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Les diagnostics techniques immobiliers obligatoires lors d’une vente

Les différents diagnostics techniques immobiliers obligatoires en cas de vente sont regroupés dans un dossier unique appelé Dossier de Diagnostic Technique (DDT). ­­Ce do­ssier doit obligatoirement être annexé à toute promesse de vente et à tout acte de vente d’un logement.

Le diagnostic métrage loi Carrez
Ce document permet de mesurer la surface privative habitable  en dehors des surfaces dont la hauteur est inférieure à 1,80 mètre. Il ne s’applique qu’aux immeubles en copropriété et pas aux maisons individuelles.

MARGE D’ERREUR CARREZ
En cas d’absence de mention du métrage loi Carrez d’un appartement, une action en nullité de la vente peut être engagée par l’acheteur. Si l’erreur de surface est supérieure à 5%, une diminution du prix de vente pourra être obtenue.

Le diagnostic DPE
Le diagnostic de performance énergétique donne un aperçu de la performance énergétique d’un logement par une estimation de sa consommation énergétique. Il se résume à un étiquetage sur une échelle de performance énergétique allant de A à G. Sa durée de validité est de 10 ans, hors travaux substantiels.

Le diagnostic amiante
Ce document doit mentionner la présence ou l’absence de matériaux ou produits contenant de l’amiante. Tous les immeubles dont le permis de construire a été délivré avant le 1er juillet 1997 sont concernés.

Le diagnostic plomb
Il correspond à un constat de risque d’exposition au plomb. Seuls les logements dont le permis de construire a été délivré avant le 1er janvier 1949 sont concernés.

Le diagnostic électricité
Il décrit l’état de l’installation intérieure électrique pour les logements dont l’installation a été réalisée depuis plus de 15 ans. Sa durée de validité est de 3 ans.

Le diagnostic gaz
Il se rapporte à l’état de l’installation intérieure de gaz pour les logements dont l’installation a été réalisée depuis plus de 15 ans. Sa durée de validité est de 3 ans.

Le diagnostic ERNMT
Ce document recense l’état des risques naturels, miniers et technologiques et concerne tous les bâtiments visés par un arrêté préfectoral précisant les communes concernées et la liste des risques prévisibles. Sa durée de validité n’est que de 6 mois.

Le diagnostic assainissement collectif
Il ne concerne que les logements non raccordés au réseau public (toit à l’égout) comme les maisons avec une fosse septique. Sa durée de validité est de 3 ans.

Le diagnostic termites
Ce document doit renseigner sur la présence de termites dans les zones délimitées par arrêtés préfectoraux, notamment le quart Sud-Ouest. Sa durée de validité n’est que de 6 mois et le diagnostic est à refaire en cas de nouvel arrêté municipal déclarant une zone d’infestation.

Le diagnostic mérule
Ce document doit informer sur la présence d’un risque de mérule (un champignon qui attaque le bois). Il ne concerne que certaines zones délimitées par arrêtés préfectoraux.

Le diagnostic radon
Depuis le 1er juillet 2017, les vendeurs d’un bien immobilier situé dans l’une des zones à «potentiel radon» (gaz radioactif incolore et inodore) sont tenus de réaliser un diagnostic pour informer leur acquéreur de l’existence de ce risque.

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L’immobilier s’emballe : voici les 17 coups tordus à éviter

Prix fous et délais de vente ultracourts : le risque de se faire avoir pour un acheteur ou un locataire n’a jamais été aussi grand. Notre guide complet pour réussir votre projet immobilier.
Avec un mètre carré qui frôle la barre des 9.000 euros dans l’haussmannien parisien et les 4.200 euros dans le neuf au niveau national, c’est peu dire que les prix de l’immobilier sont devenus fous ! Pas étonnant que ce gâteau suscite des appétits. Dans l’ancien, rien de plus courant désormais qu’un vendeur dissimulant les défauts de son bien, histoire d’arrondir le chèque chez le notaire. Dans le neuf, certains promoteurs soucieux de préserver leurs marges recourent volontiers à des matériaux bas de gamme, sans s’attarder sur les finitions. Quant aux bailleurs, peu résistent à la tentation d’enfreindre la loi pour redresser le rendement locatif de leurs investissements.

Que vous soyez acheteur, vendeur, copropriétaire ou locataire, sachez comment défendre vos droits contre ces abus en pagaille. Cela est d’autant plus indispensable que les règles du secteur ont été chamboulées voici trois ans par la loi Alur de Cécile Duflot, constituée de pas moins de 177 articles, régissant 199 mesures, et dont tous les décrets d’application ne sont pas encore parus.

Parmi ces nouvelles règles emblématiques figure l’encadrement des contrats de syndics, tout comme l’information des acheteurs lors du compromis de vente, sans oublier les honoraires d’agence à facturer pour une mise en location. De quoi, en utilisant astucieusement ces nouveaux droits, faire (un peu) baisser la facture.

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>> Retrouvez ci-dessous notre dossier complet « Immobilier : les 17 coups tordus à éviter »

– Comment obtenir réparation en découvrant des vices cachés ?

– Attention, certains promoteurs aménagent les contrats en leur faveur

– Comment les notaires freinent la baisse de leurs émoluments

– Emprunt immobilier : attention aux banques qui truquent l’amortissement du crédit

– Ces sites d’annonces immobilières qui jouent aux parasites

– Ces syndics qui facturent au prix fort l’état daté

– Méfiez-vous des acheteurs qui se désistent au dernier moment

– Syndics de copropriété : comment faire diminuer la note

– Attention aux fausses promesses des artisans en rénovation

– Copropriété : comment les ascensoristes poussent à la consommation

– Assurance habitation : comment les assureurs jouent la montre pour ne pas vous rembourser

– Immobilier : ces bailleurs qui continuent d’enfreindre les règles

– Locataires, attention aux charges cachées

– Les SCPI fiscales ne tiennent pas toutes leurs promesses

– Vous investissez dans le neuf ? Evitez les assurances inutiles

– Vous investissez dans le neuf ? Vérifiez bien les dossiers des locataires

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Crowdfunding immobilier : une croissance de 50 % en 2017 !

L’année 2017 aura été celle de tous les records pour le marché du financement participatif immobilier. Une croissance supérieure à 50 % a été constatée sur 1 an, avec près de 90 millions d’euros levés. 

En 2017, 30 millions d’euros ont déjà été remboursés aux investisseurs
Alors que la fin de l’année 2017 approche à grands pas, Homunity, plate-forme de crowdfunding immobilier, constate, début décembre, une croissance supérieure à 50 % sur le marché du financement participatif, avec près de 90 millions d’euros levés contre 62 millions en 2016. « Loin de n’avoir été qu’un épiphénomène de l’économie collaborative, le financement participatif immobilier est même devenu la branche la plus lucrative de l’ensemble du secteur », estime Quentin Romet, président de la plate-forme. Ainsi, le nombre de sorties positives a été multiplié par 2,3 par rapport à 2016 et près de 30 millions d’euros ont déjà été remboursés aux investisseurs des différentes plates-formes depuis janvier 2017. « Cela prouve la bonne santé du placement mais également une certaine stabilité d’un système d’investissement qui semble avoir trouvé son rythme de fonctionnement », selon Quentin Romet.

Bon à savoir
Le crowdfunding ou financement participatif propose de financer la construction immobilière, en offrant des placements à court terme (6 à 36 mois).

Crowdfunding : un ticket moyen de 7 000 € par investisseur
Depuis 2012, plus de 185 millions d’euros ont été collectés sur l’ensemble des plates-formes de crowdfunding immobilier. Le montant moyen des collectes reste stable en 2017, autour de 500 000 euros, tout comme le ticket moyen par investisseur, qui s’élève toujours à 7 000 euros. « Cette stabilité n’est toutefois pas forcément très révélatrice du marché car de plus en plus de plates-formes font le choix d’ouvrir certains projets aux investisseurs institutionnels ou family offices plutôt qu’aux particuliers », nuance Quentin Romet. Par ailleurs, le nombre de projets financés augmente sans cesse. Sur 2017, on en comptabilise près de 200 sur l’ensemble des plates-formes, certains se bouclant en quelques heures, voire en quelques minutes. Du côté des promoteurs immobiliers, le crowdfunding séduit tout autant car il « permet de répondre à leur problématique de fonds propres tout en conservant une marge beaucoup plus importante que s’ils faisaient appel à des fonds d’investissements », estime Quentin Romet.

Chiffres clés
Selon la plate-forme Fundimmo, le crowdfunding immobilier offre aux investisseurs des rendements annuels de 8 à 12 %

PLF 2018 : quel impact sur le financement participatif ?
En 2018, le nouvel impôt sur la fortune immobilière (IFI) concernera uniquement les patrimoines immobiliers d’une valeur nette de dettes supérieures à 1,3 millions d’euros. Les plus-values de placement dans le crowdfunding immobilier, qui sont des produits financiers, n’entreront donc pas dans le calcul de l’IFI. En revanche, elles entreront dans le régime du PFU (Prélèvement Forfaitaire Unique), qui concernera tous les gains tirés de placement, sauf prescriptions contraires par le législateur (livret A, PEA, PEA PME, etc.). « Ces gains seront imposés à hauteur de 30 % et il sera laissé aux contribuables […] la possibilité d’opter pour une imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu », précise la plate-forme Fundimmo. Selon Homunity, le PFU va permettre aux gros investisseurs de pouvoir reconsidérer une solution de placement financier parfois mise de côté à cause de l’imposition élevée (jusqu’à 45 % ou 60 %). Pour Quentin Romet, « il est donc fort probable que le secteur assiste à un afflux encore plus important de capitaux en 2018 ».

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Achat immobilier, location, fiscalité… tout ce qui change en 2018 !

Qui dit nouvelle année dit changements, et notamment du côté de l’immobilier : prolongation des aides à l’achat, arrivée de l’impôt sur la fortune immobilière ou encore suppression de la taxe d’habitation.

Immobilier 2018, quelles nouveautés en matière d’achat ?​
Le dispositif Pinel est prolongé pendant 4 ans
Si les ménages souhaitant accéder à la propriété peuvent se réjouir de la reconduite du PTZ, les investisseurs eux aussi peuvent avoir le sourire aux lèvres puisque le gouvernement a souhaité prolonger le dispositif Pinel pour favoriser l’investissement locatif dans l’immobilier neuf. Le dispositif est donc reconduit pour les 4 prochaines années dans les zones où la demande des logements excède fortement l’offre. Sont ainsi concernées, les zones A, Abis et B1. Dans les zones B2 et C, le dispositif n’est désormais valable que si les demandes de permis de construire ont été déposées avant le 31 décembre 2017 et si les logements sont en cours d’acquisition (avant fin 2018).

La loi Censi-Bouvard est maintenue en 2018
La commission des finances a donné son accord à la prolongation d’un an de la loi Censi-Bouvard dans l’objectif d’inciter à l’investissement dans les résidences-services étudiantes ou destinées aux personnes âgées, dépendantes ou handicapées. La loi Censi-Bouvard permet à tout acquéreur de bénéficier d’une réduction d’impôt sur la valeur hors taxes d’un bien. Des avantages fiscaux sont également prévus, comme la récupération de la TVA et la non-imposition des revenus locatifs perçus.

Bon à savoir
Pour bénéficier de la fiscalité de la loi Censi-Bouvard, il est nécessaire de louer la résidence de services pendant 9 ans reconductibles. Le montant de l’investissement est plafonné à 300 000 €.

Le Prêt à taux zéro (PTZ) est reconduit mais son champ d’action est recentré
Destiné à doper l’offre des logements, le Prêt à taux zéro (PTZ) est accordé aux ménages accédant à la propriété dans l’immobilier neuf et dans l’ancien avec travaux. Pour la nouvelle année, le gouvernement a souhaité reconduire ce prêt aidé en veillant tout de même à modifier certaines particularités. Concernant l’immobilier neuf, le PTZ est prolongé pour 4 ans et se recentrera davantage sur les territoires où la demande des logements excède l’offre (zones Abis, A et B1). Dans les zones B2 et C, zones principalement rurales ou périurbaines, le dispositif n’est prolongé que pour 2 ans mais la part de la dépense finançable par le prêt sera ramenée à 20 %, au lieu de 40 % actuellement. Concernant l’immobilier ancien, le PTZ est également reconduit pour 4 ans, mais exclusivement dans les zones B2 et C.

L’APL accession est supprimée pour acheter un logement neuf
L’APL accession version 2018 est restreinte aux personnes modestes qui achètent hors des grandes villes (le détail des zones est attendu par decret) un logement ancien et seulement pour deux ans. 

Bon à savoir
L’APL accession est maintenue, par dérogation, pour les acquéreurs de logements dans le cadre de la vente HLM, à condition que cette vente intervienne avant le 1er janvier 2020 et uniquement en zone 3.

Et du côté de la location, qu’est-ce qui change ?
La suppression de la taxe d’habitation entre en vigueur
La taxe d’habitation, payée par tous les occupants d’un logement est supprimée pour certains ménages français. Cette réforme, instaurée par le gouvernement, s’appliquera progressivement entre 2018 et 2020. Les ménages concernés par cette exonération progressive verront tout d’abord le montant de leur taxe d’habitation baisser de 30 % en novembre 2018 par rapport au montant acquitté en 2017. La baisse ressortira à 65 % en 2019 et atteindra enfin 100 % en 2020. Les personnes célibataires dont le revenu fiscal annuel de référence est inférieur à 27 000 €/an, les couples dont les revenus ne dépassent pas les 43 000 €/an et les couples avec enfants dans la limite de 55 000 €/an de revenus annuels, sont concernés par cette mesure.​

Les locataires qui souhaiteraient acheter verront les intérêts de leur PEL taxés
Attention aux locataires qui souhaiteraient, à l’avenir, ouvrir un compte PEL : désormais, tous les PEL ouverts depuis le 1er janvier 2018 sont soumis à un impôt forfaitaire de 30 % dès la première année (tout comme l’assurance-vie au-delà de 150 000 € placés par personne). En revanche, les plans ouverts avant cette date et les intérêts produits jusqu’à la veille du 12e anniversaire du PEL resteront exonérés d’impôt sur le revenu. Seuls les intérêts produits après 12 ans seront imposés.

Le bail mobilité fait son apparition sur le marché de la location
Pour cette nouvelle année un nouveau genre de contrat de location voit le jour : le bail mobilité. D’une durée de 1 à 10 mois, ce contrat spécifique, non renouvelable, a pour avantage de ne pas obliger le locataire à déposer une garantie « classique ». Les personnes louant un logement par le biais d’un bail mobilité pourront en effet bénéficier de la garantie Visale : un système de garantie locative financée par l’État en partenariat avec Action logement, et qui permettra de couvrir les éventuels impayés ainsi que la remise en état des lieux.

Bon à savoir
En cas de colocation, une clause de non-solidarité entre locataires est introduite dans le cadre du bail mobilité.

L’impôt sur la fortune immobilière fait son arrivée !
Comme l’avait promis le candidat Emmanuel Macron durant sa campagne, l’Impôt sur la Fortune va être remplacé par un impôt sur la rente immobilière. L’impôt sur la fortune immobilière concerne donc les foyers dont la valeur du patrimoine immobilier est supérieure à 1 300 000 € au 1er janvier de chaque année d’imposition. Le barème restera le même que celui de l’ISF et sera constitué de 6 tranches d’imposition avec des taux allant de 0 à 1,5 %. L’abattement de 30 % accordé au titre de résidence principale et le plafonnement de l’ISF seront maintenus, tout comme l’ISF-don, qui permet aux redevables de bénéficier d’une défiscalisation de 75 % du montant de leur don accordé à un organisme d’intérêt général.

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La taxe sur les cabanes de jardin devrait encore augmenter

Alors que la taxe d’habitation se prépare à tirer progressivement sa révérence, d’autres impôts immobiliers tout aussi injustes et impopulaires, voient leur poids augmenter. C’est le cas de la taxe «cabane de jardin», ou plus précisément «taxe d’aménagement». Cet impôt, fruit de la créativité fiscale de Bercy, a été instauré en 2012 et touche «toutes les opérations d’aménagement, de construction, de reconstruction et d’agrandissement de bâtiments ou d’installations, nécessitant une autorisation d’urbanisme» comme le rappelle le site Service-public.fr.

La valeur forfaitaire servant de base au calcul de cette taxe vient en effet d’être revalorisée de 3% en début d’année, selon un arrêté paru au Journal officiel le 10 janvier dernier. Résultat: ce montant s’élève désormais à 726 € le mètre carré hors Île-de-France (contre 705 € en 2017) et à 823 € le mètre carré en Île-de-France (contre 799 € en 2017). Pour connaître le montant de votre imposition, reste encore à connaître le taux d’imposition fixé par votre collectivité locale. Rappel: le taux communal est compris entre 1 et 5% mais peut monter jusqu’à 20% en période de gros travaux de voirie ou de création d’équipements publics, tandis que le taux départemental ne peut excéder 2,5% et 1% maximum pour le taux régional.

Piscines et panneaux photovoltaïques
Par ailleurs, les piscines sont également soumises à cette taxe (valeur forfaitaire: 200 euros le mètre carré) ou encore 10 euros le mètre carré de panneaux photovoltaïques au sol et même 2.000 euros par emplacement pour les aires de stationnement situées en extérieur. Certes, les collectivités ont la possibilité d’exonérer leurs contribuables de cette taxe, notamment pour les abris de jardin. Mais à une époque où la disparition de la taxe d’habitation inquiète les collectivités sur la disparition de leur ressource n°1, pas sûr que ces exonérations ne deviennent un

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Face aux mesures anti-Airbnb, la location meublée séduit à nouveau

Le téléphone a fréquemment sonné ces dernières semaines chez Lodgis, spécialiste de la location meublée traditionnelle. Au bout du fil, des particuliers qui, jusque-là, louaient leur logement sur Airbnb et songent à revenir vers de la location meublée traditionnelle. La société reçoit entre 230 et 250 nouvelles demandes par mois venant de propriétaires qui louaient jusqu’à présent en meublé touristique. En général, elles débouchent sur 60 à 70 nouveaux mandats par mois. «Cinq mandats ont été signés avec des propriétaires clairement identifiés comme anciennement Airbnb, explique Maud Velter, directrice associée de Lodgis. Ce chiffre peut sembler non significatif mais tous les propriétaires ne nous informent pas qu’ils pratiquaient antérieurement la location touristique.»

Cette tendance pourrait être le résultat des mesures prises par la mairie de Paris pour dissuader les propriétaires de continuer à passer par les plateformes de type Airbnb pour louer leur logement. Parmi elles, l’obligation depuis le 1er décembre dernier de s’enregistrer auprès de la mairie ou encore le risque de devoir payer une amende de 50.000 euros en cas de location illégale «qui fait peur à certains propriétaires», affirme Maud Velter. Parallèlement, deux annonces devraient sans doute encourager ces particuliers à revenir à de la location plus classique: l’annulation de l’encadrement des loyers à Paris d’une part et la création d’un bail mobilité, qui sera soumis au vote des parlementaires à l’automne, d’autre part.

Rentabilité deux fois plus élevée en meublé
Ce nouveau contrat de location permettra aux propriétaires de proposer des baux d’une durée allant d’un à dix mois, contre trois ans pour le logement nu et un an pour la location de meublés. A contrario, la durée des locations de meublés touristiques est plafonnée à quatre mois (ou 120 jours). En principe, ce bail couvrira toutes les situations où les locataires ont besoin d’un logement temporaire et non d’une résidence principale. Cependant, il existera toujours des contrats de quelques mois soumis uniquement aux dispositions du Code civil (bail de droit commun), par exemple en cas de location à une société pour y loger un collaborateur.

Serait-ce les premiers signaux d’un essoufflement de la location de meublés touristique? Peut-être, mais ce phénomène demande confirmation. Les prochaines semaines confirmeront (ou pas) cette tendance qui ne manquera, sans doute pas, de provoquer chez Anne Hidalgo un léger sourire.

À Paris, les loyers de la location meublée ont légèrement augmenté l’année dernière (+0,6%) alors que ceux de la location vide ont reculé de 0,6%, selon l’observatoire Clameur. «La rentabilité de la location meublée est deux fois supérieure à celle de la location vide (4% contre 2%), même si les loyers sont plus élevés mais l’écart avec la location vide se réduit. De 20% il y a dix ans, il est de 10% à 15% aujourd’hui en fonction du niveau d’équipement et de confort», explique la directrice associée de Lodgis. Sans surprise, ce sont encore et toujours les petites surfaces qui restent les biens les plus prisés. Les studios et les T1 (une chambre) représentent plus de 87% des biens loués, selon Lodgis. Les plus grandes surfaces (2 chambres et plus) sont, quant à elles, recherchées par les familles expatriées et les colocations étudiantes.

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Inondations : les précautions à prendre pour sécuriser votre logement

Les risques d’inondations en France refont surface en cette fin janvier. Une dizaine de départements sont concernés. Si vous habitez dans l’un d’entre eux, il est toujours préférable de prendre les devants et de sécuriser votre logement pour limiter les dégâts. «Certains assureurs peuvent réduire leurs garanties si les mesures de précaution n’ont pas été prises», prévient Christophe Triquet, directeur assurance du courtier en crédit immobilier et en assurance Meilleurtaux.com.

Voici donc quelques précautions à prendre:

• «construire des barrières» (avec des sacs de 15 à 20 kilos de sable par exemple) devant votre porte pour éviter que l’eau ne s’infiltre

• sceller vos appareils électroménagers au mur ou bien les surélever sur des palettes ou des parpaings pour les préserver de l’eau

• ranger vos documents importants (cartes d’identité, livrets de famille, actes notariés ou contrats d’assurance) ou vos biens de valeur au dernier étage de votre habitation

• ranger dans une zone abritée les produits chimiques ou d’entretien. Vous éviterez ainsi qu’ils se déversent dans votre logement, s’ils étaient emportés par les flots

• installer un grillage aux mailles serrées à l’entrée de vos conduits pour éviter que des détritus transportés par l’eau ne passent à travers. Cela vous facilitera la tâche au moment du nettoyage.

• pour limiter les risques de court-circuit, n’hésitez pas à faire appel à un électricien pour rehausser vos équipements électriques à risque comme le tableau électrique, les disjoncteurs ou les prises électriques. Idem pour la chaudière qui, dans l’idéal, doit être installée en hauteur

• si les encadrements de vos fenêtres sont en bois, pensez à les traiter, à l’extérieur et à l’intérieur, avec un produit hydrofuge pour éviter les infiltrations d’eau

• éviter d’entreposer des objets de valeur ou des équipements à risque dans votre cave qui est, bien évidemment, la première pièce à subir la montée des eaux

• penser à bien inspecter vos gouttières et ne pas hésiter à retirer les débris ou les feuilles pour que l’eau s’y écoule bien et ainsi éviter les dommages sur votre maison

ASSURANCE
Avant de parler indemnisation, n’hésitez pas à vérifier que vous êtes bien assurés contre les inondations. Si oui, pensez à réaliser un inventaire de vos biens et à conserver à l’abri tous les justificatifs qui pourront servir en cas de sinistre. «Prenez en photo les factures et vos différents biens puis stockez-les dans votre téléphone», conseille Christophe Triquet.

À SAVOIR
Si vous souhaitez entreprendre un chantier de grande ampleur pour préserver votre maison des risques d’inondation, il est impératif de vous renseigner auprès de votre municipalité. Certains travaux sont en effet soumis à une simple déclaration préalable, alors que d’autres réclament des démarches plus importantes, comme l’obtention d’un permis d’aménager ou de construire. Si vous ne respectez pas la législation en vigueur, votre assurance refusera de vous indemniser.

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À quelle carte se fier pour savoir si un logement est inondable ?

Comment sécuriser mon logement? Comment me faire indemniser? Telles sont les questions récurrentes que les particuliers se posent en cas d’inondations. Certains, et notamment les potentiels acheteurs, sont également soucieux, avant d’acquérir un logement, de savoir si la zone où ils vont peut-être habiter est inondable ou pas, autrement dit susceptible d’être envahie par l’eau lors des crues importantes d’une rivière.

» LIRE AUSSI – Inondations: les précautions à prendre pour sécuriser votre logement

Selon l’article L125-5 du Code de l’environnement, «acquéreurs ou locataires de biens immobiliers situés dans des zones couvertes par un plan de prévention des risques naturels et technologiques prévisibles», doivent être «informés par le vendeur ou le bailleur de l’existence de ces risques». Ce diagnostic fait partie de la liste des documents obligatoires (électricité, gaz, amiante, termites, plomb, surface loi Carrez) que le vendeur doit remettre à l’acheteur (ou le bailleur au locataire) au moment de la transaction. L’acheteur peut également consulter à la mairie de sa commune le plan de prévention des risques (PPR) qui lui indiquera si la zone où il envisage d’habiter est inconstructible, constructible sous conditions ou constructible avec conditions (en bleu sur notre carte, le zonage réglementaire des PPR inondation).

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» LIRE AUSSI – Pour les bailleurs, la liste des diagnostics obligatoires s’allonge

Depuis près de quatre ans, le ministère de l’Écologie a également mis à la disposition du grand public un site Internet: www.georisques.gouv.fr. Il permet de savoir si son logement est soumis (ou pas) à des risques d’inondation, de glissement de terrain ou encore de séisme, et s’il est situé sur une cavité souterraine ou encore à proximité d’un site pollué. En entrant votre adresse, vous pourrez ainsi connaître les risques associés à un territoire.

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Pourquoi acheter du neuf aujourd’hui en France ? · L’actualité de l’immobilier neuf

Acheter un logement est une étape importante dans la vie d’une personne. Mais la question, qui revient sans cesse est : est-ce une bonne idée d’investir dans le neuf ? La réponse est : oui. Nous vous montrons les avantages à acheter du neuf.
Sécurité
Lors de l’investissement dans un logement neuf, le bonheur est juste derrière la porte. En effet, la maison est prête et ne nécessite aucun travaux de suite, ni après. Ainsi, vous n’avez pas à vous projeter en terme de budget. De plus, la sécurité est également là pour vous rassurer : lors d’une Vente en l’Etat Futur d’Achèvement, vous avez des garanties en cas de pépins de construction.

Performance énergétique
Egalement, qui dit maison neuve, dit maison aux normes. En effet, les nouvelles habitations sont construites dans le cadre de réglementation RT 2012. Et c’est à ce moment là, que les économies arrivent. En effet, cette réglementation garantit une consommation énergétique optimisée, notamment dû à une bonne isolation, et à des équipements neufs, qui favorisent les équipements peu énergivores. Cela signifie, que vous n’aurez pas besoin de travaux d’isolation, ou vous n’aurez pas de déperditions énergétiques. Car, quand l’on connaît les tarifs de l’électricité, on n’aimerait pas la gâcher. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à vous renseigner ici. Il ne vous restera plus qu’à choisir un abonnement d’électricité qui correspond à votre profil de consommation, et le tour sera joué. Vous n’aurez pas à vous occuper d’éventuels travaux énergétiques. Pour vous donner un exemple voici les abonnements du fournisseur historique, que vous pourrez trouver ici.

A savoir : si votre logement est régi par la réglementation RT2012, elle sera éligible au dispositif Pinel, ce qui signifie que vous pourrez avoir une réduction d’impôt conséquente. N’hésitez pas à vous renseigner pour avoir plus d’informations.

Aides et subventions
En parlant d’économie, lorsque vous acquérez un logement neuf, les frais de notaire sont plus faibles (2 à 3%) que pour les logements anciens (6 à 8%). Vous pouvez également bénéficier d’avantages fiscaux, qui ne sont pas négligeables. En effet, vous serez exonéré de la taxe foncière, deux ans après l’emménagement dans votre logement. De plus, vous aurez une TVA réduite si vous êtes situés dans les zones ANRU. Enfin, vous serez éventuellement éligible au prêt à taux zéro. 80% des Français y ont accès. En effet, c’est en fonction du plafond de revenus. Attention, seuls ceux qui achètent leur première maison neuve et qui ont des travaux conséquents (25% du prix), pourront en bénéficier.

Confort
Les espaces seront lumineux et propres, le confort d’avoir une maison neuve est primordiale. Qui dit confort, dit internet, c’est pour cela que la plupart des logements neufs sont raccordés à la fibre. Et on ne va pas se mentir, investir dans le neuf permet de se forger un patrimoine durable. C’est un placement sûr et pérenne. En effet, même si vous voulez la revendre, vous n’aurez pas de mal, avec les prestations que le neuf peut offrir.

 

En résumé, investir dans le neuf, revient à avoir une bonne isolation, des plans récents et fonctionnels, une sécurité, des prestations de qualité et neuves, et surtout un logement prêt à être habité. Il ne vous restera plus qu’à le décorer à votre goût, et vous vous sentirez à la maison. De plus, n’hésitez pas à investir dans des chauffages qui pourront également vous aider à faire des économies, ceux qu’on appelle aujourd’hui, les chauffages intelligents. Ou les climatisations réversibles. De plus, si la maison est neuve, privilégiez la lumière natu

Sourced through Scoop.it from: blog.acheterduneuf.com

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Immobilier : les SCPI pour investir avec un petit budget

La SCPI, société civile de placement immobilier, permet de diversifier son patrimoine sur la pierre sans pour autant disposer d’un gros capital ou d’une capacité d’emprunt conséquente.
Disposer d’un tout petit budget ne vous interdit pas de commencer à investir dans l’immobilier. Comment ? En achetant des parts de sociétés civiles immobilières (SCPI). La somme investie peut être très faible et sans commune mesure avec celle injectée même dans l’achat d’une toute petite surface.

Les premiers prix unitaires de SCPI démarrent autour de 200 euros. Même s’il y a une obligation de souscrire un nombre minimum de parts, la mise de fonds initiale reste raisonnable peut avoisiner seulement quelques centaines ou milliers d’euros. L’investissement minimum conseillé dans ce type de placement tourne autour 7.500 euros.

Une bonne liquidité
Si un premier achat est volontairement « limité » pour cause de budget serré, rien n’empêche d’ajouter ultérieurement d’autres parts en portefeuille au fil de l’eau et au gré et de ses capacités financières et d’épargne.

Ce placement offre bonne liquidité, notamment pour les véhicules de taille importante et à capital variable lorsque le marché est porteur, ce qui est le cas actuellement. Acheter des parts d’une seule SCPI offre déjà une bonne répartition du risque contrairement à la détention d’un bien physique unique qui ne repose que sur la perception des recettes locatives d’un seul occupant.

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