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Toulouse, champion de France de l’habitat participatif

VIDÉO – La ville rose voit les choses en grand pour l’habitat participatif, cette formule où les habitants se regroupent pour créer leur habitation idéale à moindre coût. Dans le quartier de la Cartoucherie, ce projet de 89 logements est le plus grand de France et fait office de référence.

«Une aventure s’achève, une autre commence» pour Véronique Coutagny qui va emménager dans un T2 près du centre de Toulouse, dans la plus grande opération d’habitat participatif de France. Depuis quatre ans, elle a discuté, choisi, conçu avec ses voisins et les architectes, ce projet de 89 logements dans l’écoquartier de la Cartoucherie, situé sur une vaste friche industrielle à l’ouest du cœur historique de la ville rose.

Les habitants vont enfin pouvoir prendre possession de leurs appartements aux «Quatre vents». Le complexe est divisé en quatre immeubles de 4 à 9 étages, construits avec des matériaux simples: de la brique, du bois, et avec une architecture contemporaine sobre et discrète qui cache pourtant une opération ambitieuse. En plus de leurs appartements avec vue sur les Pyrénées, les habitants vont également bénéficier de plusieurs espaces partagés: une salle polyvalente de 125 m², une salle de bricolage, une salle de musique, plusieurs buanderies, une grande cuisine, un jardin en cœur d’îlot, des chambres d’amis…

«On paye une trentaine d’euros par mois pour tous ces espaces collectifs. Et dans 20 ans c’est à nous», s’enthousiasme Véronique Coutagny. Cette quinquagénaire pétillante et survitaminée est pourtant arrivée «par hasard» dans l’aventure participative: «C’est un ami qui m’a emmenée à la première réunion sur le projet en 2013. Je ne savais pas ce que c’était», dit-elle.

Il faut savoir que pendant longtemps, l’habitat participatif a été réservé à des gens très motivés, militants alternatifs ou adeptes de la vie en communauté, explique Stéphane Gruet, architecte et philosophe. Il dirige l’AREA (Actions études et recherches sur l’Architecture et la Ville) qui a orchestré «la participation», un véritable travail de fourmi entre les habitants et les autres acteurs. Que ce soit les bailleurs, les architectes ou la Métropole, il faut mettre d’accord tout le monde.

Car depuis quelques années, ce type de projet s’est institutionnalisé notamment avec la loi ALUR de 2014, qui a donné une définition juridique à l’habitat participatif. Parallèlement, de nouveaux modes d’accession au logement social ouvrent ces opérations au plus grand nombre.

Vers une institutionnalisation
Ainsi, l’office HLM toulousain, groupes des Chalets, opérateur de cette nouvelle résidence, en est à sa troisième opération participative. «Notre objectif, c’est de faire que les gens soient acteurs de leur cadre de vie», explique son directeur Jean-Paul Coltat. En l’occurrence l’originalité, c’est que l’office HLM a proposé cette aventure à des gens qui ne savaient rien, a priori, de l’habitat participatif.

Pour Rosine Lang, qui est venue dès la première réunion des Chalets, c’est avant tout l’attractivité financière qui l’a convaincue. Entre sa petite retraite et les revenus de son activité d’écrivain public, elle n’imaginait pas à 64 ans être en mesure de s’offrir un appartement. Grâce à un prêt conventionné, elle a pu acquérir le T2 de ces rêves pour le prix d’un loyer.

Comme Véronique, elle a découvert «sur le tas» la dimension de groupe du projet. Elle a fait partie des habitants qui souhaitaient, par exemple, avoir une cuisine communautaire au rez-de-chaussée d’un des bâtiments: «Moi je vis seule mais je n’aime pas cuisiner et manger seule», confie-t-elle. Elle raconte qu’au fil des réunions hebdomadaires, durant quatre ans, elle a noué des liens très forts avec ses futurs voisins.

«Réfléchir ensemble pour se connaître»
Francis Blot, un ancien ingénieur aéronautique «reconverti dans l’action culturelle», explique qu’une «collectivité» s’est ainsi peu à peu formée: «on a appris à se connaître, à définir comment on allait vivre ensemble», dit-il. Lui était tenté par l’habitat participatif qu’il avait vu fonctionner en Californie ou en Allemagne. «Le collectif c’est parfois lourd, mais c’est intéressant d’arriver à se mettre d’accord», lance-t-il, très fier de faire visiter la salle de musique insonorisée, ou l’atelier créatif qui pourra servir «le mercredi aux enfants».

Pour l’architecte Stéphane Gruet, éminence grise du projet, la participation réclame une méthodologie très rigoureuse: élaboration d’une charte, procédure de cooptation des habitants, procédure de programmation participative, suivi individualisé des familles. Selon cet architecte, l’intérêt majeur de l’implication des habitants dès le début du programme réside dans la définition «d’une sorte de pacte social local»: «en construisant son projet d’habitation le groupe se construit et des solidarités se créaient», conclut-il.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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Faut-il investir dans les résidences-services ?

Quels ont été les principaux déboires des investissements en résidences gérées?

Zéro souci de gestion, aucune charge (ou presque), des loyers garantis: les résidences-services ont longtemps été présentées comme LE produit miracle pour s’assurer un complément de revenus au moment de la retraite. D’autant que les investisseurs bénéficiaient de plusieurs avantages annexes: récupération de la TVA sur le prix, amortissement du logement et des meubles et accès à des réductions d’impôt sur le revenu via les dispositifs Perissol, Demessine, Robien ou Censi-Bouvard, suivant le ministre du Logement en place à l’époque. Mais, pour beaucoup, le miracle n’a pas eu lieu. Dans le meilleur des cas, les loyers garantis ont été rapidement revus à la baisse et, dans le pire, les locaux sont restés en déshérence à la suite de l’abandon du chantier ou à la faillite de l’exploitant. Des déboires qui étaient prévisibles.

En effet, les logements ont été, pour la plupart, commercialisés à des prix trop élevés: de 50 à 100 % au-dessus du marché local. Pour masquer ces tarifs gonflés et continuer d’afficher des rendements garantis proches de 5 %, les vendeurs ont surévalué les loyers. Cette politique a été tenable tant que l’exploitant a pu piocher dans les «fonds de concours» versés par le promoteur ; ces sommes destinées à aider au démarrage de la résidence ont souvent servi à financer les premières années de loyers. Ensuite, rattrapé par la réalité du marché, l’exploitant cessait de verser les loyers ou réclamait une baisse importante.

Les dispositifs fiscaux ont-ils une part de responsabilité?
Tout le laisse à penser, tant le jeu semblait structurellement vicié. On trouvait, d’un côté, des investisseurs éblouis par la carotte fiscale et, de l’autre, des opérateurs décidés à tirer profit de cet engouement coûte que coûte! La preuve, par exemple, avec le dispositif Demessine, en vigueur entre 1999 et 2010, qui a été à l’origine de catastrophes retentissantes, la première ayant été la faillite de l’opérateur Transmontagne à la fin des années 2010. L’objectif du Demessine était pourtant louable: dynamiser les zones rurales et développer le tourisme vert en accordant une réduction d’impôt aux particuliers investissant dans une résidence de tourisme. Mais le foncier étant très bon marché dans ces secteurs, les promoteurs ont bâti sans discernement, soutenus par des édiles locaux guère préoccupés de la viabilité économique
de ces opérations. Résultat, ces petits marchés ont été vite saturés et un grand nombre de résidences – pas toujours édifiées dans les règles de l’art – sont, aujourd’hui, à l’abandon.

Le dernier dispositif en date, le Censi-Bouvard, prendra fin le 31 décembre. Il ouvre droit à une réduction d’impôt de 11 % de la somme investie, dans la limite de 300 000 euros, répartie sur neuf ans. Sous la pression des consommateurs, les résidences de tourisme n’y sont plus éligibles depuis le 1er janvier 2017. Seuls les investissements dans des résidences étudiantes, seniors ou pour personnes âgées dépendantes ouvrent toujours droit à cet avantage.

Le marché s’est-il assaini?
L’inégibilité des résidences de tourisme au Censi-Bouvard a contribué à assainir le marché. Mais, attention, tous les secteurs d’activité ne se valent pas. Il apparaît qu’aujourd’hui les résidences destinées aux seniors et aux étudiants sont celles qui offrent le plus d’intérêts, et elles répondent à des besoins qui sont importants et vont le rester.

La situation est, en revanche, différente pour les établissements d’hébergement des personnes âgées dépendantes (Ehpad). Normes de plus en plus strictes, impossibilité de reconvertir la résidence en immeuble d’habitation, prix trop élevés: les griefs à leur encontre sont nombreux. D’autant que la valeur d’un Ehpad ne dépend pas de son emplacement mais du nombre de lits. S’il est inférieur à 80 (les anciens Ehpad ont souvent une cinquantaine de lits), l’établissement risque de ne pas être rentable et l’exploitant partira en ouvrir un autre, un peu plus loin! D’aucuns, d’ailleurs, n’hésitent pas à qualifier les Ehpad, de «véritable bombe à retardement». Vous voilà prévenu…

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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Décrochage du marché immobilier : les ventes baissent de 10,8 % en trois mois ! | Actualités

Les demandes des crédits immobiliers se faisant plus rares au cours des derniers mois, voilà que le nombre des ventes immobilières se met à baisser, lui aussi. Et pas qu’un peu ! En l’espace de trois mois, le nombre de transactions perd 10,8 %. Éléments d’explication.

Des transactions immobilières en chute libre !
Dans l’immobilier ancien, on assiste actuellement à un net décrochage du marché. Comme le fait remarquer Michel Mouillart, professeur d’économie à l’université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger, « le nombre de compromis signés a décroché en janvier : – 10,8 % en niveau trimestriel glissant ». Il est intéressant de constater que cette plongée du nombre des transactions immobilières dans l’ancien fait écho à une autre baisse, celle du nombre des crédits immobiliers. Or qui dit « achat immobilier » qui aussi bien souvent « crédit immobilier ».

PTZ restreint, suppression des aides à l’accession freinent les ventes
Il semblerait toutefois que le recul des prêts immobiliers ne soit pas la seule cause de la baisse des ventes des logements anciens. Michel Mouillart pointe ainsi du doigt non seulement « la remise en cause du PTZ sur les territoires où la demande est financièrement la plus fragile » mais aussi « la suppression des aides personnelles à l’accession ». La forte baisse du nombre de transactions immobilières dans l’ancien serait donc due à des prêts immobiliers plus difficiles à décrocher mais aussi à la remise en cause de certaines aides financières.

Bon à savoir
En France, un appartement dans l’ancien coûte, 4 079 € du m², en moyenne.
Sur l’année, les prix des appartements anciens augmentent de 4,7 %.
Dans l’ancien, le ralentissement de la hausse des prix se poursuit
Comme nous l’indiquent les données compilées par le baromètre LPI-SeLoger, dans l’ancien, la pression qui pèse sur les prix immobiliers se relâche de plus en plus. Un ralentissement est particulièrement visible si l’on s’intéresse au rythme trimestriel de progression des prix immobiliers. Les maisons voient ainsi leurs prix signés reculer (- 0,3 % sur les trois derniers mois) alors qu’à la même époque, en 2017, c’est une progression de 1,3 % qui avait été enregistrée. Même son de cloche du côté des appartements. Au trimestre, la hausse se limite à 0,7 % alors qu’un coup d’oeil dans le rétroviseur nous apprend qu’en 2017, les prix de ce type de biens étaient en hausse de 1,4 %. Sur l’année, force est de constater que les prix continuent toutefois d’augmenter : + 3,4 % sur les prix des maisons et + 4,7 % sur ceux des appartements !

Bon à savoir
L’évolution des prix immobiliers connaît de fortes disparités selon les villes. Alors qu’à Bordeaux, les prix s’envolent (+ 14,3 % sur l’année), au Mans, ils ne progressent que faiblement pour reculer à Besançon.

La marge de négociation sur un bien immobilier se stabilise
Si les acheteurs, faute d’obtenir un crédit immobilier et de pouvoir profiter d’aides financières de l’État, se font moins nombreux, les propriétaires-vendeurs, quant à eux, tendent à revoir leurs prétentions (et les prix de vente qu’ils affichent) à la baisse. Il résulte de cet état de fait une stabilisation des marges de négociation qui fait toutefois suite à plusieurs mois de progression. Tous logements confondus, la marge de négociation moyenne atteint actuellement 4,1 % du prix de vente – affiché – du logement.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Le Bayern Munich met à disposition des chambres avec vue sur le terrain

Les supporters du Bayern Munich pourront bientôt suivre un match de leur équipe depuis des suites d’hôtel, à l’intérieur de l’Allianz Arena. Un rêve possible grâce au nouveau partenariat entre le club bavarois et un groupe hôtelier. 

Finis les courants d’air glacés et les éclaboussures de soda à chaque action. Du moins pour certains supporters du Bayern Munich, qui auront la chance de pouvoir soutenir leur équipe au stade en étant allongés dans un confortable lit.

Grâce à un partenariat avec Marriott International, le Bayern Munch va pouvoir proposer à ses fans un service similaire à celui que veut proposer le Real Madrid dans le nouveau Santiago Bernabéu : des chambres de luxe avec une vue sur la pelouse. 

Karl-Heinz Rummenigge, président du Conseil d’administration du club, s’est réjoui de cet accord sur le site officiel du club :

« Je suis particulièrement heureux de pouvoir proposer ce service à certains de nos fans. Et ces derniers pourront également profiter de ce partenariat en dehors de l’Allianz Arena, étant donné que nous serons désormais en mesure de proposer des offres lors des matches à l’extérieur. »

Si le coût de la chambre n’a pas encore été dévoilé, on se doute qu’il risque d’en refroidir plus d’un. Il faudra donc probablement payer le prix fort pour admirer la spéciale de Robben depuis un cadre de rêve.

Sourced through Scoop.it from: footballstories.konbini.com

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L’immobilier est-il victime d’un matraquage fiscal ?

Xerfi, leader des études économiques sectorielles, décrypte dans cette vidéo la pression fiscale qui pèse sur la pierre.
Recentrage de l’impôt sur la fortune (ISF) sur les seuls actifs immobiliers, alourdissement de la fiscalité sur les revenus fonciers, réduction du dispositif Pinel (système de réduction d’impôt sur le revenu après un investissement locatif)… La France vit depuis quelques mois “une avalanche de mauvaise nouvelles” en matière d’immobilier, explique Alexandre Mirlicourtois, directeur de la conjoncture de Xerfi. Concrètement, les prélèvements liés au logement ont augmenté de 28% depuis 10 ans (14% à euro constant).

L’immobilier subit bel et bien une grosse pression fiscale, comme l’explique dans le détail cette vidéo Xerfi en tête d’article. La France est même le deuxième pays le plus taxé sur la pierre (derrière le Royaume-Uni) parmi les membres de l’OCDE. Il serait en revanche simpliste d’en conclure que l’immobilier est victime d’un véritable matraquage fiscal. Pour mieux se rendre compte de la réalité, il faut comparer les prélèvements liés à ce secteur avec le reste de l’imposition. En mettant en parallèle la courbe des prélèvements sur le logement et celle liée aux autres taxes, on se rend compte clairement qu’elles se suivent de très près depuis plus deux décennies. Il y a même une petite inflection de la taxation sur la pierre au début des années 2000, avec la mise en place à l’époque d’un taux de TVA réduit sur les travaux.

Retrouvez toutes les vidéos de Xerfi sur XerfiCanal TV. Le groupe Xerfi est le leader des études économiques sectorielles. Il apporte aux décideurs les analyses indispensables pour surveiller l’évolution des marchés et de la concurrence, décrypter les stratégies et les performances des entreprises, en France comme à l’international. Retrouvez toutes ces études sur le portail de www.xerfi.com

Sourced through Scoop.it from: www.capital.fr

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L’immobilier est-il victime d’un matraquage fiscal ?

Xerfi, leader des études économiques sectorielles, décrypte dans cette vidéo la pression fiscale qui pèse sur la pierre.
Recentrage de l’impôt sur la fortune (ISF) sur les seuls actifs immobiliers, alourdissement de la fiscalité sur les revenus fonciers, réduction du dispositif Pinel (système de réduction d’impôt sur le revenu après un investissement locatif)… La France vit depuis quelques mois “une avalanche de mauvaise nouvelles” en matière d’immobilier, explique Alexandre Mirlicourtois, directeur de la conjoncture de Xerfi. Concrètement, les prélèvements liés au logement ont augmenté de 28% depuis 10 ans (14% à euro constant).

L’immobilier subit bel et bien une grosse pression fiscale, comme l’explique dans le détail cette vidéo Xerfi en tête d’article. La France est même le deuxième pays le plus taxé sur la pierre (derrière le Royaume-Uni) parmi les membres de l’OCDE. Il serait en revanche simpliste d’en conclure que l’immobilier est victime d’un véritable matraquage fiscal. Pour mieux se rendre compte de la réalité, il faut comparer les prélèvements liés à ce secteur avec le reste de l’imposition. En mettant en parallèle la courbe des prélèvements sur le logement et celle liée aux autres taxes, on se rend compte clairement qu’elles se suivent de très près depuis plus deux décennies. Il y a même une petite inflection de la taxation sur la pierre au début des années 2000, avec la mise en place à l’époque d’un taux de TVA réduit sur les travaux.

Retrouvez toutes les vidéos de Xerfi sur XerfiCanal TV. Le groupe Xerfi est le leader des études économiques sectorielles. Il apporte aux décideurs les analyses indispensables pour surveiller l’évolution des marchés et de la concurrence, décrypter les stratégies et les performances des entreprises, en France comme à l’international. Retrouvez toutes ces études sur le portail de www.xerfi.com

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À Toulouse, Adopte ma tomate connecte les propriétaires de jardin et ceux qui veulent jardiner – actu.fr

Vous aimez profiter de votre jardin, mais vous manquez de temps pour sortir la binette et l’arrosoir pour vous en occuper? Une jeune start-up de Toulouse a la solution : Adopte ma tomate veut favoriser le co-jardinage en mettant en lien jardiniers et jardins.

Derrière cette idée, Octavia Ivan, une jeune roumaine installée dans la Ville rose depuis plusieurs années: 

Quand je suis arrivée à Toulouse, je me suis retrouvée sans les légumes du jardin de mes parents. Je n’en avais quasiment jamais acheté dans le commerce avant, ça a été un choc. Le contact avec la terre me manquait.

Mise en relation gratuite
C’est de ce manque que naît Adopte ma tomate. Le site met en relation gratuitement les propriétaires de jardins et les mains vertes en manque d’espace. Par le biais du site, les jardiniers amateurs peuvent trouver le jardin qui leur convient, qu’il soit potager, fleuri ou encore fruitier, à proximité de chez eux, aux horaires qui leur vont le mieux. Selon Octavia Ivan : 

Le principe est simple : travailler ensemble pour revégétaliser la ville, créer du lien social et intergénérationnel , tout en prenant du plaisir. 

Aujourd’hui, quatre personnes travaillent aux côtés d’Octavia Ivan au développement d’Adopte ma tomate. « J’ai pu concrétiser l’idée d’Adopte ma tomate lors de Wo’mixcity, un hackathon organisé par les Digital Girls, détaille Octavia Ivan. On a terminé à la seconde place et on a pu intégrer Momentum, un accélérateur de start-up. » 

Financé sur fonds personnels
Le site, qui a été lancé en novembre 2017, est financé sur des fonds personnels. Une campagne de crowdfunding devait être lancée  aux beaux jours, et des ateliers autour du jardinage doivent être organisés dès le mois de février.

Pour l’instant, le site ne référence que des jardins situés dans la Ville rose. Mais Octavia Ivan et son équipe comptent bien développer Adopte ma tomate :

Le monde est notre limite ! Nous sommes dans une période de changement. Heureusement, de plus en plus de personnes se rendent compte que nous ne pouvons plus continuer à consommer comme avant. Le retour vers la nature est donc implicite et sans frontière.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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Le gérant de La Pergola va proposer des « restos éphémères de qualité » lors des salons à Toulouse – actu.fr

C’est un gros marché décroché par Thomas Fantini, le gérant de La Pergola à Toulouse, qui a récemment ouvert deux nouveaux établissements dans l’agglomération : le restaurant Bistrot et Compagnie, à Labège, et la cave à manger Bonbonne, dans la Ville rose.

Son groupe Esprit Pergo a donc signé, en ce mois de janvier 2018, un partenariat très stratégique avec Toulouse Événements (filiale locale du leader de l’événementiel GL events), qui gère trois sites événementiels à Toulouse : le centre de congrès Pierre Baudis, Espaces Vanel et le Parc des Expositions.

Vers plus de « diversité gastronomique »
Créateur d’une douzaine de manifestations en propre par an, Toulouse Événements a donc signé sa première convention de partenariat avec le groupe toulousain de restauration. Désormais, lors de chaque manifestation organisée par Toulouse Événements, le public découvrira « un restaurant éphémère proposant des recettes réalisées sur place, avec des produits locaux et de qualité ». Les offres seront également proposées à l’ensemble des organisateurs et salons se tenant sur l’un des trois sites.

Patrice Vassal, directeur général de Toulouse Événements, explique :

Ce partenariat représente un nouveau virage dans notre positionnement et installe une réelle diversité dans notre offre gastronomique. Nous souhaitons ainsi ancrer la restauration plaisir et la convivialité au cœur de nos salons. La collaboration avec Thomas Fantini, reconnu pour la qualité de ses restaurants et l’importance qu’il accorde aux produits du terroir local, s’est donc naturellement imposée à nous.

Des « restos éphémères de qualité »
Cette collaboration vise à « proposer au public des restaurants éphémères de qualité » lors des salons, tout en conservant un tarif particulièrement attractif… Un menu enfant sera notamment mis en place, et trois concepts ont déjà été imaginés. Ils seront déclinés en tout ou partie selon les salons : Tonton Moustache & Pergo proposera « une cuisine traditionnelle régionale ». La Pergola et la Cabane offrira « une sélection de fruits de mer et huîtres de qualité ». Enfin, La Pergo promet des recettes entre « authenticité, qualité, convivialité et générosité ».

Thomas Fantini, fondateur du groupe Esprit Pergo, savoure l’idée de s’afficher dans ces trois sites de choix :

C’est une vraie fierté pour nous de travailler aux côtés de Toulouse Événements. Nous avons la volonté d’être présents dans les lieux les plus symboliques de Toulouse. Le Parc des Expositions (…) est un incontournable de la Ville rose, où les gens se donnent rendez-vous et se retrouvent dans un esprit de convivialité et de partage.

Un établissement repensé à Labège
Le patron de La Pergola fourmille décidément d’idées… Rappelons qu’il avait transformé en novembre 2017 son ex-Pergola de Labège en « Bistrot et Compagnie ». Avec un immense meuble pour mettre les bouteilles de vin en valeur, un grand comptoir arrondi autour duquel on peut s’asseoir pour grignoter, des tables en bois, une grande cheminée… Son groupe a mis les petits plats dans les grands pour (re)booster l’activité de l’enseigne.

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EN IMAGES. Un nouveau chemin permet de découvrir de l’intérieur le site de La Grave à Toulouse – actu.fr

Du brouhaha des allées Charles-de-Fitte au pont Saint-Pierre existe depuis quelques mois un nouveau chemin qui permet d’éviter le traditionnel détours par la rue Réclusane ou par la place centrale de Saint-Cyprien.

Un raccourci qui propose un gain de temps mais qui permet surtout de découvrir sous un autre angle le site emblématique de La Grave situé rive gauche. Un site très photographié depuis les quais de la Garonne mais jusqu’ici très fermé sur lui-même. 

Passer par une brèche dans le mur médiéval
Trouver ce nouveau chemin ouvert à l’automne 2017 nécessite d’être un peu curieux puisqu’il débute dans le jardin Raymond VI qui jouxte le musée des Abattoirs. Depuis l’été dernier, un passage a été créé dans le mur médiéval de la ville. Cette brèche débouche sur les voies de circulation interne à La Grave. Il faut alors longer plusieurs bâtiments avant de déboucher sur un grand jardin.

Après avoir longé le jardin, le promeneur se rapproche du dôme de La Grave, fait le tour de la Chapelle Saint-Joseph.

Ressortir de La Grave juste en face du port Viguerie
Il quitte le site par le porche débouchant sur la place Lange qui vient d’être rénovée dans le cadre du projet d’embellissement du port Viguerie.

Ce nouveau cheminement est une première étape du vaste projet qui va voir le jour sur le site de La Grave. Projet dont nous vous avions parlé il y a quelques mois.

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Maintien à domicile : 85 % des Français ignorent qu’ils peuvent bénéficier d’aides | Actualités

Avec le vieillissement de la population, le maintien à domicile des séniors est devenu un véritable enjeu de société. Pourtant, plus de 8 Français sur 10 ne savent pas qu’il existe des aides d’Etat pour adapter leur logement et faciliter leur quotidien.

Maintien à domicile : l’adaptation du logement est indispensable
Parmi les différentes solutions qui se présentent aux séniors pour leurs vieux jours, le maintien à domicile est l’une des plus plébiscitées. Néanmoins, pour les séniors qui occupent un logement avec un escalier, la prolongation de l’autonomie nécessite une adaptation particulière. 58,7 % d’entre eux sont confrontés à une situation d’urgence (chutes à répétition, incapacité à monter les escaliers). Or, un sondage réalisé par Prix-monte-escalier.fr, comparateur en ligne de monte-escalier, montre que plus de 85 % des Français ignorent qu’il existe des aides d’Etat pour l’adaptation de leur logement. « Pour les personnes éligibles, l’APA (Allocation Personnalisée d’Autonomie) et l’ALGU (Association d’aide pour l’adaptation du logement des personnes en situation de handicap) permettent des aménagements financiers pour l’acquisition et l’installation d’un monte-escalier », affirme Tanguy Millot, fondateur du comparateur.

Seuls 25 % envisagent de déménager en cas de non installation d’un monte-escalier. © Prix-monte-escalier
Chiffres clés
En 2014, 1,6 million de personnes étaient soutenues par des allocations d’aide à domicile dont 58 % sont des personnes âgées.

Monte-escalier : 80 % des propriétaires sont prêts à dépenser plus de 1 500 €
Près d’un sondé sur trois (27,6 %) envisage l’installation d’un monte-escalier pour éviter de rejoindre une maison spécialisée. L’attachement au logement ou au quartier de résidence sont des facteurs importants dans le processus d’investissement. Plus de 80 % des propriétaires sont prêts à réaliser l’effort financier nécessaire (plus de 1 500 €) pour s’offrir un monte-escalier et 24,9 % sont prêts à le faire même en location. Cependant, le prix reste le premier frein à l’acquisition d’un monte-escalier (54,1 %), devant les contraintes esthétiques ou d’installation (34,4 %). Paradoxalement, 51,8 % des Français sont prêts à faire le choix d’une marque européenne, gage d’une qualité accrue, même si le modèle et l’installation s’avèrent plus onéreux. Par ailleurs, 55,9 % des sondés privilégient le prix aux services et garanties associés.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com