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Colocation : ne signez jamais les yeux fermés !

C’est la rentrée, et votre fils vient de trouver le logement de ses rêves: une colocation, en plein centre-ville et à un quart d’heure en métro de l’université. Le loyer est raisonnable. Le propriétaire veut signer au plus vite et, bien sûr, il exige des garanties. Vous allez devoir vous porter caution. Là, vous commencez à réfléchir. À quoi exactement vous engagez-vous? Il n’est pas rare qu’une colocation commencée comme «L’auberge espagnole» se termine à couteaux tirés, façon «L’auberge rouge». Querelle de frigo mise à part, quid si l’un des colocataires ne paie plus son loyer? Voici ce que vous devez savoir avant d’apposer votre signature sur un document qui, en effet, vous lie.

Chacun pour soi…
Une colocation, cela implique plusieurs locataires, pas forcément plusieurs contrats. Le propriétaire a le choix. Et de ce choix découlent des conséquences importantes sur le paiement du loyer et le niveau d’engagement de la caution.

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Le chauffage à granulés de bois, une pratique de plus en plus plébiscitée en France | Actualités

Moins cher et moins polluant, le chauffage à granulés de bois fait toujours plus d’adeptes en France. Offrant de nombreux avantages, cette pratique pourrait bien vous séduire.

Pour leur chauffage, les Français n’hésitent plus à choisir les granulés de bois
Le marché des poêles à granulés de bois ne cesse de progresser en France, notamment parce que les appareils sont de plus en plus performants et que le chauffage au bois reste une énergie parmi les moins polluantes. La fourchette de prix pour des chaudières à pellets est particulièrement vaste, ce qui permet de trouver aujourd’hui des appareils accessibles qui attirent davantage de foyers. Ainsi, l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) a évalué le nombre des ventes annuelles de 2020 à 960 000 poêles à pellets, et 95 000 chaudières à bois. Aujourd’hui, la biomasse représente 55 % de la production totale d’énergie en France, ce qui s’explique par le fait que les ménages sont sensibles aux causes environnementales et se tournent davantage vers les sources d’énergie plus propres et respectueuses de l’environnement.

Une tendance qui a de quoi en séduire plus d’un
Les pellets de bois sont des petits cylindres de quelques millimètres de long et de diamètre, qui sont fabriqués à partir des sciures et des copeaux de bois. Ces déchets sont récupérés, puis compressés et séchés pour obtenir des granulés. Il s’agit donc d’une source d’énergie tournée vers le développement durable et ayant un faible impact sur l’environnement, puisque les forêts sont préservées et que l’émission de gaz à effet de serre est limitée.

Bon à savoir
Le bois reste le leader du secteur de l’énergie, puisqu’en 2015, il représentait 40 % de la production d’énergie renouvelable. Source : Ministère de l’Environnement et de la Mer (2016)

Mais attention à la qualité des granulés
Si vous disposez d’un poêle à pellets, vous pouvez vous tourner vers les granulés pellets proposés par Total Proxi Energies. Ces produits sont en effet certifiés DINplus et sont donc reconnus comme étant qualitatifs. Ces normes permettent de s’assurer que la filière et les produits répondent à des exigences techniques, organisationnelles et fonctionnelles. Ainsi, les pellets Total Pellets Premium répondent à plusieurs caractéristiques :

Ils apportent un confort supplémentaire grâce à une combustion et une puissance de chauffe optimales.
L’encrassement est très faible grâce à la forte densité, le taux d’humidité réduit et le faible taux de cendre des pellets.
Ces produits sont 100 % naturels et sans additifs.
Commandez vos pellets de bois directement en ligne
Avec Total Proxi Energies, les avantages ne s’arrêtent pas à la qualité du produit : vous pouvez contacter directement les équipes commerciales pour obtenir des conseils, des renseignements et un accompagnement personnalisé. Vous pouvez commander vos pellets directement en ligne sur le site de Total Proxi Energies pour recevoir vos pellets conditionnés dans des sacs de 15 kg, le jour et le créneau horaire de votre choix. Vous pouvez également profiter des modalités de paiement adaptés à vos besoins.

Bon à savoir
Le chauffage aux pellets est l’énergie la moins chère du marché, jusqu’à 3 fois moins chère que l’électricité. Les pellets présentent un haut pouvoir calorifique d’environ 4 800 KWh/t, ce qui confère un excellent rendement aux appareils de chauffage.

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Eviter vis-à-vis intérieur : astuces et conseils – Côté Maison

Qu’on est bien chez soi… Ou presque ! En ville, la proximité avec les voisins gâche souvent le plaisir de profiter pleinement de son appartement ou de sa maison, et la hantise d’être soumis aux regards indiscrets est un frein au confort. Ne baissez pas les bras ! Evitez les vis-à-vis ennuyeux grâce à ces quelques astuces triées sur le volet.
Vous vivez dans un appartement ou dans une maison mitoyenne et votre salon, votre cuisine, ou pire, votre salle de bains ou votre chambre se laissent apercevoir par les fenêtres ? En ville, le vis-à-vis peut-être une véritable plaie. Pour être à l’abri des regards indiscrets de vos voisins et retrouver de l’intimité, quelques astuces peuvent être facilement appliquées. En voici quelques unes. 

1. Les rideaux et les voilages pour se protéger rapidement du vis-à-vis
Cela peut sembler évident, mais les rideaux et les voilages sont les solutions les plus rapides pour venir à bout du vis-à-vis depuis l’intérieur de votre logis. Votre salon donne directement sur celui des voisins de l’immeuble d’en face ? Installez des voilages vaporeux pour vous isoler partiellement tout en laissant passer la lumière et/ou des rideaux épais pour éviter complètement les regards indiscrets. 

2. Les stores pour s’isoler à l’envi
Plissés, motorisés, enrouleurs, vénitiens, à lames verticales… Il existe toutes sortes de stores à placer à l’intérieur comme à l’extérieur des fenêtres. Réglables à l’envi, il vous suffit de tirer sur une ficelle ou une manivelle pour les rouler et les dérouler selon vos besoins d’intimité. En aluminium, en bois ou en tissus, ils permettent d’éviter le vis-à-vis avec style sans dépenser des milles et des cents. 

3. Les plantes comme alternatives pour éviter les regards indiscrets
Il fallait y penser, mais toutes les solutions contre le vis-à-vis ne se trouvent pas forcément du côté du vitrage. Les plantes, elles aussi, peuvent jouer leur rôle dans la suppression des regards indiscrets de vos voisins. En plaçant quelques fleurs et plantes en pot devant les ouvertures problématiques, vous pouvez facilement diminuer le vis-à-vis et bloquer la visibilité. Plus vos végétaux sont hauts et touffus, plus ils sont efficaces ! En plus de constituer des brise-vues naturels, les plantes apportent beaucoup de vie à votre intérieur. C’est tout bénef ! 

4. Les films adhésifs ou stickers pour occulter son intérieur
Une autre solution pour éliminer rapidement le vis-à-vis est d’avoir recours à des stickers et films adhésifs à coller directement sur le vitrage de vos fenêtres. Il existe d’ailleurs des films dotés de filtres anti-UV, qui, en plus de tamiser le vis-à-vis, protègent également du soleil. Ces revêtements adhésifs sont repositionnables et peuvent être dépolis ou ajourés pour laisser passer plus ou moins de luminosité à l’intérieur. Pour installer un film autocollant ou un stickers, rien de plus simple : nettoyez soigneusement la surface et appliquez le revêtement grâce à une raclette en prenant soin d’éviter de créer des bulles. Si cette solution se révèle être plutôt efficace, elle semble ne pas être très pratique pour le nettoyage des vitres et s’abîme avec le temps.  

5. Les films ou vitrages à cristaux liquides : une solution high-tech contre le vis-à-vis
Une autre solution, et pas des moindres, pour éviter le vis-à-vis depuis l’intérieur de son logis est d’investir dans les films ou les vitrages à cristaux liquides. Quésaco ? Ces revêtements, qui remplacent les vitres existantes ou viennent se coller en surface, passent d’un effet dépoli à un rendu transparent en un clin d’oeil à la simple pression d’un bouton. Ce tour de passe-passe est rendu possible grâce à un système électrique incorporé qui permet d’alterner et d’intensifier l’opacité des vitrages. Bien que coûteuse, c’est la solution idéale pour se couper de ses voisins lorsque l’on a besoin d’intimité ! 

6. L’effet miroir sans tain pour garder toute son intimité
Vous pensiez que les miroirs sans tain n’étaient réservés qu’aux détectives ou espions en herbe ? Détrompez-vous. Il existe des vitrages ou des films adhésifs qui reproduisent cet effet et s’installent facilement à domicile pour se jouer des regards indiscrets. Ils reflètent l’extérieur au lieu de laisser entrevoir votre intérieur et permettent de garder une visibilité totale depuis votre logis. Vu du dehors, vos fenêtres sont de parfaits miroirs, tandis que bien au chaud dans votre canapé, vous pouvez tout observer et ne perdez que très peu de luminosité. Voyez sans être vu ! 

7. Les vitrages opaques ou dépoli pour se débarrasser définitivement des regards
Il s’agit de la solution la plus radicale et définitive. Si vous souffrez d’un vis-à-vis extrême que les plantes ou les rideaux ne suffisent pas à supprimer, optez pour les vitres opaques ou dépolies en changeant votre vitrage actuel. Tout en neutralisant totalement la visibilité depuis l’extérieur, ce genre de vitrage laisse tout de même passer beaucoup de lumière. 

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Votre habitation est-elle exposée au radon ? La réponse à Toulouse et dans les environs – actu.fr

Connaissez-vous le potentiel radon à Toulouse ? Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle. Il est inodore. 

À l’air libre, la quantité de radon gazeux est minime et inoffensive. Mais dans des lieux confinés, comme les sous-sols, le radon peut s’accumuler pour atteindre des concentrations potentiellement nocives. « L’exposition à de fortes concentrations de radon a été associée à un risque accru de cancer du poumon, en fonction de la durée de l’exposition », peut-on lire sur le site SOS radon. 

À la demande de l’Autorité de sûreté nucléaire, une cartographie a été publiée afin de connaître le potentiel radon sur chaque commune. Ces dernières sont classées en trois catégories. Plus le potentiel est important, plus la probabilité de présence de radon à des niveaux élevés dans les bâtiments est forte. 

Fortes concentrations à Muret

La cartographie du potentiel radon, à Toulouse. (©IRSN)
Toulouse se situe dans la première catégorie, avec une grande majorité de bâtiments qui présente des concentrations en radon faibles.

En revanche, deux communes à proximité se trouvent dans la deuxième catégorie : il s’agit de Muret et Castelmaurou, avec une probabilité de concentrations élevées dans les bâtiments.  

En Occitanie, plusieurs communes appartiennent à la troisième catégorie, là où les teneurs en uranium sont estimées plus élevées. Citons, par exemple, les villes de Foix (Ariège), Castres (Tarn), Carmaux (Tarn), Mazamet (Tarn) ou Revel (Haute-Garonne).

Qu’en conclure pour mon habitation ?
L’Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire précise :

Le potentiel radon fournit un niveau de risque relatif à l’échelle d’une commune, il ne présage en rien des concentrations présentes dans votre habitation, celles-ci dépendant de multiples autres facteurs (étanchéité de l’interface entre le bâtiment et le sol, taux de renouvellement de l’air intérieur…). Le fait que votre habitation soit localisée dans une commune à potentiel radon de catégorie 3 ne signifie pas forcément qu’elle présente des concentrations en radon importantes. Elle a toutefois nettement plus de risque d’en présenter que la même maison située dans une commune à potentiel radon de catégorie 1. Les concentrations peuvent par ailleurs atteindre des niveaux très élevés pour des caractéristiques architecturales ou des conditions de ventilation défavorables. 

Comment évaluer votre exposition
Compte-tenu du risque sur la santé associé au radon, il est dans ce cas important d’évaluer plus précisément l’exposition à laquelle vous êtes soumis. « Évaluer votre exposition nécessite de réaliser un dépistage de votre habitation », poursuit l’IRSN. « Ce dépistage consiste à mesurer les concentrations du radon à l’aide de détecteurs (dosimètres radon) qu’il est possible de placer soi-même. Pour que cette mesure soit représentative, elle doit être effectuée dans les pièces de vie principales, sur une durée de plusieurs semaines et de préférence sur la période hivernale (en savoir plus sur le protocole de mesure) ».

Se procurer un dosimètre
Le coût d’acquisition et de développement de ces détecteurs s’élève à quelques dizaines d’euros. Lorsque la concentration mesurée s’avère élevée, il est alors nécessaire de rechercher des solutions pour réduire l’exposition au radon. Ces solutions consistent à limiter l’entrée du radon dans le bâtiment, en renforçant l’étanchéité entre le sol et le bâtiment, et à éliminer le radon en favorisant le renouvellement de l’air intérieur (aération, ventilation).

En France, plusieurs sociétés produisent des dosimètres radon et disposent de laboratoires permettant de les analyser. Vous pouvez également contacter un organisme agréé pour la mesure du radon afin qu’il vienne réaliser les mesures à votre domicile.

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31 % de la consommation électrique des Français est renouvelable ! | Actualités

Eolienne, photovoltaïque, hydroélectrique… au 2e trimestre 2018, plus de 30 % de la consommation électrique des Français est renouvelable, contre 23 % au trimestre précédent. C’est du jamais vu depuis les années 1960.

L’hydroélectrique couvre 20 % de la consommation des Français
Selon des informations officielles transmises par le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et les gestionnaires des réseaux électriques RTE, Enedis et l’Adeef, le taux de couverture de la consommation électrique par les énergies renouvelables s’élève, pour le deuxième trimestre 2018, à 31 % de la consommation totale des Français (contre 23 % au trimestre précédent et 7 % au 2e trimestre 2017). Ce résultat, inédit depuis les années 1960, a été atteint grâce à la combinaison de plusieurs facteurs, à commencer par une production hydroélectrique importante, qui permet de couvrir autour de 20 % de la consommation électrique française. Ensuite, on constate une production conséquente des filières éolienne, solaire photovoltaïque et bioénergies, qui élève le taux de couverture de la consommation par ces filières à un niveau qui n’avait jamais été atteint (10 %).

Vidéo : les énergies renouvelables ont le vent en poupe 

La part d’énergie renouvelable en France portée à 40 % à l’horizon 2030 ?
Ces chiffres exceptionnels sont toutefois à nuancer, le 2e trimestre se caractérisant traditionnellement par une demande moins élevée que durant les mois d’automne et d’hiver. Les énergies renouvelables étant prioritaires pour l’accès au réseau, une consommation moindre favorise l’augmentation de leur part dans la consommation globale. Cependant, les chiffres du 2e trimestre 2018 ne sont pas à prendre à la légère. En effet, depuis les années 70-80, qui correspondent à la croissance des centrales à charbon puis du parc nucléaire français, un tel pourcentage d’énergies renouvelables dans la consommation d’électricité française n’était jamais arrivé. Les résultats de ce 2e trimestre 2018 sont donc encourageants, et donnent du crédit à la démarche de la France,  qui souhaite surpasser l’objectif européen de porter la part des énergies renouvelables à au moins 27 % d’ici 2030 : la loi relative à la transition énergétique, adoptée courant 2015, vise les 40 %.

Chiffres clés
Au début des années 1960, l’hydroélectricité représentait plus de la moitié de la production d’électricité en France, avant de diminuer à environ 30 % au milieu des années 1970.

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Les copropriétés doivent être immatriculées avant le 31 décembre 2018 | Actualités

Vous êtes copropriétaire au sein d’un petit immeuble de moins de 50 lots ? Sachez que votre copropriété doit être obligatoirement immatriculée avant le 31 décembre 2018, sous peine de sanction.

Immatriculation : toutes les copropriétés doivent être enregistrées
Dans le cadre de la loi Alur, les copropriétés de moins de 50 lots doivent être immatriculées sur un registre national des copropriétés, au plus tard le 31 décembre 2018. Cette immatriculation s’effectue gratuitement en ligne auprès de l’Agence nationale de l’habitat (Anah). Elle est généralement réalisée par le syndic (professionnel ou bénévole) assurant la gestion de la copropriété. Néanmoins, les notaires peuvent aussi procéder à cette immatriculation pour les copropriétés nouvellement créées ou encore en cas de vente d’un lot. Les informations à fournir lors de cette immatriculation portent sur l’identité de la copropriété (adresse, nombre de lots, nom et statut du syndic…), ses finances (montant du budget prévisionnel, provisions pour travaux…), son bâti (période de construction, nombre d’ascenseurs, type de chauffage…) et d’éventuelles difficultés au sein de la copropriété (procédures administratives ou judiciaires).

Bon à savoir
En l’absence d’immatriculation, le syndic peut être mis en demeure, l’Anah pouvant alors appliquer une astreinte de 20 € par lot de copropriété et par semaine de retard.

A quoi sert l’immatriculation des copropriétés ?
L’immatriculation des copropriétés a pour objectif de faciliter la connaissance de l’état des copropriétés et de mieux prévenir d’éventuels dysfonctionnements. De plus, le numéro d’immatriculation est indispensable pour vendre un ou plusieurs lots dans la copropriété (il sera mentionné dans l’acte notarié). Si la copropriété n’a pas été immatriculée au moment de la vente, le notaire chargé d’établir l’acte procèdera d’office à son immatriculation. Dans ce cas, les frais engagés par le notaire sont à la charge du syndic défaillant ou, si le syndic n’est pas rémunéré pour l’exercice de son mandat, de la copropriété. Notons que l’immatriculation est également obligatoire pour demander des subventions publiques. Le syndic ou l’administrateur provisoire doit actualiser les informations détenues dans le registre : la mise à jour des données financières doit être faite dans les 2 mois suivant la tenue de l’assemblée générale au cours de laquelle les comptes de l’exercice clos ont été approuvés. Si d’autres informations changent, elles devront être actualisées au même moment.

Bon à savoir
Les copropriétés de plus de 50 lots doivent être immatriculées depuis décembre 2017 et celles de plus de 200 lots depuis décembre 2016.

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Ils ont fait le choix d’acheter uniquement leur maison de vacances – Boursorama

Cette stratégie est tentante face à l’envolée des prix dans les métropoles. Mais coûteuse car le propriétaire multiplie les charges
«Nous ne voulions pas investir toutes nos économies dans un petit appartement parisien où nos enfants n’auraient pas eu de jardin. Alors nous avons choisi de rester locataire et d’acheter une résidence secondaire en Normandie», explique Anne-Charlotte, cadre de 34 ans et mère de deux enfants.

Acheter sa maison de vacances plutôt que sa résidence principale est le choix de certains propriétaires, qui cumulent alors location à l’année et propriété. Les raisons sont multiples: certains sont plus attachés à leur lieu de vacances qu’à l’endroit où ils travaillent, d’autres espèrent habiter un jour à plein temps leur résidence secondaire et beaucoup font ce choix parce qu’ils n’ont pas les moyens d’acquérir la surface qu’ils souhaiteraient dans une métropole coûteuse, comme Paris.

Un achat qui est rarement un calcul purement financier
«Nous sommes un week-end sur deux dans notre maison proche de Dieppe et nous nous y sentons autant chez nous que dans notre appartement parisien», poursuit Anne-Charlotte. Avant de passer à l’action, le couple avait soigneusement calculé les dépenses occasionnées par ce double logement: charges d’électricité et de chauffage multipliées par deux, double assurance habitation, double taxe d’habitation, coût de transport occasionné par les allers-retours en Normandie, entretien du jardin de la maison… Anne-Charlotte et son mari ont construit leur budget en conséquence mais reconnaissent qu’un tel choix est coûteux.

Acheter sa résidence secondaire plutôt que sa résidence principale est en effet rarement un calcul purement financier. Et pour cause: «Si on achète sa maison de vacances uniquement pour y habiter, ce n’est pas un choix économique: on multiplie les charges sans aucune rentrée financière en contrepartie», constate Pierre-Alain Guilbert, notaire chez Pyramide. Une bonne solution pour compenser cette multiplication des charges peut consister à louer sa maison de vacances une partie de l’année. «Cela revient à faire un investissement locatif dont on profite en partie soi-même», explique le notaire. Dans ce cas, il faudra cependant renoncer à s’y rendre aux périodes de l’année les plus propices, ne pas laisser traîner ses affaires comme à la maison et se tenir prêt à gérer ou à sous-traiter les locations.

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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Immobilier : la signature électronique entre en scène

Le spécialiste de la certification électronique, Yousign, et la startup de la legal tech, Modelo, travaillent ensemble depuis le 1er février à la généralisation de la signature dématérialisée pour l’ensemble des actes des agences immobilières.
La startup Modelo, leader français de la rédaction d’actes juridiques dans l’immobilier, et Yousign, spécialiste de la signature électronique, sont désormais partenaires. Depuis le 1er février 2018, et sous leur égide, ce sont pas moins de 30.000 paraphes dématérialisés qui ont déjà été réalisés par mois dans quelque 4.000 agences.

D’après les deux acteurs, les professionnels seraient même très heureux de faire signer tous les documents sur un ordinateur, une tablette, ou un téléphone portable, plutôt que de convoquer locataires et propriétaires autour d’une table. Par exemple, pour un compromis de vente, pendant qu’un acheteur signe en agence, un vendeur peut rester chez lui.

« On peut tout faire à distance, assure Etienne Petit, co-fondateur de Modelo, si bien que les agences la plébiscitent déjà. Foncia Transactions, qui a été la première utilisatrice, veut d’ailleurs l’utiliser à terme pour 100% de ses mandats. »

Yousign se charge, elle, de l’accompagnement technique et juridique, apportant l’outil numérique et fournissant aux agents tous les éléments légaux et juridiques attestant de la certification du dispositif au niveau français et européen.

« Nous représentons la brique qui vient s’intégrer le plus finement dans leur logiciel. Le secteur de l’immobilier est friand de la signature électronique et, avec celui de la banque et de l’assurance, s’affirme comme celui qui en déploie le plus », avance même son directeur Luc Pallavidino.

Le temps du gâchis de papier est révolu
Terminées les impressions de centaines de papiers en multiples exemplaires, une perte de temps et d’argent pour toutes les parties.

« La signature électronique évite en effet aux agents de copier, scanner et envoyer 600 pages (en moyenne, Ndlr). Les clients, eux, n’ont plus à parapher chaque page, mais simplement à apposer leur signature à un endroit unique », explique Etienne Petit de Modelo.

Finis aussi les envois de recommandés. Dans son offre, Yousign propose le service AR24, le recommandé électronique, qui coûte 2,49 euros par destinataire, alors qu’un recommandé classique vaut 6 euros.

Il est en effet temps que les agents immobiliers adoptent le virage de la numérisation, sachant que les notaires ont déjà l’obligation légale de projeter le texte de l’acte sur un écran pour la relecture commune avec les acquéreurs et les vendeurs d’un bien. C’est enfin un gage de modernité à l’heure où des startups viennent concurrencer à coup de frais minimes les réseaux d’agences bien établis.

Sourced through Scoop.it from: www.latribune.fr

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Vous acceptez une offre d’achat d’un acquéreur, pouvez-vous vous rétracter ? | Immobilier

Vous vendez un bien immobilier, un potentiel acquéreur vous délivre une offre d’achat que vous acceptez. Sachez que votre responsabilité peut être engagée si vous y renoncez.

Signer une offre d’achat pour un vendeur est définitif
L’article 1113 du code civil précise que la vente d’un bien immobilier est formée par la rencontre d’une offre d’achat et d’une acceptation par lesquelles les parties (vendeurs et acquéreurs) manifestent leur volonté de s’engager. Dès lors, si une offre est suffisamment précise et que son destinataire l’accepte sans équivoque, il n’est en principe, plus possible de faire marche arrière. A défaut de contenir de telles précisions, il s’agit d’une simple invitation à entrer en négociation.

Bon à savoir
La validité d’une offre dépend essentiellement de son contenu. Elle doit comprendre les éléments essentiels du contrat envisagé et exprime la volonté de son auteur d’être lié en cas d’acceptation.

Vous souhaitez ne plus vendre ? Vous devez indemniser l’acquéreur
Si vous avez accepté l’offre d’achat, vous êtes engagé vis-à-vis de son émetteur, l’acquéreur. Compte tenu des dispositions du code civil relatives à la conclusion d’un contrat en cas d’acceptation sur la chose vendue et son prix, vous ne pourrez plus revenir sur votre acceptation sauf à indemniser l’acquéreur en réparation de son préjudice. Le montant de l’indemnisation sera soumis à l’appréciation souveraine des tribunaux. Il est également possible de régler un éventuel litige à l’amiable, par la signature d’un accord transactionnel.

Références juridiques
Articles 1113 et suivants du code civil
Cass. 1er civ., 17 déc. 1958, n°1005 CIV. 56 : Bull. civ. I, n°579.

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Visite : la maison éco-intelligente du futur est arrivée

Ventilation connectée, chauffage intelligent et maison à l’écoute de vos habitudes, les technologies de la domotique rivalisent d’ingéniosité pour prendre soin de notre planète et de notre confort. Petit tour du – futur – propriétaire.

Adopter un mode de vie durable ne fait plus débat, il s’agit d’une nécessité admise par tous. Or, si cette transition passe notamment par une mise à niveau technologique de nos lieux de vie, cela va parfaitement de pair avec un plus grand confort. C’est ce que nous prouvent chaque jour les start-up que Konbini et le Prix EDF Pulse 2018 ont décidé de vous présenter aujourd’hui, pour un logement connecté, facile d’usage et intelligent.

Quand on parle d’économiser de l’énergie dans une maison, on pense immédiatement au chauffage. Et pour cause, nous avons tous côtoyé les antiquités bruyantes qui équipent aussi bien nos immeubles que nos classes d’école. Froid d’un côté, brûlant de l’autre, ils peuvent être aussi peu fonctionnels qu’énergivores. Mais avec l’arrivée du radiateur Lancey et de sa batterie intégrée, leur règne sera bientôt derrière nous.

"Notre produit permet de comprendre les besoins en chauffage d’un bâtiment, dans chaque pièce et à chaque moment, et d’y répondre grâce à l’Intelligence artificielle (IA)", résume Raphaël Meyer, 29 ans, président de la start-up Lancey Energy Storage. Mais ce n’est pas tout, il ajoute : "En plus d’optimiser l’efficacité énergétique du bâtiment, notre radiateur encourage aussi l’autoconsommation, c’est-à-dire l’utilisation de l’énergie produite sur place, par des panneaux photovoltaïques par exemple."

Parfaitement interopérables, sécurisés et équipés de nombreux capteurs (de présence, de température, de qualité de l’air, entre autres), les radiateurs Lancey adaptent en permanence le niveau de chauffage de chaque pièce. À noter que les infos ainsi captées peuvent aussi servir à d’autres appareils connectés de la maison. Mieux encore, les batteries des radiateurs leur permettent de stocker l’électricité issue du solaire ou puisée aux heures creuses pour l’utiliser quand cela s’avère nécessaire et en particulier pendant les heures de pointe du réseau électrique.

"C’est aussi le premier radiateur intelligent compatible avec Linky, le compteur intelligent d’Enedis. Ce qui lui permet de réduire encore la facture en ne dépassant par exemple jamais la puissance maximale souscrite avec le fournisseur d’énergie", complète Raphaël Meyer. Du bon pour la nature comme pour le portefeuille donc. Et quand on sait que plus de 60 % de la facture d’électricité des Français est consacrée au chauffage*, on se dit que le futur a vraiment du bon.

Une petite grille derrière une porte, une VMC (ventilation mécanique contrôlée) dans un coin, un joint de fenêtre abîmé, l’aération et l’isolation d’une maison sont souvent invisibles aux yeux de ses habitants. L’une comme l’autre sont pourtant essentielles pour leur santé et leurs économies. "C’est pour cela que nous avons conçu AirEx, un contrôle intelligent de la ventilation permettant de réduire le besoin de chauffage et de protéger la qualité de l’air d’un intérieur", raconte Agnes Czako, 30 ans, cofondatrice et directrice commerciale d’AirEx. "Pour cela, ses capteurs agrègent des données sur la température, l’humidité et la qualité de l’air dans le cloud puis en tirent des directives à donner au système de ventilation de la maison ou de l’appartement", poursuit la jeune femme. Le tout sans utiliser de ventilateur, seulement les mouvements naturels de l’air.

En fait, le système permet une telle économie d’énergie qu’il est rentable en deux ans. Des qualités aussi intéressantes pour les petits propriétaires que pour les grands bailleurs. Ce qui était une nécessité absolue pour Agnes Czako : "Nous avons mené des dizaines de milliers d’audits énergétiques de logements sociaux à travers le Royaume-Uni et nous avons été choqués par le nombre de familles qui luttent pour parvenir à se chauffer ou développent des problèmes de santé liés à l’humidité. C’est pourquoi dans cinq ans nous espérons avoir déployé notre solution dans le plus grand nombre de logements possible, en particulier ceux des plus démunis." Un droit à jouir d’un air sain, du moins chez soi, qui semble fondamental et essentiel.

"Vérifier que les lumières sont éteintes, régler le chauffage ou encore penser à fermer les portes et les fenêtres, nos maisons modernes ont toujours besoin d’être baby-sittées. Et ce malgré leurs équipements, car les applications n’ont fait que remplacer un bouton physique par un bouton numérique", constate Alexandre Ioachim, 45 ans, fondateur et directeur de l’innovation de la start-up Viaroom. "C’est pour cela que nous avons créé Viaroom HomeTM, le premier contrôleur domotique complètement autonome."

Ce dernier mot est essentiel puisque les équipes de Viaroom ont constaté que de nombreux foyers intéressés par la domotique – l’ensemble des fonctions d’une maison connectée – reculent face à la complexité de celle-ci. Viaroom HomeTM s’installe donc de manière ultra-rapide dans n’importe quelle maison ayant au moins une ampoule connectée puis détecte automatiquement les appareils de la maison. Ensuite, il ne reste plus qu’à attendre les premières 48 heures que Viaroom HomeTM apprenne à vous connaître. Il n’y a aucun réglage à faire. Rien.

Au contraire, le boîtier va intégrer toutes vos habitudes, de la station de radio que vous aimez écouter le matin jusqu’au réglage du four pour votre soirée pizza/Koh Lanta du vendredi soir, pour y répondre ensuite le plus efficacement possible. Et plus le temps passera, plus son analyse sera fine. "L’idée c’est vraiment que les gens continuent à utiliser leur maison normalement, qu’ils touchent les interrupteurs, règlent le thermostat, etc., notre solution prendra progressivement le relais en répondant à leurs besoins. Il n’y a rien d’autre à faire, nous avons supprimé la barrière technologique qui effraie tant", explique Alexandre Ioachim.

C’est là que Viaroom HomeTM se distingue des contrôleurs domotiques traditionnels et du travail qu’ils impliquent pour les utilisateurs. D’ailleurs, cette technologie ne les concurrence pas, elle les complète et encourage même à s’équiper. D’autant que l’autre atout majeur de Viaroom HomeTM, c’est la rentabilité ! En plus d’être un cerveau à lui tout seul, le boîtier va vous faire faire des économies en optimisant tout seul vos dépenses énergétiques sur l’éclairage, le chauffage, le four ou la machine à laver. Soyons honnêtes, on a tous rêvé d’avoir une IA à domicile comme le Jarvis d’Iron Man. Eh bien, il est là, et il est tout aussi sécurisé que celui de Tony Stark.

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