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Syndics : Le décret précisant les documents à fournir aux copropriétaires est enfin paru !

Edouard Philippe l’avait promis : il publierait des décrets d’application relatifs à la gestion des copropriétés dans la foulée de la promulgation de la loi Elan. Ces derniers ont failli ne jamais voir le jour mais, ça y est, c’est fait ! Trois décrets d’application ont été publiés au Journal officiel fin mai. L’un d’entre eux définit la liste des documents, relatifs à la gestion de l’immeuble ou des lots gérés, que les syndics doivent mettre à disposition des copropriétaires et des membres du conseil syndical sur un extranet. Et ce, dans un souci de transparence et d’information.

Le 1er juillet 2020, le décret n° 2019-502 du 23 mai 2019, relatif à la liste minimale des documents devant être mis à disposition par le syndic sur un espace sécurisé en ligne dédié à la copropriété entrera donc en vigueur.

La liste minimale des documents dédiés à l’ensemble des copropriétaires est la suivante
1° Le règlement de copropriété, l’état descriptif de division ainsi que les actes les modifiant, s’ils ont été publiés ;
2° La dernière fiche synthétique de la copropriété réalisée par le syndic en application de l’article 8-2 de la loi du 10 juillet 1965 susvisée ;
3° Le carnet d’entretien de l’immeuble ;
4° Les diagnostics techniques relatifs aux parties communes de l’immeuble en cours de validité ;
5° Les contrats d’assurance de l’immeuble conclus par le syndic au nom du syndicat des copropriétaires en cours de validité ;
6° L’ensemble des contrats et marchés en cours signés par le syndic au nom du syndicat de copropriétaires, à l’exclusion des contrats de travail des préposés du syndicat ;
7° Les contrats d’entretien et de maintenance des équipements communs en cours ;
8° Les procès-verbaux des trois dernières assemblées générales et, le cas échéant, les devis de travaux approuvés lors de ces assemblées ;
9° Le contrat de syndic en cours.

La liste minimale des documents relatifs au lot d’un copropriétaire est la suivante
1° Le compte individuel du copropriétaire arrêté après approbation des comptes du syndicat par l’assemblée générale annuelle ;
2° Le montant des charges courantes du budget prévisionnel et des charges hors budget prévisionnel, des deux derniers exercices comptables clos, payées par le copropriétaire ;
3° Lorsque le syndicat des copropriétaires dispose d’un fonds de travaux, le montant de la part du fonds de travaux rattachée au lot du copropriétaire arrêté après approbation des comptes du syndicat par l’assemblée générale annuelle ;
4° Les avis d’appel de fonds adressés au copropriétaire sur les trois dernières années.

La liste minimale des documents relatifs à la gestion de dédié au conseil syndical, afin de lui permettre d’assurer sa mission d’assistance et de contrôle est la suivante
1° Les balances générales des comptes du syndicat des copropriétaires, ainsi que le relevé général des charges et produits de l’exercice échu ;
2° Le cas échéant, les relevés périodiques des comptes bancaires séparés ouverts au nom du syndicat des copropriétaires ;
3° Les assignations en justice délivrées au nom du syndicat des copropriétaires relatives aux procédures judiciaires en cours et les décisions de justice dont les délais de recours n’ont pas expiré ;
4° La liste de tous les copropriétaires établie par le syndic en application de l’article 32 du décret du 17 mars 1967 susvisé ;
5° La carte professionnelle du syndic, son attestation d’assurance responsabilité civile professionnelle ainsi que son attestation de garantie financière en cours de validité mentionnés à l’article 3 de la loi du 2 janvier 1970 susvisée.

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Syndics de copropriété : ces frais astronomiques qui seront enfin plafonnés

Le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé ce mardi différentes mesures visant à faciliter la mise en concurrence des syndics de copropriété et à sanctionner les professionnels qui ne joueraient pas le jeu de la transparence dans les contrats. Certains tarifs devraient quant à eux (enfin) être plafonnés.
Voilà une annonce du Premier ministre qui va ravir les copropriétaires. Dans son discours prononcé ce mardi à l’occasion des 10 ans de l’Autorité de la concurrence, Edouard Philippe a annoncé son intention de plafonner la tarification de l’état daté. Indispensable lorsque vous vendez votre logement, ce document qui présente un récapitulatif de la situation financière et juridique de la copropriété, était jusqu’ici facturé au bon vouloir des syndics de copro. La loi Alur de 2014 avait bien prévu un encadrement par décret de ces honoraires, mais 4 ans après son entrée en vigueur, ces textes ne sont toujours pas publiés.

Ce plafonnement est pourtant salutaire, quand on sait que certains syndics n’hésitent pas à facturer cette prestation plus de 1.000 euros ! Pour limiter la note, le gouvernement prévoit ainsi de plafonner le coût de l’état daté autour de 400 euros, la moyenne constatée sur le marché. Plusieurs seuils pourraient toutefois être instaurés par décret, afin de tenir compte des différents types d’état daté, établis en fonction de la taille, de l’ancienneté de la copro, des travaux qui y ont été réalisés, etc. D’après Matignon, ce plafonnement devrait également concerner les frais de recouvrement, dont l’encadrement était lui aussi prévu dans la loi Alur.

Des sanctions pour les syndics hors la loi
Autre bonne nouvelle : l’exécutif prévoit de mettre au pas les syndics qui ne respectent pas leurs obligations. Pour rappel, afin d’améliorer la lisibilité des prestations, la loi Alur a imposé aux gestionnaires de respecter un contrat type. Problème : il n’existait jusqu’ici aucune sanction à l’encontre des contrevenants. Aussi, nombre de professionnels peu scrupuleux s’étaient permis de supprimer des clauses et paragraphes de leurs contrats, rendant la comparabilité de ceux-ci quasi impossible aux copropriétaires. Une étude de la Direction générale de la concurrence menée en 2017, pointait ainsi un taux d’anomalie de 41% dans les contrats passés entre copro et syndics. Le non-respect de la présentation de ce contrat type conduira désormais à des sanctions : 3.000 euros pour les personnes physiques et 15.000 euros pour les personnes morales. Ces pénalités devraient être intégrées aux futures ordonnances qui prévoient de modifier le Code de la copropriété d’ici la fin de l’année.

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Syndics de copropriété : l’erreur de diagnostic du gouvernement

Pour Henry Buzy-Cazaux, président fondateur de l’Institut du Management des Services Immobiliers, Edouard Philippe a commis une erreur en pointant du doigt le manque de concurrence dans l’activité des syndics de copros. D’après notre expert, d’autres mesures seraient en revanche salutaires pour améliorer le fonctionnement des gestionnaires de biens.
La scène était singulière : à la faveur du dixième anniversaire de l’Autorité de la concurrence, on a vu le Premier ministre de la France s’abaisser à montrer du doigt trois secteurs d’activités, désignés comme de mauvais exemples de respect des règles de la concurrence, les concessionnaires automobiles, les auto-écoles et, entre tous, les syndics de copropriété. Oui, on peut déjà s’étonner que le Chef du gouvernement, alors que notre pays vit des moments de désarroi historique, en plein Grand débat, attache son attention à des enfreintes vénielles à la règlementation de la concurrence. L’homme a d’évidence une envergure, une stature même, et il est singulier qu’il l’ait oublié.

Qu’aurait-il légitimement dû faire à l’occasion de l’anniversaire de cette institution ? Dresser le bilan de dix ans d’action et démontrer que la concurrence se portait bien en France, notamment grâce à la vigilance publique. Certainement pas désigner d’un doigt accusateur des secteurs d’activité qui, pour importants qu’ils soient pour l’économie, ne sont ni cruciaux ni vitaux. C’est aussi confondre la fête, qui mène à prendre de la hauteur, et le quotidien de l’engagement. Surtout, Édouard Philippe n’a pas traité les trois cibles de la même manière : au moment où il a reproché aux syndics de n’être pas assez souvent mis en concurrence, il a posé ses lunettes au bout de son nez, scrutant l‘assistance et demandant à la cantonade qui y avait récemment changé de gestionnaire de sa copropriété. Cette dérision n’est pas de mise : l’appréciation portée sur l’orthodoxie d’un corps professionnel mérite mieux qu’un simulacre de sondage, qui plus est devant un public acquis. Facilité quand on est à la tribune et somme toute méchanceté gratuite.

Et puis, que les pouvoirs publics sanctionnent donc les syndics qui ne respectent pas la loi, soit parce qu’ils n’utilisent pas le contrat type de la loi du 24 mars 2014, soit parce qu’ils appliquent des tarifications interdites, soit parce qu’il serait démontré qu’ils se soustraient à la mise en concurrence en fin de contrat ! Aucun état d’âme, ni aucune gloire à en tirer. Cela dit, au nom de quoi prétendre, comme l’a fait le Premier ministre, que les copropriétés inclinent leurs copropriétés clientes à voter la dispense de mise en concurrence ? Les copropriétaires qui choisissent de ne pas se défaire de leur syndic en sont peut-être seulement satisfaits…

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Trois mesures à prendre, qui valent mieux que les humeurs et les railleries envers une profession, assez difficile pour qu’on la respecte et assez utile pour que le législateur l’aide à être plus vertueuse : la discipline, la transparence et la liberté entrepreneuriale.

Sur la discipline, Monsieur Philippe ignore sans doute, justement parce que ces détails ne sont pas de son niveau, que le gouvernement a abrogé la disposition de l’ALUR, confirmée et renforcée par la loi Égalité et citoyenneté, qui créait une authentique commission de discipline. Elle eût d’ailleurs concerné non seulement les syndics, mais aussi les gestionnaires locatifs et les agents immobiliers. Elle avait pouvoir de sanction, du blâme à l’interdiction d’exercer. L’ELAN, sur proposition de la FNAIM, a simplement maintenu un pouvoir d’alerte par le Conseil national de la transaction et de la gestion, de la direction de la concurrence. Autant dire pas grand chose. La profession avait là une chance historique de balayer devant sa porte, que l’État lui a reprise. Cécile Duflot avait sur ce sujet fait œuvre utile, Emmanuelle Cosse à sa suite avait amélioré la copie, instaurant une cotisation acquittée par les professionnels pour doter d’un budget cette instance de contrôle et de sanction. Monsieur Mézard a mis à bas ce travail d’un trait de plume. On ne sait si Julien Denormandie, alors seulement secrétaire d’État auprès de lui, était d’accord… On saurait se réjouir quoi qu’il en soit qu’il ait changé d’avis en changeant de fonction.

Il faut ensuite probablement mieux informer le public de ses droits, dont celui de mettre en concurrence. Soit, mais que le Premier ministre ne vienne pas dire que les syndicats de copropriété sont sous informés de façon structurelle. C’est faux : la presse spécialisée veille, les associations de consommateurs font leur travail avec efficacité, comme les ADIL (associations publiques d’information sur le logement). Admettons qu’on puisse progresser encore.

Enfin, hors de question de rendre la mise en concurrence obligatoire du syndic au terme de son contrat, sans nuance et de façon systématique. Monsieur Philippe devrait regarder de près la temporalité de la copropriété, qu’aucun oukase de Matignon ne pourra brusquer : préparer, obtenir et réaliser une décision de travaux lourds de rénovation énergétique prend cinq ans, pas cinq mois, ni deux ans. L’agitation contractuelle n’est pas bienvenue au sein des immeubles collectifs et elle est l’une des causes du retard fâcheux de la copropriété française en matière de développement durable, que constate le Plan Bâtiment Durable – qui fête également ses dix ans, comme l’autorité de la concurrence -. Les syndics ont besoin au côté des copropriétés du temps de l’action responsable.

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Il faut se garder, quand on est au pouvoir, de faire des moulins avec les bras. La tête froide, il faut observer sans a priori et donner les moyens à une profession de se discipliner, plutôt que de la priver des moyens de l’ordre, pour soutenir ensuite qu’elle ne fait pas le nécessaire.

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Copropriété : un comparateur classe les syndics en fonction des évaluations de leurs clients

Duflair, une jeune pousse lyonnaise, vous propose de comparer gratuitement les syndics en fonction de leurs honoraires et des évaluations de leurs propres clients.
La loi Alur, promulguée en 2014, devait assainir la concurrence entre les différents acteurs de la gestion de copropriété et amener davantage de transparence sur le marché. Cinq ans plus tard force est de constater que l’objectif est loin d’être atteint. En témoigne la récente sortie du Premier ministre Edouard Philippe, qui annonçait encore la semaine dernière de nouvelles mesures pour mettre au pas les professionnels. Pour les copropriétaires, trouver le bon syndic reste un parcours du combattant. Découragés par la complexité de l’affaire, nombre de copro jettent l’éponge et restent souvent enchaînées au même prestataire.

Heureusement, une jeune start-up lyonnaise apporte une solution originale pour vous aider à faire le tri. Baptisé Duflair, ce nouveau service propose de comparer les offres de syndics professionnels et de trouver la plus adaptée aux besoins de votre copropriété. Et pas seulement en matière d’honoraires ! La plateforme garantit aussi un comparatif basé sur la qualité des services de chacun… “Chaque syndic souhaitant être référencé sur Duflair nous fournit une base de contacts e-mail de ses clients, à qui nous envoyons une enquête de satisfaction, détaille Guillaume Andrieux, ancien gestionnaire de copropriétés et fondateur de Duflair. Ce qui nous permet ensuite de classer les offres en fonction du niveau de satisfaction des clients”.

Ce formulaire d’enquête se base évidemment sur les problèmes les plus souvent rencontrés par les copropriétaires. Il s’articule ainsi autour de 6 thématiques : la disponibilité et la réactivité du gestionnaire, la clarté de la comptabilité, la bonne gestion des charges, le suivi des travaux, la performance de l’extranet (l’espace en ligne de la copro) et la rotation des effectifs au sein du syndic. “Si vous n’avez pas d’interlocuteur régulier et que vous voyez toujours venir une personne différente, c’est que quelque chose ne tourne pas rond”, prévient au passage l’ancien gestionnaire.

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Au moment de mettre les syndics en concurrence, la plateforme vous demande de saisir certaines informations relatives à votre copropriété (nombre de lots, de bâtiments, présence d’un chauffage collectif ou d’une conciergerie, etc.) et à vos critères de choix (prix, délai de réaction du syndic, suivi de travaux, etc.). Duflair épluche ensuite les contrats-type de chaque cabinet, compare les honoraires fixes et vous dresse une liste des acteurs présentant le meilleur rapport qualité prix pour votre copro, avec une estimation du forfait final, pour chacun d’entre-eux. La plateforme vous propose ensuite de la mandater pour les démarches de souscription. Duflair se positionne en apporteur d’affaires et se rémunère ensuite auprès du syndic, après signature du contrat. Le service reste donc gratuit pour vous.

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Lancé à Lyon en 2018, ce nouveau service est encore embryonnaire. Pour l’heure, la plateforme ne référence encore qu’une soixantaine de syndics professionnels dans la cité rhodanienne et ambitionne d’atteindre la barre des 100 dans les prochains mois. Mais, fraîchement arrivé à Paris, Duflair a déjà démarché une quinzaine de professionnels dans la capitale et vise les 200 gestionnaires d’ici la fin de l’année.

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IlliCopro, la fin des syndics ?

Le site de Raphaël Di Meglio permet aux propriétaires de se passer d’un syndic de copropriété plus facilement.

Près de 15% des copropriétés en France sont gérées en direct, sans l’intermédiaire d’un syndic. Avec IlliCopro, ce juriste et ses associés Jérémy Krebs (le tech) et Victor Prigent (la compta) rendent ce modèle coopératif plus simple.

 

Appels de fonds, suivi du budget, relances, AG : depuis 2017, la plateforme a déjà séduit 250 copros en France. «On reçoit 200 demandes par mois», se réjouit Raphaël Di Meglio (photo ci-dessous). Le coût est attractif : 7 euros par mois et par logement. Et leur base de données fournisseurs (assurance, prestataires) permet de mieux négocier.

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Copropriété : cette facture très salée imposée par les syndics aux vendeurs

L’état daté, ce document facturé par le syndic aux copropriétaires lors de la mise en vente de leurs logements, atteint des montants exorbitants, selon 60 millions de consommateurs. Il ne prendrait pourtant que très peu de temps à être rédigé.
Tout particulier qui souhaite vendre un appartement ou un parking doit y passer. L’état daté, le document transmis par le syndic au notaire lors de la vente d’un logement, sert à faire un point sur la situation du vendeur envers sa copropriété. On y recense des informations comme les sommes restant dues au syndicat ou encore la dette du syndicat vis-à-vis des fournisseurs. Rien de bien sorcier a priori. Pourtant, ce document peut coûter bien cher au regard du peu de travail qu’il nécessite.

C’est tout du moins la conclusion de 60 millions de consommateurs. Le magazine a épluché une vingtaine de contrats de syndic de copropriété en 2018, et a calculé qu’un état daté s’élevait en moyenne à 500 euros. Ce montant a été rapporté au temps passé à la confection du document, donnée indiquée par les syndics eux-mêmes. Ces derniers consacreraient environ 5 heures à la rédaction. Soit donc 100 euros l’heure ! Ainsi, Immo de France facturerait 516 euros pour 5 heures officiellement déclarées, Nexity 466 euros pour 4,7 heures et Citya 468 euros pour 5,4 heures…

Des tarifs exorbitants qui seraient en plus trompeurs, selon une gestionnaire interrogé par le mensuel : “Les cabinets ont un logiciel qui remplit automatiquement tous les champs. Cela prend entre vingt à trente minutes. D’autres ne renseignent que la partie comptable, la partie administrative restant à faire : l’opération peut alors prendre jusqu’à 45 minutes.” De quoi obtenir une facture encore plus salée donc, à environ 1.000 euros de l’heure.

Et la douloureuse s’est alourdie de 20% en 2018. Car pour la même prestation en 2017, les syndics facturaient en moyenne 415 euros. A noter que le Parlement a voulu mettre fin à ces excès en 2014 lors du vote de la loi Alur sur le logement via un plafonnement du coût de l’état daté. Mais le décret d’application de la mesure n’est toujours pas paru.

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