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La maison la plus fine de Londres est à vendre pour 1,1 million d’euros

EN IMAGES – Malgré ses 2,3 mètres de large, cette demeure londonienne a bien plus à offrir qu’une maison de poupées. Visitez ses pièces qui développent près de 100 m² habitables sur 3 étages et vous saurez si vous être prêt à investir.

Avec sa silhouette ultrafine, la «Slim House» de Londres est l’une des propriétés les plus étroites de la capitale britannique. Mais les architectes ont fait des merveilles pour tirer le meilleur parti de ces 2,3 mètres de large. Cette demeure atypique est aujourd’hui proposée à la vente par le réseau immobilier Savills pour la coquette somme d’un million de livres, soit 1,15 million d’euros.

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À la base, cette parcelle ne servait que d’accès entre des écuries et la grand-rue avant de se transformer en maison comme de nombreuses autres «dents creuses». En 2013, le cabinet d’architectes londoniens Almanac a tenté de tirer un meilleur parti des lieux par une extension sur trois étages, permettant de rajouter une pièce à chaque niveau et gagner plus de 30% de superficie. Résultat: la propriété développe aujourd’hui une surface habitable très honorable de 98,3 m².

Deux pièces de réception
Comme vous le découvrirez dans le diaporama, les prestations sont de qualité: avec une cuisine/séjour disposant d’un vrai coin repas, la présence d’une suite parentale, de deux petites pièces de réception (intimes) avec un coin «so chic» pour préparer thé ou petit déjeuner et même un jardin au format de la maison. Le toit en pente douce à l’arrière bénéficie d’un maximum d’ouvertures pour inonder les lieux de lumière et de nombreux rangements sont intégrés, histoire de profiter au maximum de l’espace disponible. La propriétaire Aimee Luther, qui a vécu 4 ans sur place souligne que les lieux «proposent tout ce que peut offrir une maison, à une échelle légèrement réduite et sans les inconvénients d’avoir des voisins en-dessous ou au-dessus comme dans un appartement.»

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Inondations : les démarches pour se faire indemniser

FOCUS – La décrue s’amorce lentement à Paris. L’heure est désormais au calcul des indemnités que les populations touchées peuvent réclamer.

• Comment déclarer son sinistre?

Les victimes doivent contacter leur assureur par téléphone, e-mail ou encore en se connectant à l’application mobile ou au site internet de la compagnie. 

• Quels sont les documents à fournir?

Pour établir votre demande d’indemnisation, les assurés doivent adresser à leur assurance un descriptif des dommages subis en précisant leur nature et une liste chiffrée de tous les objets chiffrée de tous les objets perdus ou endommagés. «Les assureurs feront preuve de compréhension et accepteront tous type de justificatifs (photos, témoignages de voisins…) si les assurés ne disposent plus des factures des biens abîmes», promet la Fédération française de l’assurance (FFA). 

• Dans quel délai dois-je faire ma déclaration à l’assureur?

Le délai de déclaration des sinistres, mentionné dans votre contrat multirisques habitation, ne peut être inférieur à 5 jours ouvrés à compter du jour où vous avez eu connaissance du sinistre. Lorsque la commune est déclarée en état de catastrophe naturelle, vous bénéficiez d’un délai plus long, jusqu’à 10 jours après la publication de l’arrêté interministériel de l’état de catastrophe, pour déclarer le sinistre. 

Dans le cas présent, les assureurs promettent qu’ils accepteront le dépassement de ce délai. Un conseil de la fédération: n’attendez pas la publication de l’arrêté pour envoyer vos éléments. Plus vite votre assureur sera prévenu, plus vite il pourra donner son accord pour les travaux voire envoyer un expert, s’il le juge nécessaire. L’assureur attendra, toutefois, la publication de l’arrêté avant de démarrer les travaux.

• Suis-je automatiquement couvert par mon assurance?

Les personnes qui possèdent une assurance de dommages (incendie, dégât des eaux, …) pour leur habitation, leur entreprise, leurs véhicules, etc. , bénéficient automatiquement de la garantie «catastrophes naturelles». En revanche, si jamais votre commune n’était pas déclarée en état de catastrophe naturelle, vous ne seriez pas couvert car les inondations font partie «des événements naturels d’intensité anormale non assurables», comme le précise la FFA. 

• Comment serais-je indemnisé?

Il existe trois types d’indemnisations: sur la base de la valeur d’achat qui indemnise le bien selon son prix d’origine, sur la base de la valeur à neuf qui rembourse le bien sur le prix d’un bien neuf équivalent ou sur la base de la valeur d’usage qui tient compte de la valeur du marché. 

La compagnie d’assurance doit indemniser le client dans les trois mois qui suivent la remise par le client des documents détaillant les sinistres ou, en cas de publication ultérieure, l’officialisation au Journal officiel de l’état de catastrophe naturelle.

• Tous les dégâts seront-ils indemnisés?

La garantie «catastrophes naturelles» ne prend en compte que les biens matériels initialement assurés par l’assurance multirisques comme le mobilier et le matériel abîmés ou disparus, les frais de remise en état des sols et des murs…Les dommages «directs» tels que les frais de pompage, nettoyage et désinfection sont remboursés. En revanche, les parkings, les jardins ou autres caves ne sont pas couverts, sauf si vous souscrivez une extension de votre garantie. Pour savoir ce qui est couvert ou pas par la garantie «dommages», reportez-vous à la rubrique «les biens assurés» de votre contrat d’assurance habitation.

• Paierais-je une franchise?

Dans la plupart des contrats, une franchise – autrement dit, le montant restant à votre charge – est appliquée. En cas de catastrophe naturelle, elle est obligatoirement appliquée sur le montant de l’indemnisation. Le montant à payer s’élève à 380 euros. Pour les biens à usage professionnel, elle est de 10 % du montant des dommages, avec un minimum de 1140 euros, sauf franchise supérieure prévue par le contrat.

• Les frais de relogement sont-ils à ma charge?

A priori non, la garantie catastrophe naturelle ne couvre pas les dommages indirects comme les frais de relogement.. Mais certains contrats d’assurance prévoient la prise en charge des frais d’hôtel pour tout le foyer (souvent limitée à quelques jours). N’hésitez pas à jeter un coup d’œil aux conditions de votre contrat. Cette indemnité est souvent calculée sur la base du loyer annuel ou de la valeur locative du bien sinistré, en fonction du temps nécessaire à sa réfection à dire d’expert. Elle est généralement limitée à un an.

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Acheter avant de vendre son logement ou vendre avant d’acheter ?

Vous voulez vendre votre logement et en acheter un autre mais vous ne savez pas dans quel sens vous y prendre. Pour vous aider à y voir plus clair, SeLoger vous donne les avantages et les inconvénients de chaque solution.

Avant toute chose, définissez bien votre projet immobilier
Avant toute démarche, il convient de définir son projet en se posant les bonnes questions. Le but est notamment de réfléchir au financement de la nouvelle acquisition. Le nouveau logement recherché coûtera-t-il plus cher que l’ancien, en tenant compte des frais de notaire ? Attention à penser également aux éventuels frais de rénovation. Si le nouveau logement est plus cher, la différence pourra-t-elle être financée par un apport personnel ou faudra-t-il avoir recours à un prêt immobilier ? Surtout, après la vente du logement actuel, puis le remboursement du capital restant dû sur le prêt précédent, combien restera-t-il pour financer la nouvelle acquisition et donc de quel montant sera le nouvel emprunt ? Dans le cadre d’un projet de construction, quels sont les délais estimés avant de pouvoir habiter le bien ? Dans tous les cas, il est conseillé de définir un budget maximal et de se rapprocher sans tarder de son banquier pour envisager les solutions de financement les mieux adaptées.

Vendre puis acheter ou acheter puis vendre son logement ?
Avec le démarrage des recherches, se pose la question de savoir s’il faut d’abord vendre son ancien logement avant d’acheter le nouveau logement ou procéder en ordre inverse. Ces deux solutions sont envisageables et comportent leurs propres avantages et inconvénients :

Vendre avant d’acheter permet de définir avec exactitude son apport personnel et surtout d’éviter le remboursement de deux emprunts simultanés si l’ancien logement n’était pas encore entièrement financé. En contrepartie, cette solution nécessite de trouver un logement temporaire (location, famille, amis) pour assurer la période de transition, en louant éventuellement un emplacement pour stocker les meubles et les cartons du déménagement.
Cette contrainte est évitée si l’on achète son nouveau logement avant de vendre l’ancien. Il est alors souvent nécessaire d’avoir recours à un prêt relais en complément d’un prêt amortissable « classique ». Cette seconde solution est généralement préférée à la première pour éviter d’être sans résidence principale pendant plusieurs mois et pour assurer une transition plus progressive entre les deux logements.
Bon à savoir
Pour faciliter la période de transition, il est souvent possible de négocier avec son acheteur ou son vendeur pour rester quelques jours ou semaines de plus dans son ancien logement ou emménager dans son nouveau logement avec quelques jours ou semaines d’avance.

Comment vendre en toute simplicité ?
Pour vendre son ancien logement, il est fréquent d’avoir recours à une agence immobilière, qui prend en charge les aspects à la fois opérationnels (recherche d’un acquéreur, organisation des visites) et administratifs (diagnostics immobiliers préalables, signature du compromis de vente). Le propriétaire peut alors avoir recours à un mandat simple, qui lui laisse la liberté de faire appel à plusieurs agences immobilières et de rechercher lui-même un acheteur en parallèle ou un mandat exclusif, qui lui permet de déléguer la vente du bien à une seule agence. De nombreux vendeurs préfèrent avoir recours à un mandat simple en partant de l’idée que le bien aura plus de chances d’être vendu en étant poussé par plusieurs réseaux d’agences. Toutefois, l’expérience montre que les biens immobiliers mis en vente par le biais d’un mandat exclusif ont tendance à trouver un acquéreur plus rapidement qu’avec un mandat simple, l’agence mandatée étant alors plus active dans la recherche d’un acheteur.

Bon à savoir
Dans tous les cas, les transactions doivent d’abord faire l’objet d’une signature de compromis avant de procéder à la signature finale de la vente du bien devant notaire, généralement dans les 3 mois suivant la signature du compromis.

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Immobilier : jusqu’à 7% de rentabilité si vous louez en meublé !

Les rendements de ces locations devraient rester stables en 2018.
La prochaine loi logement, discutée au printemps, pourrait arranger les affaires des propriétaires de meublés. Elle prévoit en effet de créer un nouveau type de bail, d’une durée courte (de un à dix mois), pour lequel il sera toutefois impossible d’exiger un dépôt de garantie. Aussi éligible aux locations vides, ce bail s’adapterait très bien au meublé, en complément d’un logement loué à un étudiant durant l’année universitaire. « La formule correspond à un besoin réel dans les grandes villes », assure Maud Velter, directrice associée de Lodgis.

En attendant, le bail meublé classique reste séduisant (durée minimale d’un an, réduite à neuf mois pour un étudiant, préavis de trois mois), tout comme le loyer (20% plus élevé qu’en location vide, avec possibilité de prélever les charges via un forfait).

Rentabilité : de 3 à 7% par an avant charges et impôts.

Risque : de moyen à élevé.

Durée : 10 ans minimum.

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Fiscalité. Si vous percevez moins de 70.000 euros de loyers par an, le régime micro-BIC s’applique par défaut. Il donne droit à un abattement de 50% sur les loyers, le solde étant soumis au barème de l’impôt sur le revenu et aux 17,2% de prélèvements sociaux. Si vous dépassez 70.000 euros, vous relevez du régime réel (accessible sur option, valable un an et reconduit tacitement chaque année). Dans ce cas, vous pouvez déduire l’intégralité de vos charges (travaux, intérêts d’emprunt…) ainsi que l’amortissement des murs et des meubles, calculé selon des règles précises. Si le solde est positif, il est soumis à l’IR et aux 17,2% de prélèvements sociaux. S’il est négatif, il est imputable sur les autres revenus issus de meublés. Le reliquat est reportable sur les dix années suivantes.

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Prix de l’immobilier au plafond et nouvel impôt… Le moment idéal pour vendre ?

Chaque semaine, MaTVimmo (la web TV de VousFinancer) livre pour Challenges.fr ses conseils en matière d’achat, de vente ou de location d’un bien immobilier.

Avec la création du nouvel impôt sur la fortune immobilière (l’IFI) remplaçant l’ISF, entièrement recentré sur l’immobilier, les propriétaires doivent-ils vendre ?

On s’aperçoit concrètement que rien ne change en définitive avec l’IFI pour les détenteurs de biens immobiliers qui étaient assujettis à l’ISF. Le problème réside plus dans l’image de rentier, qui ne correspond pas aux propriétaires. Toute la communication qui a été faite autour de l’IFI est à regretter. En tout cas, vendre aujourd’hui dépend avant tout du projet de chaque individu.

Mais le marché immobilier est dans une tendance haussière et a atteint un pic, est-ce le moment opportun pour vendre ?

Vous allez faire une double opération : vendre pour acheter. Donc, que vous soyez vendeur ou acheteur, forcément le marché sera le même. Profitez du moment présent pour vendre. Si par contre, vous souhaitez vendre un bien immobilier sans projet d’achat, tout va dépendre de la durée de détention de votre bien, car un achat immobilier se valorise dans la durée. La détention immobilière sert à se créer un capital dans le temps. La durée de détention est capitale dans le conseil que l’on peut donner.

L’immobilier locatif a-t-il encore de beaux jours devant lui ?

L’immobilier locatif fait partie des placements que le consommateur a en tête. Mais encore une fois, il ne faut pas perdre de vue qu’un investissement locatif s’appréhende dans le temps. Il ne faut pas que le propriétaire ait besoin de réaliser son capital rapidement. Mise à part cette contrainte de durée, nul doute que l’immobilier locatif a encore de beaux jours devant lui.

Propos recueillis par Alexandra Boquillon, journaliste de MaTVimmo.com, partenaire de Challenges.fr

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Quatre millions de personnes sont mal logées en France

La fondation dénonce une « érosion » des piliers du modèle français de protection. Quatre millions de personnes souffrent de mal-logement en France, indique la Fondation Abbé Pierre dans son 23e rapport annuel publié mardi 30 janvier.

Outre les personnes mal logées ou sans-abri, douze millions de personnes sont dans une situation de fragilité immobilière (logement surpeuplé, loyers impayés et menace d’expulsion, copropriétés en difficulté), conclut le rapport. Le document invite les pouvoirs publics à donner une ambition forte à la politique en faveur du logement des personnes défavorisées.

Des « coupes massives » dans le budget du logement
Si l’organisme salue le plan quinquennal pour le « logement d’abord et la lutte contre le ‘sans-abrisme' » présenté en septembre par le gouvernement d’Edouard Philippe, elle le juge non « compatible avec les coupes massives dans le budget du logement ».

« Les premiers actes posés par le nouveau gouvernement s’en prennent frontalement tout d’abord au premier pilier du modèle de protection sociale liée au logement en France en fragilisant les APL et les HLM », estime la fondation. Elle évalue à 3,2 milliards d’euros par an à partir de 2020 le total des économies sur les APL, qui concernent plus de six millions de ménages.

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Logement : Fondation Abbé Pierre lance son mobil-home autonome

Le premier mobil-home autonome d’Emmaüs a été octroyé à José le 31 janvier 2018 à Marseille (Bouches-du-Rhône). Cet homme vivait dans un centre d’hébergement depuis un an et va s’installer dans ce nouveau logement avec sa compagne. Panneaux photovoltaïques, réservoir d’eau sur le toit, pompe à chaleur, le mobil-home peut accueillir une famille de quatre personnes.

20 000 euros pour un mobil-home
« Si vous faites une construction à une plus grande échelle, vous arrivez à des coûts de 20 000 euros. (…) C’est franchement intéressant », constate Kamel Fassatoui, le président du centre Emmaüs de la Pointe Rouge. « On ne peut pas chaque année faire des rapports comme le fait la Fondation Abbé Pierre en disant : ‘Il y a des milliers de sans-logis. On ne peut rien faire. On attend.’ On attend quoi ? Nous on n’attend pas », poursuit ce dernier. En France, 4 millions de personnes sont mal logées, 143 000 sont sans domicile. Ces chiffres datent de 2012, ce doit être beaucoup plus aujourd’hui.

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C’est ma maison. Quelles sont les aides pour rénover son logement en 2018 ?

Comment réaliser des travaux d’économies d’énergie chez soi en bénéficiant des aides financières prévues par les dispositifs actuels ?  Nous faisons le point avec Charlie Cailloux, conseiller juridique pour le site immobilier PAP.fr.

Le crédit d’impôt de transition énergétique
C’est un dispositif qui vous accorde une réduction de votre impôt sur le revenu qui représente 30 % des travaux réalisés. Et si vous ne payez pas ou peu d’impôt, le fisc vous donne de l’argent. Il y a quand même un plafond : le crédit d’impôt peut représenter au maximum 2.400 euros pour une personne célibataire et 4.800 pour un couple. Le CITE a été reconduit pour 2018 mais la liste des travaux éligibles a été réduite.

Quels sont les travaux éligibles ?   
En 2018, le CITE est surtout concentré sur les appareils de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire, utilisant une source d’énergie renouvelable. Les travaux d’isolation des parois opaques – c’est-à-dire la toiture, les murs et le plancher – bénéficient également du crédit d’impôt dans les mêmes conditions qu’en 2017.

En revanche, les appareils de chauffage au fioul et le remplacement des simples vitrages sortent progressivement du dispositif. Ils restent éligibles mais seulement à hauteur de 15 % et jusqu’au 30 juin prochain.

Autre aide : l’éco-prêt à taux zéro !
Comme son nom l’indique, c’est un prêt sans intérêt, sans condition de ressources, qui permet de financer des travaux d’économie d’énergie ; la liste des travaux éligibles est plus large que pour le CITE. L’éco-prêt à taux zéro permet de financer jusqu’à 30.000 euros de travaux. Comme pour le CITE, les travaux doivent être obligatoirement réalisés par un professionnel estampillé RGE (c’est-à-dire reconnu garant de l’environnement).

On a vu les deux principales aides : le CITE et l’éco-prêt. Est-ce qu’il y en d’autres ?
Oui ! On peut d’abord rappeler que la TVA est réduite à 5,5 % pour les travaux qui concourent à l’amélioration de la performance énergétique. Ensuite, à partir d’avril, certains ménages vont recevoir, sous conditions de ressources, un chèque énergie qui permet de payer des factures mais aussi de financer des travaux. On peut aussi citer les subventions de l’ANAH qui bénéficient aux propriétaires occupants et bailleurs sous conditions de ressources.

À qui s’adresser pour obtenir ces aides ?
Le meilleur conseil à donner aux auditeurs qui projettent des travaux, c’est de se rendre sur le site internet rénovation-info-service.gouv.fr et de prendre contact avec un conseiller qui pourra vous aiguiller.  

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Grand froid : une maison transportable conçue à Marseille permet d’avoir « très vite un logement pour plusieurs personnes »

Cette maison transportable pourrait être une solution efficace au mal-logement pendant les périodes de grand froid. Cette semaine, Météo France annonce une baisse généralisée des températures. Le préfet de la région Île-de France a déclenché lundi 5 février le plan Grand froid pour ouvrir 662 places d’hébergement d’urgence. Cette petite maison transportable a été créée à Marseille. Elle permet « d’avoir à disposition très vite, un logement pour plusieurs personnes », a expliqué lundi sur franceinfoFathi Bouaroua, l’ancien directeur régional de la Fondation Abbé Pierre en Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) et artisan de ce projet à destination des personnes mal-logée.

franceinfo : Vous avez présenté le premier projet de cette maison la semaine dernière. A quoi ressemble cette habitation ?

Fathi Bouaroua : C’est un conteneur télescopique qui s’ouvre. Cette maison transportable est équipée de panneaux solaires pour fournir de l’énergie nécessaire. Il y a aussi une grande poche d’eau pour lui permettre d’être autonome en eau. L’idée de cette maison transportable est d’avoir à disposition très vite un logement pour plusieurs personnes. Une fois dépliée, elle fait 31m² pour la petite version et 55m² pour la grande. Elle est transportable très rapidement puisqu’elle a le gabarit du conteneur. C’est la chose qu’on transporte le plus aujourd’hui au monde. L’idée est très simple : on peut déposer ce genre de maison un peu partout dès qu’on a un bout de terrain. De plus, cette maison transportable peut être très économique. L’objectif de prix se situe autour de 25 000 euros et le transport est beaucoup moins cher qu’un mobil-home traditionnel.

C’est une solution d’urgence ou une solution pérenne ?

Pour nos mouvements Emmaüs et Fondation Abbé Pierre, notre idée n’est surtout pas que ça remplace le logement. Il manque des logements. Il faut en construire. Mais face à cette pénurie de places, ayons des dispositifs de mobilisation, des vraies maisons légères qu’on peut transporter très vite et qu’on peut mettre là où on en a besoin. Ces maisons pourraient servir aux urgences sociales mais aussi aux urgences climatiques. En cas d’inondations, par exemple, il faut reloger les gens en urgence.

Est-ce que la mairie de Marseille vous soutient dans cette action ?

Oui. La métropole a financé, dans le cadre des projets d’innovations, le prototype avec la Macif et la Fondation Abbé Pierre. Cette maison transportable est installée maintenant chez Emmaüs pour la présenter et appeler à la réalisation d’un nombre suffisant pour la ville de Marseille et ensuite pour la région.

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L’agent immobilier n’a pas forcément droit à sa commission après une vente

La justice nous apprend qu’un acheteur peut refuser de verser sa commission à un agent immobilier dans une transaction immobilière si l’acte de vente ne précise pas ce paiement.

L’agent immobilier, quel que soit son travail fourni, n’a droit à une rémunération que si le compromis ou l’acte de vente signés entre vendeur et acheteur le prévoient. Sans ces mentions dans ces «actes d’engagement», le juge ne peut pas, selon la Cour de cassation, imposer le paiement d’une commission, même si l’une des parties s’y était clairement engagée. L’acquéreur d’un bien refusait de verser une commission à l’agent immobilier car l’acte de vente notarié ne précisait pas qui, de l’acquéreur ou du vendeur, avait l’obligation de payer.

La justice, dans un premier temps, a condamné l’acquéreur en soulignant qu’il s’était maintes fois engagé, notamment par écrit, auprès de l’agent immobilier, sur le principe et sur le montant de sa commission. Il avait reconnu avoir visité grâce à l’agent immobilier, avoir fait une offre par son intermédiaire, s’était engagé à lui verser ses honoraires de négociation et avait enfin intégré le montant de cette commission dans son plan de financement. De plus, il était prouvé que l’agent immobilier avait trouvé pour l’acquéreur le financement nécessaire auprès d’une banque.

Le compromis ou l’acte de vente font foi
Pour les premiers juges, la preuve était donc faite que l’acquéreur avait bien compris et admis son engagement vis-à-vis de l’agent immobilier ainsi que le rôle d’intermédiaire réellement joué par ce dernier. Mais depuis 1970, a observé la Cour de cassation, la loi est très exigeante sur le droit de l’agent immobilier à percevoir sa rémunération. Et quelles que soient les preuves de l’engagement pris par un vendeur ou un acquéreur à ce sujet, quelles que soient les preuves du travail fourni, rien n’est dû si un acte d’engagement des deux parties ne le prévoit pas. Le compromis de vente ou l’acte de vente doivent donc préciser le montant des frais d’agence et la partie qui en a la charge. Sans quoi l’agent immobilier n’a droit à rien.

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