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En Norvège, la plus haute tour en bois du monde sera achevée en 2019 – International

Le bâtiment, qui comptera 18 étages, est conçu pour résister à un incendie.

(LaVieImmo.com) – Avec une hauteur de 85,4 mètres, la Norvège est en train de construire le plus haut bâtiment en bois au monde, un matériau vanté pour sa faible empreinte climatique et sa résistance au feu. Située près d’un lac dont elle porte le nom, à une centaine de kilomètres au nord d’Oslo, la "tour de Mjøs", qui a reçu sa dernière poutre hissée par une grue cette semaine, compte 18 étages.

Le choix du matériau permet de réduire les émissions de CO2 par rapport à un immeuble en béton, selon les promoteurs. "Construire en bois, c’est aider à respirer dans un monde meilleur", a déclaré dans un communiqué l’homme d’affaires Arthur Buchardt, qui dit avoir lancé le projet en s’inspirant de l’accord de Paris sur le changement climatique.

Pour désarmer d’éventuelles craintes, les maîtres d’oeuvre assurent que l’édifice est conçu pour résister à un incendie: comme des souches impossibles à enflammer sans fagot, un départ de feu ne ferait, selon eux, que carboniser superficiellement les épaisses poutres en bois lamellé-collé, fournies par la société Moelven, sans les embraser.

À son ouverture prévue en mars 2019, la tour éclipsera les 49 mètres de Treet ("l’arbre" en norvégien), un bâtiment également situé en Norvège à Bergen (ouest) et détenteur actuel du record.

D’autres projets dans les cartons
Comprenant appartements, piscine intérieure, hôtel, bureaux, restaurant et espaces communs, le nouvel édifice devait initialement se dresser à 81 mètres de hauteur mais a finalement pris quelques mètres supplémentaires avec l’installation d’une pergola au sommet.

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Incidemment, cet ajout lui permettra de dépasser un autre bâtiment en cours de construction, la tour HoHo à Vienne qui culminera à 84 mètres de hauteur. Contrairement au bâtiment norvégien intégralement en bois, l’édifice autrichien a une structure hybride mêlant du bois (76%) et autres matériaux.

Selon le CTBUH, une ONG spécialisée dans le design urbain durable, d’autres projets encore plus ambitieux ont été avancés, tels que la tour Baobab à Paris (120 mètres) –qui n’a finalement pas été retenue par la mairie– et l’Abebe Court Tower à Lagos (87 mètres), encore dans les cartons.

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« Pourquoi il est à nouveau intéressant d’emprunter sur 30 ans ! », Actualité/Avis d’Expert Immobilier

Bonne nouvelle pour les emprunteurs : après un recentrage sur les prêts sur des durées inférieures à 25 ans ces 3 dernières années, les banques acceptent à nouveau d’accorder des prêts bien plus longs, à des taux qui ont fortement baissé en 2018… Une nécessité pour resolvabiliser les primo-accédants qui pâtissent de la diminution des aides à l’achat.

Des taux record sur 25 et 30 ans
En raison de la hausse des prix de l’immobilier mais aussi de la diminution des aides à l’achat, les banques acceptent à nouveau – sous conditions bien sûr – d’allonger les durées de prêts, seule façon de maintenir la solvabilité des primo-accédants notamment… Ainsi une banque spécialisée accorde même depuis quelques mois des prêts sur 35 ans ! Ce n’est bien sûr pas la norme… mais on assiste clairement cette année à un retour des prêts sur 25 et 30 ans, durées sur lesquelles les taux ont fortement baissé, atteignant même des records dans certaines banques ! L’une d’entre elle, dans une région seulement, propose ainsi des taux à 1,35 % sur 25 et sur 30 ans ! Du jamais vu…

Amortissement plus rapide
Ces baisses de taux sur les durées longues rendent à nouveau attractifs ces prêts boudés par les banques, et les emprunteurs, ces dernières années. Il y a quelques années, l’écart entre un prêt sur 25 ans et un prêt sur 30 ans atteignait souvent 1 point. Dans ces conditions, l’allongement de la durée du prêt ne permettait alors ni d’accroître la capacité d’emprunt, ni de faire baisser la mensualité qui pouvait même être supérieure sur 30 ans que sur 25, avec un coût du crédit supérieur de 70 % ! En 2018, cet écart a donc considérablement baissé et même disparu dans une banque, ce qui permet d’augmenter la capacité d’achat des emprunteurs, sans trop alourdir le coût du crédit. En outre, à ce niveau de taux, l’amortissement du prêt – le remboursement du capital – est beaucoup plus rapide, ce qui réduit le risque en cas de revente rapide…

L’allongement des durées est une réalité
Dans ce contexte, emprunter sur 30 ans est à nouveau une option qui peut être intéressante pour les jeunes emprunteurs qui n’iront surement jamais au bout du crédit. C’est une façon de commencer à se constituer un patrimoine. Les banques, comme les emprunteurs, l’ont bien compris, et on constate d’ores et déjà un allongement des durées moyennes de prêt. Actuellement les primo-accédants empruntent en moyenne 155 290 € sur 22 ans et 2 mois, contre 136 540 € sur 21 ans et 9 mois à la même période en 2016 ; et ce avec un apport et des revenus stables. L’allongement des prêts est donc devenu une nécessité… et déjà une réalité !

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Location meublée : les règles se durcissent

Entre le renforcement des règles qui encadrent la location saisonnière et le retour prochain de l’encadrement des loyers, les bailleurs qui louent en meublé ont du souci à se faire.

Finis de jouer ! Avec le vote prochain à l’Assemblée nationale du projet de loi Élan, le gouvernement siffle la fin de la récrée pour les locations meublées. En effet, le texte prévoit un renforcement des amendes civiles à l’encontre des propriétaires qui loueraient leur résidence principale plus de 120 jours par an. Elle passera de 5 000 € à 10 000 €. Quant aux plateformes qui laisseraient faire ou qui publieraient une annonce sans numéro d’enregistrement, comme l’oblige certaines villes, elles se verraient punis d’une amende pouvant atteindre les 50 000 €. Des mesures qui semblent déjà produire leurs effets sur ces sites internet.

Ces derniers ont récemment décidé de mettre en place, à partir de la fin de l’année 2018, un mécanisme permettant de bloquer automatiquement la mise en location d’une résidence principale au-delà de 120 nuitées par an. Abritel, Airbnb et consorts s’engagent également à croiser leurs données internes afin de vérifier qu’il n’y ait pas plusieurs annonces pour un même logement. Là encore, l’idée est de débusquer ceux et celles qui tenteraient de dépasser le seuil obligatoire des 120 jours. Enfin, les plateformes s’engagent, dès le dépôt de l’annonce, les résidences principales des résidences secondaires.

L’encadrement des loyers sur le retour
Dans le même temps, l’encadrement des loyers pourrait bien signer un retour prochain fracassant. Dopé par la loi Élan, le dispositif tant décrié, si le texte est voté en l’état, s’appliquera pendant 5 ans dans les villes qui se porteront volontaires pour l’expérimenter. Des observatoires des loyers seront également déployés dans les 28 agglomérations les plus tendues, soumises à la taxe sur les logements vacants, sans pour autant que l’encadrement ne soit automatiquement instauré.

Enfin, une amende viendra frapper les propriétaires bailleurs qui ne respecteront pas l’obligation de ne pas faire dépasser de plus de 20% le loyer de référence fixé par arrêté préfectoral. Cette dernière pourra atteindre jusqu’à 15 000 € pour une personne morale. De quoi dissuader plus d’un propriétaire de se mettre hors la loi.

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Location : vos travaux seront déductibles jusqu’en 2019 – LesFurets.com

Bonne nouvelle pour les propriétaires de biens en location. Le crédit d’impôt modernisation du recouvrement (CIMR) permet de déduire en 2018 la totalité des travaux réalisés la même année… Puis une nouvelle fois à hauteur de 50 % en 2019 !

C’est l’occasion pour les propriétaires de réaliser des travaux dans leurs biens mis en location. Un dispositif particulier de déduction fiscale en 2018 et 2019 leur permettra de déduire plus qu’ils n’ont dépensé. Le montant des travaux sera totalement déductible en 2018, puis à hauteur de 50% en 2019.

2018 sera une « année blanche »
En temps normal, les travaux de rénovation constituent une charge déductible des revenus fonciers. La différence entre la totalité des loyers perçus et le montant des travaux est déductible à hauteur de 10 700 euros par an. Le surplus peut être reporté sur les revenus fonciers des dix années suivantes. Les contribuables réalisent ainsi des économies d’impôt sur le revenu. En 2019, le prélèvement de l’impôt à la source risque de perturber le système.

Les contribuables n’auront pas d’impôt à payer sur leurs revenus courants de 2018, qui sera une « année blanche » en termes de fiscalité. Dans ces circonstances, ils n’ont pas intérêt à engager des charges déductibles dont ils ne pourront tirer aucun avantage fiscal. Le risque que les contribuables ne reportent leurs travaux « non urgents » à l’année 2019 n’est pas négligeable. Pour préserver l’intérêt des locataires, le législateur a prévu une disposition spéciale.

Une incitation à faire des travaux
Pour le calcul de leurs revenus fonciers de 2018, les propriétaires pourront toujours déduire l’intégralité des travaux réalisés en 2018. En 2019, le montant des travaux déductibles sera égal à la moyenne des dépenses payées en 2018 et 2019. C’est-à-dire 50% de déduction en plus. Un propriétaire qui effectue 40 000 euros de travaux en 2018 pourra à nouveau déduire 20 000 euros en 2019. Soit 60 000 euros déduits pour 40 000 euros dépensés, calcule Le Monde.

Pour bénéficier au maximum du dispositif,  le coût total des travaux doit rester « supérieur ou égal à deux fois le montant des revenus fonciers, majoré de 21 400 euros ». Cette somme représente deux fois le montant du déficit annuel imputable. Les propriétaires doivent se frotter les mains. C’est l’occasion idéale de réaliser d’importants travaux, ou d’investir dans l’immobilier locatif ancien avec de gros travaux de rénovation.

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Résidence secondaire à la campagne : nos conseils pour limiter les frais

S’offir une maison de campagne est un investissement à bien considérer. Entre le coût d’achat, les travaux, les frais d’entretien et les impôts, la facture peut vite grimper. Nos recommandations.
Difficile de résister aux charmes d’une longère percheronne, d’un mas provençal ou d’une bâtisse périgourdine en pierre dorée. Mais, entre le coût d’entretien régulier, les obligations de rénovation et les incertitudes à la revente, le coup de cœur peut virer à la mauvaise affaire. Nos conseils pour amortir ces pied-à-terre campagnards qui, rappelons-le, ne sont en moyenne occupés qu’une petite quarantaine de jours par an.

Attention aux relevés de bornage
Certes, la qualité du cadastre en France n’est plus à démontrer. Sauf que les relevés de bornage, réalisés entre voisins, n’y sont pas toujours systématiquement reportés. Dommage, car en cas de conflit, c’est cet acte sous seing privé qui prime sur le cadastre, simple registre fiscal. C’est ainsi qu’un propriétaire de Grandvillars, dans le Territoire de Belfort, dont l’étang s’était trop étendu, a été condamné fin 2017 par la cour d’appel de Besançon à abaisser le niveau de son plan d’eau pour libérer la parcelle de son voisin et le laisser poser de nouvelles bornes… Avant l’achat, mieux vaudra donc s’assurer que ces jalons n’ont pas été recouverts au fil du temps.

Vérifiez aussi, en sollicitant votre notaire le plus en amont possible, qu’il n’y a pas de servitude de passage, autre classique des propriétés rurales. Et jetez un coup d’œil au plan d’occupation des sols. Ce qu’ont négligé de faire, cette année, les acquéreurs d’une propriété en Provence agrémentée de deux granges, dont l’une était déjà aménagée. "Tentés de rendre habitable la seconde, ils se sont aperçus après l’achat que la parcelle sur laquelle elle était située était inconstructible", se rappelle Frédéric Jouvion, notaire associé chez 14 Pyramides, à Paris. Attention, si vous vous lancez malgré tout dans de tels aménagements non autorisés, ils n’auront aucune valeur à la revente.

Le coût de rénovation est à prendre en compte
Plus de 16.000 euros pour refaire le sol en tomettes traditionnelles, 9.400 euros rien que pour l’enduit à la chaux des pierres apparentes, et près de 800 euros juste pour refaire le faîtage du toit en chaume : quand, comme Yannick et Nadine Le Braz, propriétaires d’une chaumière bretonne dans la ria d’Etel, on apprécie le charme de l’ancien, mieux vaut avoir les reins solides (voir témoignage ci-dessous). D’autant que les communes peuvent imposer leurs règles spécifiques. Ainsi, sur l’île de Ré, volets et portes doivent être peints dans une même gamme de vert. Quant aux volets roulants, ils sont prohibés à Figeac, dans le Lot, tout comme les huisseries en PVC dans le vieux centre d’Albi. "Dans les secteurs protégés, les maires pourront vous obliger à remettre en état un toit sur lequel vous auriez fait poser un Velux sans autorisation", prévient Mathieu Chevaux, agent immobilier chez Welchome Bourgogne.

Avant l’achat, il sera donc préférable de faire un tour en mairie, voire à la direction régionale des affaires culturelles (Drac), pour vérifier si votre bâtisse, même en pleine campagne, ne se situe pas dans une telle zone. Il suffit en effet que le secteur abrite une chapelle ou tout autre édifice classé pour que les alentours, dans un rayon de 500 mètres, soient protégés. Même une démolition sera alors soumise à autorisation ! Enfin, pour dénicher les bons artisans, privilégiez ceux ayant fait leurs preuves, en visitant leurs anciens chantiers. Si vous êtes en bord de mer ou près d’une ville très touristique, élargissez au maximum votre zone de prospection. "En allant chercher un peu plus loin mon artisan, j’ai réussi à faire baisser la note de réfection du toit en chaume de moitié", assure Yannick Le Braz.

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La vente d’un bien indécent peut-elle être annulée ? L’avis de l’avocat

Le cas : Le permis de construire déposé par le couple G. pour une maison à rénover récemment acquise a été refusé, au motif que le bien, délabré, avait été déclaré insalubre. Que peuvent-ils faire ?

La réponse de l’avocat : Exiger l’annulation de la vente. En tant qu’acheteur non professionnel, le couple pourra en effet plaider une erreur, excusable de sa part, quant aux qualités essentielles de la chose achetée. Argument que la Cour de cassation a retenu, dans le cas d’un studio de 13,49 mètres carrés vendu loué, et déclaré indécent peu après la transaction, la pièce principale mesurant moins de 9 mètres carrés (3e chambre civile, arrêts no 17-11.132 et 17-14.090 du 3 mai 2018).

Une restriction suffisante, selon les juges, pour annuler la cession, la possibilité de mise en location constituant une "qualité essentielle de la chose vendue qui était entrée dans le champ contractuel et avait été déterminante du consentement". L’erreur commise par l’acheteur, une SCI, était d’autant plus excusable que le règlement départemental ayant servi à interdire toute occupation était plus strict que le décret de 2012 fixant les critères de décence d’un logement.

Lui aussi trompé sur la qualité essentielle de son bien, le couple G. devrait pouvoir se faire rembourser l’achat par le vendeur, mais aussi les frais entre-temps déboursés, comme la taxe foncière ou les charges de copropriété.

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La location temporaire séduit 35 % des Millennials ! | Actualités

L’ubérisation de la société touche de nombreux secteurs de l’économie française et l’immobilier ne fait pas exception. Pour preuve, la location temporaire est en plein « boom », en particulier chez la Génération Y.

33 % des moins de 35 ans sont séduits par la location temporaire
Depuis une dizaine d’années, on assiste à un véritable bouleversement de nos habitudes de consommation, désigné généralement sous le terme « d’ubérisation de l’économie ». Coworking, covoiturage, crowdfunding, location de voiture entre particuliers… de nombreux domaines sont impactés par le phénomène. L’immobilier ne fait pas exception, avec le développement de la location temporaire, en particulier pendant les périodes de vacances. Cette nouvelle pratique, de plus en plus répandue, est principalement portée par les jeunes générations, selon une étude Harris Interactive pour Guy Hoquet l’Immobilier. En effet, bien qu’encore faiblement pratiquée par l’ensemble de la population (17 % des sondés ont déjà loué leur logement en leur absence ou envisagent de le faire), la location tend à se démocratiser chez les moins de 35 ans qui sont un tiers (33 %) à l’avoir déjà fait ou veulent le faire.

Bon à savoir
10 % des plus de 50 ans envisagent de louer leur résidence principale de façon temporaire.

Un Français sur deux préfère louer son logement à un proche
Toujours d’après cette étude, plus de la moitié (54 %) des moins de 35 ans se représentent le logement comme un bien que l’on loue temporairement, en totalité ou en partie, pour améliorer ses revenus. Une perception de la jeune génération que ne partagent que 27 % des 50-64 ans et 20 % des 65 ans et plus. D’autre part, si la moitié des Français (49 %) déclare avoir prêté ou être encline à prêter son logement à un proche, les moins de 35 ans sont 60 % à être concernés, contre moins de la moitié des plus de 50 ans (48 %). Sans surprise, les Français préfèrent de loin prêter leur logement à un proche (49 % l’ont déjà fait ou l’envisagent), plutôt qu’à un inconnu (17 %). « Ces nouvelles pratiques de l’immobilier, observées chez les jeunes, ne sont encore que peu adoptées par les populations plus âgées, peut-être ces pratiques sont-elles trop récentes pour être déjà entrées dans les habitudes de ces derniers », s’interroge Fabrice Abraham, Directeur Général du réseau immobilier.

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6 Français sur 10 envisagent d’équiper leur logement d’objets connectés ! | Domotique

L’aménagement de la maison est devenu un réel centre d’intérêt pour les Français. De la décoration à la performance énergétique, en passant par la domotique, quels sont les équipements qui intéressent le plus les ménages ?

Les objets connectés à l’assaut des logements…
D’après une étude Reworld Media-Harris Interactive, les Français aiment passer du temps dans leur logement (96 %) et souhaitent que celui-ci reflète leur personnalité (90 %). Même s’ils apparaissent satisfaits de leur habitat (88 % pour l’intérieur et 78 % pour leur extérieur), ils continuent à exprimer des attentes pour vivre mieux chez eux. Des besoins qui s’articulent autour de deux thématiques principales : le confort au quotidien (absence de nuisances, lumière…) et la sécurité. Dans ce contexte, les objets connectés ont une carte à jouer : 58 % s’accordent à dire qu’ils vont changer la manière d’équiper ou d’aménager les habitations. De plus, 6 Français sur 10 envisagent de s’équiper, prioritairement dans le secteur de l’énergie (chauffage connecté, thermostat intelligent), de la sécurité (système de télésurveillance connecté) ou du confort (ampoules connectées). Aujourd’hui, seuls 11 % possèdent au moins un de ces équipements, en raison de prix jugés trop élevés (86 %) ou d’un manque d’information en la matière (66 %).

Eco-responsabilité : 7 Français sur 10 veulent réduire leur empreinte écologique
L’écologie est au cœur des préoccupations des Français. En effet, à l’heure actuelle, 72 % d’entre eux déclarent attacher de l’importance à l’éco-responsabilité de leur habitation. Cela passe avant tout par des gestes réalisés au quotidien, comme se préoccuper de sa consommation d’eau (75 %), d’électricité (75 %) ou encore éviter d’utiliser des engrais chimiques (61 %). En revanche, les travaux plus conséquents avec une portée éco-responsable restent rares mais largement envisagés (changement des fenêtres, amélioration de l’isolation, installation d’un mode de chauffage plus écologique ou plus économique). Notons que les ménages, qui décident de sauter le pas, font majoritairement confiance aux professionnels (68 %) pour mener à bien leur projet, malgré des coûts associés pouvant freiner la démarche (91 %). Précisons que la démarche éco-responsable est principalement valorisée par la perspective d’économies (92 %), d’amélioration du bien-être (90 %) et évidemment le respect de l’environnement (88 %).

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Toulouse, une ville d’avenir où les prix immobiliers ne sont pas (encore) délirants ! | Actualités

Toulouse, une ville d’avenir où les prix immobiliers ne sont pas (encore) délirants !

Préfecture de la région Occitanie, Toulouse est une ville dynamique qui attire chaque année un nombre croissant d’investisseurs et de nouveaux habitants. Décryptage du marché toulousain avec Patrick Sénat, conseiller en immobilier. 

Prix des biens immobiliers à Toulouse : entre 2 500 et 6 000 €/m²
Pour acquérir un bien dans l’hypercentre de Toulouse vous devez compter 5 000 à 6 000 €/m² et c’est un peu plus bas dans certains secteurs, puisque les prix peuvent se maintenir autour de 3 500 à 4 000 €/m². Du côté de la gare de Toulouse par exemple, les prix s’élèvent entre 3 800 à 4 000 €/m². Lorsque l’on s’éloigne du centre-ville, les prix tombent à 2 500-2 600 €/m², mais là aussi cela dépend de l’état du bien : s’il s’agit d’un bien des année 60, le prix peut se négocier encore plus bas, tandis que s’il s’agit d’un bien plus récent des années 1980 à 2000 avec des prestations et un garage en sous-sol, le prix sera plus élevé.

Bon à savoir
Dans la métropole du Grand Toulouse, comptez en moyenne à 3 233 €/m².

Toulouse, une ville d’avenir aux multiples avantages
Toulouse est une ville active et dynamique qui attire beaucoup de monde car elle a beaucoup d’atouts à faire valoir. Pour commencer, elle n’est pas très loin de la mer puisqu’il suffit d’une heure de route, mais elle n’est pas non plus très loin de la montagne. Toulouse est un véritable carrefour. Il s’agit d’une capitale régionale et départementale, mais c’est également la capitale européenne de l’aéronautique, puisqu’elle abrite notamment les sites d’Airbus. Au regard de tous ses atouts, Toulouse est une ville qui a mis du temps à se développer par rapport à d’autres grandes métropoles, bien qu’elle soit en train de rattraper son retard. La ville rose est donc très intéressante et attractive, à la fois pour des investisseurs mais aussi pour des personnes souhaitant s’y installer.

Bon à savoir
Toulouse est la ville dans laquelle les cadres parisiens se projettent pour vivre et travailler en télétravail. Il faut dire que la liaison avec Paris se fait en 4h09 aujourd’hui !

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Rentrée 2018 : Top 5 des villes où il faut investir dans un bien immobilier ! | Actualités

Qualité de vie, proximité avec Paris (via la mise en service de la ligne à grande vitesse), prix immobiliers abordables, forte demande locative, rentabilité attractive, dynamisme du marché immobilier… Certaines villes ne manquent pas d’attrait aux yeux des investisseurs. Zoom sur cinq villes où ça vaut le coup d’investir !

1. Mérignac : 3 184 €/m² (+ 16,6 % sur 12 mois)
Boosté par la forte hausse des prix bordelais (+ 13,6 % en un an), le marché immobilier mérignacais est en pleine ébullition. Devenir propriétaire d’un bien à Mérignac coûte désormais 16,6 % plus cher que l’année dernière, à la même période. Mais sa proximité avec Bordeaux n’explique pas, à elle seule, la fièvre qui semble gagner les prix immobiliers à Mérignac. Son cadre de vie, ses prix immobiliers abordables (pour l’instant, à tout le moins…) mais aussi son dynamisme tant économique que démographique font de la deuxième plus grande ville de Gironde une cible de choix pour tous les investisseurs éclairés.

La proximité avec Bordeaux fait exploser les prix immobiliers à Mérignac. ©joserpizzaro
2. Angers : 2 324 €/m² (+ 12 % sur 1 an)
Au vu des chiffres qu’a enregistrés le baromètre LPI-SeLoger, il semblerait que les investisseurs immobiliers soient en manque de cette douceur angevine tant vantée par du Bellay, et qu’ils cherchent à combler cette carence au plus vite. Jugez plutôt : en l’espace de douze – petits – mois, celle que l’on surnomme parfois la « Ville Verte » – en référence à ses nombreux parcs – a vu les prix de son immobilier augmenter de 12 %. Si la préfecture du Maine-et-Loire ne profite que modestement du gain de temps procuré par la mise en service de la ligne à grande vitesse (LGV) Paris-Bordeaux, elle peut toutefois compter sur des prix immobiliers raisonnables et une forte demande locative.

Angers présente une forte demande locative. ©David Debray
Prix immobilier en France
En France, un logement ancien coûte environ 3 619 €/m².
3. Cannes : 5 083 €/m² (+ 11,5 % sur 1 an )
Si la cité des Festivals reste convoitée par les investisseurs étrangers, de plus en plus d’acheteurs hexagonaux sont séduits par les perspectives financières qu’offre un investissement locatif à Cannes, et cela qu’ils aient l’intention d’opter pour une location classique ou saisonnière. Ce ne sont pas les données compilées par le baromètre LPI-SeLoger qui leur donneront tort : sur les douze derniers mois, le prix de l’immobilier ancien à Cannes gagne 11,5 %. Pour autant, sachez que le coût – très élevé – de l’immobilier dans certains secteurs de la ville (hyper-centre, Croisette, quartier de la Californie) pourra parfois rogner la rentabilité locative de votre investissement…

Investir à Cannes, c’est la garantie d’une bonne rentabilité locative. ©Pascal06
4. Poitiers : 1 959 €/m²  (+ 10,1 % sur 12 mois)
S’il est une ville sur laquelle il peut se révéler intéressant de miser, en cette rentrée 2018, c’est bien Poitiers. Et pour cause, si l’ancienne capitale de Poitou-Charentes affiche des prix immobiliers raisonnables (moins de 2 000 € du m²), ceux-ci connaissent actuellement une hausse annuelle sans précédent : plus de 10 % ! Parmi les acquéreurs d’un logement à Poitiers, on compte d’ailleurs de plus en plus de personnes qui jouent la carte du télé-travail, et ne se déplacent – en train – à Paris que quelques jours par semaine. Quant aux – nombreux – investisseurs attirés par la belle rentabilité locative que permet le chef-lieu du département de la Vienne, ils concentrent leurs recherches sur les quartiers proches de l’université, du centre-ville et de la gare.

Vous souhaitez investir dans une ville à 1H25 en TGV de Paris ? Poitiers est fait pour vous. ©Florence Piot
Marge de négociation pour un bien immobilier en 2018
4 % en moyenne du prix affiché d’un logement
4,8 % pour une maison
3,3 % pour un appartement
5. Orléans : 2 298 €/m² (+ 9 % sur 12 mois)
Immobilièrement parlant, la rentrée dans la Cité Johannique est à placer sous le signe de la hausse ! Sur l’année, les prix des logements orléanais augmentent de 9 % et peu importe que le projet d’une LGV reliant Paris à Lyon (via Orléans !) ait été ajourné. La flambée des prix de l’immobilier orléanais est bel et bien là ! Quant à la rentabilité locative, elle est également au rendez-vous. Ajoutez à cela une localisation avantageuse (Paris est à un peu plus d’une heure de train) et vous comprendrez aisément pourquoi c’est le moment d’investir dans la pierre locative orléanaise.

Orléans une ville qui vaut le détour. ©StockphotoVidéo
5 villes de province à surveiller de près pour acheter un bien immobilier !
VILLE HAUSSE ANNUELLE PRIX AU M²
Rennes + 8,9 % 3 115 €
Limoges + 7,8 % 1 584 €
La Rochelle + 5,7 % 3 560 €
Reims + 5 % 2 581 €
Rouen + 4,8 % 2 414 €

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