Pas de commentaire

E-sport : un des plus grands complexes d’Europe va ouvrir à Toulouse

La ville de Toulouse compte devenir une pionnière en Europe dans le domaine des jeux vidéo et de l’innovation. Pour cela, un énorme complexe entièrement dédié à l’e-sport va être construit, il s’agit du projet “ICONE”. Pour rappel, l’e-sport représente la pratique compétitive des jeux vidéo, ce marché devrait représenter plus de 10 milliards de dollars d’ici 2025.

Le contexte de l’arrivée de l’e-sport à Toulouse
Toulouse Métropole a lancé en 2018 un appel à projet urbains pour réaménager 18 lieux de Toulouse soit atypique, soit inoccupés. Cet appel à projet était d’ordre public-privé et porte le nom de “Dessine-moi Toulouse”. Parmi les lieux choisis par la métropole, on trouve des sites de Tisséo Collectivités avec notamment le pôle d’échange multimodal des Argoulets. Le but étant de proposer autre chose que la traditionnelle sortie de parking, de métro… Depuis, les lauréats ont été annoncés et le projet de construction d’un pôle de loisirs e-sport a été choisi pour réaménager le site des Argoulets. La zone des Argoulets a une vocation plutôt sportive et de loisirs, c’est pourquoi le projet semblait parfaitement correspondre aux attentes des collectivités.

En effet, dans le quartier des Argoulets, on retrouve la base de sports et de loisirs qui propose de nombreuses activités avec notamment une patinoire, une piscine, neuf terrains de tennis, des terrains de rugby, une piste de bicross ou encore des jeux pour enfants. Le lieu semble donc très approprié à l’accueil de la pratique de l’e-sport. De plus, le réaménagement du lieu permettra de requalifier cette porte d’entrée de la ville de Toulouse.

L’équipe de ce projet est composée du promoteur immobilier Edelis en tant que maître d’ouvrage, de GCC en tant que concepteur et réalisateur du projet, du cabinet d’architecte G + 2B et de l’agence d’urbanisme “d’une ville à l’autre”, enfin, c’est la société STAKRN qui est à l’origine du projet, cette entreprise internationale est entièrement consacrée au développement commercial de l’e-sport. Cette société, notamment basée à Montpellier et lauréate de l’appel à projets toulousain, va définir l’ensemble du concept afin d’assurer sa pérennité.

Les détails du projet “ICONE”

Le complexe prévu n’a pas pour seul objectif le divertissement mais bien de développer un vrai pôle d’innovation et de formation spécialisée dans l’e-sport. Plus de 400 emplois devraient être générés par ce projet. Le complexe aura une superficie de 16 000 m² qui sera répartie comme telle :

40 % d’espaces de loisirs “Réalité Virtuelle”
31 % d’hébergement de tourisme coliving (voir mon article sur la nouvelle tendance du coliving)
17 % de tertiaire e-sport
10 % avec l’Aréna e-sport, une salle de 450 places
2 % de commerces
Ainsi que des places de parking
Le projet “ICONE” représentera un véritable écosystème de l’innovation et des nouvelles technologiques ouvert au public. Il y aura la possibilité de suivre des formations aux métiers de l’e-sport, de faire des courses de drones, de tester un simulateur de Formule 1 ou encore de faire un espace game immersif à bord d’un sous-marin. Il y aura également des studios d’enregistrement de contenus (certainement pour les youtubeurs), un restaurant dans la thématique du jeu vidéo, un complexe de loisir autour de la virtuelle et un autour de la réalité mixte. Un lieu destiné à la mobilité et au handicap va également être présent. D’autres surprises sont attendues dans ce joyau de l’innovation.

Enfin, il faut savoir que ce vaste projet immobilier ne pouvait pas se vanter d’être avant-gardiste sans une dimension écologique et environnementale. “ICONE” intégrera ainsi des panneaux solaires sur les toits et la chaleur généré par le matériel informatique sera récupérée pour ensuite être recyclée.

On note que l’arrivée du complexe pour 2022 permettra à des équipes e-sportives de se préparer aux différentes manifestations organisées en marge des JO 2024 à Paris.

Toulouse veut devenir pionnière dans le monde de l’e-sport

La création d’un tel lieu est unique en France, voire en Europe. En effet, même si le sport électronique se développe à grande vitesse, il n’existe pas encore beaucoup d’infrastructures consacrées à l’e-sport. Toulouse Métropole a ainsi pris les devants pour conforter son image innovante et surtout s’inscrire sur un marché plein d’avenir. Plusieurs chiffres montrent l’importance du secteur de l’e-sport :

La croissance annuelle du marché du sport électronique est estimée à 38 % pour atteindre 10 milliards de dollars à l’horizon 2025
À l’heure actuelle plus des trois-quarts des revenus sont générés par le sponsoring et la publicité, ceux qui montrent que de nombreux acteurs sont intéressés par ce marché.
L’estimation des récompenses lors des différents tournois est estimée à plus de 250 millions de dollars pour 2019.
5 millions de Français consommeraient de l’e-sport dont 2 millions de pratiquants
Il faudra encore attendre quelques années pour voir l’énorme complexe e-sport des Argoulets sortir de terre. En attendant, la première salle e-sport de Toulouse va ouvrir ses portes le 17 mai 2019 dans le quartier de Montaudran. Il s’agit du Toulouse Esport Concept (TEC). La salle fera 330 m² et permettra d’accueillir des entraînements, des tournois, divers événements et diffusera des compétitions professionnelles. De quoi faire patienter les passionnés de sports électroniques jusqu’à l’arrivée du complexe de 16 000 m² en 2022.

La ville de Toulouse est aujourd’hui capitale européenne de l’aérospatiale et de l’aéronautique, mais se classe aussi dans le top 6 des capitales européennes de l’innovation… Sera-t-elle la capitale européenne de l’e-sport à l’avenir ?

Sourced through Scoop.it from: blog-immobilier-toulouse.fr

Pas de commentaire

Immobilier : Paris, Bordeaux, Nice, Toulouse… les hausses (et les baisses) de prix de ce début d’année

Info Capital. D’après les données du réseau immobilier Orpi que nous dévoilons en exclusivité, les ventes progressent encore en ce début d’année, avec des évolutions de prix toutefois plus nuancées selon les territoires.
Dopé par des taux de crédit historiquement bas, le marché immobilier tourne toujours à plein régime. D’après les données du réseau Orpi, première enseigne immobilière plus de 1.000 agences, les ventes de logements anciens ont bondi de 9,8% au 1er trimestre 2019 par rapport à la même période l’an passé.

Sur le front des prix, en revanche, le constat est plus nuancé. Au niveau national, Orpi constate une légère baisse de 1,5% sur un an. “Nous avons clairement deux marchés : les grandes agglomérations où les prix grimpent (+2,2% sur un an) et les petites villes ou territoires ruraux où ils fléchissent (-0,5%)”, note Christine Fumagalli, présidente du réseau Orpi.

Parmi les grandes villes, Paris voit ainsi ses étiquettes valser de 3,6% sur un an, tout comme Nantes (+9,2%) ou encore Lyon (+9%) et Toulouse (+5,7%)… A noter tout même, que certains grandes métropoles ne semblent plus à la fête. Après une période de surchauffe, Marseille, Lille, et surtout Bordeaux, commencent à voir leurs côtes refluer…

Sourced through Scoop.it from: www.capital.fr

Pas de commentaire

Quartier d’affaires à Toulouse : la situation devient urgente !

Alors que la ville toulousaine poursuit son important développement économique, l’offre d’immobilier de bureaux reste insuffisante. Le futur quartier d’affaires de Toulouse devrait permettre à la métropole toulousaine à passer dans une nouvelle aire, cependant, il existe des mécontentements de la part d’une partie de la population sur les nouveaux projets de construction et notamment, la Tour d’Occitanie.

Immobilier de bureaux à Toulouse : du potentiel mais une offre insuffisante

Sans prendre en compte la ville de Paris, qui est incomparable aux villes de province, Toulouse se classe troisième cette année en terme d’offre d’immobilier de bureaux. La ville rose est derrière Lille et Lyon, mais elle se positionne tout de même devant la ville de Bordeaux :

Lille (254 000 m²)
Lyon (220 000 m²)
Toulouse (150 000 m²)
Bordeaux (99 500 m²)
On observe, malgré cette troisième place prometteuse, que Toulouse est encore bien loin du marché dynamique de Lille ou Lyon. La grande différence avec ces deux grandes villes est le fait que Toulouse détient une offre insuffisante dans son centre-ville alors que Lille et Lyon possède un quartier d’affaires en plein expansion. “Euralille 3000” est le projet de Lille qui va permettre de donner un nouveau souffle à son quartier d’affaires “Euralille”, créé depuis 20 ans. Ainsi, on attend environ 120 000 m² supplémentaires de surfaces de bureaux. La ville de Lyon prévoit également un projet gigantesque avec la volonté d’avoir 650 000 m² de bureaux supplémentaires dans le quartier de la Part-Dieu d’ici une dizaine d’années.

Une offre trop dispersée :
Sans son quartier d’affaire, Toulouse ne peut donc pas rivaliser avec ces villes. C’est regrettable, d’autant plus que le potentiel économique de la ville est très fort avec notamment une demande dans l’immobilier de bureaux toujours aussi soutenue et des stocks en baisse. L’offre de bureaux à Toulouse doit s’agrandir au plus vite, mais surtout, ne doit pas se disperser. En effet, le fait de ne pas avoir un quartier d’affaires disperse l’offre de bureaux dans la métropole toulousaine.

Dernièrement, en centre-ville, on compte l’arrivée du nouveau siège social d’Oppidéa et de JFrog (3 777 m² supplémentaires), mais aussi le nouveau siège social de Latécoère à la Roseraie (12 750 m²). En dehors de ça, il faut se diriger vers des territoires en croissance aux abords de la ville pour voir l’immobilier de bureaux être dynamique. Il y a par exemple les communes de Labège et Montaudran à l’est qui sont très dynamiques ou encore vers la zone aéroportuaire à l’ouest de la ville.

La Tour d’Occitanie est le futur symbole du quartier d’affaires de Toulouse

La croissance de Toulouse encourage l’arrivée d’un quartier d’affaires
Si la demande sur le marché de l’immobilier d’entreprise est aussi soutenue à Toulouse, c’est notamment grâce à une croissance économique dopée par l’industrie aéronautique et spatiale. En tant que capitale et pionnier dans ce domaine plein d’avenir, Toulouse est nettement devant ses voisins du Sud (Bordeaux et Montpellier) en terme de puissance économique. Pour comparaison, Toulouse compte 400 000 emplois salariés, soit 40 000 de plus que Bordeaux.

La ville rose voit de nombreux nouveaux habitants, attirés chaque année par les opportunités d’emplois. On compte en moyenne, 5 000 gains d’emplois nets tous les ans dans la métropole. Ce chiffre lui a notamment permis de se placer en tant que quatrième métropole française. Fort de son industrie aéronautique et spatiale, Toulouse se positionne également sur le secteur d’avenir des nouvelles technologies. La ville rose compte un grand nombre d’universités, de startups et de laboratoires de recherches, c’est une véritable terre d’innovation qui n’a pas tardé à attirer une entreprise des plus innovantes de ces dernières années : Hyperloop TT.

D’ailleurs, la métropole toulousaine sort du lot même à l’échelle européenne puisqu’elle se classe dans les 10 aires urbaines européennes en termes de croissance économique par an. On estime qu’il y a une croissance de 2,9 % par an pour le PIB par habitant, c’est le baromètre Eurostat Urban Europe qui a publié cette enquête.

“Toulouse se place parmi les métropoles les plus innovantes en entrant dans le Top 6 Européen. C’est une métropole toujours plus proche de ses habitants, qui ne cesse jamais d’inventer et d’innover », Jean-Luc Moudenc, président de Toulouse métropole”.

Un nouveau recours contre la Tour Occitanie
La ville de Toulouse a mis en place le projet majeur d’aménagement urbain TESO. Ce vaste projet de réhabilitation autour de la gare Matabiau, prévoit la construction de la plus grande tour de Toulouse : la tour Occitanie. Cette tour végétalisée s’élevant à 150 mètres est censée être le symbole du renouveau du quartier de Toulouse-Matabiau et permettre enfin à Toulouse d’avoir son quartier d’affaires.

Cependant, la construction de la tour n’est pas vue d’un bon œil par tous les habitants et un collectif a déposé un recours sur le permis de construire en début de mois d’octobre. Le groupement “Non au gratte-ciel de Toulouse” s’est exprimé via son porte-parole, Richard Mebaoudj :

“Cette modification adoptée sans enquête publique exonère le promoteur de construire une trentaine de logements sociaux et réduit ses obligations en termes de stationnement vélo”.

Il y a également l’association “2 pieds 2 roues” qui va déposer un recours par rapport à la diminution des places de vélo pour le projet.

Cette tour jugée contre-productive sur le plan social par certains habitants devrait faire l’objet de débats lors des mois à venir. Il paraît évident que Toulouse a besoin d’avoir son quartier d’affaires mais sans la tour Occitanie, c’est tout le projet Toulouse EuroSudOuest (TESO) qui est remis en question…

Sourced through Scoop.it from: blog-immobilier-toulouse.fr

Pas de commentaire

Danse, cinéma, cumbia… : la Colombie débarque à Toulouse avec le festival Locombia – actu.fr

L’Amérique latine s’invite à Toulouse, pendant cinq jours, avec le festival Locombia. Du lundi 5 au samedi 10 novembre 2018, différents lieux de la Ville rose vont vibrer au rythme de la Colombie.

Soirée projections à La Saint Dynamo
Cela va commencer avec du cinéma, lundi 5 novembre 2018, lors d’un projection de courts-métrages à La Sainte Dynamo, à Toulouse, de 20h30 à 23h30. Ce sera notamment l’occasion de découvrir le documentaire « Nos estàn Matando« , qui incarne un véritable « cri de révolte des mouvements sociaux en Colombie ».

Danses colombiennes à l’honneur
Pendant deux jours, La Brique Rouge va accueillir le festival, mercredi 7 er jeudi 8 novembre 2018. À chaque heure son art, et cela débutera avec un Master Class de danses colombiennes (salsa, cumbia, chirimia, currulao, mapalé). Tous les âges et tous les niveaux sont attendus.

Inscriptions par mail à collectiflapiragua@gmail.com ou téléphone au 07 60 65 84 01 (15 euros par personne, paiement sur place).

Le festival continuera avec le vernissage de la fresque réalisée par les jeunes de la MJC à 19 heures, en la présences des artistes Fonso du MAL Crew et Gabriel Sierra Henao. Puis à 20h30 se tiendra une performance audiovisuelle conçue spécialement pour le Locombia, par Santiago Quintero, spécialisé dans la création cinématographique et le spectacle vivant, originaire de Colombie.

Jeudi 8 novembre 2018, seront projetés plusieurs documentaires des Ateliers Varan, entre 18 heures et 22 heures.

Les pionniers du jazz colombien à Toulouse
Le festival Locombia et la Salle Nougaro vont s’associer le temps d’une soirée, vendredi 9 novembre 2018, pour laisser carte blanche au guitariste Kent Biswell, pionnier du jazz en Colombie, ainsi qu’à son illustre confrère accordéoniste, Antonio Rivas. Un croisement du vallenato, de la cumbia, de la salsa, de la rumba congolaise, du jazz et du rock qui retentira de 20h30 à 23h30.

Jusqu’au bout de la nuit pour la soirée de fin
La soirée de clôture se fera en deux parties, samedi 10 novembre 2018. Tout d’abord au Métronum, à partir de 19h30, dans une ambiance festive colombienne et un « cocktail musical explosif« .

Avec Cumbia y Cardón + Super Panela + DJ No Breakfast + Yeahman
Prix : 8€ en prévente / 10€ sur place. Lien pour les préventes ici

Ceux qui sont prêts à tenir toute la nuit, le rendez-vous est donné au Cri de la Mouette, de 23 heures à 6 heures. Cumbia traditionnelle, son des carnavals, tambours afro-colombiens, fanfare de rue caribéenne, rock alternatif, musique électronique… la programmation sera dense et dansante pour rester éveillé toda la noche !

5€ sur place (4€ sur présentation du billet de la ¡ Noche Loca ! du Festival Locombia au Métronum)

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

Pas de commentaire

Héritage, contrat de mariage, vente immobilière… Les notaires de Toulouse consultent gratuitement – actu.fr

Une question sur un contrat de mariage, la transmission d’un patrimoine ou la mise en place d’un bail de location ? Cet événement vous est destiné : le vendredi et le samedi 6 octobre 2018, les Notaires de la chambre interdépartementale de la cour d’appel de Toulouse répondront à toutes vos questions.

Dix postes de consultation gratuite
Ces journées notariales se tiendront square Charles-de-Gaulle, rue Alsace-Lorraine, de 10h à 19h. Chaque jour, dix postes de consultations gratuites seront mis à la disposition du public. Les notaires répondront à toutes les questions et garantissent la confidentialité à leurs interlocuteurs.

Avec des conférences
Un pavillon digital sera également installé derrière le Capitole. C’est là que se tiendront les trois visio-conférences organisées pendant ces deux journées. La première se tiendra à 15h, le vendredi 5 octobre 2018 et aura pour thème « Pacs, mariage… prévoir sa vie à deux ». Il sera de nouveau possible d’y assister le samedi 6 octobre 2018, à 16h.

La dernière aura lieu le samedi 6 octobre à 11h30 sur le thème « Acheter un bien immobilier : mode d’emploi ». 

Infos pratiques :
Les vendredi 5 et samedi 6 octobre 2018, de 10 h à 19h
Square Charles-de-Gaulle à Toulouse

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

Pas de commentaire

Toulouse. Dernières images, stations desservies : voici à quoi ressemblera le téléphérique – actu.fr

Après Grenoble (Isère) et Brest (Finistère), Toulouse va avoir son téléphérique. Celui-ci devrait être mis en service à la fin de l’année 2020 a confirmé Tisséo mercredi 3 octobre 2018. Il reliera l’université Paul-Sabatier à l’Oncopole par les airs par un tracé de trois kilomètres.

Alors que l’enquête publique sur le projet doit se tenir début 2019 et que les travaux pourraient débuter mi-2019 selon le calendrier de Tisséo, l’autorité des transports a présenté dans le détail le projet, l’emplacement précis des stations et dévoilé les nouvelles images de synthèse du téléphérique. Voici ce qu’il faut retenir…

Où seront situées précisément les stations ?
Le tracé du téléphérique va partir de l’Oncopole, franchir la Garonne puis le coteau de Pech-David avant de desservir le CHU de Rangueil puis l’université Paul Sabatier.

À l’Oncopole, la station sera construite sur pilotis en raison des risques d’inondation. Elle doit permettre de desservir l’Institut Universitaire du Cancer, les laboratoires présents sur place, l’établissement Pierre Fabre, l’Hôpital Marchant mais aussi assurer une bonne connexion avec le futur bus Linéo 5 (ligne Empalot-Portet-sur-Garonne) qui sera mis en service en 2019. Un parking de 500 places va être réalisé sur place.

Au CHU de Rangueil, la station a été positionnée juste devant l’entrée principale de l’hôpital, au niveau du parking P2. La station sera sur trois niveaux.

La station UPS est la nouvelle station réalisée suite à la reprise de la concertation, fin 2017. Elle remplace celle qui était prévue au lycée Bellevue. « Cette nouvelle station  à l’entrée de Paul-Sabatier a engendré un surcoût par rapport à l’ancien tracé mais au final, du point de vue du transport du public, c’est la meilleure solution puisqu’elle nous permet de franchir la route de Narbonne, très fréquentée, par les airs », estime Francis Grass, président de Tisséo Ingénierie.

Tisséo ajoute : La station UPS est la station motrice de la ligne, c’est-à-dire qu’elle sera la seule station à accueillir les moteurs permettant la mise en mouvement du câble tracteur. C’est aussi cette station qui accueillera le garage et l’atelier de maintenance qui seront utilisés pour l’entretien et le stockage des cabines

La station de Rangueil sera réalisée sur trois niveaux (© Groupement Poma/Architectes-urbanistes Sequences/Images : Les Yeux Carrés)
 
Le vent pourrait-il empêcher le téléphérique de fonctionner?
Tisséo a choisi la technologie « débrayable 3S », soit des cabines transportées par trois câbles (deux porteurs et un tracteur) garantissant la bonne marche du téléphérique jusqu’à des vents soufflant jusqu’à 108 km/h, seuil choisi pour l’arrêter. Ce qui selon les statistiques prises sur les 20 dernières années garantie l’accessibilité de l’engin 99,3% du temps.

La technologie du monocâble qui avait été choisie par nos prédécesseurs engendrait une fermeture du téléphérique dès que la vitesse du vent dépassait 70km/h, soit environ 14 jours par an, a indiqué Francis Grass.

Le tracé du téléphérique sera long de 3 kilomètres. Cinq piliers porteront les câbles et donc les cabines (©Groupement Poma)
Combien de personnes pourront monter dans chaque cabine?
Quinze cabines circuleront sur la ligne et chacune pourra accueillir 34 personnes (la moitié des places seront assises). Le service sera assuré de 5h du matin à 0H30 comme pour le métro ou le tramway. La durée du trajet sera de l’ordre de 10 minutes. En heure de pointe, les cabines circuleront à une fréquence de 1 minute 30 avec un débit maximum de 1 500 personnes transportées par heure. Tisséo estime que dans un premier temps, ce sont 7 000 personnes qui pourraient emprunter le téléphérique chaque jour. Un téléphérique conçu pour être 100% accessible et dans lequel il sera possible de transporter son vélo.

Combien ça va coûter?
Le téléphérique va coûter 82 millions d’euros, somme à laquelle il va falloir ajouter plus de 2 millions d’euros annuels en coût de fonctionnement, sur les 20 prochaines années. Sur les 82 millions d’euros du projet, l’Etat va verser 5,2 millions d’euros et la Région Occitanie 6,6 millions d’euros. Il restera donc 70 millions d’euros à la charge de Tisséo. « Le projet initial porté par l’ancienne municipalité coûtait 97 millions d’euros et surtout, elle n’avait pas prévue le coût de fonctionnement dans le contrat avec le constructeur du téléphérique.

Le téléphérique pourra-t-il être prolongé à  l’avenir?
Le Plan de déplacements urbains (PDU), qui prévoit près de quatre milliards d’euros d’investissements dans les transports, envisage en effet une extension du tracé vers Montaudran, à l’est, et Basso Cambo, à l’ouest pour établir une « Ceinture Sud de transports de l’agglomération ».

Si des études techniques ont été lancées depuis 2016 à ce sujet et que les terrains situés sur l’éventuel prolongement vers Basso-Cambo ont été gelés, rien ne dit que ces extensions se feront à l’avenir. Francis Grass en convenait il y a quelques semaines :

L’idée, c’est d’abord de réaliser ce premier tronçon. Les positions respectives des deux terminus du téléphérique permettront à l’avenir de prolonger ce premier tronçon, mais ce n’est ni financé, ni décidé.

Néanmoins, mercredi 3 octobre 2018, Tisséo confirme dans une délibération le gel du foncier le long du tracé envisagé pour prolonger le téléphérique vers Basso-Cambo. Selon Tisséo, l’extension vers Basso-Cambo permettrait de doubler la fréquentation à 15 000 voyageurs par jour. Mais aucune estimation des coûts n’a été portée sur la place publique jusqu’ici.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

Pas de commentaire

Toulouse aura bientôt son téléphérique urbain : voici à quoi il va ressembler et où il sera installé – actu.fr

Mercredi 3 octobre 2018, Tisséo a annoncé la livraison du futur téléphérique urbain de Toulouse pour fin 2020. Un tracé de trois kilomètres reliera l’université Paul-Sabatier à l’Oncopole.

Par-dessus la Garonne et la route de Narbonne
Depuis l’Oncopole, le téléphérique va franchir la Garonne et continuer jusqu’à la future station du CHU de Rangueil qui sera sur trois niveaux, ainsi que la station UPS en franchissant la route de Narbonne, avant de se terminer à l’université Paul Sabatier. 

Les travaux pourraient débuter mi-2019.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

Pas de commentaire

Lille, Paris, Toulouse… Top 5 des meilleures villes étudiantes ! | Actualités

Lille, Paris, Toulouse… Top 5 des meilleures villes étudiantes !
Par Yaëlle Besnainou le 4 Juillet 2017

Partager sur Facebook
Partager sur Twitter
Partager sur linkedin
Pour les étudiants, l’été est une saison propice pour la recherche d’un logement. L’occasion de faire le point sur le marché immobilier des 5 plus grandes villes étudiantes de France et sur leur évolution.

Logements : les 5 villes qui attirent le plus les étudiants
En tête du palmarès, l’indétrônable ville de Paris. La capitale attire chaque année plus de 500 000 étudiants, séduits par le cadre de vie de la ville Lumière et sa concentration d’établissements de renom. Avec près de 150 000 étudiants, Lyon s’impose comme la deuxième ville universitaire du pays. Son enseignement supérieur varié (grandes écoles d’ingénieurs, Normale Sup ou les CHU) présente de multiples débouchés aux jeunes diplômés. Vient ensuite Toulouse. Les 4 universités et les 16 grandes écoles de cette ville festive et cosmopolite séduisent chaque année près de 130 000 étudiants. Au Nord, la ville de Lille arrive en quatrième position et offre à ses 107 000 étudiants de multiples activités et de nombreuses perspectives d’emplois dans la région. Elle est suivie de Nantes, très bien classée en termes de qualité de vie, d’enseignement et d’emploi. Elle compte 55 000 étudiants et ne cesse d’attirer de nouveaux profils notamment dans le secteur des nouvelles technologies.

Conseil Seloger
Consultez toutes les annonces de locations immobilières de particuliers et de professionnels dans toute la France pour trouver votre bien avec LouerVite.

Un marché de la location généralement en baisse
Bonne nouvelle pour les étudiants  de ces grandes villes : le marché de la location poursuit globalement sa baisse en 2017. Par rapport à 2016, on constate un recul des loyers de 2,4 % à Paris, 4,8 % à Toulouse, 6,7 % à Nantes et 7,7 % à Lille. Cette érosion  a été favorisée par l’encadrement des loyers de la loi ALUR mais s’explique aussi plus simplement par le franchissement du budget limite des étudiants et de leur famille : « La pénurie de logement est toujours vraie mais la limite de budget est maintenant atteinte. Les bailleurs nous disent qu’à loyer égal, ils mettent plus de temps à louer qu’il y a un an », constatait  en septembre dernier Brice Boullet, fondateur du site Location-etudiant.fr. Seule la ville de Lyon maintient ses prix avec une légère hausse de 0,7 %.

Paris, de loin la ville la plus chère
Si l’ensemble des villes affichent des prix moyens au m2 sous le seuil des 15 €, la capitale fait figure d’exception avec des prix 40 % plus élevés. Ainsi, à surface égale, un étudiant devra débourser environ 730 € pour louer son studio à Paris, 480 € à Lyon, 460 € à Lille, 440 € à Toulouse et 390 € à Nantes (source baromètre location-etudiant.fr).

La colocation, une solution pour réduire les coûts
Une alternative existe pour réduire son budget logement : la colocation. Dans les grandes villes – exceptée la capitale qui connaît une pénurie d’appartements familiaux –  les grandes surfaces affichent des loyers au m2 inférieurs à ceux des petites. Un 4 pièces de 100 m2 coute en moyenne 1500 € à Lyon et à Lille (soit 500 € par colocataire), 1300 € à Toulouse et 1000 € à Nantes (soit respectivement 430 et 330 € par colocataire). Ainsi, à  budget équivalent, voire inférieur, l’étudiant disposera de sa propre chambre mais aussi de la jouissance des pièces communes (salon, salle de bains, cuisine…).

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

Pas de commentaire

Toulouse vs Lille : quelle ville est faite pour vous ? | Quiz

L’une est la préfecture des Hauts-de-France et l’autre celle de l’Occitanie. Il vous faut traverser pratiquement toute la France dans sa longueur pour vous rendre de l’une à l’autre et pourtant Lille et Toulouse sont toutes deux attractives et dynamiques. Alors laquelle vous convient ?

Lille, capitale des Flandres
Elle est assurément la ville la plus importante et la plus attractive du nord de la France : Lille, la capitale des Flandres, est une ville aux multiples facettes. A la fois ville d’histoire et d’innovations, elle attire sans cesse de nouveaux habitants qui apprécient son cadre de vie et son dynamisme.

Toulouse, la ville rose
Toulouse est une ville jeune, qui abrite un nombre important d’étudiants et qui est sans cesse tournée vers l’avenir, comme en témoigne ses industries aéronautiques et aérospatiales. La ville rose offre, outre la douceur de son climat, un cadre de vie recherché.​

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

Pas de commentaire

Le Salon de l’Immobilier s’installe à Toulouse, du 5 au 7 octobre 2018 | Actualités

Envie d’acheter votre résidence principale, d’investir dans l’immobilier locatif ou de faire construire votre maison ? Pour réussir votre projet, rendez-vous au Salon de l’Immobilier de Toulouse, du 5 au 7 octobre 2018 pour obtenir les conseils des professionnels du secteur.

La Salon de l’Immobilier ouvre ses portes à Toulouse
Du 5 au 7 octobre prochain, les potentiels acheteurs et investisseurs ont rendez-vous au Salon de l’Immobilier à Toulouse. Evènement devenu incontournable, le Salon de l’Immobilier a pour vocation de faire se rencontrer les professionnels du secteur et les particuliers qui souhaitent s’investir davantage dans un projet immobilier, qu’il s’agisse d’un achat, de l’acquisition d’une résidence secondaire ou encore d’un investissement immobilier. Chaque année, ce sont des dizaines de conférences qui sont présentées au public et des dizaines de stands qui sont installés pour favoriser les échanges entre les experts et les futurs acquéreurs…  Une occasion unique de mettre à jour ses connaissances et dialoguer de façon directe avec les professionnels présents autour des thématiques juridiques, de gestion de patrimoine, de location, de construction ou de copropriété.

Achat immobilier, investissement, gestion… Toutes les thématiques de l’immobilier sont abordées au Salon toulousain. 

Le Salon de l’Immobilier à Toulouse est un évènement gratuit
Le Salon de l’Immobilier est un évènement totalement gratuit ! Si vous souhaitez participer à l’évènement, pensez à télécharger votre invitation pour pouvoir accéder aux différentes conférences.

Une édition 2018 riche en nouveautés
Pour cette nouvelle édition, le Salon de l’Immobilier de Toulouse se place sous le signe de la nouveauté. De nouveaux concepts feront en leur apparition au programme avec notamment des consultations au sein de l’Espace Conseils sur les thèmes « Conseils pour votre 1er achat » et « Consultations d’architectes ». L’UNPI 31 (l’Association des Propriétaires et Copropriétaires de la Haute-Garonne et de l’Ariège) sera ainsi présente pour guider les primo-accédants sur leur premier achat et leur apporter toutes les informations utiles en vue d’une construction ou d’un achat dans l’immobilier neuf ou ancien. Des nouvelles thématiques de conférences seront également présentées à l’image de la diversification des placements immobiliers, des enjeux énergétiques et environnementaux des constructions ou encore des bénéfices apportés par la nouvelle Loi Elan.

Le Salon de l’Immobilier à Toulouse
Du vendredi 5 octobre au dimanche 7 octobre 2018.
Au Parc des Expositions de Toulouse, HALL 7, Rond-Point Michel Benech 31400 Toulouse.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com