Pas de commentaire

Dans le VIIe, des SDF logeront dans les anciens locaux du ministère des Armées

Entre 50 et 100 millions d’euros. C’est la perte que pourrait générer la vente d’une partie de l’îlot Saint-Germain (VIIe arrondissement de Paris), ancienne propriété de l’État à la ville de Paris, selon le sénateur LR d’Ile-et-Vilaine Dominique de Legge. Une sacrée décote pour un bien dont la valeur serait estimée à près de 140 millions d’euros. La cession de cette surface de près de 14.000 m² (hors rez-de-chaussée et sous-sol) doit permettre la construction de 2000 logements sociaux, selon un accord conclu mi-juin 2016 entre Manuel Valls alors premier ministre et Anne Hidalgo, maire de Paris. Fin 2017, un nouvel accord, après l’élection d’Emmanuel Macron, a été conclu entre le ministère des Armées et la mairie de Paris.

Dans le cadre du plan grand froid, annoncé cette semaine par le gouvernement, cet ancien siège de l’Armée de terre qui s’étale entre le boulevard Saint-Germain, les rues de Solférino et Saint-Dominique, a été réquisitionné pour accueillir 250 personnes sans abri cet hiver. L’annonce a été faite par le ministre de la Ville et du logement Julien Denormandie au Parisien. «Identifier des sites d’accueil, c’est le rôle d’une collectivité. Ensuite, c’est l’État qui finance et les associations qui opèrent», a-t-il déclaré. La maire LR du VIIe Rachida Dati, qui affirme ne pas avoir été prévenue, annonce qu’elle va «se mobiliser avec les riverains».

Les bâtiments, actuellement vides, seront ensuite remplacés d’ici 2022 par 251 logements sociaux, un gymnase, une salle de sport ainsi qu’une crèche de 66 berceaux, comme le prévoit l’accord signé en juin dernier par la Régie immobilière de la ville de Paris, l’un des principaux bailleurs de la capitale. Les SDF devraient donc occuper les lieux au-delà de cet hiver car les travaux ne débuteront pas avant 2020.

Il est prévu que 10% des logements sociaux soient réservés aux agents du ministère des Armées. Pour le reste, il s’agira de HLM familiaux, accessibles en fonction des futurs locataires: 126 familles bénéficiant du prêt locatif social (PLS). Les nouveaux locataires qui devraient intégrer leurs logements d’ici 2022 paieront un loyer compris entre 6 et 14 euros par m².

Montant de l’opération? 29 millions d’euros, soit un prix d’achat de 5000 euros le m², dans un arrondissement où le m² se négocie à plus de 13.000 euros le m². Une sacrée perte pour l’État dont la gestion du patrimoine immobilier a été qualifiée de «démesurée, obsolète, non adaptée au besoin, non gérée et non optimisée» par un ancien membre de la direction de l’immobilier de l’État, selon L’Opinion.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Ces 14 villes menacées par le fléau du logement insalubre

L’existence de logements insalubres est «un immense fléau» qui «ne concerne pas que Marseille», rappelle le ministre du Logement. Avec les élus locaux et les services de l’État, Julien Denormandie a identifié 14 sites jugés «prioritaires» en France pour des problèmes de copropriétés dégradées. Ce sont «parfois des villes dans lesquelles on ne s’attend pas» à de tels problèmes, a-t-il déclaré sur RTL. En revanche, «ce ne sont pas des immeubles qui présentent des problèmes de sécurité pour les habitants», précise Julien Denormandie.

Ces 14 villes ont été listées dans le cadre du plan «initiative copropriétés» (voir notre carte ci-dessous), qui a pour but de «transformer, rénover et prévenir la fragilisation de certains» logements. Elles représentent 128 copropriétés dégradées, soit plus de 23.000 logements. Afin de lutter contre ces immeubles dans un état «préoccupant», l’État a prévu d’investir près de trois milliards d’euros sur dix ans.

Selon le ministère, 450.000 logements au total sont considérés comme indignes en France. À Marseille, 40.000 logements, soit 13% du parc de résidences principales, présentent en outre «un risque pour la santé ou la sécurité» de leurs habitants, d’après un rapport remis au gouvernement en 2015. «Beaucoup de nos concitoyens sont confrontés» à ce problème, insiste Julien Denormandie, assurant n’avoir «pas attendu» le drame de Marseille pour «lutter contre ce fléau». Il faut «une politique très volontariste, très déterminée», a assuré le ministre. «Ce n’est pas qu’une question d’argent», a-t-il ajouté, jugeant nécessaire d’«accélérer les procédures».

Le ministre a par ailleurs indiqué que l’audit sur l’état de l’habitat indigne réclamé au préfet de Marseille après le drame de lundi serait remis «dans les prochaines semaines». Le cas échéant, «l’évacuation des habitants» relèvera «des collectivités», a-t-il conclu.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Il est grand temps de s’intéresser au «fonds de travaux» de votre copropriété

L’effondrement des trois immeubles vétustes à Marseille a non seulement relancé le débat autour de l’habitat insalubre mais aussi de l’urgence de réaliser des travaux pour certains bâtiments.

• Que dit la loi?
Depuis le 1er janvier 2017, la loi Alur impose à toutes les copropriétés construites avant le 1er janvier 2012, de disposer d’un fonds de travaux. Certaines peuvent obtenir des dérogations: les immeubles neufs de moins de cinq ans ou encore les copropriétés de moins de dix lots si celle-ci est votée à l’unanimité des voix de tous les copropriétaires. C’est au syndic d’inscrire la création de ce fonds de travaux à l’ordre du jour de l’Assemblée et d’ouvrir et gérer un compte bancaire séparé de celui destiné aux charges courantes et dédié exclusivement à ce fonds de prévoyance.

• À quoi sert ce fonds?
Cette provision, qui ne peut être inférieure à 5% du budget prévisionnel de la copropriété, sert à anticiper le coût d’éventuels travaux. Le fonds est alimenté par les cotisations versées annuellement par les copropriétaires sur la base de leurs tantièmes de charges générales. Son montant faisant l’objet d’un vote à la majorité absolue (50% + une voix de tous les copropriétaires, absents compris) des copropriétaires, il peut donc être supérieur à ces 5%. Lorsque ce montant dépasse celui du budget prévisionnel, le syndic doit inscrire à l’ordre du jour la suspension des cotisations et le lancement d’un plan pluriannuel de travaux, comme le prévoit la loi. Si ce plan est refusé, les copropriétaires n’auront donc plus à payer de cotisations.

• Quels travaux sont concernés?
Cette réserve financière sert exclusivement à financer les travaux prévus par arrêté préfectoral, décidés en assemblée générale ou encore ordonnés en urgence par le syndic – sans l’aval de l’assemblée générale – pour la sauvegarde d’un immeuble. Dans ce dernier cas, le fonds pourra être débloqué pour financer des travaux (amélioration, conservation ou entretien de l’immeuble) qui ne sont pas compris dans le budget prévisionnel.

• Les syndics ne créant pas de fonds sont-ils sanctionnés?
La réponse est non. La loi ne prévoit aucune sanction pour les syndics refusant de créer un fonds de travaux ou le constituant à un taux inférieur au minimum légal. Seul un copropriétaire absent le jour de l’assemblée générale ou opposant peut saisir la justice pour s’opposer au refus de créer ce fonds. Pour cela, il doit penser à le faire inscrire à l’ordre du jour.

• En cas de cession d’un lot, les cotisations sont-elles remboursées?
Là encore, la réponse est non. La loi prévoit que «les sommes versées au titre du fonds de travaux sont définitivement acquises au syndicat des copropriétaires et ne donnent pas lieu à un remboursement par le syndicat». Concrètement, des cotisations versées par un copropriétaire vendeur pourraient financer des travaux réalisés après son départ. L’acheteur et le vendeur peuvent se mettre d’accord pour répercuter le montant des cotisations que ce dernier a versées sur le prix de vente.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Une hausse des «frais de notaire» entraîne une baisse de 6% des ventes

Une hausse des droits de mutation – appelés à tort les frais de notaire – entraîne une baisse des transactions immobilières. C’est la conclusion d’une étude que vient de publier l’Insee. Les deux auteurs de cette enquête se sont penchés sur les conséquences, pour le marché immobilier, de la hausse de 3,8% à 4,5% du taux départemental de cet impôt en 2014.

Les économistes ont constaté deux effets: l’un d’anticipation, à court terme et l’autre de rétention, à moyen/long termes. Le premier se matérialise par une forte hausse des transactions immobilières «afin d’éviter un supplément de taxe»: anticipant l’entrée en vigueur de la hausse des droits de mutation (en mars 2014), les acheteurs et les vendeurs avancent la date de l’achat/vente de leur logement pour qu’elle ait lieu avant l’entrée en vigueur de la réforme.

Or, le projet de loi de finances pour 2014 a été annoncé publiquement le 25 septembre 2013. Ce qui explique la hausse des transactions immobilières à partir de cette date jusqu’à l’entrée en vigueur de la réforme (voir ci-dessous la courbe noire). En revanche, aucun impact n’est constaté sur les prix de vente puisqu’il a été fixé lors du compromis de vente, signé environ trois mois avant l’acte de vente. «L’acheteur et le vendeur ayant anticipé la hausse des droits de mutation, ne pouvaient modifier que la date de vente et non le prix», expliquent Guillaume Bérard et Alain Trannoy.

L’autre impact? L’effet de rétention. La hausse des droits de mutation empêchant certains acheteurs de déménager ou d’acquérir un bien, le volume des transactions devrait diminuer. Qu’en est-il dans la réalité? La réponse est oui mais seulement durant les trois mois qui suivent la réforme, affirme Guillaume Bérard (voir ci-dessous). «Cette baisse est due au surplus de taxe à payer qui ont incité des ménages à renoncer à acheter», précise l’enseignant-chercheur à l’université d’Aix-Marseille.

Cliquez ici pour agrandir l’infographie
Au total, les deux auteurs de l’étude ont constaté que l’effet de rétention a pris le dessus sur l’effet d’anticipation, générant une baisse moyenne d’environ 6% des transactions immobilières (logements, locaux professionnels et terrains) sur les trois premiers mois après la réforme. Ce qui équivaut à environ 15.000 ventes, au niveau national. Si l’on ne tient compte que du marché résidentiel, la baisse est légèrement inférieure: -4%.

Cette baisse des ventes provoque alors un effet de «verrouillage»: les acquéreurs reportent leurs achats ou décident de rester locataire plutôt que de devenir propriétaires. «Les plus pénalisés sont les ménages en manque d’épargne, qui souvent renoncent à acquérir un logement au profit de ménages plus aisés – c’est l’effet d’éviction -, ou les jeunes actifs parmi les plus dynamiques et pour qui les droits de mutation sont un frein à leur mobilité, explique Guillaume Bérard.

En mai dernier, le premier ministre Édouard Philippe avait laissé entendre qu’une nouvelle hausse de la part départementale des droits de mutation – de 4,5% à 4,7% – pouvait avoir lieu. Pour l’heure, il n’en est rien. Mais nul doute que l’association des propriétaires ou les professionnels ne manqueront pas de rappeler au gouvernement que le candidat Macron avait juré de baisser les droits de mutation. Une promesse laissée lettre morte. «Nous préconisons une suppression des droits de mutation, conclut Guillaume Bérard. À la place, nous suggérons une hausse ou un élargissement de la taxe foncière, moins négative pour les propriétaires, tout en maintenant un niveau équivalent de recettes fiscales pour les collectivités sur le long terme». Pour l’économiste, cette solution a un double avantage: la taxe foncière permet d’étaler le paiement et constitue une ressource fiscale bien moins volatile pour les collectivités que ne le sont les droits de mutation.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Si le chauffage fonctionne mal, le locataire a droit à une indemnisation

Dans un arrêt récent, la cour de cassation rappelle que le propriétaire doit une garantie totale au locataire. Quelle que soit la cause des dysfonctionnements, le propriétaire doit assurer une «jouissance paisible» de son bien.

Si l’équipement de son logement connaît le moindre dysfonctionnement, le locataire peut réclamer des dommages-intérêts à son propriétaire. La Cour de cassation (Cass. Civ 3, 11.10.2018, P 17-21.286) applique ce principe en rappelant que la cause des dysfonctionnements est sans importance, le propriétaire étant tenu par la loi d’assurer au locataire la jouissance paisible de la chose louée.

Un locataire qui se plaignait d’un mauvais fonctionnement de son chauffage, avec de courtes interruptions, pouvait donc demander des indemnités. Le propriétaire faisait valoir que les problèmes étaient ponctuels et leur origine inconnue. Rien n’indiquait dès lors que les problèmes lui soient imputables. On ne pouvait donc pas, disait-il, lui reprocher une faute, ni même un manquement quelconque à ses obligations d’entretien. Ces arguments sont sans intérêt, ont tranché les juges, car excepté en cas de force majeure, le propriétaire est toujours responsable. Ce principe est énoncé par le code civil et par la loi de 1989 qui réglemente les rapports locatifs.

Garantie contre les vices
La loi de 1989 comme le code civil imposent au propriétaire de maintenir le bien en état de servir à l’usage pour lequel il a été loué et d’en assurer la jouissance paisible à son locataire. Le code civil ajoute que le bailleur doit sa garantie au locataire contre tous les vices ou défauts qui empêchent l’usage, même s’il les ignore. Et si le locataire en subit un préjudice, il doit être indemnisé.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Senior : le maintien à domicile passe par l’aménagement des logements | Actualités

Face au vieillissement de la population française, le maintien à domicile des seniors est devenu un véritable enjeu d’avenir. Cependant, des freins à l’aménagement des logements persistent. Alors, quelles solutions adopter pour changer les mentalités ?

Maintien à domicile : l’aménagement des logements est indispensable 
Le réseau Silver Valley, qui regroupe 300 start-ups et grandes entreprises (Eiffage, Action Logement, etc.), a mené une enquête sur l’aménagement des logements des seniors, en partenariat avec la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse d’Île-de-France. En effet, alors que le maintien à domicile est la solution privilégiée par plus de 8 seniors sur 10, l’adaptabilité de leurs logements est devenue un enjeu majeur pour l’avenir. Et pourtant, de nombreux freins persistent. Ces derniers sont avant tout psychologiques (les seniors refusent de se voir « vieillir »), économiques (coût de l’aménagement), administratifs (démarches à suivre) et réglementaires. « Défense et préservation de l’identité individuelle, maintien de l’estime de soi sont des processus qui sont souvent en jeu dans le refus des aménagements du domicile », précise le réseau. Notons que les freins économiques sont accentués par un manque d’information concernant les aides dont les seniors peuvent bénéficier (notamment celles de l’Agence nationale de l’habitat) pour aménager leur logement.

La salle de bains est la pièce dans laquelle les travaux d’aménagement sont les plus courants. © Easyshower
Aménagement des seniors : des freins économiques
Les retraités, dont les revenus tournent autour des 1 200 € mensuels, connaissent rarement les aides dont ils peuvent bénéficier.

Solutions d’aménagement : informer les seniors le plus tôt possible 
Pour sensibiliser les seniors et changer les mentalités face au maintien à domicile, il est indispensable de toucher les premiers concernés (les seniors), qu’ils soient actifs, fragiles ou dépendants, ainsi que les aidants professionnels et familiaux. Pour que l’aménagement des logements se développe plus rapidement, il faut également sensibiliser les seniors au plus tôt, alors qu’aujourd’hui, « ils entament les démarches vers 76 ans », selon Nicolas Menet, Directeur Général de Silver Valley. Or, les « jeunes seniors », c’est-à-dire ceux qui sont âgés entre 55 et 70 ans, estiment qu’ils n’ont pas besoin de solutions d’aides au maintien à domicile et n’anticipent pas leurs besoins futurs. Parmi les autres publics à sensibiliser, on trouve également les informateurs et prescripteurs (assurances, mutuelles, banques, Conseils Départementaux, etc.), les distributeurs (pharmacies, grandes surfaces…), les médias, ainsi que les promoteurs. Parmi ces derniers, « certains confondent vieillissement et maladie », selon Nicolas Menet, or, les enjeux ne sont pas les mêmes.

Des logements où tout a été pensé pour facilier le quotidien des seniors.
Bon à savoir
L’aménagement permet aux seniors de continuer à vivre chez eux, en bénéficiant d’un plus grand confort et de solutions adaptées à l’évolution de leurs besoins.

Quels leviers pour lever les freins à l’aménagement des logements ?
Différents leviers existent pour lever les freins psychologiques qui entravent l’aménagement des logements des seniors, à commencer par des campagnes d’information ou de sensibilisation visant à changer les mentalités vis-à-vis de la perte d’autonomie. Par ailleurs, face aux freins économiques, des mesures d’incitations fiscales ou des aides financières adaptées (par exemple la création de chèques travaux sur le modèle des chèques restaurant) peuvent être particulièrement efficaces. Mais les leviers se trouvent également du côté de l’offre. En effet, de nouvelles solutions prenant davantage en compte les freins psychologiques des seniors, avec une dimension plaisir et non-stigmatisante (solutions non intrusives qui ne dénaturent pas le logement, solutions adaptables et évolutives…), permettraient aux seniors de se tourner plus facilement vers des solutions de maintien à domicile. Pour lever les freins à l’aménagement des logements, il est nécessaire de leur démontrer l’intérêt et le plaisir qu’ils pourraient avoir à s’équiper d’une solution. 

Une cuisine équipée ergonomique pour les seniors. © Dom et vie
Chiffres clés
La loi Elan a été accueillie de manière mitigée, dans la mesure où seuls 20 % des logements devront désormais être adaptables à la perte d’autonomie et au vieillissement.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

Pas de commentaire

Danse, cinéma, cumbia… : la Colombie débarque à Toulouse avec le festival Locombia – actu.fr

L’Amérique latine s’invite à Toulouse, pendant cinq jours, avec le festival Locombia. Du lundi 5 au samedi 10 novembre 2018, différents lieux de la Ville rose vont vibrer au rythme de la Colombie.

Soirée projections à La Saint Dynamo
Cela va commencer avec du cinéma, lundi 5 novembre 2018, lors d’un projection de courts-métrages à La Sainte Dynamo, à Toulouse, de 20h30 à 23h30. Ce sera notamment l’occasion de découvrir le documentaire « Nos estàn Matando« , qui incarne un véritable « cri de révolte des mouvements sociaux en Colombie ».

Danses colombiennes à l’honneur
Pendant deux jours, La Brique Rouge va accueillir le festival, mercredi 7 er jeudi 8 novembre 2018. À chaque heure son art, et cela débutera avec un Master Class de danses colombiennes (salsa, cumbia, chirimia, currulao, mapalé). Tous les âges et tous les niveaux sont attendus.

Inscriptions par mail à collectiflapiragua@gmail.com ou téléphone au 07 60 65 84 01 (15 euros par personne, paiement sur place).

Le festival continuera avec le vernissage de la fresque réalisée par les jeunes de la MJC à 19 heures, en la présences des artistes Fonso du MAL Crew et Gabriel Sierra Henao. Puis à 20h30 se tiendra une performance audiovisuelle conçue spécialement pour le Locombia, par Santiago Quintero, spécialisé dans la création cinématographique et le spectacle vivant, originaire de Colombie.

Jeudi 8 novembre 2018, seront projetés plusieurs documentaires des Ateliers Varan, entre 18 heures et 22 heures.

Les pionniers du jazz colombien à Toulouse
Le festival Locombia et la Salle Nougaro vont s’associer le temps d’une soirée, vendredi 9 novembre 2018, pour laisser carte blanche au guitariste Kent Biswell, pionnier du jazz en Colombie, ainsi qu’à son illustre confrère accordéoniste, Antonio Rivas. Un croisement du vallenato, de la cumbia, de la salsa, de la rumba congolaise, du jazz et du rock qui retentira de 20h30 à 23h30.

Jusqu’au bout de la nuit pour la soirée de fin
La soirée de clôture se fera en deux parties, samedi 10 novembre 2018. Tout d’abord au Métronum, à partir de 19h30, dans une ambiance festive colombienne et un « cocktail musical explosif« .

Avec Cumbia y Cardón + Super Panela + DJ No Breakfast + Yeahman
Prix : 8€ en prévente / 10€ sur place. Lien pour les préventes ici

Ceux qui sont prêts à tenir toute la nuit, le rendez-vous est donné au Cri de la Mouette, de 23 heures à 6 heures. Cumbia traditionnelle, son des carnavals, tambours afro-colombiens, fanfare de rue caribéenne, rock alternatif, musique électronique… la programmation sera dense et dansante pour rester éveillé toda la noche !

5€ sur place (4€ sur présentation du billet de la ¡ Noche Loca ! du Festival Locombia au Métronum)

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

Pas de commentaire

Apple dévoile l’intérieur de son futur magasin des Champs-Élysées

À l’occasion d’une conférence ce mardi, Apple a dévoilé, pour la première fois, l’intérieur de son futur plus grand magasin français qui ouvrira ses portes mi ou fin novembre. Comme Le Figaro le révélait dès janvier 2016, ce nouvel Apple Store sera situé sur l’avenue des Champs-Élysées, au numéro 114 exactement, à proximité du Lido et et en face du Fouquet’s.

Ce bâtiment de plus de 5500 m² répartis sur six étages culminera à plus de 30 mètres, selon le permis de construire que la mairie de Paris avait délivré à Apple en décembre 2016. Les travaux auront donc duré près de deux ans. En plus de la boutique au rez-de-chaussée et au premier étage, des bureaux devraient occuper le reste de l’immeuble et accueillir des employés d’Apple. Montant du loyer? 14 millions d’euros par an, soit trois fois plus que celui payé par l’ancien occupant, l’entreprise de chaussures de luxe Weston.

100% énergie propre
La boutique parisienne sera la première dans l’Hexagone à profiter des «nouveaux codes» d’Apple pensés par Angela Ahrendts, responsable des Apple Stores et de la boutique en ligne: arbres, murs végétaux, salles de réunion, espace pour proposer des formations ou des cours de code. L’objectif pour la marque à la pomme est de faire de ce magasin «plus qu’un simple lieu d’achat»: un lieu «100% énergie propre», sur le même modèle que les Apple Stores de San Francisco, de Londres de Dubaï ou de Kyoto.

Pour ce faire, Apple a confié la conception de ce nouvel Apple Store à l’agence britannique Foster + Partners (Wembley Stadium à Londres, siège social de HSBC à Hong Kong, aéroport international de Hong Kong…). La marque à la pomme envisage également de recruter plus de 200 personnes et de leur adjoindre les services de salariés d’autres boutiques comme ceux du magasin du Carrousel du Louvre qui fermera prochainement ses portes.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Qu’est-ce que l’Anah, l’agence qui a financé les travaux d’Alexis Corbière ?

Le Canard Enchaîné rapporte ce mercredi que le député Alexis Corbière (La France insoumise) a rénové une partie de son appartement au printemps dernier, notamment grâce à l’obtention d’un aide sociale de 12.076,40 euros versée par l’Agence nationale de l’habitat (Anah), au titre de l’aide aux ménages «très modestes». «Je ne suis pas responsable ni du nom de ces catégories, ni des plafonds retenus, se défend Alexis Corbière dans un communiqué. C’est la loi, et strictement la loi, qui a été appliquée pour l’étude de ma demande de subvention».

• Qu’est-ce que l’Agence nationale de l’habitat?
L’Anah est un établissement public placé sous la tutelle des ministères en charge du Logement, du Budget et de l’Économie. Sa mission? Accorder des aides financières pour travaux sous conditions à des propriétaires occupants, bailleurs et copropriétés en difficulté. Elle vise notamment à lutter contre l’habitat indigne et très dégradé ainsi qu’à faciliter l’adaptation du logement aux besoins des personnes âgées ou handicapées.

• Quels documents fournir pour obtenir une subvention?
Pour faire une demande de subvention, les particuliers doivent fournir des informations relatives à leur situation (revenus, nombre d’occupants du logement, âge ou encore la situation de leur handicap…), des éléments concernant le logement (notamment son état), l’ampleur des travaux à réaliser et leur coût. Sachez que pour une demande de subvention faite en 2018, les revenus concernés sont ceux de 2017 qui figurent sur votre avis d’imposition reçu en 2018.

• Alexis Corbière avait-il le droit de toucher ces aides de l’Anah?
Les aides de l’Anah sont réservées aux  ménages ayant des ressources «très modestes» et «modestes». Le couple Corbière-Garrido a sollicité des aides aux ménages «très modestes». Or, un foyer composé de cinq personnes (Alexis Corbière, Raquel Garrido et leurs trois enfants) est jugé «très modeste» par l’Anah si leurs revenus totaux ne dépassent pas 47.279 euros par an. Or, les revenus annuels d’Alexis Corbière et de Raquel Garrido pris en compte s’élèvent à 37.451 euros.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

L’ancien QG de la Stasi proposé à Google pour son siège berlinois

Google dans l’ancien siège historique de la Stasi? C’est une proposition pour le moins audacieuse qu’un élu local a faite au géant américain qui envisage de s’installer à Berlin, rapporte le principal quotidien de la région la Berliner Zeitung (et repris par BFMTV) «Google est cordialement invité à Lichtenberg (au centre de Berlin) pour discuter de l’idée d’installer un campus dans cet emplacement central», explique Gregor Hoffmann, membre de la CDU (parti chrétien-démocrate d’opposition municipale).

Même le maire de Lichtenberg, Michael Grunst, pourtant membre du parti de gauche (Die Linke), ne serait pas opposé à cette proposition pour le moins audacieux. L’édile, qui cherche à moderniser son district connu pour ses bâtiments anciens, aurait déjà échangé à ce sujet avec Google. Mais, selon la presse locale, il ne s’agissait pas de projets d’une ampleur aussi grande qu’un campus.

Reste à savoir comment Google réagira à la proposition de l’élu berlinois. Il y a deux ans, le géant américain avait ciblé le quartier de Kreuzberg, à l’ouest de Berlin pour installer 3000 m² de bureaux, cafés et des espaces de coworking. Mais si à Séoul, Madrid, Varsovie ou encore Tel-Aviv, le groupe a pu surfer sur son image d’employeur «cool», distribuant à volonté snacks, massages et pauses billard, Google a fait face, à Berlin, à une farouche opposition. À tel point que le géant d’Internet a dû abandonner son projet de campus dans la capitale allemande.

Google veut toujours s’installer à Berlin
Deux associations caritatives, Betterplace et Karuna, qui viennent en aide aux enfants en difficulté, vont finalement prendre la place de l’entreprise américaine dans les locaux qui étaient à l’origine prévus pour Google. Une initiative qui ressemble à une précédente prise en 2015. Face à l’afflux de réfugiés, la ville de Berlin avait décidé d’utiliser l’ancien siège de la Stasi pour héberger plusieurs centaines de réfugiés en provenance de Syrie, d’Irak ou encore d’Afghanistan.

Quoi qu’il en soit, le groupe américain a toujours prévu d’installer des locaux à Berlin mais dans un autre endroit de la ville. Sera-ce à Lichtenberg, dans l’ancien siège de la Stasi? Google ne s’est pas encore prononcé sur la question.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr