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Se loger à Toulouse quand on est étudiant | Actualités

Toulouse est la première ville de France où il fait bon étudier ! Découvrez comment se loger, où, à quel prix et quelles aides peuvent vous être accordé en tant qu’étudiant toulousain.

Un logement en CROUS coûte entre 130 et 500 €
A Toulouse, que vous soyez boursier ou non, il est très difficile d’obtenir une chambre ou un logement dans les cités universitaires. Elles sont 29 au total, réparties sur l’ensemble de la ville, et proposent des logements dont les loyers oscillent entre 130 à 500 € en moyenne, mais ces logements sont attribués selon des critères sociaux, et la majorité des étudiants n’entrent pas dans ces critères.

Le loyer d’un studio dans le privé vaut entre 300 et 500 € 
Pour pouvoir vous loger à Toulouse en tant qu’étudiant, vous pouvez donc vous tourner vers la location classique, en passant par des agences immobilières, par exemple. Vous devrez compter environ 300 à 400 € par mois pour un studio de 10 à 12 m², mais ces loyers peuvent s’élever jusqu’à 500 € dans l’hypercentre de Toulouse.

350 € en moyenne pour une colocation dans Toulouse 
Vous pouvez naturellement compter sur la colocation, qui se développe et rencontre un succès florissant ces dernières années à Toulouse. Ainsi, en optant pour un appartement de 100 m² bien situé et accueillant 3 colocataires, votre loyer s’élèvera à 350 € environ, l’intérêt étant que tous les frais courants sont partagés, et que vous bénéficiez d’une surface de vie honorable et d’une chambre privative. En revanche, il s’agit de bien choisir ses colocataires, car tous sont solidaires entre eux… jusque dans le paiement du loyer !

Bon à savoir
Avec plus de 100 000 étudiants, Toulouse est la première ville universitaire de province.

Les différents quartiers où vivre dans la ville rose
Le Busca : il s’agit d’un quartier recherché au sud-est de Toulouse, dans lequel on retrouve des logements de standing, mais également plusieurs établissements universitaires.
Le quartier Saint-Cyprien : il s’agit d’un quartier branché desservi par le métro, ce qui en fait l’une des destinations privilégiées des étudiants.
Le quartier de Saint-Michel : sa proximité avec diverses facultés et ses loyers raisonnables font de ce quartier l’un des plus prisés par les étudiants, sans compter que le métro s’y arrête.
Le quartier des Minimes : les loyers de ce quartier sont accessibles, et il est proche de plusieurs stations de métro. De même, sa proximité avec le centre-ville est appréciable pour les étudiants.
Si votre priorité est de faire des économies sur votre loyer, quitte à vous éloigner des pôles universitaires de la ville, vous pouvez vous tourner vers les quartiers de Paul-Sabatier ou des Mirails, dans lesquels un studio de 10-12 m² vous coûtera environ 300-350 € par mois, charges comprises.
Bon à savoir
Pour sortir à Toulouse et profiter de la vie nocturne, rien de tel que la Place Saint Pierre : c’est la rue de la Soif toulousaine ! Sans oublier le quartier Les chalets-Saint-Aubin-Saint-Etienne, ainsi que celui de Saint Cyprien, réputés pour abriter de nombreux bars et restaurants.

Les aides auxquelles vous pouvez prétendre en tant qu’étudiant toulousain
Les aides de la ville de Toulouse
La ville de Toulouse a mis en place une aide appelée Pass Log, qui consiste en un prêt à taux 0 % pour les étudiants qui viennent s’installer. En effet, la ville peut régler votre premier mois de loyer, si le montant de celui-ci est inférieur à 500 €, et le remboursement peut s’étaler sur 3 ans maximum. Sachez que tous les étudiants âgés de moins de 26 ans, inscrits dans un établissement toulousain et ayant signé un bail d’habitation à Toulouse peuvent prétendre à cette aide, sans conditions de ressources.

Les aides de la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyérénées
La région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées accorde certaines aides aux étudiants toulousains qui remplissent les conditions requises, afin de les soutenir financièrement durant leurs études :

Le Pass Mutuelle : il s’agit d’une aide de 100 € qui est accordée aux étudiants de moins de 28 ans, qui bénéficient d’une bourse mais qui ne sont pas éligibles à la Couverture Maladie Universelle Complémentaire ou à l’Aide à la Complémentaire Santé.
Le dispositif Caution Logement Etudiant : la région peut se porter caution lorsque vous signez un bail pour un logement privé, si votre loyer n’excède pas 500 € par mois pour un étudiant seul, et 650 € pour des étudiants en couple.
La bourse à la mobilité : plusieurs sortes de bourses peuvent être accordées aux étudiants sous conditions : il s’agit de bourses d’études et de bourses de stage. Le montant peut être de 70 € par semaine, 300 € par mois ou 600 € par mois selon le type de stage et la durée.
Bon à savoir
Pour en savoir plus sur les critères d’éligibilité aux aides de la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, vous pouvez contacter le Conseil régional. 

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Investir à Montauban : une vraie alternative à Toulouse | Actualités

Montauban, préfecture du Tarn-et-Garonne, cumule des avantages indéniables tels que la proximité de Toulouse, la beauté de son centre-ville historique et des prix plutôt raisonnables à l’achat.

Une ville qui a su imposer sa marque
L’agglomération montalbanaise occupe une place très importante au sein de la région Midi-Pyrénées. Plus grande ville du Tarn-et-Garonne avec ses 55 437 habitants, elle dépasse même les 100 000 habitants si l’on prend en compte son aire urbaine dans sa totalité. Longtemps placée dans l’ombre de sa grande voisine toulousaine, cinquante kilomètres plus au sud, Montauban a développé son propre pôle d’attractivité économique autour de la zone « Grand Sud Logistique ». La ville, baignée à la fois par le Tarn et le Tescou, bénéficie d’un cadre de vie très agréable, dans une ville à l’ambiance typiquement « Sud Ouest ».

Un centre-ville homogène et du neuf en quantité
Ancienne ville bastide, Montauban en porte la trace flagrante dans le plan géométrique et en damier de son centre-ville. Toutes les rues, bordées de belles demeures en briques, dont beaucoup remontent aux XVIIe et XVIIIè siècles, convergent vers la place centrale et rectangulaire. Les beaux appartements rénovés n’y sont pas rares. En-dehors de la ville historique, le Plan Local d’Urbanisme encourage le développement de vastes quartiers modernes et résidentiels, comme à Villebourbon ou dans les zones à l’est de la ville.

L’immobilier à Montauban en quelques chiffres
La faiblesse des prix persuade de nombreux Toulousains de faire la route quotidiennement : à peine 1 450€ du mètre carré pour un appartement en 2014, et 1 600€ pour une maison.
Montauban, malgré son patrimoine, n’est pas une ville de villégiature : 1 % de résidences secondaires sur les 28 312 logements recensés.
53,6 % des ménages sont propriétaires, soit une proportion élevée.
Transports : de nombreux avantages liés au voisin toulousain
Montauban est desservie principalement par l’autoroute A20, qui remonte de Toulouse (environ 45 minutes de route) et en direction de Cahors. La ville, surtout, est proche de l’embranchement avec l’A62, en direction de Bordeaux. Les Montalbanais disposent donc des mêmes facilités autoroutières que les Toulousains. La gare de Montauban est visitée chaque jour par quelques TGV en provenance de Paris. Le réseau urbain de la SEMTM gère environ 66 kilomètres de lignes de bus à travers toute l’agglomération. La ville, enfin, n’est qu’à 25 minutes de l’aéroport de Toulouse-Blagnac.

Montauban : les quartiers qui comptent
Les anciens hôtels particuliers du quartier de la Bastide ont été réaménagés, pour la plupart, en des appartements de standing, très recherchés. Les autres secteurs prestigieux incluent Lalande et surtout Le Fau, où vous trouverez de nombreux pavillons offrant de belles surfaces. Le cœur de ville, en revanche, n’est pas excessivement cher, à l’exception des coins les plus commerçants comme les rues piétonnes de la Résistance et de la République. Les logements les plus abordables se trouvent à l’est, même si les travaux engagés par la municipalité tendent à revaloriser ce secteur.

Bien loin de n’être qu’une ville-dortoir pour Toulousains actifs, Montauban a su développer sa propre attractivité pour imposer sa marque dans le nord de la région. Son immobilier diversifié et bon marché attire de nombreux primo-accédants.

Les points clés à retenir
Montauban constitue un pôle économique important au nord de Toulouse.
Son centre-ville préservé et sa périphérie moderne offrent un immobilier varié.
La ville est très proche de grandes infrastructures de transport.

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Toulouse : bientôt une nouvelle zone où les véhicules les plus polluants ne pourront plus rouler – actu.fr

Un périmètre encore à définir
D’ici 2020, Toulouse Métropole va compléter le dispositif national instauré lors des très gros pics de pollution. Vendredi 28 septembre 2018, elle a en effet annoncé qu’elle allait mettre en place sur son territoire une zone à faibles émissions (ZFE) dans laquelle les véhicules les plus polluants, toujours en ce basant sur la vignette Crit’Air, ne pourront pas rouler.

Le périmètre géographique, les périodes d’application et le parc de véhicules concernés seront déterminés localement par Toulouse Métropole.

Vendredi 28 septembre 2018, Toulouse Métropole a précisé :

Dans la dynamique de la Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte et dans le cadre de l’appel à projets « Ville Respirable en 5 ans », Toulouse Métropole a lancé en mai 2018, en partenariat avec Atmo-Occitanie et l’Agence d’Urbanisme et d’Aménagement Toulouse (AUAT), une étude pour créer une Zone à Faibles Emissions (ZFE) sur son territoire. Une ZFE est une zone dans laquelle l’accès aux véhicules les plus polluants est interdit, cette sélection étant faite sur la base des vignettes Crit’air. Cette étude doit permettre de déterminer les périmètres géographiques, les périodes d’application et le parc de véhicules concernés par la ZFE.

Seule certitude pour l’heure : la mesure devrait sans nul doute être plus contraignante que le dispositif actuel de la vignette Crit’Air qui nécessite trois jours de très forte pollution pour être déclenché.

Toulouse Métropole s’aligne sur la demande du gouvernement
En mettant sur orbite cette mesure sur son territoire, Toulouse Métropole met en application l’une des 20 mesures visant à favoriser les alternatives à la voiture individuelle, présentées par le gouvernement le 20 juillet 2018. Cette mesure prévoit que la quinzaine des villes les plus polluées de France doivent mettre en place ce type de zone d’ici 2020.

Reste à savoir comment la mesure pourra être appliquée sans que cela ne devienne une usine à gaz. Le gouvernement s’est, en juillet, engagé à mettre en place les conditions pour la rendre faisable. L’instauration du contrôle automatique des plaques à l’entrée de la future zone fait partie des pistes envisagées.

Réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40% en 10 ans…
Toulouse Métropole rappelle « qu’en juin 2018, elle a voté un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) qui comporte 80 actions portées par la collectivité mais aussi par les acteurs économiques, sociaux, associatifs pour la période 2018-2023.

Parmi les axes forts de ce plan, figure notamment un programme d’actions d’ici 2020 autour de trois objectifs prioritaires : la réduction de l’exposition des populations intégrée dans les projets d’aménagement, le développement de solutions alternatives de mobilité (réseau de bus Linéo, réseau vélo, 3e ligne de métro… ) et la sensibilisation des habitants. A l’horizon 2030, l’ambition du PCAET est de parvenir à une réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre (GES) sur le territoire de la Métropole.

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Pourquoi la guerre est déclarée entre Toulouse Métropole et le Département de Haute-Garonne – actu.fr

La Haute-Garonne en mission sauvetage. Jeudi 20 septembre 2018, à l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, Georges Méric, le président PS du Conseil départemental de Haute-Garonne, a vertement critiqué le gouvernement Macron sur la future réforme territoriale, qui laisserait la possibilité aux collectivités de fusionner la Métropole et le Département dans les plus grosses agglomérations. La Métropole verrait son périmètre et ses compétences considérablement élargis, tandis que le Conseil départemental se cantonnerait aux zones rurales et périurbaines.

Georges Méric revendique le soutien des maires.
Un modèle qui existe déjà à Lyon (Rhône) depuis 2015. « Nous pensons que le modèle lyonnais ne peut s’appliquer sans distinction des territoires. Le département de la Haute-Garonne, pour sa part, présente un fort déséquilibre entre une métropole très dynamique et des zones périphériques pour certaines isolées. L’application du modèle lyonnais au territoire haut-garonnais ne ferait qu’accroître ces disparités », indique Georges Méric, précisant que « 85 à 90% des maires sont contre ce modèle ».

Le sujet n’est pas nouveau. C’est même une promesse de campagne du candidat Macron, qui écrivait dans son programme, en mars 2017, sa volonté de « réduire le millefeuille administratif » en supprimant « au moins un quart des départements, là où ils peuvent être rapprochés de l’une de nos grandes métropoles ».

Dans le programme d’Emmanuel Macron
Alors en campagne pour les législatives, la députée Monique Iborra, ex-PS qui a rejoint La République en Marche (LREM), avait clairement posé le débat à Actu Toulouse : 

Lyon est un bon exemple de fusion qui a bien fonctionné. Il faut plus de décentralisation et plus de souplesse. La question se posera à Toulouse.

On y est. Pourtant, depuis trois ans, Toulouse Métropole et Département la jouent constructif dans un esprit très macroniste. En décembre 2015, Jean-Luc Moudenc (LR) et Georges Méric avaient signé un premier accord de coopération, incluant des transferts de compétence. Pour « doper l’efficience » en la matière, dixit Georges Méric, un nouveau partenariat a été signé en juin 2018.

« Jean-Luc Moudenc veut être Jupiter sur son territoire »
Mais une sortie de Jean-Luc Moudenc, déclarant qu’il était favorable à ce fameux « modèle lyonnais », a mis le feu aux poudres. Et Georges Méric n’est pas le seul socialiste à soupçonner un déchirement de ces contrats. Le premier secrétaire fédéral du PS de Haute-Garonne et rapporteur du budget au Département, Sébastien Vincini, va même plus loin :

Jean-Luc Moudenc propose de nous vider les caisses. Il veut tout confisquer, car il ne nous supporte pas. M. Moudenc veut être Jupiter sur son territoire, mais il est hors de question que nous perdions notre autonomie financière. Nous ne nous laisserons pas faire.

Un combat pas nouveau en Haute-Garonne
Ce n’est pas la première fois que l’avenir des départements est débattu.. et que la Haute-Garonne se rebelle. En 2008, déjà, la réforme territoriale voulue par Nicolas Sarkozy devait signer la fin des Conseils généraux (le nom de l’époque). Le président de l’époque, Pierre Izard (PS), avait farouchement combattu la mesure au prix d’une campagne de communication et identitaire restée dans les mémoires. François Hollande, à son tour, avait été à deux doigts de rayer les départements de la carte durant son quinquennat.

Les chefs de l’État passent, la Haute-Garonne reste à la pointe du combat… et le Département reste fidèle au poste. Jusqu’à quand ?

Municipales 2020 : Georges Méric soutient Claude Raynal
En marge de sa « sortie » contre la réforme territoriale, le président du Département de Haute-Garonne a parlé municipales à Toulouse. Si l’échéance est encore un peu lointaine, et située après les Européennes de 2019, Georges Méric a déjà fait son choix de candidat. « Pour moi, Claude Raynal a toutes les qualités de rassembleur de la gauche et a la connaissance des dossiers. Il a une vision innovante de l’avenir ».
Le sénateur PS de Haute-Garonne et ancien maire de Tournefeuille (Haute-Garonne) a officialisé, le 14 septembre 2018, sa candidature à la mairie de Toulouse.

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Prix des loyers : où sont-ils les moins chers, à Toulouse et dans l’agglomération ?

Les prix des loyers et leur évolution, dans la Ville rose. C’est l’un des principaux centres de préoccupation des habitants de Toulouse et son agglomération, en particulier des jeunes…

Depuis cinq ans, l’Observatoire local des loyers de l’agglomération toulousaine permet de mieux connaître le marché locatif, d’en informer les acteurs et, plus globalement, le grand public. C’est ainsi que les niveaux des loyers en 2017 sur l’agglomération toulousaine, mais aussi les perspectives de l’Observatoire, ont été présentés mi-septembre 2018 par la sous-préfète Sabine Oppiliart et l’adjoint au maire de Toulouse en charge du logement, Franck Biasotto.

Une stabilité des loyers en 2017 dans l’agglo
Parmi les principaux enseignements de l’enquête : le loyer de marché médian (logements loués dans l’année) s’élève en 2017 à 11,0 €/m², à Toulouse, quasiment comparable à celui de l’année précédente (10,9 €/m²). Il est plus élevé dans la ville de Toulouse (11,6 €/m²) qu’en périphérie (10,0 €/m²). En revanche, la superficie moyenne des logements loués en périphérie toulousaine étant supérieure à celle des logements loués à Toulouse, le niveau de loyer médian s’élève à 525 € à Toulouse contre 580 € en périphérie.

L’observatoire des loyers dans lagglomération de Toulouse (©DR)
Et le prix moyen au m2 par zone, ça donne quoi ?

Lobservatoire des loyers dans lagglomération de Toulouse (©DR)
Marché tendu dans le centre de Toulouse
En 2017, toujours selon l’observatoire, on a observé « une légère tension du marché sur les zones centrales de Toulouse, tandis que les loyers restent stables sur les secteurs les plus éloignés ».

Plus précisément, l’offre locative limitée sur les grands logements (appartements et maisons), notamment en centre-ville de Toulouse et en première couronne, entraîne une légère hausse des loyers à la relocation sur ces produits.

LIRE AUSSI : Immobilier : appartement ou maison ? Voici les tendances du marché pour la rentrée, à Toulouse

Moins cher à Borderouge, Montaudran, Tibaous…
Sans surprise, le niveau de loyer « est fortement lié à la localisation des logements, reflétant l’attrait de la demande pour un secteur géographique déterminé », témoigne l’observatoire. 

À Toulouse, les loyers médians au m² sont moins élevés dans les zones les plus éloignées du centre-ville, principalement dans les nouveaux quartiers en zone 3 (Borderouge, Montaudran, Tibaous…) ou les quartiers de la zone 4 (Mirail, Reynerie, Bellefontaine, Empalot, Izards…).

L’hypercentre, fief des étudiants, est le plus cher
L’hypercentre (zone 1) est quant à lui le secteur le plus cher, « recherché notamment par les étudiants, qui occupent un quart du parc locatif privé non meublé, et les jeunes actifs », souligne l’observatoire. Ces loyers élevés sont en partie liés à un fort attrait et à une offre de transport, commerces et services de proximité importante, ainsi qu’à une plus forte représentativité de petits logements.

Enfin, dans les communes en périphérie toulousaine, les niveaux de loyer au m² sont globalement moins élevés qu’au sein de la ville-centre (hors zone 4 dont les loyers au m² sont équivalents à ceux la zone 6).

Voici les loyers médians (hors charges), commune par commune, dans l’agglo de Toulouse :

Un loyer médian de 10,4 €/m2 hors charge en 2017, sur l’agglomération toulousaine 
Voici les loyers médians (hors charges) dans les différentes zones de la commune de Toulouse :

Un loyer médian de 10,4 €/m2 hors charge en 2017, sur l’agglomération toulousaine
Un loyer abordable comparé aux autres métropoles
Comparativement aux agglomérations de taille équivalente, Toulouse présente un niveau de loyers relativement abordable, comparable à celui des agglomérations de Nantes, Grenoble, Rennes ou Strasbourg. Le loyer est plus élevé dans les agglomérations proches du littoral méditerranéen (Nice, Marseille, Montpellier …).

LIRE AUSSI : Immobilier : pourquoi Toulouse reste l’une des grandes villes les moins chères de France

Voici le prix moyen du loyer dans les différentes métropoles de France :

Le loyer de marché médian est modéré à Toulouse, comparativement aux autres grandes métropoles, notamment Bordeaux.
Quel loyer en fonction du logement choisi ?
À savoir qu’à la relocation, le loyer médian des appartements d’une seule pièce (studios et T1) s’élève à 405 € hors charges. Il varie de 389 à 427 € dans les secteurs les plus chers (centre-ville et communes de première couronne).

Les T2 et T3 constituent la majorité des locations réalisées dans l’agglomération de Toulouse. La moitié des appartements de deux pièces se loue moins de 500 €/mois hors charges, la moitié des appartements de trois pièces se louent moins de 624 €/mois hors charges. Là aussi, le centre-ville reste le secteur le plus cher, les loyers décroissent avec l’éloignement.

Le loyer médian des appartements de 4 pièces ou plus s’élève à 780 €/mois hors charges. Sans surprise, les loyers les plus élevés se trouvent en centre-ville, avec des biens recherchés à la fois par les familles et les étudiants (colocation), ainsi qu’en proche périphérie.

Et pour la location d’une maison ?
Enfin, l’offre locative de maisons reste très limitée dans l’agglomération de Toulouse. De ce fait, le loyer médian d’une maison d’au moins quatre pièces est de 900 € mensuels hors charges. « L’offre est très hétérogène », soulève l’observatoire : « La localisation influe fortement, la surface de la maison et celle du terrain ou son époque de construction également ». C’est un parc plutôt situé dans les communes en périphérie de Toulouse et, plus rarement, dans les quartiers toulousains.

Ces résultats, détaillés zone par zone et produit par produit, ainsi que la publication 2017, sont disponibles sur les sites www.observatoires-des-loyers.org et www.aua-toulouse.org.

L’Observatoire des loyers, c’est quoi ?
L’Observatoire local des loyers de l’agglomération toulousaine fait partie du réseau national des observatoires locaux des loyers qui regroupe une trentaine de sites. Tous partagent une méthodologie commune, qui permet la comparaison des niveaux de loyers entre agglomérations et la diffusion de données ouvertes et fiables. L’Observatoire toulousain repose sur un partenariat réunissant l’État, les collectivités territoriales, et les professionnels de l’immobilier et de la gestion.
À noter « qu’afin de mieux représenter les loyers », une enquête en ligne est ouverte aux locataires ainsi qu’aux propriétaires bailleurs. Pour y participer, c’est sur le site www.aua-toulouse.org !

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Votre habitation est-elle exposée au radon ? La réponse à Toulouse et dans les environs – actu.fr

Connaissez-vous le potentiel radon à Toulouse ? Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle. Il est inodore. 

À l’air libre, la quantité de radon gazeux est minime et inoffensive. Mais dans des lieux confinés, comme les sous-sols, le radon peut s’accumuler pour atteindre des concentrations potentiellement nocives. « L’exposition à de fortes concentrations de radon a été associée à un risque accru de cancer du poumon, en fonction de la durée de l’exposition », peut-on lire sur le site SOS radon. 

À la demande de l’Autorité de sûreté nucléaire, une cartographie a été publiée afin de connaître le potentiel radon sur chaque commune. Ces dernières sont classées en trois catégories. Plus le potentiel est important, plus la probabilité de présence de radon à des niveaux élevés dans les bâtiments est forte. 

Fortes concentrations à Muret

La cartographie du potentiel radon, à Toulouse. (©IRSN)
Toulouse se situe dans la première catégorie, avec une grande majorité de bâtiments qui présente des concentrations en radon faibles.

En revanche, deux communes à proximité se trouvent dans la deuxième catégorie : il s’agit de Muret et Castelmaurou, avec une probabilité de concentrations élevées dans les bâtiments.  

En Occitanie, plusieurs communes appartiennent à la troisième catégorie, là où les teneurs en uranium sont estimées plus élevées. Citons, par exemple, les villes de Foix (Ariège), Castres (Tarn), Carmaux (Tarn), Mazamet (Tarn) ou Revel (Haute-Garonne).

Qu’en conclure pour mon habitation ?
L’Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire précise :

Le potentiel radon fournit un niveau de risque relatif à l’échelle d’une commune, il ne présage en rien des concentrations présentes dans votre habitation, celles-ci dépendant de multiples autres facteurs (étanchéité de l’interface entre le bâtiment et le sol, taux de renouvellement de l’air intérieur…). Le fait que votre habitation soit localisée dans une commune à potentiel radon de catégorie 3 ne signifie pas forcément qu’elle présente des concentrations en radon importantes. Elle a toutefois nettement plus de risque d’en présenter que la même maison située dans une commune à potentiel radon de catégorie 1. Les concentrations peuvent par ailleurs atteindre des niveaux très élevés pour des caractéristiques architecturales ou des conditions de ventilation défavorables. 

Comment évaluer votre exposition
Compte-tenu du risque sur la santé associé au radon, il est dans ce cas important d’évaluer plus précisément l’exposition à laquelle vous êtes soumis. « Évaluer votre exposition nécessite de réaliser un dépistage de votre habitation », poursuit l’IRSN. « Ce dépistage consiste à mesurer les concentrations du radon à l’aide de détecteurs (dosimètres radon) qu’il est possible de placer soi-même. Pour que cette mesure soit représentative, elle doit être effectuée dans les pièces de vie principales, sur une durée de plusieurs semaines et de préférence sur la période hivernale (en savoir plus sur le protocole de mesure) ».

Se procurer un dosimètre
Le coût d’acquisition et de développement de ces détecteurs s’élève à quelques dizaines d’euros. Lorsque la concentration mesurée s’avère élevée, il est alors nécessaire de rechercher des solutions pour réduire l’exposition au radon. Ces solutions consistent à limiter l’entrée du radon dans le bâtiment, en renforçant l’étanchéité entre le sol et le bâtiment, et à éliminer le radon en favorisant le renouvellement de l’air intérieur (aération, ventilation).

En France, plusieurs sociétés produisent des dosimètres radon et disposent de laboratoires permettant de les analyser. Vous pouvez également contacter un organisme agréé pour la mesure du radon afin qu’il vienne réaliser les mesures à votre domicile.

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Toulouse, une ville d’avenir où les prix immobiliers ne sont pas (encore) délirants ! | Actualités

Toulouse, une ville d’avenir où les prix immobiliers ne sont pas (encore) délirants !

Préfecture de la région Occitanie, Toulouse est une ville dynamique qui attire chaque année un nombre croissant d’investisseurs et de nouveaux habitants. Décryptage du marché toulousain avec Patrick Sénat, conseiller en immobilier. 

Prix des biens immobiliers à Toulouse : entre 2 500 et 6 000 €/m²
Pour acquérir un bien dans l’hypercentre de Toulouse vous devez compter 5 000 à 6 000 €/m² et c’est un peu plus bas dans certains secteurs, puisque les prix peuvent se maintenir autour de 3 500 à 4 000 €/m². Du côté de la gare de Toulouse par exemple, les prix s’élèvent entre 3 800 à 4 000 €/m². Lorsque l’on s’éloigne du centre-ville, les prix tombent à 2 500-2 600 €/m², mais là aussi cela dépend de l’état du bien : s’il s’agit d’un bien des année 60, le prix peut se négocier encore plus bas, tandis que s’il s’agit d’un bien plus récent des années 1980 à 2000 avec des prestations et un garage en sous-sol, le prix sera plus élevé.

Bon à savoir
Dans la métropole du Grand Toulouse, comptez en moyenne à 3 233 €/m².

Toulouse, une ville d’avenir aux multiples avantages
Toulouse est une ville active et dynamique qui attire beaucoup de monde car elle a beaucoup d’atouts à faire valoir. Pour commencer, elle n’est pas très loin de la mer puisqu’il suffit d’une heure de route, mais elle n’est pas non plus très loin de la montagne. Toulouse est un véritable carrefour. Il s’agit d’une capitale régionale et départementale, mais c’est également la capitale européenne de l’aéronautique, puisqu’elle abrite notamment les sites d’Airbus. Au regard de tous ses atouts, Toulouse est une ville qui a mis du temps à se développer par rapport à d’autres grandes métropoles, bien qu’elle soit en train de rattraper son retard. La ville rose est donc très intéressante et attractive, à la fois pour des investisseurs mais aussi pour des personnes souhaitant s’y installer.

Bon à savoir
Toulouse est la ville dans laquelle les cadres parisiens se projettent pour vivre et travailler en télétravail. Il faut dire que la liaison avec Paris se fait en 4h09 aujourd’hui !

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La construction du train du futur arrive à Toulouse ! – Blog Immobilier

La construction du train du futur arrive à Toulouse !5 avril 2018
On en sait plus sur les projets de l’implantation de l’Hyperloop à Toulouse. La construction de la piste d’essai de 300 mètres de ce train du futur ainsi que le bâtiment de la société Hyperloop TT devrait débuter à l’automne 2018.

Permis de construire validé
Il y a pratiquement 1 an de cela, j’écrivais un article sur le concept de l’hyperloop, aujourd’hui, ce train du futur imaginé par Elon Musk va bel et bien voir le jour à Toulouse via la société Hyperloop Transportation Technologies. En effet, la commune de Cugnaux a autorisé la construction d’un bâtiment de 2 560 m² ainsi que d’une piste d’essai de 300 mètres sur l’ancienne base aérienne de Francazal.

Ce projet dont les procédures administratives avaient commencé en janvier 2017, n’attend plus que le conseil de Toulouse Métropole pour pouvoir signer un bail de construction avec l’État. Cette signature va être actée le jeudi 12 avril 2018 et va permettre à Hyperloop TT de construire ses premiers prototypes et les tester sur la piste d’essai.

Toulouse, capitale européenne de l’aérospatiale et de l’aéronautique va donc détenir le centre européen de R&D de ce mode de transport innovant.

Les détails de ce projet colossal
Afin de réaliser une piste d’essai de 300 mètres de long, les travaux nécessitent la construction de 25 pylônes ancrés bien profond dans le sol afin de soutenir le tube contenant les capsules “supersonique”. Ces tubes vont être construits avec 40 mètres d’écarts sur un kilomètre de linéaire. Le tube se trouvera à 5 mètres de haut et plusieurs passerelles permettront d’accéder aux capsules.

Le fonctionnement de cette technologie sera mise en route grâce aux panneaux photovoltaïques qui se trouveront sur le dessus du tube. Les capsules dans lesquelles les usagers devront s’installer pour voyager vont mesurer plus de 30 mètres de long et le diamètre sera de 2,7 mètres. Au maximum, la capacité d’affluence de la capsule pourra atteindre 40 passagers.

Toulouse, cité des transports du futur ?
“Un incroyable écosystème de l’industrie aérospatiale”

Ces mots proviennent du directeur opérationnel de l’Hyperloop TT et confirment que Toulouse semble devenir une ville pionnière dans le développement des transports du futur. L’hyperloop qui a donc décidé de s’implanter à Toulouse sera accompagné par d’autres projets innovants et futuristes ! En effet, les taxis volants autonomes ainsi que les voitures autonomes ou encore les drones sont des projets qui se développent grâce aux startups qui viennent s’installer dans la ville rose.

Une véritable cité technologique est en train de s’installer à Toulouse. La combinaison de savoir-faire aérospatiaux et automobiles vont permettre de développer les transports de demain plus rapidement. De nombreux partenariats sont établis à Toulouse entre les différentes startups qui proposent des innovations technologiques.

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Le Salon de l’Immobilier de Toulouse ouvre ses portes du 9 au 11 mars 2018 | Actualités

Du 9 au 11 mars 2018, les potentiels acheteurs et investisseurs ont rendez-vous au Salon de l’Immobilier de Toulouse. Au programme : des dizaines de conférences et des conseils entièrement personnalisés avec des experts du secteur.

Le Salon de l’immobilier, un évènement dédié aux acheteurs et investisseurs
Si vous avez un projet immobilier en tête mais que vous avez encore quelques doutes sur les démarches à suivre, n’hésitez pas une seconde et foncez au Salon de l’immobilier. Rendez-vous devenu incontournable, le Salon de l’Immobilier propose de nombreuses rencontres entre les professionnels du secteur et les visiteurs de façon à les éclairer sur leur projet. Du 9 au 11 mars 2018, le Salon s’exposera à Toulouse, au Parc des expositions, pour sa 39e édition. L’année dernière, le Salon avait rassemblé 9210 visiteurs venus à la rencontre des 95 exposants. En mars prochain, tous les acteurs de l’immobilier se réuniront une nouvelle fois pour guider et accompagner au mieux les futurs acquéreurs et investisseurs.

Bon à savoir
Le prix moyen d’un logement toulousain est de 175 609 €.

Besoin de conseils pour votre projet immo ? Les experts vous écoutent !
Se rendre au Salon de l’Immobilier, c’est se donner l’opportunité d’aller à la rencontre d’agents immobiliers, de promoteurs, de constructeurs ou d’organismes de financement. Qu’on est comme projet un achat dans le neuf ou dans l’ancien, qu’on souhaite faire construire son logement ou que l’on souhaite obtenir des informations sur la gestion de patrimoine, le Salon de l’immobilier reste l’évènement le plus favorable pour trouver des solutions. Des conseils sont en effet offerts au travers de consultations gratuites sur rendez-vous et des conférences thématiques sont également proposées. En bonus, pour la 39e édition, les visiteurs pourront profiter d’une nocture le 9 mars… Laissez-vous guider !

Le Salon de l’immobilier à Toulouse
Du 9 au 11 mars 2018.
Parc des Expositions de Toulouse, Hall 5 Rond-Point Michel Benech.
https://www.salons-immobilier.com/toulouse

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Bientôt un nouveau marché de plein vent à Toulouse – actu.fr

Un marché de plein vent  va voir le jour place de la Cité de L’Hers, à Toulouse. 

Suggéré à la mairie de Toulouse par le comité de quartier de la Cité de l’Hers, ce projet a été travaillé en concertation avec Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire de Toulouse en charge du commerce et le maire de quartier Jean-Baptiste de Scoraille. Il fera, du reste, l’objet d’une délibération lors du conseil municipal de Toulouse, le 30 mars 2018. 

12 producteurs locaux chaque mercredi
D’ici l’été 2018, ce marché viendra animer la place de la Cité de l’Hers, récemment rénovée par la mairie de Toulouse, et déjà parsemée de commerces sédentaires.

Ce marché dédié à l’alimentation réunira une douzaine de producteurs chaque mercredi après-midi de 16h à 20h. 

Le 8e marché créé depuis 2014
Le marché de la Place de la Cité de l’Hers s’ajoutera aux 7 marchés de plein vent créés depuis 2014 : place Emile-Male, place du Salin, place des Pradettes, Saint-Martin du Touch, quartier Saint-Michel, place Dupuy et place Saint-Pierre.

« Lieux de rencontres et de convivialité appréciés des habitants, les marchés de proximité jouent un rôle important pour consolider le lien social », estime l’élu au commerce Jean-Jacques Bolzan.

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