une famille et d’anticiper fiscalement une transmission de patrimoine.

Selon une jurisprudence constante, (C.cass. civ.1., 03/10/2000, n°98-21.969) le droit du second usufruitier lui est définitivement acquis “dès le jour de l’acte comportant la clause d’usufruit successif”.

A noter : dans le cadre d’une donation-partage transgénérationnelle, les grands-parents peuvent donner la nue-propriété à leurs petits-enfants et conserver l’usufruit en prévoyant un usufruit successif au profit de la seconde génération. Au décès des grands-parents, l’usufruit revient alors aux enfants et non directement aux petits-enfants.

L’usufruit temporaire

L’usufruit temporaire consiste pour le propriétaire d’un bien à transmettre, à un tiers déterminé, le droit d’user d’un bien et d’en percevoir les fruits pendant une durée déterminée, tout en conservant la nue-propriété dudit bien.

Tant que dure l’usufruit temporaire, son bénéficiaire peut, par exemple, habiter le bien ainsi donné et en percevoir les revenus si ce dernier est loué.

Au terme de la donation d’usufruit temporaire, le donateur redevient plein propriétaire de son bien.

L’usufruit temporaire est fréquemment utilisé pour aider un proche pendant quelques temps, notamment un enfant qui entre dans la vie active et ne dispose pas encore de moyens financiers suffisants.

Les droits et obligations de l’usufruitier
Si l’usufruitier peut jouir du bien par lui-même, transmettre son bail ou céder son droit à titre gratuit, il ne peut pas seul, sans le concours du nu-propriétaire, conclure un bail rural ou commercial d’une durée supérieure à 9 ans.

Les améliorations apportées sur le bien par l’usufruitier ne peuvent pas faire l’objet, à la cessation de l’usufruit, d’une quelconque indemnité, et ce même si celles-ci ont apporté une plus-value au bien.

Enfin, l’usufruitier est tenu aux seules réparations d’entretien du bien et au paiement des charges liées à son occupation (article 605 du Code civil). C’est le nu-propriétaire qui est tenu des grosses réparations.

Que se passe t-il au sein d’une copropriété ? L’usufruitier ou le nu-propriétaire peuvent indifféremment participer à l’assemblée générale, à la condition expresse que l’un donne mandat à l’autre de le représenter par procuration. Ils peuvent également choisir de désigner un représentant commun pour défendre leurs intérêts.

Le paiement des charges de copropriété est réparti selon les dispositions établies par le Code civil concernant les droits et devoirs de l’usufruitier et du nu-propriétaire :

le paiement des charges d’entretien incombe à l’usufruitier ;
tandis que le paiement des grosses réparations est à la charge du nu-propriétaire.

Fin de l’usufruit
L’usufruit prend fin de diverses façons :

au décès de son titulaire, au terme du contrat,
par la réunion sur la même tête des qualités d’usufruitier et de nu-propriétaire,
par non usage d’au moins 30 ans.
L’usufruit étant un droit légalement protégé, il peut aussi prendre fin judiciairement au motif d’un abus de droit demandé et justifié par le nu-propriétaire ou par les créanciers inscrits sur le démembrement de propriété, s’ils constatent la dégradation de leur bien et le risque d’amenuisement de leur créance.

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Immobilier : Paris, Bordeaux, Nice, Toulouse… les hausses (et les baisses) de prix de ce début d’année

Info Capital. D’après les données du réseau immobilier Orpi que nous dévoilons en exclusivité, les ventes progressent encore en ce début d’année, avec des évolutions de prix toutefois plus nuancées selon les territoires.
Dopé par des taux de crédit historiquement bas, le marché immobilier tourne toujours à plein régime. D’après les données du réseau Orpi, première enseigne immobilière plus de 1.000 agences, les ventes de logements anciens ont bondi de 9,8% au 1er trimestre 2019 par rapport à la même période l’an passé.

Sur le front des prix, en revanche, le constat est plus nuancé. Au niveau national, Orpi constate une légère baisse de 1,5% sur un an. “Nous avons clairement deux marchés : les grandes agglomérations où les prix grimpent (+2,2% sur un an) et les petites villes ou territoires ruraux où ils fléchissent (-0,5%)”, note Christine Fumagalli, présidente du réseau Orpi.

Parmi les grandes villes, Paris voit ainsi ses étiquettes valser de 3,6% sur un an, tout comme Nantes (+9,2%) ou encore Lyon (+9%) et Toulouse (+5,7%)… A noter tout même, que certains grandes métropoles ne semblent plus à la fête. Après une période de surchauffe, Marseille, Lille, et surtout Bordeaux, commencent à voir leurs côtes refluer…

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