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Toulouse, champion de France de l’habitat participatif

VIDÉO – La ville rose voit les choses en grand pour l’habitat participatif, cette formule où les habitants se regroupent pour créer leur habitation idéale à moindre coût. Dans le quartier de la Cartoucherie, ce projet de 89 logements est le plus grand de France et fait office de référence.

«Une aventure s’achève, une autre commence» pour Véronique Coutagny qui va emménager dans un T2 près du centre de Toulouse, dans la plus grande opération d’habitat participatif de France. Depuis quatre ans, elle a discuté, choisi, conçu avec ses voisins et les architectes, ce projet de 89 logements dans l’écoquartier de la Cartoucherie, situé sur une vaste friche industrielle à l’ouest du cœur historique de la ville rose.

Les habitants vont enfin pouvoir prendre possession de leurs appartements aux «Quatre vents». Le complexe est divisé en quatre immeubles de 4 à 9 étages, construits avec des matériaux simples: de la brique, du bois, et avec une architecture contemporaine sobre et discrète qui cache pourtant une opération ambitieuse. En plus de leurs appartements avec vue sur les Pyrénées, les habitants vont également bénéficier de plusieurs espaces partagés: une salle polyvalente de 125 m², une salle de bricolage, une salle de musique, plusieurs buanderies, une grande cuisine, un jardin en cœur d’îlot, des chambres d’amis…

«On paye une trentaine d’euros par mois pour tous ces espaces collectifs. Et dans 20 ans c’est à nous», s’enthousiasme Véronique Coutagny. Cette quinquagénaire pétillante et survitaminée est pourtant arrivée «par hasard» dans l’aventure participative: «C’est un ami qui m’a emmenée à la première réunion sur le projet en 2013. Je ne savais pas ce que c’était», dit-elle.

Il faut savoir que pendant longtemps, l’habitat participatif a été réservé à des gens très motivés, militants alternatifs ou adeptes de la vie en communauté, explique Stéphane Gruet, architecte et philosophe. Il dirige l’AREA (Actions études et recherches sur l’Architecture et la Ville) qui a orchestré «la participation», un véritable travail de fourmi entre les habitants et les autres acteurs. Que ce soit les bailleurs, les architectes ou la Métropole, il faut mettre d’accord tout le monde.

Car depuis quelques années, ce type de projet s’est institutionnalisé notamment avec la loi ALUR de 2014, qui a donné une définition juridique à l’habitat participatif. Parallèlement, de nouveaux modes d’accession au logement social ouvrent ces opérations au plus grand nombre.

Vers une institutionnalisation
Ainsi, l’office HLM toulousain, groupes des Chalets, opérateur de cette nouvelle résidence, en est à sa troisième opération participative. «Notre objectif, c’est de faire que les gens soient acteurs de leur cadre de vie», explique son directeur Jean-Paul Coltat. En l’occurrence l’originalité, c’est que l’office HLM a proposé cette aventure à des gens qui ne savaient rien, a priori, de l’habitat participatif.

Pour Rosine Lang, qui est venue dès la première réunion des Chalets, c’est avant tout l’attractivité financière qui l’a convaincue. Entre sa petite retraite et les revenus de son activité d’écrivain public, elle n’imaginait pas à 64 ans être en mesure de s’offrir un appartement. Grâce à un prêt conventionné, elle a pu acquérir le T2 de ces rêves pour le prix d’un loyer.

Comme Véronique, elle a découvert «sur le tas» la dimension de groupe du projet. Elle a fait partie des habitants qui souhaitaient, par exemple, avoir une cuisine communautaire au rez-de-chaussée d’un des bâtiments: «Moi je vis seule mais je n’aime pas cuisiner et manger seule», confie-t-elle. Elle raconte qu’au fil des réunions hebdomadaires, durant quatre ans, elle a noué des liens très forts avec ses futurs voisins.

«Réfléchir ensemble pour se connaître»
Francis Blot, un ancien ingénieur aéronautique «reconverti dans l’action culturelle», explique qu’une «collectivité» s’est ainsi peu à peu formée: «on a appris à se connaître, à définir comment on allait vivre ensemble», dit-il. Lui était tenté par l’habitat participatif qu’il avait vu fonctionner en Californie ou en Allemagne. «Le collectif c’est parfois lourd, mais c’est intéressant d’arriver à se mettre d’accord», lance-t-il, très fier de faire visiter la salle de musique insonorisée, ou l’atelier créatif qui pourra servir «le mercredi aux enfants».

Pour l’architecte Stéphane Gruet, éminence grise du projet, la participation réclame une méthodologie très rigoureuse: élaboration d’une charte, procédure de cooptation des habitants, procédure de programmation participative, suivi individualisé des familles. Selon cet architecte, l’intérêt majeur de l’implication des habitants dès le début du programme réside dans la définition «d’une sorte de pacte social local»: «en construisant son projet d’habitation le groupe se construit et des solidarités se créaient», conclut-il.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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À Toulouse, Adopte ma tomate connecte les propriétaires de jardin et ceux qui veulent jardiner – actu.fr

Vous aimez profiter de votre jardin, mais vous manquez de temps pour sortir la binette et l’arrosoir pour vous en occuper? Une jeune start-up de Toulouse a la solution : Adopte ma tomate veut favoriser le co-jardinage en mettant en lien jardiniers et jardins.

Derrière cette idée, Octavia Ivan, une jeune roumaine installée dans la Ville rose depuis plusieurs années: 

Quand je suis arrivée à Toulouse, je me suis retrouvée sans les légumes du jardin de mes parents. Je n’en avais quasiment jamais acheté dans le commerce avant, ça a été un choc. Le contact avec la terre me manquait.

Mise en relation gratuite
C’est de ce manque que naît Adopte ma tomate. Le site met en relation gratuitement les propriétaires de jardins et les mains vertes en manque d’espace. Par le biais du site, les jardiniers amateurs peuvent trouver le jardin qui leur convient, qu’il soit potager, fleuri ou encore fruitier, à proximité de chez eux, aux horaires qui leur vont le mieux. Selon Octavia Ivan : 

Le principe est simple : travailler ensemble pour revégétaliser la ville, créer du lien social et intergénérationnel , tout en prenant du plaisir. 

Aujourd’hui, quatre personnes travaillent aux côtés d’Octavia Ivan au développement d’Adopte ma tomate. « J’ai pu concrétiser l’idée d’Adopte ma tomate lors de Wo’mixcity, un hackathon organisé par les Digital Girls, détaille Octavia Ivan. On a terminé à la seconde place et on a pu intégrer Momentum, un accélérateur de start-up. » 

Financé sur fonds personnels
Le site, qui a été lancé en novembre 2017, est financé sur des fonds personnels. Une campagne de crowdfunding devait être lancée  aux beaux jours, et des ateliers autour du jardinage doivent être organisés dès le mois de février.

Pour l’instant, le site ne référence que des jardins situés dans la Ville rose. Mais Octavia Ivan et son équipe comptent bien développer Adopte ma tomate :

Le monde est notre limite ! Nous sommes dans une période de changement. Heureusement, de plus en plus de personnes se rendent compte que nous ne pouvons plus continuer à consommer comme avant. Le retour vers la nature est donc implicite et sans frontière.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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À Toulouse, des locataires « gardent leur doudoune » dans leur immeuble énergivore

À Toulouse, 38 locataires d’un immeuble mal isolé alertent leur office HLM avec l’arrivée du froid. Pour la déperdition de chaleur, leur bâtiment est classé en catégorie G, c’est-à-dire la plus basse.

Du chauffage, des factures, mais pas de chaleur

Les locataires réclament en urgence des travaux pour rénover le bâtiment. Il y fait froid, malgré le chauffage, nuit et jour. Ahmed témoigne de l’inconfort, malgré son organisation.

Cette nuit, avec les portes et les volets fermés, les radiateurs allumés, il a fait 13, 14 degrés, pas plus.

Ahmed, locataire d’un immeuble mal isolé à Toulouse
à franceinfo

En revanche, la facture grimpe. Ce locataire d’un appartement dont l’exposition ne permet pas l’ensoleillement paye environ 400 euros tous les deux mois. Comme lui, ses voisins se débrouillent comme ils peuvent. « Ça m’arrive de garder la doudoune », explique une autre locataire. « J’ai trois chauffages qui tournent sans arrêt. Et ça descend jusqu’à 9 degrés ». 

Au 4e étage de l’immeuble, la situation de Jean-Claude se complique à cause de volets qui ne ferment pas correctement.

Sur les volets, il y a des ouvertures d’un centimètre à peu près. Je leur ai dit de changer les joints.

Jean-Claude, locataire
à franceinfo

Sa demande est restée sans réponse pour l‘instant. À côté, Nadia est inquiète pour ses trois enfants, souvent malades. « Ils ont des problèmes de bronchiolite à répétition et de l’asthme », dit-elle. Cette locataire toulousaine s’est aussi retournée vers les responsables HLM pour se plaindre du froid et de l’humidité.

Ils disent que c’est bien isolé, qu’il n’y a pas de problème de poissons d’argent, des petites bêtes partout, dans la baignoire, les toilettes, entre les matelas et le sommier, dans les armoires.

Nadia, habitante de l’immeuble énergivore
à franceinfo

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10 000 euros vont être cachés dans les rues de Toulouse, une « chasse au trésor » lancée

C’est un concept qui est né aux États-Unis et qui n’était, jusqu’alors, jamais arrivé en France. Deux entrepreneurs toulousains, qui souhaitent rester anonymes, vont cacher dans la ville rose dix mille euros. La chasse sera lancée d’ici quelques semaines. Si elle aura bien lieu dans les rues de Toulouse, les indices seront, eux, distillés sur Internet.
Dix cartes de 1 000 euros chacune

« Nous allons cacher dix cartes, d’une valeur de 1 000 euros chacune, à travers Toulouse », présente l’un des deux instigateurs du projet, qui ont déposé la marque Hidden Cash. Avant de dénicher chaque carte, les participants devront parvenir au bout d’une centaine d’indices. « Ils seront consultables sur Internet », ajoute-t-il. Exemple d’indice : « Je suis 1 et 3 à la fois. Toulouse prend son temps. Il est temps ». Pas facile…
Un concept étendu à d’autres villes

Si la première Hidden Cash (argent caché en français) aura lieu à Toulouse, le concept sera étendu dans d’autres villes de France dans les prochains mois. « On a voulu commencer ici car on est d’ici », explique l’entrepreneur. « Pour les prochaines villes, on fera un tirage au sort. »
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De l’argent réuni avec la pub

Cacher 10 000 euros dans la ville ? L’idée est saugrenue. « On veut faire bouger Toulouse, faire plaisir aux gens et faire qu’ils s’amusent », explique le Toulousain, expert d’Internet. Pour financer l’opération, les entrepreneurs misent sur des partenariats avec des entreprises… et des encarts publicitaires.
De la publicité s’affichera sur le site Internet de la chasse. Un système de rafraîchissement obligatoire permettra de multiplier le nombre de publicités affichées et, donc, multiplier les revenus pour les organisateurs. Le système de financement est innovant. Reste à voir s’il est viable…
Plus de 4 000 Toulousains déjà inscrits

En une semaine, déjà plus de 4 000 Toulousains se sont inscrits sur www.speed-cashcache.com. L’inscription est gratuite et permet uniquement d’être alerté « du coup d’envoi de la chasse ». La seule information enregistrée est l’adresse mail. C’est aussi sur ce site que seront disponibles les indices. Tenez-vous prêts : la chasse est bientôt lancée.

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Toulouse : voici le périmètre où certains véhicules seraient interdits les jours de pollution

C’est un document envoyé à plusieurs associations d’usagers de la route, et auquel Actu Toulouse a eu accès. Le préfet de Haute-Garonne et d’Occitanie, Pascal Mailhos, y présente une ébauche de son plan de circulation différenciée. Ce plan a pour objectif de faire face à une crise de pollution atmosphérique (particules fines) importante comme on a pu en connaître ces dernières années. Depuis 2016, pas moins de 11 épisodes de la sorte ont concerné la Haute-Garonne.

Une zone de 50 km2

Parmi les mesures auxquelles réfléchit la préfecture, il y a celle de la mise en place d’une zone de circulation restreinte (ZCR) de 50 km2 sur le département. Celle-ci concerne l’intérieur du périphérique toulousain, excluant le périphérique lui-même. « Cette zone est desservie par un réseau de transports en commune dense ; son identification par le public est facile ; elle permet des solutions d’évitement ; les moyens d’information des usagers de la route y sont nombreux (panneaux à message variable) ; l’application des mesures y est facile à contrôler », justifie le préfet dans ce document.

C’est-à-dire que, dans cette zone, la circulation de certains véhicules sera interdite à partir du 2e jour de pollution, « après la consultation d’un comité d’experts ». Quant aux véhicules concernés, cela dépendra de leur émission polluante, déterminée par les vignettes Crit’air. Seraient interdits de la circulation dans ce périmètre les voitures diesel d’avant 2005 et les poids lourd diesel avant 2009. Tous les véhicules sans vignette seraient aussi interdits.

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Toulouse et Bordeaux, les villes qui donnent envie de devenir propriétaire

Dans quelle grande ville les Français achètent-ils le plus? Quel est leur budget? Quelles sont leurs attentes et les principales motivations qui les poussent à devenir propriétaires? Une étude réalisée par Opinion Way pour Fortuneo s’est penchée sur ces différentes questions. Pour cela, l’institut de sondage a interrogé 2503 personnes âgées de 18 ans et plus dans les dix principales métropoles françaises (Paris, Lyon, Aix-Marseille, Lille, Bordeaux, Toulouse, Nantes, Nice, Rouen et Strasbourg). De vraies différences entre ces villes ont été constatées.

* Un quart des Français compte acheter dans les cinq ans à venir

C’est dans les deux grandes métropoles du Sud-Ouest que les habitants sont les plus nombreux à avoir acheté un bien au cours des cinq dernières années ou à avoir l’intention d’en acheter un au cours des cinq prochaines années (49 % à Toulouse et 47 % à Bordeaux). La dynamique est particulièrement forte dans la Ville Rose, où 32 % des sondés ont l’intention d’acquérir un bien immobilier au cours des cinq prochaines années (contre 25 % dans l’ensemble des métropoles).
Paris et Lyon séduisent également les investisseurs, avec respectivement 25 et 26% d’intentions d’achat dans les cinq ans. En revanche, bien moins de projets immobiliers sont envisagés à Rouen (seulement 21% des habitants ont l’intention d’acheter dans les cinq prochaines années), et à Nice (22 %). C’est la seule ville où les intentions d’achat d’ici 2022 sont inférieures aux achats depuis 2012.

* La constitution d’un patrimoine est l’attente principale liée à un achat immobilier

Les Français achètent majoritairement un logement afin de se constituer un patrimoine pour leur avenir (36 % de l’ensemble des personnes interrogées), et cesser de payer un loyer (33 %). Selon les métropoles, on note quelques particularités liées au confort. En effet, parmi les motivations d’achat, la possibilité de bénéficier d’un jardin est particulièrement citée à Aix-Marseille (33 %), Toulouse (31 %) et Rouen (30 %).
Disposer d’une plus grande surface est une raison importante à Paris (27 %), Lyon (29%) et Toulouse (30 %), tandis que le calme (16% au total) est particulièrement recherché à Aix-Marseille (22 %) et Toulouse (20 %). Se rapprocher des transports et commerces est un argument régulièrement cité à Bordeaux (15 %) et à Nantes (15 %).
» Découvrez notre palmarès 2017 des villes où il faut investir
* Le bien idéal est une maison pour les femmes, un appartement pour les hommes

L’achat d’un appartement en centre-ville est particulièrement souhaité par les hommes (45 % contre 38 % des femmes), les maisons en périphérie de la ville étant quant à elles plébiscitées par les femmes (38 % contre 33 % pour les hommes).
Le bien idéal varie également selon l’âge et la catégorie socio-professionnelle. Les seniors optent ainsi pour un logement proche du centre, qui se révèle souvent plus pratique (46 % des personnes âgées de 50 ans et plus). Les maisons en périphérie sont quant à elles privilégiées par les personnes âgées de 30 à 49 ans, qui sont souvent en âge d’élever des enfants (41 % contre 31 % pour les personnes âgées de 50 ans et plus). Les personnes appartenant aux classes populaires sont également plus nombreuses à rechercher un logement éloigné du centre-ville (44 % contre 36 % pour les catégories socioprofessionnelles favorisées).
Les Parisiens disposent du budget le plus élevé

Dans l’optique d’un achat dans les 12 mois à venir, l’ensemble des habitants des dix plus importantes métropoles françaises seraient prêts à consacrer 308.000 euros en moyenne pour une maison et 241.000 euros pour un appartement.
Ce montant est beaucoup plus élevé dans la capitale. Les Parisiens sont en effet prêts à consacrer un budget de 489.000 euros pour une maison et 416.000 euros pour un appartement.

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L’arrivée du TGV à Toulouse en 2024, un enjeu de taille pour la métropole du Sud-Ouest

En 2024, Toulouse ne sera plus qu’à 3h10 de Paris. Pour faire face à cette avancée majeure, la ville multiplie les projets urbains. 

La nouvelle gare multimodale, un pôle essentiel pour Toulouse
D’ici 2024, le quartier de la gare Matabiau sera en proie à des mutations importantes. Tout d’abord il devra affronter la hausse du trafic des passagers qui passera des actuels 50 000 passagers à 150 000. La gare sera également un véritable pôle multimodal, le parvis s’ouvrira sur une station de métro de la ligne A et sera pensé pour s’accorder avec les modes de transport doux. Le centre-ville s’étirera jusqu’au quartier de la gare, véritable poumon économique pour la ville. L’offre ferroviaire s’étendra avec la création d’une troisième ligne de métro, Toulouse Aerospace Express,  dont le tracé desservira 230 000 habitants. Ces nouveaux transports complèteront ainsi le réseau de bus « arc-en-ciel » qui relie les communes de Haute Garonne au centre-ville et la gare Matabiau. Le quartier de la gare sera, quant à lui, enrichi de 2 500 logements qui seront protégés des nuisances sonores par un ensemble de bureaux construits le long des voies ferrées qui feront une barrière acoustique. 

Emergence d’Euro Sud-Ouest, le nouveau quartier d’affaires de Toulouse
La création d’un pôle multimodal est ainsi une véritable opportunité pour la ville de Toulouse. C’est dans ce contexte propice au développement économique que naît le nouveau quartier d’affaires de Toulouse, l’Euro Sud-Ouest. Le centre-ville, élargi au quartier de la gare sera plus attractif grâce aux 300 000 m² de nouveaux bureaux et autres activités tertiaires. Toulouse voit grand et accueille ainsi des projets ambitieux, telle l’Occitanie Tower, un building végétalisé de 40 étages. Culminant à 150 mètres, il sera le premier édifice du quartier d’affaires autour de la gare TGV. Novatrice, elle mêlera un complexe hôtelier Hilton, ainsi que 100 à 120 logements et des bureaux. Le quartier de la gare étendra également son offre des commerces avec plus de 50 000 m² de surface qui y seront consacrés. 

Toulouse Aerospace, destination à la fois business et loisirs 
Situé sur le centre historique de Montaudran, Toulouse Aerospace s’étend sur plus de 56 ha. L’ancienne piste d’aviation longue d’1,8 km est conservée pour servir de colonne vertébrale au projet. Le projet s’articule autour de plusieurs pôles :
L’innovation Campus est un pôle de recherche et d’innovation consacré aux filières Aéronautiques et comprend plus que 13 000 m² dédiés au génie mécanique et productique pour l’aéronautique spatial ainsi que 38 000 m² pour les espaces tertiaires.
La Place Centrale, qui se compose de logements, commerces, cinéma ainsi que des créations de bureaux dernière génération. Le quartier est d’ailleurs bien fourni en transport : il bénéficie de la présence de la ligne B du métro et sera en 2024 desservi par la nouvelle ligne de métro Toulouse Aerospace Express.
La Piste des Géants est un site culturel qui se distingue en trois espaces. Le premier, étant une halle contemporaine de 6 000 m², accueillera plus de 150 créations de la compagnie La Machine. Le second est le Musée Pistes des Géans Aéro qui sera centré sur la thématique des pionniers de l’aéropostale. Et enfin, le troisième, Les Jardins de la ligne, qui totalise plus de 3 ha consacrés à 3 continents traversés par l’aéropostale. 

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[Classement] Immobilier. Toulouse n’est plus la ville la plus attractive pour les investisseurs

oulouse a moins la côte auprès des experts de l’immobilier. Dans son palmarès 2017, Explorimmoneuf classe la capitale d’Occitanie, au dixième rang des villes où investir, alors qu’elle était première l’an dernier. Rennes lui a subtilité cette place, suivie par Bordeaux et Montpellier, deux rivales de la Ville rose dans le Sud.

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