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Louer son logement pour un tournage, ce n’est pas si compliqué

Pas question d’en faire un véritable business, mais louer un bien personnel pour en faire un décor de photo, de tournage ou pour un événement ponctuel est possibilité intéressante. Pas étonnant qu’un Salon des lieux de tournage se tient tous les ans dans la capitale (jusqu’à ce mercredi) et attire un nombre grandissant d’exposants. Collectivités locales, sites exceptionnels ou grandes entreprises y mettent en avant leurs atouts cinématographiques, mais les particuliers ont aussi toutes leurs chances.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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Vous voulez acheter à Toulouse ? Voici les prix de l’immobilier, quartier par quartier

Toulouse à tout prix ? Dynamique à la fois sur le plan économique et démographique, la Ville rose serait aussi la première ville du monde où les salariés sont le plus épanouis. Ce qui est sûr, c’est que la quatrième ville de France demeure attractive et continue de séduire près de 8 000 nouveaux habitants chaque année.

Toulouse est d’ailleurs la ville de France où le nombre d’habitants augmente le plus, selon le dernier recensement de l’Insee publié au 1er janvier 2017.

La ville comptait 466 297 habitants en 2014, contre 458 298 l’année précédente. À titre de comparaison, la population de Toulouse dépassait à peine 390 000 habitants en 1999, près de 264 500 habitants après-guerre et quelque 50 000 habitants au tout début du XIXe siècle.

Aujourd’hui capitale de la nouvelle région Occitanie, Toulouse est également l’agglomération dont le PIB a le plus progressé depuis 2003, avec un taux de croissance de 31,6%. Un chiffre qui la place devant Paris et Lyon.

Corollaire de ce qui précède, le marché de l’immobilier se porte bien dans la Ville rose.

Un délai de vente autour de 80 jours
Selon les chiffres d’Orpi, premier réseau en France, « le prix de vente moyen au m2 baisse de 4%, mais le marché demeure dynamique, avec un délai de vente autour de 80 jours, contre 97 jours en moyenne. Toulouse n’est d’ailleurs pas très loin du délai de vente de 77 jours à Paris, où le marché de l’immobilier est particulièrement tendu. Le délai de vente est de 79 jours à Lyon et de 94 jours à Marseille.

Il existe toutefois de grosses disparités de prix selon les types de biens et les secteurs géographiques, nuance Sidonie Signes, présidente du GIE Orpi à Toulouse.

Le site immobilier MeilleursAgents.com permet justement d’établir un comparatif en fonction des quartiers, à Toulouse.

Recherche maison avec jardin (année 1950), 5 pièces, 120 m2, garage :
Saint-Simon (rue Pierre Bayle) : estimation à 299 900 euros (en moyenne : 2 548 € / m²)
Bonnefoy (rue des Flandres) : estimation à 300 400 euros (en moyenne : 2 729 € / m²)
Soupetard (rue de Soupetard) : estimation à 304 300 euros (en moyenne : 2 732 € / m²)
Lardenne (avenue de Lardenne) : estimation à 305 800 euros (en moyenne : 2 822 € / m²)
Roseraie (rue de Caumont) : estimation à 308 500 euros (en moyenne : 2 836 € / m²)
Sept Deniers (Rue des Troènes) : estimation à 309 200 euros (en moyenne : 2 674 € / m²)
Saint-Agne (rue Condorcet) : estimation à 343 100 euros (2 918 € / m²)
Les Arènes (rue de Cugnaux) : estimation à 344 000 euros (2 517 € / m²)
Bourrassol (rue Antonio Vivaldi) : estimation à 357 300 euros (2 874 € / m²)
Barrière de Paris (rue Pierre Rubens) : estimation à 362 800 euros (3 061 € / m²)
Minimes (rue du Caillou-Gris) : estimation à 393 600 euros (en moyenne : 3 320 € / m²)
Côte Pavée (Boulevard Deltour) : estimation à 402 800 euros (3 572 € / m²)
Guilhemery (rue de la Providence) : estimation à 426 100 euros (3 416 € / m²)
Le Busca (Sainte-Philomène) : estimation à 430 300 euros (3 618 € / m²)

 

Recherche appartement : le prix au m2 selon MeilleursAgents.com

Reynerie (estimation à 1 483 € / m²)
Bellefontaine (estimation à 1 713 € / m²)
Bagatelle (estimation à 1 716 € / m²)
Croix-de-Pierre (estimation à 2 165 € / m²)
Les Izards (estimation à 2 228 € / m²)
Lalande (estimation à 2 320 € / m²)
Croix-Daurade (estimation à 2 356 € / m²)
Empalot (estimation à 2 542 € / m²)
Sauzelong / Rangueil (estimation à 2 563 € / m²)
Montaudran / Lespinet (estimation à 2 591 € / m²)
Fer à Cheval (estimation à 2 654€ / m²)
Amidonniers (estimation à 2 853 € / m²)
Marengo-Jolimont (estimation à 2 890 € / m²)
Saint-Michel (estimation à 2 967 € / m²)
Patte d’Oie (estimation à 2 983 € / m²)
Compans (estimation à 3 096€ / m²)
Les Chalets (estimation 3 394 € / m²)
Saint-Cyprien (estimation à 3 408 € / m²)
Arnaud-Bernard (estimation à 3425 € / m²)
Saint-Aubin / Dupuy (estimation à 3 515  € / m²)
Saint-Etienne (estimation à 3 729 € / m²)
Capitole (estimation à 3 770 € / m²)
Carmes (estimation à 3 874 € / m²)

Sourced through Scoop.it from: actu.cotetoulouse.fr

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2017 Loi Alur : Clarification des annonces immobilières 

Au 1er avril 2017, les nouvelles obligations, issues de la loi Alur, en matière de transparence des annonces immobilières vont entrer en vigueur. Elles permettront au client d’y voir plus clair, pour la vente comme pour la location.

La transparence de l’information fait partie des cinq piliers de la concurrence pure et parfaite, censée régir tout marché économique. C’est donc dans cette optique que les agences immobilières devront faire preuve de plus de clarté dans la publication de leurs annonces à compter du 1er avril prochain. Un arrêté du 10 janvier 2017, découlant de la loi Alur, a été publié hier au Journal Officiel. Il impose donc un certain nombre de nouvelles obligations aux professionnels de l’immobilier.

Fini les mentions « prix sur demande »
Les annonces immobilières devront donc préciser systématiquement le prix de vente du bien : fini donc les mentions « prix sur demande ». Surtout, devra être mentionné avec clarté à qui reviendra la charge des honoraires de l’agent immobilier et leur montant. Le prix de vente du bien comprendra donc obligatoirement la part des honoraires du professionnel à la charge de l’acquéreur, exprimé à la fois en honoraires inclus et exclus – dans une taille de caractères supérieure pour le premier. Et ce prix de vente ne pourra donc, « en aucun cas inclure la part des honoraires à la charge du vendeur », précise l’arrêté.

Faciliter la vérification du respect de l’encadrement des loyers
Dans le cadre d’une location, c’est le montant du loyer mensuel « tout compris » qui sera mentionné. Il faudra également que la part que représentent les charges locatives dans ce loyer y figure clairement. La surface et de la commune du bien devront aussi être visibles par les clients, « afin notamment de leur permettre de vérifier le respect du plafonnement des honoraires de location créé par la loi Alur ». Cette partie de l’arrêté fait référence à l’encadrement des loyers, en vigueur à Paris depuis août 2015 et attendu à Lille à compter de février 2017.

L’annonce de location indiquera donc obligatoirement le montant du loyer mensuel, augmenté le cas échéant du complément de loyer permis par l’encadrement des loyers, celui des charges récupérables, ainsi que le montant du dépôt de garantie éventuellement exigé. Elle précisera aussi le montant total TTC des honoraires du professionnel mis à la charge du locataire, notamment ceux facturés pour l’état des lieux. La surface du bien loué devra être exprimée en mètres carrés de surface habitable.

Enfin, le barème des prix des prestations proposées par un professionnel de l’immobilier, obligatoirement affiché en vitrine, devra aussi être publié sur son site internet.

La Fnaim craint un trop-plein d’informations…
La Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim) a tenu à réagir à l’entrée en vigueur de ces mesures dans un communiqué publié ce 19 janvier 201, en se plaignant d’un « excès d’informations obligatoires sur les annonces » qui risque de « nuire à l’information ». La Fnaim craint également que le fait d’obliger « l’agent immobilier à préciser honoraires exclus et honoraires inclus » puisse « brouiller le message vis-à-vis des consommateurs ». Elle déplore, enfin, que deux points ne soient pas éclaircis par l’arrêté : d’une part, « les plateformes collaboratives seront-elles soumises à ce texte ? » ; et, d’autre part, « concernant les biens d’exception, où la discrétion est de mise, voire légitime, ces nouvelles règles s’appliqueront-elles ? ».

Sourced through Scoop.it from: www.latribune.fr

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Benoît Hamon : son programme immobilier s’il est élu en 2017

A l’occasion du premier tour de la primaire de la gauche, Explorimmo avait interrogé les 7 candidats sur leurs propositions dans le domaine de la politique du logement. A l’issue des résultats second tour le 29 janvier 2017, voici les principales orientations souhaitées par Benoît Hamon.

ETENDRE L’ENCADREMENT DES LOYERS
Benoit Hamon promet d’élargir le dispositif d’encadrement des loyers à toutes les zones tendues du pays, « à savoir les 13 métropoles françaises tout en donnant plus de moyens pour les contrôles mais aussi pour les recours des locataires. » Pour l’Ile-de-France, il est favorable à une extension sur toute la métropole et pas uniquement sur la ville de Paris.

ENCADRER LE MÉTIER D’AGENT IMMOBILIER
Par ailleurs, à l’heure où l’on parle de plus en plus de transparence et où les honoraires des agences devront être affichés à compter du 1er avril, la candidat socialiste souhaite «encadrer le métier d’agent immobilier pour garantir les droits et les informations aux locataires et acquéreurs» dans le même sens que la loi consommation qu’il a porté.

DOUBLER LES TAXES SUR LES LOGEMENTS ET BUREAUX VACANTS
Benoit Hamon souhaite utiliser une partie «des droits de succession pour financer la solidarité». Sur les droits de succession, il considère que la première inégalité c’est le non-accès au patrimoine. « La fiscalité doit surtout être un outil redistributif en général et dans le logement en particulier. Il faut donc s’attaquer frontalement aux spéculations dans ce domaine grâce à l’outil fiscal.» promet-il. Il propose de doubler les taxes qui pèsent sur les logements et les bureaux vacants.

EVALUER L’EFFICACITÉ DE L’INVESTISSEMENT LOCATIF PINEL
Benoit Hamon estime que le dispositif d’investissement locatif Pinel est budgétivore. Il annonce qu’il faut « évaluer de l’efficacité, et en attendant signer un moratoire sur les mesures 2017. On peut envisager de poursuivre ce type de dispositif uniquement dans les zones à forte demande de logements et sur les produits pour les familles. » dit-il. Benoît Hamon se déclare persuadé qu’il faut concentrer les financements publics sur le logement social et sur l’accession sociale sécurisée à la propriété. Une démarche plus juste et plus efficace selon lui.

1 MILLIARD PAR AN POUR LES AIDES À LA PIERRE
Benoit Hamon juge qu’il faut rattraper le retard pris depuis 10 ans. Il s’engage sur une aide à la pierre de 1 milliard d’euros par an sur le prochain quinquennat. Il propose notamment de le faire, en généralisant à toutes les régions, la création d’un Comité Régional de l’Habitat et de l’Hébergement. « Construire 500 000 logements par an, c’est atteignable mais la priorité ce sont surtout les 150 000 logements sociaux par an». souligne-t-il.

LA RÉNOVATION THERMIQUE AU CŒUR DE SES PRIORITÉS
La rénovation thermique du parc de logements publics et privés sera également au cœur des priorités du vainqueur de la primaire de la gauche. Pour la rénovation du parc privé, il s’engage à solliciter la Caisse des dépôts. Pour la rénovation du parc social, il assure qu’il mettra fin aux ponctions sur la trésorerie des offices HLM en échange d’objectifs chiffrés de réhabilitation de logements sociaux.

CAMPS D’ACCUEIL ET TRANSFORMATION D’HÔTELS
Le candidat socialiste promet de lancer dans le cadre des premières discussions sur le projet de loi de finances 2018, deux plans d’actions : l’un sur la construction de camps d’accueil et d’accès aux droits pour les migrants. L’autre sur la transformation des hôtels meublés « qui sont devenus des centres d’hébergement de fait, en véritables centres dotés du personnel social adapté, et à destination des familles en priorité. » précise -t-il.

CONFÉRENCE SUR LE LOGEMENT EN DÉBUT DE QUINQUENNAT
Benoît Hamon s’engage à organiser une grande conférence sur le logement dans les 6 mois suivant l’élection présidentielle avec les professionnels et les acteurs de la chaîne du logement (bailleurs, associations de locataires…). Il promet de déterminer une politique nationale transparente et rénovée du logement. « Je souhaite par exemple que le secteur de l’économie sociale et solidaire participe à l’effort de construction de logement accessible à ses salariés et promouvoir ce secteur à hauteur de 20 % du PIB ». affirme-t-il.

A suivre.

Sourced through Scoop.it from: www.explorimmo.com

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Flatlooker : visiter et louer son futur logement depuis chez soi

La recherche d’un nouveau logement est souvent assimilée à un véritable parcours du combattant. De plus, il faut visiter en moyenne 7 logements avant de trouver la perle rare. Gain de temps et de déplacement, Flatlooker propose désormais de visiter et louer son futur logement depuis chez soi !

Les personnes intéressée par un logement sur la plateforme www.flatlooker.com peuvent communiquer leur dossier dématérialisé à autant de bailleurs (agences ou propriétaires) qu’ils le souhaitent en un seul clic. Chaque annonce mise en  ligne sur la plateforme intègre une visite virtuelle, des vidéos HD commentées du bien et des  parties communes, un plan détaillé, des prises de son et de lumière et une multitude  d’autres informations sur le logement  et le quartier. Les visites se font directement depuis un ordinateur, un smartphone ou un casque de réalité virtuelle, sur la plateforme www.flatlooker.com.

Les équipes de Flatlooker s’assurent de la fidélité des visites en ligne en se  déplaçant dans chaque bien afin d’y effectuer des prises de vues et d’informations.

Retranscrire l’expérience de la visite sur place de manière la plus fidèle possible

Fini les visites, les déplacements inutiles, et les aller-retours à la photocopieuse pour imprimer ses dossiers. Enfin, la signature du bail peut se faire lors de l’emménagement ou de façon électronique, en fonction des disponibilités et besoins du locataire.

Ce concept, qui se veut innovant et disruptif dans un marché immobilier relativement traditionnel, est actuellement en plein essor. En quelques mois Flatlooker a permis à ses utilisateurs de visiter 200 appartements en ligne, et une centaine d’entre eux ont pu devenir locataires en limitant leurs efforts ! Les services de la plateforme ne sont actuellement disponibles qu’en région parisienne mais l’équipe a vocation à s’étendre rapidement en province et à l’étranger.

Ce projet est porté par une équipe de 6 personnes, dont 3 associés aux parcours complémentaires. Nicolas Goyet (Polytechnique) se charge du développement technique, Benjamin Yana (Sciences Po Paris) est responsable du pôle Commercial / Relations bailleurs et Nicolas Parisot (Centrale Paris) gère quant à lui le pôle Marketing / Relations locataires.

Sourced through Scoop.it from: www.mon-immeuble.com

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Guy Hoquet L’immobilier fait appel à un robot rédacteur pour les sites web de ses agences immobilières

Replacer l’agent immobilier au cœur de son quartier. C’est la volonté de Guy Hoquet L’Immobilier, en partenariat avec Syllabs et l’agence 1min30, avec le lancement en simultané de 450 médias web locaux.
Avec 450 agences immobilières réparties sur le territoire français, Guy Hoquet l’Immobilier est en effet bien placé pour produire des contenus de bonne qualité et de l’information locale pour ses clients.
La technologie développée par Syllabs permet de produire automatiquement un contenu riche et éditorialisé. Son algorithme collecte, trie et organise des millions de sources et les transforme en temps réel en informations publiables. Chaque jour sont rédigés automatiquement des centaines d’articles et descriptions à partir de données structurées : secteur immobilier mais aussi vie locale (sport, culture, commerce…). Une première en France : faire des sites des agences Guy Hoquet l’Immobilier de véritables média spécialisés et locaux.
« Dans un contexte hyper concurrentiel et un monde de quête perpétuelle d’information, nous considérons que le site d’agence local est primordial ; pour être attractif il doit proposer plus que des annonces. D’où l’idée de créer du contenu de qualité permettant de mettre en avant la connaissance que le professionnel de l’immobilier a de sa commune, son quartier… », précise Fabrice Abraham, Directeur Général du réseau Guy Hoquet l’Immobilier.
« La solution proposée par Syllabs qui consiste à créer une information complémentaire qui ne pourrait être produite sans le recours à l’automatisation, en traitant à très grande échelle des données hyper spécialisées et hyper locales nous a d’emblée séduite car elle s’adapte parfaitement à nos besoins», poursuit-il.
La ligne éditoriale, issue d’une réflexion commune entre 1min30, Syllabs et Guy Hoquet propose différents types d’articles : de l’expertise, de l’information mais aussi des annonces immobilières robot rédigées sur le blog des agents, permettant à ces derniers de gagner du temps pour se concentrer sur le cœur de métier.
En outre, la connaissance des agents Guy Hoquet de leur secteur peut désormais être partagée au quotidien avec tous leurs publics. Une véritable richesse qui, sans cette technologie aurait nécessité 450 rédacteurs à plein temps !
« La compétence humaine et la data sont au cœur de nos solutions technologiques. Nos robots, configurés par nos experts, rédigent quotidiennement des milliers de contenus en utilisant diverses sources d’information. Une révolution informationnelle est en marche ; celle de l’information « hyperlocale » de masse. Le projet  Guy Hoquet en est le parfait exemple»,explique Claude de Loupy  CEO & co-fondateur Syllabs.
Pour Virginie Franc Jacob, ex-journaliste spécialiste de l’immobilier pour l’Express  durant 8 ans et Responsable communication digitale Guy Hoquet L’Immobilier depuis janvier 2016 : « Il n’est pas question de dévaloriser le travail des journalistes et laisser penser que des robots peuvent faire le métier à leur place. Au contraire nous pensons que leur travail d’enquête sur le terrain est indispensable au pluralisme de l’information dans notre secteur. Les robots rédacteurs ont vocation eux à « rédiger » des articles à partir de bases de données. »

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La marge de négociation d’un bien immobilier est au plus bas depuis 2010 !

À leur plus bas niveau depuis 2010, les marges de négociation des prix immobiliers poursuivent leur cure d’amaigrissement… Tour d’horizon des marges qui sont pratiquées dans nos régions. 

Des marges de négociation à leur niveau le plus bas depuis six ans !
Comme en attestent les données qu’a compilées le baromètre LPI-SeLoger, la tendance baissière qui touche les marges de négociation immobilière depuis la rentrée n’a pas faibli. Entre des vendeurs qui se montrent de moins en moins gourmands et des prix signés qui stagnent, voire augmentent, les ristournes pouvant être obtenues lors de l’acquisition d’un bien immobilier dans l’ancien fondent à vue d’œil. Pour s’en convaincre, il suffit de rappeler qu’à 4,3 % (5 % pour les maisons et 3,7 % pour les appartements), elles n’ont pas été aussi ténues depuis l’année 2010…

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2016 : Top 10 des villes où le prix de l’immobilier a le plus augmenté !

Nîmes, Metz, Bordeaux, Le Mans… Découvrez le palmarès des dix villes françaises où le prix de l’immobilier s’est envolé en 2016 ! 

+10 % sur les prix de l’immobilier à Nîmes et à Metz !
Décrochent respectivement les médailles d’or, d’argent et de bronze de notre classement, Nîmes, Metz et Bordeaux. Dans la Cité des Antonins, les appartements ont enregistré une hausse de 11,5 % en un an pour un prix qui avoisine actuellement les 2 052 € au m². Du côté de la Ville de la Mirabelle, la progression annuelle atteint 10 % pour un prix moyen au m² de 2 235 €. Quant à la Belle Endormie, ce sont 9,5 % qui ont été gagnés sur les douze derniers mois. À Bordeaux, le m² se monnaye désormais aux alentours de 3 667 €. À la 4e place de notre palmarès, on retrouve Le Mans. Avec une progression de 9 % sur l’année pour un prix moyen au m² de 1 920 €, le moins que l’on puisse dire est qu’immobilièrement parlant, la Cité Mancelle se porte bien.

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90 % des grandes villes voient leurs prix immobiliers grimper !

Sur l’année, une très large proportion des villes françaises de plus de 100 000 habitants dénote une tendance haussière des prix dans l’ancien. Retour sur une hausse qui se généralise… et s’accélère !

Plus de 5 % d’augmentation sur les prix de l’immobilier à Nantes et à Nice !
Si le mercure baisse, on ne peut pas en dire autant des prix des logements anciens tant ils prennent rapidement de l’ampleur ! Et avec près de 9 villes de plus de 100 000 habitants sur dix qui affichent des prix immobiliers en progression, force est de constater que ce mouvement ascensionnel se répand sur tout le pays. De Paris (+ 3,4 %) dont 100 % des arrondissements voient leurs prix immobiliers progresser, à Nîmes (+ 11,5 %) en passant par Nice (+ 5,1 %), Nantes (+ 6,9 %) et Le Mans (+ 9 %), la hausse – comme le fait remarquer Michel Mouillart, Professeur d’Économie à l’Université Paris-Ouest et porte-parole du baromètre LPI-SeLoger – est « très rapide » (…) et s’accélère encore ». Enfin, il est à noter que la tendance haussière s’intensifie non seulement à Marseille (+ 2,3 %) mais aussi à Angers (+ 4,5 %) ou encore à Brest (+ 4,7 %). Jusqu’à peu, l’Athènes de l’Ouest et la Cité du Ponant avaient pourtant eu à pâtir d’une demande en immobilier hésitante…

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Immobilier : Quelle surface acheter, en France, pour 252 000 € ?

En 2016, le prix moyen d’un bien immobilier ancien est de 252 000 €. Une somme non négligeable qui n’aura évidemment pas du tout la même signification selon la ville où vous achetez… 

Pour 252 000 € vous pouvez acheter un 29 m² ou un 189 m² !
Pas de miracle : ne vous attendez pas à vous payer un duplex avec vue plongeante sur la tour Eiffel, pour 252 000 € ! Avec cette somme, dans Paris intra-muros, vous n’aurez le droit qu’à un petit appartement de 29 m², et même à bien moins que ça si vous restreignez votre recherche aux quartiers les plus huppés de la capitale. Seule petite consolation : vous n’auriez pu prétendre qu’à une surface de 28 m² un an plus tôt…  Pour vivre un peu moins à l’étroit, vaut mieux  miser sur Lyon (62 m²), Nice (63 m²) ou encore Bordeaux (67 m².) Vous préférez les grands espaces, tournez-vous vers Toulon (103 m²), Grenoble (102 m²) mais surtout Saint-Étienne (189 m²) ! 

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