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Cette cheminée de 60 mètres doit purifier l’air d’une ville chinoise

C’est une cheminée de 60 mètres de haut qui se dresse au cœur de son quartier. Mais au lieu de répandre de la fumée, le cylindre géant purifie (un peu) l’air que respirent les habitants de Xian, l’une des villes les plus polluées de Chine. Premier pollueur mondial, le pays tente par tous les moyens de produire de l’air pur, allant jusqu’à fermer les usines lors de pics de pollution. Des millions de Chinois ne sortent plus sans un masque qui filtre les particules fines et ont installé chez eux des purificateurs d’air.

À Xian (nord), ancienne capitale impériale qui ne voit plus le ciel bleu qu’un peu moins de la moitié de l’année, les autorités ont pris les grands moyens, avec un purificateur expérimental installé en banlieue afin de filtrer l’air de la rue. L’appareil, alimenté par l’énergie solaire, aspire l’air vicié au ras du sol et le filtre lors de sa montée dans la cheminée avant de le rejeter purifié dans l’atmosphère. Il peut nettoyer chaque jour entre 5 et 16 millions de mètres cubes d’air, en fonction du temps et du niveau de pollution, selon Cao Junji, expert environnemental à l’Académie chinoise des sciences. L’engin, qui est encore en phase de tests, réduit de 10% à 19% le taux de particules fines dans l’atmosphère dans un rayon de 10 km², a-t-il déclaré devant la presse. Un maigre résultat pour une métropole de 8 millions d’habitants: il faudrait une centaine de tours du même type pour couvrir toute la superficie de la ville sur 1000 km², a reconnu Cao Junji.

Pour un investissement de 12 millions de yuans (1,5 million d’euros) et un budget de fonctionnement de 200.000 yuans par an, ce combat contre les particules fines en ville revient cher. L’expert environnemental a d’ailleurs reconnu que le projet suscitait des doutes. «Moi-même j’étais sceptique. Mais les résultats sont bons. Ils répondent à nos attentes», a-t-il assuré.

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Finie la galère des clés perdues avec ce service national de livraison de doubles

L’angoisse de la clé perdue ou volée… juste avant le coup de matraque du dépannage d’urgence du serrurier. Pour éviter ce type de désagrément, plusieurs start-up proposent déjà depuis quelque temps, des services de livraison rapide de doubles des clés moyennant un abonnement annuel pour un tarif raisonnable. Un service déjà apprécié des têtes en l’air mais qui restait encore à une échelle assez artisanale se limitant à quelques grandes villes.

Changement d’échelle avec le lancement de Securkeys. «Parce que nous sommes partenaires des plus grandes compagnies d’assurances et des mutuelles, nous devions toucher toute la France dès le lancement du service afin de pouvoir le proposer à tous les souscripteurs», souligne Pascal Métivier, fondateur de cette société. L’idée est donc de couvrir l’intégralité du pays (hors DOM-TOM) avec un dépannage assuré en une heure maximum assuré sur 90% du territoire, le restant (zones difficiles d’accès, îles…) étant accessible en 2 heures.

Anonymat garanti
Comment réussir la prouesse de monter un tel réseau? En s’appuyant sur ce qui existe déjà, forcément. En l’occurrence, les doubles des clés sont stockés dans l’un des 137 centres de garde agréé CNAPS (Conseil national des activités privées de sécurité) répartis sur le territoire, des dépôts hautement sécurisés, gérés par le ministère de l’Intérieur et stockant aussi bien des objets et documents émanant d’institutions que de particuliers. Ensuite, en cas de besoin de dépannage, les doubles sont acheminés par des agents de sécurité salariés de société de télésurveillance, partenaires de Securkeys. Un suivi par GPS, à la manière des services de taxi, permet à l’assuré de suivre en temps réel le trajet de ses clés.

Côté sécurité, le service garantit un total anonymat à ses clients pour éviter à quiconque d’associer les clés à un nom. Les clés sont en effet stockées sans aucune mention d’adresse ou d’identité du propriétaire. Il ne renseigne que son code postal et génère un code-barres qui permettra de le relier à sa clé. Quant au paiement, il s’effectue via un tiers bancaire chargé d‘anonymiser le paiement. Même discrétion pour le dépannage puisque le client choisit l’endroit où il veut récupérer ses clés, en évitant généralement le lieu concerné.

Expédition de clés de voiture à l’étranger
Côté tarifs, ils illustrent parfaitement le principe: «l’erreur est humaine, mais l’entêtement (dans l’erreur) est diabolique». Le service coûte en effet 25 euros par an avec un dépannage compris, mais pour un sauvetage supplémentaire, il faudrait compter 150 euros pour une intervention en urgence (sous une heure) ou 75 euros pour une expédition sous 24 heures. À noter que le service permet de regrouper plusieurs clés (jusqu’à 3 ou 4) et que rien n’empêche de l’utiliser également pour ses clés de voiture. Ces dernières peuvent être expédiées partout dans l’Union européenne (si vous êtes partis à l’étranger), sous 24 heures.

À l’heure de la multiplication des systèmes de clés numériques, ce système de gardiennage a-t-il véritablement un avenir? La question n’inquiète pas Pascal Métivier. «Il y a 35 millions de logements en France avec au moins une clé et 42 millions d’automobiles, d’ailleurs en 2017, il y a eu 30 millions de reproductions de clés, un chiffre en forte croissance, car même les serrures électroniques s’accompagnent généralement d’une bonne vieille clé.» Pour cette année de lancement, il compte sur 60.000 à 80.000 abonnements mais se plaît déjà à rêver à «un objectif modeste, d’assurer 1% à 3 % du nombre de clés en France, soit un million d’entre elles, dans 4 ans».

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Quel avenir pour ces parkings parisiens à l’abandon ?

Des casernes ou commissariats obsolètes, des églises désacralisées, des bureaux vides, mais aussi des garages inutilisés. Paris manque de logements? «Qu’à cela ne tienne! Transformons nos garages existants plutôt que de les démolir! Il est faux de croire qu’on baissera les prix immobiliers en construisant plus», affirme Alexandre Labasse, architecte et directeur général du Pavillon de l’Arsenal. Une gentille pique à l’actuel gouvernement dont le projet de loi logement a pour mot d’ordre: «Construire plus et moins cher».

Quoi qu’il en soit, les faits sont là: près de 65% des ménages parisiens n’ont pas ou plus de voiture, selon l’Insee. La question de l’utilité des garages-parkings et leur obsolescence à terme se pose avec de plus en plus d’acuité. «À ce jour, aucun recensement exhaustif du nombre de garages capables d’être transformés n’avait été réalisé», déplore Alexandre Labasse.

Une agence d’architecture s’est attelée à cette tâche et en a identifié environ 500. Puis ce repérage a été réduit aux locaux dont les caractéristiques intrinsèques, dimensionnelles et/ou techniques laissent envisager un éventuel potentiel de transformation. Data Architectes en a ainsi sélectionné 135. «Il s’agit d’un réseau dense et assez bien réparti sur l’ensemble des vingt arrondissements de Paris», explique Colin Reynier, cofondateur de l’agence qui dévoile au Pavillon de l’Arsenal (IVe arrondissement de Paris) son exposition intitulée «Immeubles pour automobiles» (jusqu’au 2 septembre).

Au total, ces garages représentent une surface de plus de 600.000 m² et un volume de près de 2,4 millions de m3, soit 1 m3 par Parisien. «Les bâtiments étudiés regroupent également 150.000 m² de toitures actuellement sous-exploitées et immédiatement utilisables pour créer des espaces végétalisés», ajoute Raphaël Menard, président d’Elioth Ingénieurs. Si les 135 garages étaient transformés plutôt que démoli, ce serait l’équivalent de 120.000 tonnes de CO2 qui ne rejoindrait pas l’atmosphère. «Transformer plutôt que démolir permet de réaliser une économie de 40% d’émissions de CO2», affirme Raphaël Ménard.

Une fois vidés de leurs automobiles, ces immeubles peuvent adopter différents usages: des logements mais aussi des plateformes logistiques ou encore des lieux de stockage de matériau de construction et de déconstruction. Un quart des 135 garages parisiens doivent accueillir des logements sociaux. C’est notamment le cas d’un ancien garage et son parking aérien situé en plein cœur de Paris (voir notre photo ci-dessous). «Transformer un garage en logement est le programme le plus complexe d’un point de vue technique, usages et normes. C’est pourquoi la plupart des propriétaires adoptent la même stratégie: ils démolissent le garage. C’est dommage.»

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C’est l’année des gros travaux pour se créer un déficit foncier

L’année blanche sera-t-elle synonyme de nuits blanches pour les propriétaires bailleurs s’interrogeant sur l’opportunité d’effectuer des travaux avant le passage au prélèvement à la source en 2019? Dans un premier temps, il est apparu que puisque les loyers perçus en 2018 ne seront pas soumis à l’impôt sur le revenu, il n’y avait aucune raison d’effectuer des travaux cette année-là puisqu’ils ne seraient pas déductibles. Afin d’éviter un blocage de gros travaux importants ou urgents cette année-là un mécanisme incitatif a alors été mis en place.

Comme le souligne cette vidéo (voir l’illustration principale) réalisée par le cabinet de conseil en gestion de patrimoine Cyrus conseil, l’année 2018 se prêtera particulièrement bien au déficit foncier avec un exemple chiffré à l’appui. Le mécanisme du déficit foncier se met traditionnellement en place lorsque les loyers que perçoit un bailleur sont plus faibles que ses charges (en cas de gros travaux en général). Ce déficit peut alors s’imputer dans la limite de 10.700 euros par an sur les autres revenus du contribuable. C’est là qu’intervient le bonus fiscal sur les travaux réalisés en 2018: s’ils n’ont aucun impact sur les impôts de 2018, les déficits importants se reporteront sur les années suivantes avec un bonus de 50%.

Un bonus de 50% en 2019
En effet, si vous réalisez par exemple 100.000 euros de travaux en 2018 (et aucun en 2019), ce montant se déduira une première fois (à 100% en 2018) et une deuxième fois (à hauteur de 50%, soit 50.000 euros dans cet exemple) en 2019. Le mécanisme viendra ainsi grossir le déficit reportable et maximiser les économies d’impôts.

À noter: ce bonus ne fonctionne à plein que pour les déficits fonciers importants. Le montant des travaux doit dépasser le double des loyers perçus auxquels on ajoute 21.400 euros (2x 10.700 euros imputables sur vos revenus en 2018 et 2019). Par ailleurs, cet exempIe simplifié ne prend pas en compte la perception de revenus exceptionnels en 2018 qui vient compliquer les calculs. Ces revenus seront en effet imposés en 2018 et ne seront pas annulés via le crédit d’impôt modernisation du recouvrement (CIMR) comme les salaires et loyers perçus habituellement, ce qui peut modifier sensiblement les résultats. Il est encore temps de se lancer dans un gros chantier.

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Cette alternative au viager permet aux seniors de rester chez eux

Le viager, s’il peine à se diffuser largement, répond à une vraie préoccupation des personnes qui vieillissent et ont des besoins financiers croissants que leur retraite ne peut couvrir. Mais les freins psychologiques du côté des investisseurs restent importants. Peut-être alors que cette nouvelle formule séduira un plus large public? Baptisée «Portage Leasimo», cette solution financière vient d’être lancée par Stayhome, une société basée à Montpellier (Hérault) spécialisée dans le portage immobilier. Le portage classique permet généralement à des propriétaires en difficulté financière de vendre leur bien (jusqu’à 70% de sa valeur) à un particulier «porteur» pour une durée maximale de 5 ans. L’ancien propriétaire versera au porteur un loyer mensuel et pourra à tout moment racheter les lieux au prix initial si sa situation financière s’est améliorée.

Mais les seniors ont des besoins différents et d’autres capacités financières. «Dans les dossiers de portage que nous examinons, nous étions sollicités par des personnes trop âgées pour disposer d’un financement bancaire, explique Patrick Drack, cofondateur de Stayhome. Or, ces personnes ne peuvent souvent pas payer de loyer, vu la faiblesse de leurs revenus. C’est pour eux que nous avons mis au point cette formule, d’autant qu’à 55 ans nous sommes directement confrontés avec mon associé, au vieillissement des parents et à leur prise en charge.»

40% de la valeur mise à disposition
Dans le cas de seniors qui souhaitent disposer de liquidités (pour financer leurs proches ou des projets personnels), ils peuvent mettre leur bien en vente temporaire pendant 10 ans au maximum. Le bien sera vendu à des investisseurs à 80% de sa valeur et les propriétaires pourront disposer directement de 40% de la valeur comme trésorerie. Ici, pas de loyer mensuel à verser par les anciens propriétaires, la totalité des loyers théoriques sera versée à l’investisseur au moment du rachat ou de la revente du bien. L’intérêt de la formule, c’est qu’en cas de décès prématuré des seniors, il n’y a pas d’impact sur le montant versé par le porteur puisqu’il est fixé dès le début de l’opération. Par ailleurs, la formule rend la transmission de patrimoine toujours possible puisque les seniors peuvent à tout moment racheter leur logement.

Ce genre de service ne risque-t-il pas de prospérer sur la fragilité des personnes recherchant un financement? «C’est une question d’équilibre, estime Patrick Drack. Il ne s’agit pas d’enfoncer des personnes en difficulté, ni de recruter des investisseurs trop agressifs tout en protégeant leur investissement.» De son côté, la société Stayhome se rémunère, comme une agence immobilière, en prélevant entre 6% et 7% de la transaction réalisée entre particuliers. Selon Patrick Drack, sur le portage classique, 85% des personnes portées ont pu récupérer leur bien et il ne déplore qu’une seule expulsion sur 250 dossiers traités.

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La voiture autonome pourrait bouleverser l’immobilier

Il ne fait aucun doute que la voiture électrique ainsi que la voiture autonome vont profondément bouleverser notre rapport à l’automobile. Mais celles-ci auront aussi un impact dans toutes sortes de domaines inattendus. Par exemple, certains observateurs pensent que la voiture électrique pourrait menacer l’industrie de la boisson en faisant disparaître les stations-service.

Concernant la voiture autonome, on sait déjà qu’elle va entraîner de grandes évolutions au niveau des infrastructures urbaines. En effet, il faudra notamment que la signalisation et le marquage au sol évoluent pour être non seulement détectés par les véhicules mais également pour qu’ils puissent communiquer avec eux. Voilà pour ce qui est des conséquences les plus évidentes. Mais il y en aura d’autres qui ne viennent pas immédiatement à l’esprit.

La voiture autonome signera-t-elle la fin des garages individuels ?
Dans un article publié par le site Forbes, un analyste spécialisé en immobilier pense par exemple que le développement de la voiture autonome pourrait conduire à une diminution des places de stationnement et autres garages individuels, lesquels pourraient alors être reconvertis en surfaces habitables. Son raisonnement s’appuie sur le fait que les utilisateurs auront massivement recours à des services de taxis autonomes, comme ceux sur lesquels planchent notamment Uber et Google.

Donc, si de moins en moins de personnes possèdent une voiture, cela entraînera, de fait, une diminution du nombre de places de stationnement nécessaires. Autant d’espaces qui pourraient par exemple être reconvertis en surfaces constructibles dans des zones urbaines en forte tension. Dans la même logique, les logements individuels n’auront plus nécessairement besoin d’un garage, ni d’une allée, qui pourraient là aussi être exploités différemment pour étendre la surface habitable. Tout ceci reste évidemment de l’ordre de la spéculation et ne se vérifiera pas avant de nombreuses années. Mais cette approche décalée a le mérite d’élargir le spectre de la réflexion autour de la voiture autonome.

Sourced through Scoop.it from: www.futura-sciences.com

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Insolite : des églises rénovées en habitation ! | Au coeur de l’Immo

Qui n’a jamais imaginé rénover un bâtiment abandonné ? Ce n’est désormais plus une utopie, des architectes du monde entier se sont lancés dans l’incroyable projet de restauration d’églises. Bien souvent à l’abandon, ces adeptes de l’art et de l’architecture d’époque ont décidé de donner une nouvelle vie à ces églises en les retapant du sol au plafond. Découvrez les rénovations les plus inattendues !

Insolite : des églises rénovées en habitation !, source : Masculin.com

Une ancienne chapelle Baptise de 1953 rénovée en un magnifique loft
Des architectes renommés ont été à l’initiative de cette métamorphose. Cette ancienne chapelle victorienne de Westbourne Grove à Notting Hill construite en 1953 a entièrement été rénovée en un magnifique loft d’exception à la fois design et moderne.

Une église métamorphosée en une maison standing
En 2004, les nouveaux propriétaires ont fait de cette église des Saints Sauveurs à Londres, une maison luxueuse. Baignoire en or, plafond tapissé de feuilles de platine ou même salle de cinéma privative, les acquéreurs n’ont pas lésiné sur les moyens ! 

La rénovation d’une église du XIXème siècle
Le célèbre cabinet d’architecture Zecc a entrepris la rénovation d’une église du XIXème siècle située au Pays-Bas, en un immense appartement de 475m2 au style contemporain. L’architecture d’origine a été conservée mais cela n’a pas empêché les nouveaux propriétaires de faire un travail d’aménagement époustouflant.

Non à l’abandon, oui à la rénovation !
Pas question de laisser à l’abandon cette magnifique église ! C’est avec un goût prononcé pour l’art contemporain, qu’une équipe d’architectes a réhabilité ce bâtiment en un sublime loft. Malgré les nombreux travaux d’aménagement, l’identité de l’édifice reste tout de même bien présente notamment grâce aux vitraux qui ont été conservés.

La transformation d’une église australienne en une habitation d’exception
Construite en 1876, l’église australienne John Knox a entièrement été retapée par William Boag Architects, il y 9 ans. Le volume de cet ancien sanctuaire s’avère être un réel atout en termes d’architecture d’exception.

Une église en briques ?
La particularité de cette église située dans le parc Mission Dolores à San Francisco, réside dans cette étonnante façade en briques inspirée du modèle gothique et austère. Pour ce qui est de l’intérieur, le style d’époque a été conservé pour en faire un véritable cocon familial. 

Une église rénovée en plusieurs lofts
Contrairement aux autres rénovations, cette église méthodiste du parc Howard située au Canada a été métamorphosée en plusieurs lofts de prestige.

Church of Living : un projet pleins d‘ambitions
Encore un projet ambitieux des architectes de Zecc. C’est en 2010 que les entrepreneurs ont décidé de s’attaquer à cette superbe église. Pour ce qui est de la peinture ils ont tout misé sur le blanc !

La réhabilitation d’une église en charmants petits lofts
Cette église presbytérienne de Toronto a été réhabilitée en plusieurs petits lofts charmants. Le charme des hauts plafonds et des poutres apparentes ne laisse insensible personne…

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Miami : un promoteur immobilier prépare l’arrivée des véhicules volants

Un promoteur immobilier en charge de la construction d’une tour, à Miami, a modifié ses plans pour installer une piste d’atterrissage sur le toit. Le chantier est en cours et l’entrepreneur est persuadé que dans les 10 ou 15 prochaines années, les véhicules volants feront partie de notre quotidien.

Ce jeudi 19 avril 2018, Julie Hammett, dans sa chronique « Images insolites », nous parle d’une piste d’atterrissage pour véhicules volants sur le toit d’une tour de Miami. Cette chronique a été diffusée dans La Matinale du 19/04/2018 présentée par Adrien Borne sur LCI. Du lundi au vendredi, dès 5h45, Pascale de La Tour du Pin vous présente la Matinale entourée de ses chroniqueurs.

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Découvrez à quoi ressembleront les villes en 2050

Aujourd’hui bruyantes, congestionnées et énergivores, les grandes villes de la planète pourraient changer de visage. Pour faire place à des mobilités plus douces et plus fluides, davantage de verdure, d’espaces publics ou partagés et d’immeubles capables de changer d’usage. Bien sûr, cette ville de l’avenir sera durable et économe en ressources. C’est en tout cas les projets et les initiatives déjà lancées ici et là, par les acteurs de la ville.

Pourquoi tant de bouleversements alors que la cité existe depuis des millénaires? Deux facteurs expliquent ce changement. D’abord, le monde se «métropolise». En 2050, deux tiers des habitants de la planète seront citadins. Or les villes d’hier ont été bâties pour une population plus réduite et moins mobile. Sans oublier les ressources naturelles qui s’épuisent et le climat qui change. Ensuite, l’accélération technologique (numérique, intelligence artificielle) aura des répercussions sur cet écosystème complexe qu’est la ville.

L’arrivée de nouvelles mobilités va transformer la cité. «La mise en service d’un réseau de véhicules autonomes partagés permettra de choisir un itinéraire commun avec un trajet optimisé», prévoit Cécile Maisonneuve, présidente de La Fabrique de la Cité, un think-tank sur les innovations urbaines. «On va s’orienter vers des transports en commun à la demande», poursuit Julien Villalongue, directeur prospective et innovation de Léonard, plateforme prospective et d’innovation du groupe Vinci. À terme, cela amènera à la suppression des bus et des arrêts traditionnels sur la voirie, tout comme celle des places de stationnement. La libération de ces espaces sur la voirie pourra être ainsi redonnée aux habitants. «Ces gains de surfaces sont une juste contrepartie à la ville plus dense. Avant, les lieux publics n’étaient que des interstices résiduels entre deux immeubles, demain ils seront conçus pour offrir un environnement de qualité», assure Thibault Lauprêtre, directeur général des projets transverses d’Altarea Cogedim.

«Sense-City»
Dans la ville de demain, des capteurs seront disséminés partout. La ville intelligente permettra même de faire dialoguer l’éclairage public et les feux de signalisation avec le trafic automobile ou la présence des passants. Une miniville grandeur nature, baptisée «Sense-City», vient d’être construite sur le campus de la cité Descartes à Champs-sur-Marne. «Nous y testerons dans des conditions réelles l’efficacité de ces capteurs et leur vieillissement dans le temps. Car dans notre ville sous globe dotée d’un immeuble, de deux maisons et de routes, les précipitations et la température sont réglables à volonté», détaille Anne Ruas, chercheuse à l’IFSTTAR et collaboratrice de ce projet de recherche qui va durer trente ans.

Si les données récoltées par les capteurs seront utiles en temps réel pour la bonne gestion de la ville, elles seront aussi stockées et analysées par la municipalité ou l’exploitant de ces systèmes pour créer de nouveaux services gratuits ou payants pour les habitants. «Pour bien récupérer et exploiter toutes ces données et communiquer avec ses habitants, la “smart city” devra disposer évidemment d’une haute connectivité Internet avec la 5G accessible partout», insiste Frédéric Motta, directeur général de WiredScore France.

Défi de la verticalité
«L’augmentation du nombre d’habitants va obliger à densifier encore, en jouant sur la verticalité des immeubles et en valorisant les sous-sols. Aujourd’hui sous-exploités, ces derniers pourraient être mieux aménagés créant ainsi des surfaces supplémentaires», affirme Cécile Maisonneuve. «C’est d’autant plus crédible, qu’avec l’essor des véhicules autonomes partagés, les nombreux parkings sous-terrain deviendront inutiles», complète Julien Villalongue.

La cité de demain promet aussi d’être énergétiquement plus sobre. Ainsi à l’échelle d’un îlot ou d’un quartier de ville, la «smart city» sera en mesure de connaître précisément la production et la consommation énergétique (chauffage, électricité). «Il sera possible de piloter des transferts et des échanges d’énergies entre différents bâtiment process (logements, bureaux, équipements publics)», prévoit Maurice Sissoko en charge du pôle promotion d’Icade.

Plus verte, la ville de demain fera la part belle à la biodiversité avec ses immeubles aux façades encore plus végétalisées et l’essor de l’agriculture urbaine sur les toits d’immeubles ou à leurs pieds. Priorité sera donnée aux circuits courts et à l’économie circulaire. «Les nouveaux immeubles seront érigés avec une partie de matériaux recyclés issus d’anciennes constructions», affirme Nicolas Gravit, directeur général d’Eiffage aménagement.

«Dans tous leurs appels à concours, les municipalités demandent aux candidats de concevoir des morceaux de ville de plus en plus grands, à la fois verts, mixtes, innovants et générant du lien social. La sélection se base sur les propositions innovantes avant même que le quartier ne soit dessiné», souligne Véronique Bédague, secrétaire générale de Nexity. Qualité de vie, bien-être et santé devraient être au rendez-vous de la ville de demain. Mais son individualisation à outrance ne risque-t-elle pas d’isoler les habitants?

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On pourra bientôt vivre en forêt en plein centre-ville

Pensés pour lutter contre le réchauffement climatique et favoriser la biodiversité, les projets de forêts verticales sont peut-être la solution qui grandit, qui grandit…

Un succès à l’échelle mondiale. Lorsque l’architecte Stefano Boeri dévoile son projet en 2014, deux tours installées à Milan agrémentées de 20 000 arbres, il fait vite des émules. Paris, Utrecht (Pays-Bas), Nanjing (Chine) ou encore Lausanne (Suisse) emboîtent le pas et projettent de construire des sylves similaires. Même Toulouse en parle… Esthétiquement, elles apportent une diversité et un éclat assez spectaculaire.

Sur le plan écologique, ces plantations offrent plusieurs avantages : « Les trois quarts des émissions de CO2 sont produites en ville, or le CO2 est un fertilisant pour les arbres, les forêts absorbent 40% des émissions des combustibles fossiles. Il faut combattre l’ennemi sur son terrain », estime l’architecte italien dans un article du Monde. Les plantes atténuent aussi la canicule en été.

Plantage assuré ? Sur le papier, ces forêts n’ont que du positif. Mais bon nombre de ces projets sont encore en phase préparatoire. En cause : de nombreux problèmes techniques comme le poids de la terre pour faire pousser les arbres, le choix des plantes (car absence en altitude de certains insectes pollinisateurs) ainsi que le prix élevé de ces infrastructures (550 millions de coût estimé pour un bâtiment à Paris) font que ces forêts verticales risquent de mettre du temps à voir le jour.

Autant d’obstacles qui n’empêchent pas les promoteurs de se lancer dans des plantations plus folles les unes que les autres. Un exemple ? La ville de Liuzhou en Chine devrait accueillir 30 000 habitants, 40 000 arbres et plus d’un million de végétaux variés. Des chiffres qui donnent, eux aussi, le vertige.

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