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Logement : les Français aiment-ils la copropriété ? – PAP.fr

Alors que le salon de la copropriété approche, les organisateurs de cet événement se sont penchés sur le sentiment qu’éprouvent les Français vis-à-vis de ce mode de vie en logement collectif. Résultat : 65% des personnes interrogées disent apprécier la copropriété. Ce sont surtout les copropriétés de plus de cent logements (72% d’opinions positives) et les moyennes copropriétés (69%), qui plaisent, les petites structures ne rassemblant que 52% des suffrages.

Positif. Ce que les Français apprécient dans la copropriété ? Le coût mutualisé des travaux (85% d’opinions favorables), la participation à la gestion et à l’entretien de l’immeuble (82%), le partage des charges de gestion courante (81%), la faculté de prévoir les coûts de cette même gestion courante et le contrôle d’accès à l’entrée de l’immeuble (71%). Au bout du compte, 77% des personnes interrogées souhaitent continuer à vivre en copropriété.

Négatif. 74% de l’échantillon n’apprécie pas les impayés de certains copropriétaires. Il est vrai qu’avec la création du compte séparé en mars 2015 (loi ALUR), ceux qui ne paient pas empêchent le financement des travaux. Autre point noir : la difficulté à trouver un consensus avec les autres copropriétaires pour 72% des sondés, les nuisances de voisinage (71%), certaines charges trop chères (70%) et la prise de décision collective, loin d’être évidente pour 68% des sondés.

Constructif. Le sondage aborde la question des grands chantiers à mener dans les copropriétés. Pour 31% des personnes interrogées, c’est la rénovation énergétique et le ravalement qui doivent être lancés en premier. Viennent ensuite la sécurité de l’immeuble pour 21% des sondés et la réfection du hall d’entrée et des parties communes pour 14%. Le consensus est manifestement loin d’être au rendez-vous lorsqu’il s’agit d’engager de gros travaux.  

Répulsif. Une difficulté sans doute liée aux questions d’argent. D’après le baromètre Baticopro pour Maison à part.com, être copropriétaire a un coût. 37% d’entre eux paient entre 1.001 et 2.000 € de charges annuelles. Le chauffage est le premier poste de dépenses pour 25% des personnes interrogées. Mais 58% des copropriétaires ne sont pas au courant des aides qu’ils peuvent percevoir (crédit d’impôt pour la transition énergétique, éco-PTZ, aides locales notamment).

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Rénovation thermique : les Français mal informés – PAP.fr

Cinquante-trois ans ! C’est le nombre d’années nécessaire pour rénover les 15 millions de logements énergivores si on conserve le même rythme, soit 288.000 rénovations performantes par an selon l’Agence de la maîtrise de l’énergie (Ademe). Un chiffre qui illustre bien le défi auquel doit faire face le gouvernement d’Emmanuel Macron et ses successeurs pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre générées par le parc de logements.

Des Français mal informés. Si la rénovation énergétique a du mal à décoller, c’est certainement en raison du manque d’informations des particuliers concernant aussi bien les aides financières dont ils peuvent bénéficier que la hiérarchisation des travaux. Selon la troisième vague du Baromètre annuel Les Français et la rénovation énergétique Opinionway/monexpert-rénovation-energie.fr, 67% des Français sous-estiment la prise en charge de l’Etat des travaux. Cette dernière étant notamment estimée entre 11 et 30% par 38% des personnes interrogées alors que la puissance publique en prend à sa charge entre 31 et 40%. Les aides dédiées à la rénovation énergétique sont pourtant nombreuses que ce soit le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) qui sera modifié, l’Eco-PTZ (un prêt sans intérêts pour effectuer des travaux), la TVA à taux réduit ou encore le programme Habiter mieux de l’Agence nationale de l’amélioration de l’habitat (ANAH). Encore faut-il les connaître et savoir les utiliser !

Une culture technique défaillante. Autre écueil dans la rénovation énergétique : le manque de connaissances techniques des particuliers. Les Français qui se sont lancés dans la rénovation énergétique de leur logement ont privilégié le remplacement de leurs fenêtres pour 40% d’entre eux, l’isolation des combles arrivant en deuxième position avec 32% des travaux engagés. « Or les fenêtres ne représentent que 10 à 15% des déperditions thermiques d’une maison contre 30% pour des combles mal isolés », observe Matthieu Paillot, directeur général de Teksial/monexpert-rénovation-énergie.fr.

Des dispositifs financiers pérennes. Si des campagnes d’information plus régulières sont indispensables pour amorcer une véritable dynamique dans la rénovation énergétique, une certaine stabilité des dispositifs fiscaux est réclamée par de nombreux acteurs de l’immobilier. « Il serait sain de maintenir une certaine lisibilité des aides pour que les particuliers puissent se les approprier et se lancer dans un programme pluriannuel de travaux. Il faut en effet compter entre 20.000 et 25.000 € pour des travaux de rénovation énergétique d’une maison. Il est impossible de se projeter à un horizon de deux ou trois ans quand chaque loi de Finances remet en cause les aides financières dédiées aux travaux », conclut Matthieu Paillot.

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Immobilier : et si vous investissiez dans une cave ? – PAP.fr

Après le parking, c’est au tour de la cave de devenir un placement tendance dans la capitale. A Paris, les propriétaires et les investisseurs sont ainsi de plus en plus nombreux à proposer cette pièce de sous-sol à la location. C’est ce que constate le site JeStocke.com spécialisé dans le stockage garde-meuble entre particuliers.

Un marché dynamique. En un an, le nombre de particuliers qui ont mis leur cave en location a progressé de 163%. Et du côté de la demande, on enregistre une progression encore plus importante puisqu’elle atteint 190%. Les arrondissements les plus convoités sont le XVIe, le XIe et le XVIIIe.

Un investissement abordable. Cet engouement s’explique notamment par le caractère accessible de ce type de placement. La superficie des caves louées est de 5 m² en moyenne (contre 7 m² l’an dernier). Actuellement, pour acheter une cave, il vous faudra compter entre 1.500 et 3.000 €/m². Ce prix est en hausse de 500 € en moyenne par rapport à 2016 mais il reste raisonnable.

Une excellente rentabilité. Investir dans une cave peut rapporter gros puisque la rentabilité actuelle tourne autour de 10%. Il faut dire qu’entre des vacances quasi inexistantes et une demande en hausse, le retour sur investissement sera rapide. Toutefois, restez vigilant. Comme tous les investissements, la qualité du bien et le secteur pourra jouer sur la rentabilité espérée.

Des secteurs plus attractifs. Les IVe, VIe et XIIe arrondissement affichent les taux de rentabilité les plus élevés : ils sont de l’ordre de 14% soit une progression de 6% en un an. A contrario, dans le XVe et le IIe arrondissement, les rendements ont reculé de 3% mais la rentabilité reste toute de même comprise entre 5 et 7%.

Des loyers hétérogènes. Comme en 2016, le montant des loyers ne suit pas la tendance du mètre carré habitable. Les arrondissements les plus chers en termes de mètres carrés habitables sont souvent les plus bas pour la location de caves. En moyenne, les prix s’échelonnent entre 15 et 23 €/m². Les quartiers les plus chers se situent dans le IIIe, le Ve, le VIe et le VIIIe mais il peut y avoir des disparités importantes au sein d’un même arrondissement.

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Energie : la facture de chauffage va augmenter en 2018 – PAP.fr

20 Novembre 2017 – D’après un sondage OpinionWay, près de 36% des Français redoutent de recevoir leur facture de chauffage. Cela ne risque pas de s’arranger avec l’augmentation de la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques le 1er janvier prochain qui touchera plus particulièrement le chauffage au fioul.

Selon un sondage réalisé par OpinionWay pour Fioulmarket.fr, plus d’un tiers des Français (36%) craignent de recevoir leur facture de chauffage. Ce poste de dépenses représente en moyenne 13% du budget des ménages. Et le renchérissement de la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) ne risque pas de rassurer les 20% de Français qui chauffent au fioul.

Zéro carbone. Le Gouvernement souhaite en effet arriver à la neutralité carbone d’ici 2050. Pour atteindre cet objectif ambitieux, la taxe sur les énergies fossiles augmente chaque année. Pour se chauffer, les ménages paieront donc de plus en plus. L’objectif est de décarboner le chauffage.

Des taxes qui s’alourdissent. Instaurée en 2014, la TICPE coûtait 67,92 € pour 1 000 litres de fioul. Elle passera à 187,44 €  le 1er janvier 2018. « Une part importante des Français ignore cette hausse, ce qui témoigne d’un vrai manque d’informations. Nos clients commandent en moyenne 2 040 litres de fioul domestique par an. La perte de pouvoir d’achat s’établit donc à 90 € », analyse Stéphane Séguin, P-DG de www.fioulmarket.fr. Soit l’équivalent de plus de 100 litres !

Baisse du CITE. Contrairement au projet initial du Gouvernement prévoyant la suppression du crédit d’impôt pour la transition énergétique de 30% pour le remplacement d’une vieille chaudière fioul par un modèle à condensation, un amendement prévoit d’assouplir les premiers choix des pouvoirs publics. D’après la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment, les chaudières à fioul à haute performance énergétique devraient encore bénéficier du dispositif jusqu’au 30 juin 2018 mais avec un taux de 15%.

Précarité énergétique. Les chiffres du sondage témoignent également de la précarité énergétique vécue par un grand nombre de Français. Pour limiter leur facture de chauffage, deux attitudes sont adoptées : 30% des Français renoncent à se chauffer ou à des loisirs et  20% d’entre eux envisagent de changer de fournisseur d’énergie ou d’équipement de chauffage pour dépense

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Seniors, retrouvez du pouvoir d’achat grâce à votre résidence principale

Viager, vente à terme, démembrement de propriété, prêt viager hypothécaire… voici quatre manières pour les retraités de gagner en confort de vie.

Chaque année, les milliers de Français qui partent à la retraite voient leurs revenus chuter de 20 à 30 %, voire plus. Comment compenser alors la différence avec le niveau de vie que l’on avait en période d’activité professionnelle? Une minorité de retraités continue de travailler pour s’assurer un appoint. D’autres ont pu cotiser à des dispositifs complémentaires ou bénéficient de revenus fonciers. Mais il est un actif souvent oublié dans le patrimoine, qui peut permettre de regagner du pouvoir d’achat en disposant à la fois d’un capital et de revenus supplémentaires: sa résidence principale. Plusieurs solutions existent pour en retirer des liquidités, que l’on peut réemployer à son gré, pour soi-même ou pour aider ses enfants par exemple. La plus connue est le viager, bien que le volume de transactions reste encore confidentiel, entre 3000 et 8000 sur 800.000 ventes par an dans l’ancien. D’autres solutions existent et tendent à se développer: le prêt viager hypothécaire, la vente à terme ou le démembrement de propriété. Tour d’horizon.
Vendre en viager

«Ah oui, comme dans le film!» «Celui qui a acheté celui de Jeanne Calment a fait une mauvaise affaire.» «Mais les enfants se retrouvent déshérités, non?» «Quand même, c’est bizarre de spéculer sur la mort de quelqu’un…» Le viager fait l’objet de nombreuses idées reçues. «Ceux qui pensent ainsi ne connaissent pas le viager, regrette Fabrice Abraham, directeur général du réseau d’agences immobilières Guy Hoquet L’Immobilier. En pratique, il s’agit avant tout d’une histoire humaine entre un acquéreur et un vendeur. Car s’ils ne s’entendent pas, la vente ne se fait tout simplement pas. Il faut qu’il y ait une rencontre et un dialogue qui se construi

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Cette maison préserve l’intimité des occupants et s’adapte à son terrain

À VOUS DE CHOISIR – Pendant le mois de novembre, Le Figaro Immobilier, en partenariat avec l’agence Architecture de collection, vous propose de voter pour la plus belle maison d’architecte de France pour le prix Archinovo. Découvrez la candidate du jour.

Située à quelques kilomètres de Montpellier, cette maison de 170 mètres carrés est implantée sur un terrain en forte pente, au milieu d’une pinède. Entourée de nature cette construction sait tirer le meilleur parti du terrain grâce à sa construction composée de trois volumes distincts. D’un côté vous trouverez l’espace de réception, de l’autre une bibliothèque ainsi qu’une chambre et enfin la suite parentale. Un étroit volume rectiligne sert de liaison entre ces trois espaces différents. Chaque partie sait tirer profit de la spécificité de ce terrain en pente, jusqu’à créer une illusion de grandeur du côté de la terrasse extérieure, dont la surface semble multipliée.
Protection solaire et intimité préservée

Le clou de ce spectacle d’agencement des volumes? La piscine qui vient s’intégrer entre les deux zones principales offrant ainsi aux propriétaires un endroit de détente rafraîchissant au pied de la terrasse. À noter: l’effort d’agencement des architectes qui ont mené un travail spécifique sur les extrémités du bâti, plus larges au sud afin de maximiser la protection solaire, et affinées au nord afin de protéger l’intimité du lieu.
Cette maison est l’œuvre de l’agence NBJ créée en 2000 par Elodie Nourrigat et Jacques Brion. Fondée sur une volonté de partager l’activité entre agence, enseignement et diffusion architecturale, elle réunit aujourd’hui une équipe de 10 personnes. Ses projets s’inscrivent à différentes échelles, architecturales et urbaines. Si cette maison vous plaît, n’hésitez pas, votez pour elle ci-dessous:

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Zürich fait la chasse aux millionnaires vivant dans ses HLM

La ville la plus riche de Suisse avait comptabilisé 132 millionnaires parmi les locataires de ses logements sociaux. Elle veut faire baisser ce nombre et interdit désormais ces locations aux personnes gagnant plus de 200.000 euros par an…

Désormais, c’est décidé: Zürich compte sur le fait que les 9000 logements sociaux de la ville profitent exclusivement à ceux qui en ont vraiment besoin. La ville la plus riche de Suisse vient d’ailleurs de prendre une décision radicale en ce sens: seuls ses habitants gagnant moins de 200.000 euros par an (230.000 francs suisses) pourront y prétendre… Fin 2014, comme le relate le quotidien Neue Zürcher Zeitung, la municipalité avait comptabilisé parmi les locataires de son parc social pas moins de 132 millionnaires!
» LIRE AUSSI – Expulsée de son HLM parce qu’elle était «trop riche»
Une situation ubuesque qui résulte d’une réglementation toujours plus stricte pour la création de nouveaux logements sociaux sans pour autant (jusque-là) contrôler les locataires. Dans cette cité de 400.000 habitants, il a été décidé depuis 2011 que tous les nouveaux programmes immobiliers comportent au moins 33% de logements à loyers contrôlés (devant couvrir exclusivement les coûts de construction et de maintenance). Ce chiffre n’était que de 25% auparavant. Résultat: en 6 ans, ce parc social a grossi de 9000 logements supplémentaires. Et visiblement trouver des locataires dans le besoin n’est pas chose si aisée que cela sur les bords du lac de Zürich.

Pour mettre de l’ordre dans le logement social, les autorités locales ont édicté une série de règles. Les locataires gagnant plus de 200.000 euros par an pourront donc être expulsés, purement et simplement, sans proposition de relogement. Une situation qui concernerait 190 locataires. Les autres locataires qui sont seulement un «peu» trop riches devront se voir proposer deux alternatives «décentes» avant d’être invités à quitter les lieux.
Pas le droit de gagner plus que 6 fois le loyer

Les nouvelles règles précisent également que le locataire ne peut pas gagner plus que quatre fois le montant de son loyer mensuel au moment de décrocher un logement et il faut un occupant pour chaque chambre du logement. La situation des locataires sera ensuite examinée tous les deux ans et le dynamisme de l’économie suisse aidant, le salaire a le droit de progresser mais pas de dépasser le plafond de six fois (!) le montant du loyer. Et puisque Zürich est décidément une ville accommodante avec les locataires gagnant chichement leur vie, une tolérance est accordée à 15% des locataires afin de leur permettre de dépasser ce plafond de salaire six plus élevé que le loyer… Si ces nombreux accommodements rappellent que dans une ville aussi opulente que Zürich, la pauvreté peut être une notion relative, un réel mouvement se met en place pour que ces logements sans profit servent à ceux qui en ont le plus besoin.

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Immobilier : le match du neuf face à l’ancien

Vous êtes sur le point de réaliser un achat immobilier et vous hésitez entre neuf et ancien? La réponse dépend de vos goûts – le charme de l’ancien contre le confort du neuf – mais surtout de votre budget. À première vue, l‘ancien est nettement moins onéreux que le neuf: 2350€/m² en moyenne pour le premier et autour de 4200€/m² pour le second. De plus, l’offre étant beaucoup plus étendue dans l’ancien que dans le neuf, vous trouverez plus facilement le logement de vos rêves.

Coté frais d’achat, le match s’équilibre. Si vous achetez dans le neuf ou, dans l’ancien, directement à un particulier, vous n’aurez pas d’honoraires à verser à un intermédiaire. En passant par une agence, en revanche, vous devrez verser une commission à l’agent immobilier: de 3 à 8 % de la valeur du bien, en moyenne.

Ce que l’on appelle improprement les «frais de notaire» (en réalité, ils sont majoritairement composés de taxes) sont sensiblement moins élevés dans le neuf que dans l’ancien: de 3 à 4 % pour le premier et de 7 à 8,5 % pour le second.

Si vous optez pour une garantie «réelle» pour garantir votre prêt immobilier, il s’agira d’une inscription de privilège de prêteur de deniers (IPPD) dans l’ancien et d’une hypothèque dans le neuf. L’IPPD représente autour de 0,6 % du capital emprunté contre plus du double (2 à 3 % du capital emprunté) pour l’hypothèque. Vous préférez, la caution d’un organisme spécialisé tel que Crédit Logement, par exemple? Prévoyez alors de 1,2 à 2 % du montant emprunté avec, à la clé, la possibilité de récupérer de 50 à 70 % de la somme versée en fin de prêt.

Si vous êtes éligible au prêt à taux zéro (PTZ), sachez qu’il est plus facile d’accès dans le neuf que dans l’ancien, où il est soumis à une condition de travaux. Les conditions d’octroi du PTZ ancien pourraient être durcies par la prochaine loi de finances.

Coté impôts locaux, les acheteurs d’un programme neuf sont favorisés: les communes ont, en effet, la faculté de voter une exonération de taxe foncière pendant deux ans.

Dans l’ancien, enfin, vous devrez prévoir, à minima, quelques travaux de rafraîchissement (autour de 200€/m²), voire de rénovation (1000€ /m²). Rien de tout cela, bien sûr, dans le neuf. Vous êtes même protégé des dépenses de travaux grâce aux différentes garanties dont vous bénéficiez (parfait achèvement, biennale et décennale). Dans l’ancien, vous ne disposez que de la «garantie des vices cachés», très difficile à mettre en œuvre.

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Propriétaires d’un logement ancien, voici les avantages fiscaux qui s’offrent à vous

Vous êtes propriétaire d’un logement ancien, en bon état ou à rénover, qui est actuellement inoccupé? Le dispositif Cosse vous donne accès à un abattement sur les loyers de 15% à 85 % en fonction de la localisation du bien. Bien sûr, cet avantage fiscal est conditionné au respect de plusieurs contraintes.

En premier lieu, vous vous engagez à louer pendant au moins 6 ans, en signant une convention avec l’Agence Nationale de l’habitat (Anah). Cette durée passe à 9 ans si vous percevez des subventions de l’Agence pour réaliser des travaux d’amélioration.
Ensuite, vous devez respecter des plafonds de loyers, souvent en deçà des loyers de marché (par exemple, de 9,77 à 16,83 euros/m² à Paris et proche banlieue) et de ressources du locataire. En fonction des niveaux choisis, vous aurez accès à un abattement compris entre 15% et 70 %.

 

Pour bénéficier d’un abattement de 85%, vous devez confier votre logement à une agence immobilière sociale ou à vocation sociale (AIS ou AIVS) ou le louer à une association agréée qui y logera une personne en situation précaire. Cette dernière option est particulièrement sécurisante car en louant à une association et non à une personne physique, vous êtes protégé des risques de vacance locative et d’impayés.

Rentable le Cosse? Oui, l’abattement fiscal compense le sacrifice consenti sur les loyers dans toutes les grandes villes (exceptée la capitale). Vous l’avez compris: le dispositif Cosse est, presque partout, plus rentable qu’un investissement classique.

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BatiChiffrage Immo : estimez et chiffrez en ligne tous les travaux ! – Journal de l’Agence

atiChiffrage, solution en ligne de chiffrage de travaux, propose une version dédiée aux professionnels de l’immobilier. De quoi vous permettre d’être efficace, précis et de bien renseigner vos clients…

Vous devez estimer le coût des travaux pour permettre à un propriétaire ou à un acheteur de remettre en état son logement ou de le rénover en vue d’une vente … ? BatiChiffrage Immo, la solution de BatiChiffrage* dédiée aux professionnels de l’immobilier, vous permet, depuis un an, de chiffrer en ligne et ce, rapidement, la plupart des interventions à effectuer dans un logement, à partir d’une base de prix mise à jour régulièrement et régionalisée. De quoi bien renseigner vos clients… L’avantage de cet outil ? Il est non seulement efficace puisqu’il répertorie près de 40 000 prix mais il est surtout très simple d’utilisation. Pour établir un chiffrage pour vos clients, il n’y a pas besoin d’avoir de connaissance technique particulière. Et encore moins de formation sur l’outil…

« Lors de notre participation au salon RENT il y a deux ans, nous avons présenté notre outil estimatif de travaux pour les artisans en bâtiment et les architectes, BatiChiffrage. De nombreux professionnels de l’immobilier s’y sont intéressé et ont exprimé le souhait d’avoir une version adaptée à leur activité. C’est ce qui nous a amené à créer BatiChiffrage Immo», Rémi Journeau, directeur de BatiChiffrage.

Un chiffrage simple et rapide

Pour chiffrer les travaux, rien de plus simple : un questionnaire interactif guide le professionnel. Pour décrire le projet, vous devrez répondre à une série de questions. Certaines sont obligatoires, d’autres facultatives. Evidemment, plus vous serez dans vos réponses, plus le chiffrage le sera également. Si vous avez peu de temps ou n’avez qu’une connaissance partielle des travaux à réaliser, vous pouvez-vous contenter de ne répondre qu’aux questions obligatoires. Le chiffrage est ainsi plus rapide. « Les prix que nous proposons dans notre base de données sont des prix moyens constatés, précise Rémi Journeau. Les prix sont libres en France. Ils diffèrent non seulement d’une entreprise à une autre mais aussi d’une région à une autre.»
Les prix dans l’outil s’adaptent au projet de l’utilisateur

Pour affiner le chiffrage à remettre à son client, l’agent immobilier peut aussi spécifier le département dans lequel les travaux sont à réaliser et s’il s’agit de travaux ordinaires ou à effectuer dans un contexte de chantier délicat (par exemple difficile d’accès…). Ces critères sont alors pris en compte et influent sur le calcul. Pour obtenir des prix qui collent au plus près de la réalité du projet, il peut aussi mentionner la qualité des matériaux que souhaite son client (économique, standard ou haut de gamme) ou le prix d’un produit s’il le connaît (celui d’une douche par exemple). Le logiciel permet enfin d’obtenir un récapitulatif de la totalité des fournitures nécessaires pour réaliser les travaux à effectuer et une estimation du temps que durera le chantier.
Une fonctionnalité spécifique pour les administrateurs de biens

Pour les gestionnaires de biens, BatiChiffrage Immo possède une seconde base de prix qui rassemble les travaux de remise en état suite à un état des lieux. Dans celle-ci, l’utilisateur a accès à près de 500 travaux type pour, par exemple, repeindre des murs, réparer des prises électriques déboitées ou une chasse d’eau, shampouiner une moquette… BatiChiffrage Immo leur permet également de répartir la prise en charge des travaux entre le propriétaire et le locataire.
A chacun sa solution de chiffrage

Pour utiliser BatiChiffrage Immo et accéder à la base de prix, il suffit de s’abonner. Il y a plusieurs options : pour un an, comptez 349 €. Et 41,90 € pour 1 mois. Tous les abonnés bénéficient d’une hotline gratuite. Pour plus d’informations, retrouvez BatiChiffrage sur www.batichiffrageonline.com ou rendez-vous au salon Batimat, Parc des expositions de Villepinte, du 6 au 10 Novembre, dans le Hall 6, stand A1.

*Aujourd’hui, plus de 3 000 utilisateurs se servent de la solution BatiChiffrage pour faire des estimatifs de travaux, qu’ils soient professionnels de l’immobilier, architectes ou artisans dans le bâtiment. Environ 500 devis/estimatifs sont réalisés par jour avec cet outil.

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