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Réduisez votre Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) en effectuant un don !

Les dons effectués au profit d’organismes d’intérêt général ou à des associations reconnues d’utilité publique permet d’alléger son IFI, en déduisant 75% du montant du don. Ce qu’il faut savoir pour faire d’une pierre deux coups.

Si vous êtes imposable à l’IFI…
Le seuil de déclenchement est fixé à 1,3 M€ et le calcul s’applique à partir de 800 000 € de valeur de patrimoine. La résidence principale continue de bénéficier d’un abattement de 30 % et les biens locatifs d’un abattement de 20 %. Le barème s’applique comme pour l’impôt sur le revenu, de manière progressive

… vous pouvez déduire 75% du don de votre IFI, dans la limite de 50 000 €
Les donateurs auront droit, comme c’était le cas les années précédentes, à des avantages fiscaux. La loi de finances pour 2018 ayant reconduit le dispositif IFI-dons, les contribuables pourront déduire 75 % du montant de leur don de leur IFI, dans la limite de 50 000 €.

Pour calculer le montant du don qui permet de ramener l’IFI à 0 €, il faut diviser le montant de l’impôt par 0,75.

Attention au calendrier de déclaration
Le dernier délai pour faire un don correspond à la date limite de déclaration de l’IFI, qui sera unifiée cette année avec la déclaration de revenus. A noter : contrairement à ce qui était en vigueur avec l’ISF pour lequel les contribuables détenteurs d’un patrimoine supérieur à 2,57 M€ devaient faire une déclaration spéciale, l’IFI, quel que soit son montant, devra être déclaré en même temps que ses revenus. Les personnes assujetties à l’IFI devront simplement joindre à leur déclaration de revenus des annexes conformes à un modèle qui sera établi par l’administration. Autre changement : il ne faudra plus joindre un chèque lors de la déclaration, comme c’était le cas dans le passé pour l’ISF.

Vous payez moins d’impôts que l’an passé ? Ttransformez vos économies en dons !
Les contribuables qui voient leur note fiscale globale baisser peuvent saisir cette opportunité pour être encore plus généreux. Certains peuvent, par exemple, décider que les économies d’impôt réalisées seront « réinvesties » dans des dons. Ce peut être le cas pour l’IFI par rapport à l’ISF, mais aussi pour l’imposition des revenus mobiliers soumis à la flat tax (prélèvement forfaitaire de 30 %) par rapport au calcul d’imposition précédent, lié aux tranches marginales d’imposition. Ainsi, les contribuables situés dans les tranches à 41 % ou 45 % vont-ils pouvoir transformer leur économie de 11 % ou de 15 % en dons.
Par ailleurs, la suppression de l’ISF et la création de l’IFI s’accompagnent de la suppression du dispositif ISF-PME qui n’est pas transposé à l’IFI. A ce jour, seuls les dons à certains organismes d’intérêt général comme une fondation reconnue d’utilité publique permettent de réduire son IFI.

Reporter sur les dons à l’IR les dons autrefois dédiés à la réduction de l’ISF
De même, les contribuables qui payaient autrefois l’ISF et qui sont aujourd’hui libérés de tout impôt sur la fortune peuvent décider de réaliser un acte citoyen. Il leur suffit de reporter les sommes « économisées » sur les dons bénéficiant d’une fiscalité attractive liée à l’impôt sur le revenu. Si ces dons liés à l’IR sont très souvent réalisés en fin d’année, ils peuvent être concrétisés à n’importe quel autre moment.

Rappelons que dans ce cadre, la réduction représente 66 % du don, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Si le plafond est dépassé, l’avantage est reportable sur 5 ans. Une personne avec un revenu imposable de 60.000 € peut donc faire un don à hauteur de 12 000 € et bénéficier à ce titre d’une réduction d’impôt de 7 920 € : au final le don lui aura coûté 4 080 €.

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L’arrivée des GAFA sur le marché immobilier opportunité ou menace ? – Avis d’experts

L’arrivée des GAFA sur le marché de l’immobilier est une réalité. Opportunité ou menace ? Cela va dépendre de la stratégie que ces mastodontes vont mettre en place. Avec les milliards à leur disposition, les GAFA pourraient en effet disrupter le marché, obligeant les acteurs de l’immobilier à revoir leur modèle économique.

Le marché immobilier a déjà bien évolué ces dernières années, cependant, nous sommes restés sur le même modèle : un acquéreur est mis en relation avec un propriétaire le plus souvent par l’intermédiaire d’un professionnel de l’immobilier.

Alors comment ces géants pourraient transformer l’immobilier ?

Les GAFA, les nouveaux portails de demain ?
Une première stratégie pourrait être de devenir un intermédiaire de mise en relation entre un acheteur et un vendeur ou encore entre locataire et propriétaire, avec notamment le partage d’annonces immobilières. Ce positionnement viendrait donc directement concurrencer l’ensemble des portails immobiliers.

Aucun portail immobilier actuel ne pourrait lutter contre l’arrivée des GAFA car ils ont une connaissance client inégalable. En effet, Google et Facebook connaissent tout de nous (en atteste les dernières actualités concernant Facebook) ! Notre capacité d’achat, le nombre d’enfants que nous avons, nos restaurants préférés, nos loisirs, nos centres d’intérêt, nos goûts, les villes appréciées, la décoration recherchée… Cette connaissance permettrait un ciblage ultra précis pour les professionnels de l’immobilier afin de promouvoir leurs annonces. Ils pourraient ainsi sélectionner une audience très ciblée définie en fonction de critères multiples et montrer une annonce dédiée à cette catégorie de clients potentiels.

Cette première possibilité serait donc une opportunité pour les professionnels de l’immobilier, qui disposeraient simplement d’un nouvel outil pour valoriser leurs annonces immobilières auprès de prospects extrêmement bien ciblés.

En ce sens, Facebook a déjà mis un pied à l’étrier avec le lancement de sa Marketplace dès octobre 2016 en Amérique du Nord et en août 2017 en France. Cette nouvelle fonctionnalité propose de mettre en relation des acheteurs et des vendeurs via des petites annonces en ligne. 18 millions d’objets auraient déjà été vendus via Marketplace aux Etats-Unis, dont… des biens immobiliers !

Google, de son côté, a carrément racheté ou investi majoritairement dans des portails immobiliers ces dernières années (Commonfloor en Inde ou Auction.com aux Etats-Unis. Certes les portails immobiliers représentent une manne de données sur les utilisateurs mais Google compte-t-il s’arrêter ici ou s’immiscer jusque dans la conclusion des actes de vente ou de location.

Les GAFA, acteur de la transaction et de la location ?
La seconde stratégie envisageable serait, que les GAFA deviennent des acteurs à part entière de la transaction ou de la location immobilière. Cela en gérant, en plus de la mise en relation, le transfert de fonds. Une inquiétude qui se durcit, car Facebook a lancé, en novembre 2017, en France sa fonctionnalité de « transfert d’argent » via Messenger.

Autre fait notable, Google a largement investi dans l’entreprise TenX (propriétaire du portail Auction.com) qui est un acteur majeur de la dématérialisation de la transaction immobilière. On imagine alors la métamorphose du marché si Google se met à utiliser pleinement les capacités de ces 2 sociétés : un portail d’annonce leader et une société qui permet d’acheter un bien en ligne…

Cette deuxième hypothèse pourrait amener à une réelle disruption du marché immobilier et concurrencer les agences immobilières.

Cependant, la France a sans le savoir ou à dessein mis des bâtons dans les roues des GAFA. En effet, ils vont être confrontés aux difficultés administratives et juridiques de notre bon vieux pays. Ces dernières sont tellement évolutives et lourdes, que les agences immobilières ont finalement moins de soucis à se faire. Ce qui les contraint et les ralenti dans leur quotidien, assure en fait une certaine protection du métier. De la même manière, la complexité de la fiscalité française préserve la profession et lui confère un véritable savoir-faire que les particuliers eux-mêmes reconnaissent.

Le bouleversement du marché a déjà été amorcé à travers l’émergence de nouveaux acteurs américains. C’est le cas par exemple d’Opendoor qui achète, en seulement quelques jours, des biens immobiliers pour ensuite les revendre directement (délai minimum en France : 3 mois). Le succès d’Opendoor repose sur l’analyse de données agrégées et d’un formulaire très détaillé rempli par les propriétaires.

Si Opendoor a réussi à générer 50 millions de dollars de chiffre d’affaires en seulement 4 ans avec une valorisation à 1,1 milliards de dollars, on imagine ce qu’un GAFA pourrait faire s’il se lance sur ce modèle !

En France, certaines start-up tentent elles aussi de transformer le marché comme par exemple la société Homeloop, copie française d’Opendoor.

les français sont-ils cependant prêts à confier leur bien, leur projet de vie à une entité dématérialisée ? Sont-ils prêts à vendre leur bien légèrement en dessous du prix du marché ?

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WeProov digitalise l’état des lieux

Si, à son lancement en mars 2016, la start-up WeProov réservait son application mobile d’état des lieux sécurisés au monde automobile, elle l’a maintenant ouverte à celui de l’immobilier, avec un succès qui va croissant.

« Depuis le lancement de WeProov en mars 2016, nous avons comptabilisé environ 150 000 états des lieux dont 10 % concernent l’immobilier. Depuis que nous avons lancé une plateforme spécifique à ce secteur au 1er janvier dernier, la moitié des 1000 états des lieux qui nous parviennent chaque jour émane de ce domaine. » En écoutant Gabriel Tissandier, co-fondateur de WeProov avec Alexandre Meyer et Jean-Luc Monceron, il est facile de comprendre qu’il y avait une forte attente du monde immobilier pour le service de la start-up. Proposer une application permettant aux particuliers et aux professionnels de disposer, en quelques images, d’un document garanti et sécurisé par le biais d’un procédé de photographie assistée : le concept était effectivement prometteur. « Même si nous nous sommes tout d’abord tournés vers l’automobile, nous avons dès le début, privilégié un produit ouvert, capable de fonctionner à terme dans tous les secteurs où la location, et donc l’état des lieux, seraient des pratiques courantes. Très vite, nous avons constaté que des propriétaires utilisaient notre application comme complément aux états des lieux papiers. Des professionnels de l’immobilier nous ont ensuite également contacté pour que nous ajustions l’outil à leurs besoins. »

Une année de développement et de tests

En 2017, pour profiter de cet engouement, WeProov a donc décidé de créer une interface accessible depuis les mobiles, spécifiquement adaptée à cet univers. A l’issue d’une année complète de développement et de tests, entrecoupée d’une levée de fonds d’un million d’euros en juillet dernier, une version « 100% immo » est donc née. Celle-ci est plus ou moins évoluée selon les besoins de l’utilisateur : particulier, professionnel, location courte durée ou longue… L’une de ses spécificités, c’est qu’elle est non seulement utilisable pendant les états des lieux classiques mais aussi dans d’autres contextes. « Une agence ne pouvant se déplacer pour un état des lieux d’entrée peut ainsi demander au locataire de réaliser lui même l’opération, qui sera validée par notre application », explique Gabriel Tissandier. Disponible sur toutes les plateformes en téléchargement gratuit, l’application mobile WeProov est accessible à différents tarifs, soit en achat à l’unité, soit en achat au forfait de 10 euros pour 5 états des lieux et 20 euros pour 12 états des lieux. Des versions plus élaborées de l’application sont enfin proposées à 50 et 100 euros par mois.  

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Immobilier : où en est le pouvoir d’achat des Français ?

Une capacité d’achat en baisse dans les grandes villes
Le constat est sans appel : le pouvoir d’achat immobilier des Français a chuté ! C’est ce qui ressort de la dernière étude de l’Observatoire Crédit Logement / CSA. Cette dernière a comparé le nombre de m² qu’un ménage peut acheter selon la ville où il habite entre le premier semestre 2017 et le premier semestre 2018.

62 %
Le pouvoir d’achat immobilier des Français est stable ou se réduit dans 62 % des villes de plus de 100 000 habitants.
Si cette capacité d’achat est restée identique dans 9 % des villes, elle a chuté dans 53 % des métropoles. Cette diminution du pouvoir d’achat des ménages français s’explique principalement par la hausse des prix de l’immobilier dans ces communes, mais également par une diminution du montant de l’apport personnel dont bénéficient les acheteurs. Une tendance que l’on observe aussi bien sur le marché de l’ancien que du neuf

6 m² de moins à Bordeaux
C’est la capitale girondine qui enregistre la plus forte baisse du pouvoir d’achat. En un an, la surface achetable a chuté de 6,3 m². Ce recul s’explique par l’envolée des prix de l’immobilier : plus de 13 %.

Suivent ensuite les villes de Nantes et Lille qui ont perdu un peu plus de 4 m².
De son côté, Paris, qui affiche un prix au m² d’environ 9 300 €, a connu une hausse des prix de l’immobilier de 8 %. Les ménages souhaitant acquérir un bien dans la capitale ont ainsi perdu 2,2 m² de surface achetable.
Enfin, les villes de Toulouse et Montpellier ont toutes les deux perdu 1,4 m², juste devant Lyon qui a vu sa surface achetable reculer de 0,7 m².

Le Sud-est fait figure d’exception
Alors que le pouvoir d’achat immobilier des Français a diminué partout en France, il augmente dans le Sud-est de la France. Cette tendance s’explique par le fait que les prix de l’immobilier ont augmenté beaucoup moins rapidement sur le littoral méditerranéen que dans le reste du pays.
Les villes de Nice et Marseille ont enregistré respectivement une hausse des prix de l’ordre de 0,6 % et 1,6 %.
Ainsi, elles ont vu la surface achetable par les ménages augmenter d’un peu plus de 2 m² par rapport à l’année dernière.

L’étude de l’Observatoire Crédit Logement a mis en avant une problématique : alors que les grandes métropoles concentrent l’essentiel de l’activité économique et donc des emplois, il est de plus en plus difficile de s’y loger. En effet, plus les villes ont une activité économique importante, plus elles attirent de monde, ce qui fait monter les prix de l’immobilier.
Une situation que l’on observe en France, mais aussi dans de nombreux pays étrangers.

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Pourquoi l’immobilier connait un coup de mou

L’ambiance a changé radicalement chez les professionnels, pénalisés de plus par une météo particulièrement décourageante sur une grande partie du territoire. En ce début mai, l’optimisme à tout crin n’est plus de mise au vu des résultats enregistrés au premier trimestre. Pendant cette période, les mises en chantier ont diminué de 3,4% par rapport à la période comparable de l’’année précédente et les permis de construire délivrés de 1,6%. Un peu moins de cent mille logements sont sortis de terre, le recul étant surtout perceptible dans le logement collectif (moins 5%).

Déjouant tous les pronostics, les taux d’intérêt ont continué de se replier. Ils sont inférieurs à 1,50% sur vingt ans, alors que l’inflation officielle s’est élevée à 1,3%, ce qui n’empêche pas la demande de crédits de se ralentir. Tout se passe aujourd’hui constate l’économiste Michel Mouillart comme si les établissements de crédits « soutenaient le marché à bouts de bras », car il n’a plus le ressort suffisant pour aller de l’avant. Il est vrai que plusieurs facteurs défavorables jouent : en particulier la suppression des aide personnalisées au logement ainsi que la réforme du prêt à taux zéro. Les professionnels ont trouvé la parade en allongeant la période de remboursement qui atteint souvent dix -huit ans. Mais l’amélioration des taux d’intérêt, qui a profité encore de deux points de base pour les emprunts dans la première quinzaine d’avril, est rattrapée par la hausse des prix, qui a pris de l’ampleur, surtout dans les métropoles : Ainsi Bordeaux remporte la palme avec un  bond de 13,6% sur un an, mais le même phénomène s’observe dans des villes comme Rennes, Lille, Toulouse, voire Besançon où le décalage est grand parce que la cité franc comtoise avait prix beaucoup de retard. Conséquence : pour un montent d’emprunt comparable, on obtient moins de mètres carrés, ce qui réduit d’autant le rendement que l’on peut attendre et finit pas éloigner certains investisseurs. De plus, une autre raison peut écarter certains ménages fortunés : la réforme de l’impôt sur la fortune qui a laissé subsister seulement la taxation de l’immobilier a conduit depuis l’automne dernier des propriétaires à réduire le périmètre de leurs biens, alors que dans le même temps des mesures plus favorables étaient consenties à la détention des actions.

Une première fracture est ainsi en train d’apparaître entre les investisseurs les plus aisés qui ont tendance à se retirer du marché, en laissant ce dernier aux plus défavorisés qui ne peuvent s’intéresser qu’aux programmes les plus modestes. A long terme, une telle évolution serait préjudiciable au bon fonctionnement du marché et risquerait d’aggraver la crise de la construction.

La deuxième fracture est peut-être encore plus grave, car elle témoigne d’un divorce entre la région Ile de France, où la surchauffe guette en raison de la locomotive parisienne et le reste du pays à l’’exception de certaines métropoles, où la stagnation des prix, quand il ne s’agit pas de la baisse, est la règle et où la revente est un casse-tête. Le marché de la maison individuelle est particulièrement affecté à cet égard. Dans cette « deuxième France » les projets de revitalisation sont indispensables et ils devraient être favorisés par les bas prix de l’immobilier qui dans cette hypothèse, représenterait un atout.

Sourced through Scoop.it from: www.atlantico.fr

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Le point sur les tendances du marché immobilier – Boursorama

Après un hiver relativement morose, le marché immobilier a repris des couleurs avec l’arrivée du printemps. Zoom sur les chiffres.

Des demandes de crédit en berne au premier trimestre

Le premier trimestre 2018 a été relativement compliqué pour le marché immobilier, au vu des données compilées par le site PAP. Ainsi, le nombre de crédits distribués a plongé de 16,9 % par rapport au premier trimestre 2017 d’après les derniers chiffres de l’Observatoire du financement Crédit Logement/CSA. Tandis que le courtier Empruntis a enregistré une diminution de 16 % des demandes de prêts sur la même période. Quant au nombre de transactions dans l’ancien sur douze mois glissants, il est passé de 969 000, à fin janvier 2018, à 965 000, à fin février, selon les Notaires de France.

Le renouveau du marché immobilier au printemps

Depuis l’arrivée du printemps, un vent de renouveau souffle toutefois sur le marché immobilier. Depuis quelques semaines, les courtiers en crédits voient la demande remonter. Chez Cafpi, par exemple, le recul du nombre de dossiers traités par rapport à 2017 est tombé à 10 % en mars, contre 30 % en janvier. Du côté de Meilleurtaux.com, une hausse de 36 % des demandes de prêts par rapport à février a été constatée en mars 2018. Pour les notaires de Paris-Île-de-France, enfin, « l’activité est repartie à la hausse dès février ».

Une reprise de l’activité portée par les taux bas

Une reprise d’activité immobilière au printemps n’est pas inhabituelle, les familles profitant traditionnellement de cette période pour acheter, afin de pouvoir emménager au moment de la rentrée. Les taux de crédit, toujours exceptionnellement bas, participent aussi à relancer le marché.

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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Cet immeuble de New York a le droit de ne plus s’appeler «Trump»

Le nom «Trump» va-t-il disparaître du paysage immobilier new-yorkais? Trois immeubles résidentiels l’ont déjà retiré de leur façade (voir les photos ci-dessous) et un quatrième vient d’obtenir le droit de faire de même, malgré les objections de la Trump Organization. Le syndic de trois de ces immeubles, situés dans le quartier de l’Upper West Side à Manhattan, a décidé après l’élection présidentielle de retirer le patronyme du milliardaire. Sans coup férir.

Mais un quatrième, proche des trois autres et qui envisageait de faire de même, avait été menacé par la Trump Organization d’assignation en justice. La société, qui regroupe les affaires du président, dirigée par ses deux fils aînés argue qu’enlever les lettres T-R-U-M-P constituerait une violation de leur accord de licence.

Saisie par le syndic, la juge new-yorkaise Eileen Bransten a rejeté cet argument. Elle a estimé que l’accord de licence autorisait le syndic à faire figurer le nom «Trump» sur le bâtiment mais ne l’y obligeait pas. Le conseil syndical devrait désormais organiser un vote des propriétaires pour décider de retirer ou non les cinq grandes lettres de bronze. Un premier vote après l’élection avait montré que deux-tiers des quelque 250 propriétaires ayant voté voulaient l’enlever. La Trump Organization a qualifié cette décision de simple «interprétation de l’accord de licence» et évoqué un recours en appel. «Nous sommes confiants dans le fait que la Cour d’appel arrivera à une autre conclusion», a-t-elle déclaré.

Cette bataille illustre les récents déboires de l’empire immobilier du président, dont le nom est associé à plus d’une douzaine de résidences et d’hôtels à New York, mais aussi dans d’autres villes américaines et ailleurs dans le monde, de Toronto aux Philippines. La Trump Organization a notamment dû se dégager d’un hôtel résidence du quartier huppé de Soho et est en litige avec ses partenaires d’un hôtel de luxe au Panama qui ont effacé le célèbre nom en mars. La marque Trump n’est plus synonyme de valeur immobilière: une récente étude d’un cabinet immobilier a montré que les appartements des immeubles Trump à Manhattan se sont vendus en 2017 pour quelque 6% de moins que les appartements du même standing.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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La location solidaire mode d’emploi

Le dispositif Solibail, garanti par l’État, permet de louer son bien à une association agréée qui y loge une famille à revenus modestes. Le logement peut aller du studio au 5 pièces. Il doit correspondre aux caractéristiques d’un logement décent. Au final, c’est l’association qui devient locataire. C’est elle qui verse le loyer et qui garantit le bon entretien du logement. Selon les communes, les propriétaires peuvent bénéficier de déductions fiscales sur leurs revenus locatifs allant jusqu’à 85 %. L’association gestionnaire prend en charge toutes les démarches administratives comme le choix du locataire, le paiement des loyers, des charges et l’entretien courant du logement.

DES AGENCES IMMOBILIÈRES À VOCATION SOCIALE
En dehors de Solibail – Soliha ou encore Louez-solidaire, il existe une liste d’associations et plusieurs formules d’intermédiation locative. Il est possible de faire directement la démarche auprès d’organismes qui oeuvrent dans le domaine. C’est le cas des agences immobilières à vocation sociale (AIVS) avec qui un propriétaire peut signer un mandat de gestion. Il existe notamment Un toit pour tous dans le département de l’Isère ; La clé 43 en Haute-Loire ou encore Habitat et Humanisme association de lutte contre le mal logement.

LE DISPOSITIF LOUER ABORDABLE
Pratiquer des loyers moins élevés que ceux du marché pour des familles modestes en contrepartie d’avantages fiscaux, c’est déjà possible avec le dispositif d’investissement locatif baptisé  « Louer abordable ». Il fonctionne depuis le 1er février 2017 mais est encore méconnu. 6 174 communes qualifiées de tendues sur le plan de l’offre locative y sont éligibles.

Les propriétaires peuvent bénéficier de déductions fiscales sur les revenus locatifs allant jusqu’à 85 % si le bien est confié à une association agréée qui fait de la location sociale ou del’intermédiation locative. »

  Zones A, Abis et B1 Zone B2 Zone C
Loyer intermédiaire 30 % 15 % Seulement intermédiation locative
85 %
Loyer social 70% 50 % Seulement intermédiation locative
85 %
Loyer très social 70 % 50 % Seulement intermédiation locative
85 %
Intermédiation locative 85 % 85 % 85 %
UNE MISE EN LOCATION DE 6 ANS OU 9 ANS
Les propriétaires peuvent signer une convention avec l’Agence nationale de l’habitat (Anah) et s’engagent à louer leur bien au moins 6 ans, à des ménages qui ne dépassent pas un certain plafond de ressources et selon un loyer qui correspond à un secteur géographique. A noter qu’il est possible de solliciter une aide pour réaliser des travaux dans le logement loué. Dans ce cas et si l’Anah accepte, la mise en location sera d’une durée de 9 ans.

Plafonds de loyer au m2 Zone Abis Zone A Zone B1 Zone B2 Zone C
Plafond intermédiaire 16,83 €/m² 12,5 €/m² 10,07 €/m² 8,75 €/m² 8,75 €/m²
Plafond social 11,77 €/m² 9,06 €/m² 7,80 €/m² 7,49 €/m² 6,95 €/m²
Plafond trés social 9,16 €/m² 7,05 €/m² 6,07 €/m² 5,82 €/m² 5,40 €/m²
« Louer abordable » s’applique officiellement jusqu’au 31 décembre 2019, et concerne les logements récents ou anciens, loués nus à titre de résidence principale pour le locataire. Il succède aux dispositifs Borloo ancien et au Besson ancien. Ci-dessous des exemples selon des secteurs (Cliquez pour agrandir)

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Fenêtres, murs, planchers… ce que vous coûte un domicile mal-isolé et comment réduire la facture

Quels sont les travaux à prévoir en priorité ? Quelles aides solliciter ? Combien de temps vous faut-il pour les amortir ? Nos conseils pour améliorer votre confort sans vous ruiner.
Votre habitation est humide l’hiver ? Vous sentez l’air passer autour des fenêtres ou sous la porte d’entrée ? Il est grand temps de prendre les choses en main et d’engager des travaux de rénovation thermique. Pour vous guider, nous avons listé à l’aide de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) les principaux postes de déperdition de chaleur au sein d’une maison-type des années 70 mal isolée. Ainsi que les devis à prévoir pour y remédier.

Que les copropriétaires se rassurent, l’Agence parisienne du climat, qui recense des centaines de projets de rénovation, nous a également détaillé la facture à prendre en compte dans les appartement des immeubles classiques des années 50 à 80. Le gros du marché. Pour vous aider jusqu’au bout, nous avons enfin calculé, à l’aide de plusieurs exemples, le temps qu’il vous faudra pour amortir ses travaux.

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Comment traiter les objections face aux mandats exclusifs ?

Moins de 10 % des vendeurs confient un mandat exclusif à leur agent immobilier… Quel argumentaire mettre en place pour lever les inquiétudes des propriétaires vendeurs et ainsi s’assurer de décrocher le Graal ? Fabrice Boyer, formateur et président du cabinet Atouts’com, livre ses conseils pour adapter son argumentation à chaque objection.

« Je ne souhaite pas être bloqué pendant 3 mois »

Le propriétaire vendeur a souvent peur que l’agent immobilier ne fasse pas correctement son travail. « Pour le rassurer, il est parfois préférable de réduire la durée d’exclusivité à 1 ou 2 mois », explique Fabrice Boyer. Le réseau Stéphane Plaza Immobilier teste actuellement cette approche, via un mandat « à la carte ». Autre parade : lui présenter une charte des engagements avec la possibilité, pour le client, de se rétracter à tout moment en cas de non-respect des obligations de la part du professionnel de l’immobilier.

« J’ai plus de chances de vendre mon bien en sollicitant plusieurs agences »

Avec cette objection, le propriétaire est clairement dans l’erreur car il confond mettre en compétition les acquéreurs et les acteurs. La solution ? « Lui expliquer que la redondance d’annonces de son bien, à des prix qui ne seront pas forcément les mêmes, est souvent contre-productif et donne à penser à l’acquéreur que le propriétaire est certainement pressé de vendre, et qu’il a tout intérêt à faire pression sur le prix », argumente Fabrice Boyer. 

« Je ne vois pas l’intérêt d’être en exclusivité »

Un mandat exclusif est pourtant beaucoup plus motivant pour un agent immobilier. « C’est le gage pour lui de voir ses efforts récompensés de tout le travail accompli puisqu’il sera certain de toucher une commission au terme de la transaction », met en avant le formateur. Dans ce domaine, les chiffres de Solvimo parlent d’eux-mêmes : un bien en mandat exclusif se vend en 60 jours contre 110 jours en mandat simple. En cas de refus, le professionnel doit pouvoir se remettre en question : est-il parvenu à donner du sens à ses services en les présentant à son client ? A-t-il été assez à l’écoute et su faire preuve d’empathie ?  

« Je préfère vendre mon bien par moi-même »

De nombreux vendeurs sont tentés de se passer d’une agence immobilière et de se tourner vers les plateformes de particulier à particulier pour ne pas avoir à payer de commissions. Pourtant, les études sont formelles : une vente avec un agent immobilier a 2,5 fois plus de chances de se concrétiser. « Le propriétaire vendeur n’a pas toujours conscience du temps qui devra être consacré à l’organisation des visites. Sans compter qu’en étant impacté émotionnellement par la vente de son bien, il risque de mal l’estimer et d’être moins performant dans la négociation », observe-t-il. Seul, le propriétaire se prive donc de précieux conseils pour mieux vendre, des services de l’agent immobilier, de son savoir-faire pour filtrer les acquéreurs…

« Je souhaite travailler également avec telle autre agence »

Pour convaincre le propriétaire vendeur, il peut être intéressant de lui proposer de travailler avec l’ensemble des services proposés dans le cadre du mandat exclusif et de déléguer également le mandat à l’agence immobilière de son choix. L’avantage ? Un seul interlocuteur, mais deux acteurs… « C’est une sorte d’avatar entre un mandat simple bien géré et un mandat exclusif », précise Fabrice Boyer. 

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