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9 620 €/m² : l’immobilier parisien atteint un niveau historique ! | Prix Paris

Dans la capitale, les prix des appartements anciens continuent d’augmenter de plus en plus rapidement. Jugez plutôt : sur l’année, la hausse des prix parisiens atteint 8,1 % et ceux-ci dépassent les 10 000 € du m² dans 40 % des arrondissements. On fait le point, quartier par quartier…

La hausse annuelle dépasse 10 % dans trois arrondissements parisiens !
Sur les douze derniers mois, les prix immobiliers parisiens dans l’ancien poursuivent leur flambée ! Les chiffres compilés par le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent ainsi que dans la capitale, la hausse des prix des appartements anciens se chiffre à 8,1 % sur l’année. Si l’on raisonne en termes de hausse, seules des villes comme Bordeaux (+ 16,4 %), Lyon (+ 9 %) et Lille (+ 8,4 %) font mieux  qu’elle… Intra-muros, la tendance haussière est gé-né-ra-le ! Il n’est pas un seul des 20 arrondissements, qui composent Paris, dont les prix de l’immobilier ancien ne progressent pas. La hausse dépasse les 10 % dans les Ier, IXe et XVIIIe arrondissements et elle les avoisine dans les VIIe, Xe, et XIe. C’est dans les IIIe (+ 2,8 %) et XIVe (+ 3 %) arrondissements que les prix des appartements anciens progressent le moins vite.

Bon à savoir
Pour devenir propriétaire d’un appartement, à Paris, comptez 9 620 €/m².
En France, un logement dans l’ancien coûte, en moyenne, 3 540 €/m².
Dans 8 arrondissements parisiens, des prix immobiliers à plus de 10 000 €/m²
Plus que jamais, se loger à paris coûte cher… D’après les chiffres compilés par le baromètre LPI-SeLoger, les prix immobiliers parisiens ont non seulement franchi la barre des 10 000 € dans huit arrondissements (les IIe, IIIe, IVe, Ve, VIe, VIIe, VIIIe et XVIe) mais ils s’en rapprochent désormais dangereusement dans deux autres. En effet, devenir propriétaire d’un appartement ancien dans le IXe coûte désormais 9 859 € du m² et dans le XVIIe, comptez 9 883 €. Pour espérer acheter à moindre coût, mieux vaut orienter sa recherche immobilière vers les XIXe et XXe arrondissements où les prix immobiliers avoisinent respectivement 6 940 € et 7 366 €.

À Paris, la marge de négociation se limite à 3,3 % de son prix de vente
Dans la capitale, le marché immobilier est très tendu. En clair, l’offre en termes de biens immobiliers est largement inférieure à la demande. Par conséquent, s’ils sont proposés à un prix en cohérence avec le marché, les appartements parisiens se vendent très rapidement et s’ils sont surévalués ou encore qu’ils nécessitent des travaux, ces logements feront l’objet d’une négociation dont le montant avoisinera le plus souvent 3,3 % du prix de vente indiqué dans l’annonce.

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Un nouvel impôt pour compenser la fin de la taxe d’habitation ? | Actualités

Si la taxe d’habitation devrait finalement être supprimée pour l’ensemble des Français, l’Etat chercherait à compenser le manque à gagner : un nouvel impôt pourrait être spécialement créé pour les propriétaires de maisons secondaires.

Bientôt une surtaxe sur les résidences secondaires ? 
Un rapport concocté par Dominique Bur, ancien Préfet du Nord et le sénateur Alain Richard confirme que la taxe d’habitation devrait bien disparaître pour tous les contribuables français, alors qu’elle ne devait initialement concerner que 80 % des ménages. Cependant, la suppression de cet impôt va priver les communes de plusieurs milliards d’euros de recettes annuelles. Pour compenser ces pertes, le rapport suggère la création d’une « super taxe foncière » sur les logements « sous-occupés », à savoir les résidences secondaires et les logements loués moins de 6 mois dans l’année. Ainsi, si les propriétaires de ces logements ne paieront plus la taxe d’habitation, celle-ci sera remplacée par un prélèvement du même montant. « Il n’y aura pas de prétexte pour augmenter la fiscalité sur la taxe foncière ou la taxe résidence secondaire, car la taxe d’habitation sera remplacée », annoncent les auteurs du rapport, en s’adressant indirectement aux élus.

Une nouvelle taxe, mais pour qui ?
Ce nouveau prélévement concernera uniquement les résidences secondaires et les logements occupés moins de 6 moins par an.

Résidences secondaires : les Parisiens déjà fortement taxés
Si les propriétaires de maisons secondaires et autre logements « sous-occupés » pourraient être prochainement lourdement taxés partout dans l’Hexagone, c’est déjà le cas des propriétaires parisiens de résidences secondaires. En 2018, pour la seconde année consécutive, le Conseil de Paris a voté la majoration de 60 % du taux de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires. Un impôt qui a rapporté pas moins de 63,8 millions d’euros à la ville de Paris, d’après les chiffres communiqués par le cabinet d’Anne Hidalgo, à nos confrères de Capital. De plus, si cet impôt est amené à disparaître dans les prochains mois, avec la suppression de la taxe d’habitation sur laquelle il est adossé, la commune milite pour son maintien sous une autre forme. La municipalité parisienne devrait donc voir d’un très bon oeil la création d’une « super taxe foncière », proposée par Dominique Bur et Alain Richard.

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À Marseille, les prix immobiliers dépassent pour la 1re fois les 3 000 € du m² ! | Actualités

Sur l’année, les prix des logements marseillais progressent de 1,4 % et dépassent les 3 000 € du m²… Mais intra-muros, sur la même période, plus de la moitié des arrondissements accusent une baisse annuelle des prix de leur immobilier. En revanche, dans le IIIe marseillais, les prix des logements anciens décollent et gagnent 13,4 %.

+13 % de hausse en 1 an sur les prix au m² dans le IIIe marseillais
Les chiffres compilés par le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent que sur l’année, c’est dans le IIIe arrondissement de Marseille que les prix des appartements anciens progressent le plus. Du côté de Belle de mai, de Saint-Lazare, de Saint-Mauront ou encore de la Villette, un appartement dans l’ancien coûte, en effet, 13,4 % plus cher qu’il y a un an ! Autre arrondissement phocéen à enregistrer une forte augmentation de ses prix immobiliers, le VIIIe (Bonneveine, Montredon, les Goudes) où la hausse annuelle atteint 9 %. Mais dans dix arrondissements sur les 16 qui composent la ville, force est de constater que la tendance est baissière. Dans le Ve marseillais, de la rue de l’Église Saint-Michel au boulevard Sainte-Thérèse, en passant par la rue Jean Martin, les appartements anciens coûtent ainsi 5,9 % moins cher qu’il y a douze mois de cela et dans le XIe (les Accates, la Barasse, les Camoins), les prix signés reculent de 5 %.

Bon à savoir
À Marseille, un appartement ancien coûte 3 127 € du m², en moyenne.
Plus de 4 000 € du m² dans le VIIIe (Bonneveine, les Goudes)
Le baromètre LPI-SeLoger nous apprend également que c’est dans le VIIIe arrondissement de Marseille que les appartements coûtent, en moyenne, le plus cher. Du boulevard de Mostaganem à l’avenue Aillaude, en passant par la traverse Zizinia et la rue de la Turbine, il vous en coûtera 4 079 € du m² pour devenir propriétaire d’un appartement ancien. Au palmarès des arrondissements où se loger à Marseille coûte le plus cher figurent en 2e et 3e positions les VIe (3 524 €) et VIIe (3 983 €). En revanche, c’est vers les XIVe (les Arnavaux, Bon-Secours / 1 329 € du m²) et XVe (les Aygalades, les Borels / 1 424 €) arrondissements phocéens que la vie – immobilière – est la moins chère.

À Marseille, la marge de négociation atteint 4,9 % du prix de vente affiché
Lorsqu’un appartement ancien se vend, à Marseille, les données recueillies par le baromètre LPI-SeLoger nous montrent qu’entre le prix indiqué dans l’annonce et celui constaté au jour de la signature du compromis, c’est un écart de près de 5 % que l’on constate. Pour autant, prenez garde de ne pas négocier trop âprement un bien que vous convoitez, sous peine de le voir vous passer sous le nez. Veillez toutefois à ce que le prix soit en cohérence avec le marché immobilier local.

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Europe : de fortes disparités dans l’accès au crédit immobilier ! | Actualités

L’immobilier représente 87 % des encours de crédits souscrits par les particuliers en Europe. Cependant, le niveau des encours varie fortement d’un pays à l’autre : la France arrive en 8e position, avec près de 52 000 € par ménage.

France : des taux de crédit immobilier parmi les plus bas d’Europe
Le recours au crédit immobilier varie fortement d’un pays européen à l’autre, selon une étude menée par Le Crédit Foncier dans les 28 pays de l’Union européenne. Au 8e rang européen, la France se distingue par des taux d’intérêt de crédit très bas. Alors même que les crédits immobiliers distribués le sont à taux fixe (98 % de la production), la France affiche les taux d’intérêt de crédit immobilier les plus attractifs parmi les grands pays européens : 1,56 % au 2e semestre 2017, à comparer à 1,83 % en Allemagne, 1,92 % en Espagne, 2,05 % au Royaume-Uni et 2,42 % aux Pays-Bas. Les encours des crédits immobiliers, soit les montants encore dus (capital et intérêts) y représentent 67 % du revenu disponible brut des ménages, proportion quasi-identique à la moyenne européenne (68 %). Le montant des encours correspond à 13 % du patrimoine non financier des ménages, soit une proportion assez nettement inférieure à la moyenne européenne (17 %).

Chiffres clés
En France, les encours de crédits représentent 67 % du revenu disponible brut des ménages, bien en-dessous du Danemark (202 %) ou des Pays-Bas (139 %).

Danemark, Finlande… les ménages sont plus endettés dans le Nord
En Europe, les encours des crédits immobiliers s’élevaient fin 2017 à près de 6 400 milliards d’euros, soit une hausse annuelle de 4,3 %, et de 13 % sur les 5 dernières années (2012-2017). Ce montant représente 87 % des crédits souscrits par les ménages (les 13 % restants étaient constitués de crédits à la consommation) et 42 000 € en moyenne par ménage propriétaire. C’est en Europe du Nord (Danemark, Finlande, Irlande, Royaume-Uni et Suède) que les ménages sont les plus endettés (33 % du total des crédits immobiliers en Europe). En effet, l’encours moyen par ménage propriétaire s’élève à 81 800 €, soit deux fois la moyenne européenne. Cela s’explique notamment par le dynamisme des marchés, des durées de crédit globalement plus longues et une fiscalité et des traditions culturelles plus favorables par rapport au crédit immobilier. 

L’Europe de l’Ouest concentre 46 % des encours de crédits
L’Europe du Centre-ouest (Allemagne, Autriche, Belgique, France, Luxembourg et Pays-Bas) représente 46 % des encours des crédits immobiliers de l’Union Européenne. L’encours moyen par ménage propriétaire y est de 56 800 €, soit 37 % de plus que la moyenne européenne. Dans le Sud de l’Europe (Chypre, Espagne, Grèce, Italie, Malte et Portugal), les ménages sont globalement moins endettés. On y recense 17 % des encours des crédits immobiliers et l’encours moyen par ménage propriétaire s’élève à 26 900 €, soit 35 % de moins que la moyenne européenne. En Europe de l’Est (Bulgarie, Hongrie, etc.), les ménages sont très peu endettés en montant comme en nombre (8 % ont un prêt ou une hypothèque en cours). L’Europe de l’Est représente 4 % des encours de crédits immobiliers, avec 6 600 € par ménage propriétaire. 

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VIDEO. Vous comptez investir dans l’immobilier ? Pourquoi ne pas acheter une île au Pays de Galles !

L’île de Stack Rock Fort au Pays de Galles est en vente depuis le début du mois de juin pour le prix d’un 45 m2 à Paris, soit environ 450 000 euros, a révélé le quotidien britannique The Independent. Sur cet îlot, se dresse un fort de forme circulaire, érigé entre 1852 et 1854, en prévision d’éventuelles attaques des troupes de Napoléon III. Il a abrité jusqu’à 150 soldats et 16 canons, qui ont à présent disparu.

Située non loin de la côte et de la ville de Milford Haven, cette propriété atypique "représente une énorme et excitante opportunité de profits, avec un potentiel de développement illimité", assure Ross McKenzie, agent immobilier chez Purple Bricks. Ce fort, difficilement accessible par gros temps, n’est toutefois par habitable à l’heure actuelle. L’agence assure qu’"avec de l’imagination et un bon investissement, cela pourrait devenir une incroyable propriété". Mais le coût des travaux à effectuer n’a pas été précisé.

Sourced through Scoop.it from: www.francetvinfo.fr

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Les frais de notaire sont-ils vraiment moins chers dans l’immobilier neuf ? | Actualités

Lorsque l’on parle de frais de notaire dans l’immobilier neuf, on parle de droits de mutation réduits. Quel est le taux des frais d’acte dans le neuf ? Comment se décomposent-ils ?

Qu’est-ce qu’un bien immobilier neuf ?
Les frais d’acte, appelés à tort frais de notaire, sont réduits dans l’immobilier neuf, mais rappelons qu’un logement neuf est celui qui sort de terre et qui n’a jamais été habité. Cela exclut donc, par exemple, le cas d’un logement vendu pour la première fois dans les 5 ans de son achèvement, que le vendeur l’ait acheté sur plan (dans le cas d’une vente en VEFA) ou qu’il l’ait fait construire. Ces logements ne sont plus considérés comme des logements neufs et relèvent donc des frais de notaire dans l’ancien.

Bon à savoir
Les frais de notaire réduits dans l’immobilier neuf concernent aussi bien les appartements que les maisons vendues neuves.

Des frais de notaire de 2 à 3 % du prix d’achat du logement
Si l’on parle de frais de notaire réduits dans l’immobilier neuf, c’est parce que ces frais de notaire s’élèvent à 2 à 3 % du montant total de la transaction, contre à 7 à 8 % dans l’ancien, mais ils se décomposent en différentes parties.

La taxe de publicité foncière
La taxe de publicité foncière fait partie des droits de mutation, à savoir des sommes que le notaire doit reverser à l’Etat et aux collectivités. La taxe de publicité foncière est l’une des taxes qui allègent les frais de notaire dans le neuf, puisqu’elle est beaucoup moins élevée que dans l’ancien. Elle ne s’élève, en effet, qu’à 0,715 % sur le prix du bien hors taxes.

La rémunération du notaire
La rémunération du notaire, également appelée émoluments, est calculée à partir d’un barème fixé par l’Etat qui est le même dans le neuf et dans l’ancien. Il  s’agit donc d’un pourcentage sur le montant TTC du bien immobilier, en fonction des tranches qui ont été fixées :

Pour les biens jusqu’à 6 500 €, les émoluments sont de 3,945 %.
Pour les biens de 6 501 à 17 000 €, les émoluments sont de 1,627 %, avec un montant additionnel de 150,67 €.
Pour les biens de 17 001 à 60 000 €, les émoluments sont de 1,085 %, avec un montant additionnel de 242,81 €.
Pour les biens au-dessus de 60 000 €, les émoluments sont de 0,814 % avec un montant additionnel de 405,41 €.
Notez que lorsque le prix de vente est supérieur à 150 000 €, le notaire peut accorder une remise sur ses émoluments dans la limite de 10 %.

Bon à savoir
Le coût global des émoluments du notaire est plafonné à 10 % du prix du logement et ne peut être inférieur à 90 €.

Les émoluments de formalités et les frais divers
Le montant des émoluments et frais divers est similaire à celui des ventes dans l’ancien, c’est-à-dire environ 800 € pour les émoluments de formalités effectués par le notaire et 400 € pour les frais divers.

La contribution de sécurité immobilière

La contribution de sécurité immobilière est due à l’Etat pour l’accomplissement des formalités d’enregistrement et de publicité, à savoir la formalité fusionnée. Le taux de cette contribution est de 0,10 % du prix du bien, avec un minimum de 15 €.

Sourced through Scoop.it from: edito.selogerneuf.com

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Immobilier ancien : des prix en hausse de 135 % sur 10 ans | Actualités

Les prix de l’immobilier ancien ont fortement augmenté au cours des 20 dernières années. Cependant, le nombre des transactions s’est maintenu, notamment grâce à la baisse des taux et à l’allongement des durées d’emprunt.

Les prix des logements anciens ont augmenté de 142 % en Île-de-France
Entre 1998 et 2008, les prix de l’immobilier ancien ont progressé de 135 % en France selon l’indice Notaire‑Insee, bien plus rapidement que le revenu disponible par ménage (+ 40 %). Cette divergence a été particulièrement marquée dans les zones géographiques où le déséquilibre entre l’offre et la demande est le plus marqué, c’est-à-dire les « zones tendues ». Ainsi, en Île-de-France, les prix des logements anciens ont augmenté de 142 %, alors que le revenu disponible des ménages n’augmentait que de 37 %. Notons que si la crise de 2008 n’a pas produit de retournement prononcé du marché, elle a tout de même mis fin à la tendance haussière des volumes de transactions et des prix : le nombre annuel de transactions est passé de près de 800 000 à 600 000 unités, tandis que les prix se sont contractés de 6 %. À partir de 2010, le marché a redémarré et les transactions se sont redressées pour finalement atteindre de nouveau les 800 000 unités fin 2015. Dans le même temps, les prix de l’immobilier ont progressé de 4 %.

En 2015, les couples avec enfants représentaient 48,8 % des acquéreurs récents d’une résidence principale. © Insee
Bon à savoir
À partir de 2010, le marché a redémarré et les transactions se sont redressées pour finalement atteindre de nouveau les 800 000 unités fin 2015. En 2017, il y a eu 968 000 transactions.

Immobilier : l’acquisition soutenue par les conditions d’emprunt
Depuis près de 20 ans, l’assouplissement des conditions d’emprunt est l’un des facteurs explicatifs du maintien du nombre d’acquéreurs dans un contexte de hausses de prix importantes. Ainsi, en 2004, la durée moyenne des crédits accordés s’établissait à 185 mois, contre 243 mois en 2008, selon la Banque de France. Après un recul de 25 mois entre début 2008 et fin 2009, la durée moyenne des crédits s’est de nouveau accrue en 2015 pour atteindre 233 mois. Dans le même temps, les taux de crédit immobilier ont sensiblement reculé, permettant d’accroître le pouvoir d’achat de nombreux ménages. Alors qu’en 2008, les taux moyens étaient proches des 5 %, ils tournaient autour des 2,3 % fin 2015. Enfin, si le montant des apports personnels s’est accru depuis 2000, sous l’effet de la forte hausse des prix de l’immobilier, cette croissance a été moins que proportionnelle à la hausse des prix. La part des apports personnels inférieurs à 10 % du montant de l’achat a augmenté depuis le début des années 2000 : 32 % en 2004, 36 % en 2010 et 41 % en 2015.

Chiffres clés
En 2015, seuls 4 % des acheteurs récents font partie des ménages les moins aisés.

Logement : des acquéreurs aux revenus élevés
D’après une étude réalisée par l’Insee, en 2015, 8 % des ménages sont des acquéreurs récents, c’est-à-dire ayant acheté dans les cinq années précédant l’enquête, tandis que 51 % sont des propriétaires anciens et que 41 % sont locataires. Notons que chez les acquéreurs récents, les 30-39 ans sont sur-représentés (38 % contre 17 % en population générale). C’est également le cas des couples avec enfants qui représentent 49 % des acquéreurs récents, contre 28 % dans l’ensemble de la population. De même, la part des cadres et professions intellectuelles supérieures est de 10 points plus élevée chez les acquéreurs récents que dans la population totale (28 % contre 18 %). Cet écart atteint 17 points par rapport aux locataires. Le niveau de vie moyen de ces acquéreurs était de 24 500 € par an, soit 45 % de plus que celui des locataires. La différence de statut d’occupation provient donc davantage d’une différence de niveau de vie que de choix d’épargne.

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A Paris, Hidalgo promet que 100% des HLM neufs seront accessibles aux handicapés – Construction

Alors que la loi Elan prévoit de réduire les quotas de logements dits accessibles aux handicapés dans le neuf, la maire de Paris se fixe un objectif de 100%.

(LaVieImmo.com) – Cent pour cent des nouveaux logements sociaux créés à Paris continueront à être accessibles aux personnes en situation de handicap, a annoncé la maire (PS) de Paris Anne Hidalgo dans un communiqué mercredi. Anne Hidalgo a adressé mercredi un courrier aux bailleurs sociaux de la Ville de Paris afin de formaliser cet engagement, précise le texte.

"Dans un contexte où beaucoup de personnes en situation de handicap rencontrent des difficultés pour trouver un logement accessible, notre devoir de responsables publics est de leur apporter des solutions. C’est pourquoi j’ai décidé que Paris maintiendra son objectif de 100% de logements sociaux neufs accessibles, et cela pendant toute la durée de ma mandature", y écrit la maire.

L’Assemblée a approuvé mardi le projet de loi "Elan" (évolution du logement, de l’aménagement et du numérique), dont une des mesures les plus controversées prévoit le passage de 100% à 10% de logements accessibles aux personnes handicapées dans la construction neuve, les 90% restants devant être "évolutifs", c’est-à-dire rendus accessibles à l’issue de travaux simples.

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Les chiffres fous du futur Apple Store des Champs-Elysées à Paris – Insolite

Apple a mis les petits plats dans les grands pour son futur vaisseau amiral à Paris. La firme à la pomme investit à partir de décembre prochain le 114 avenue des Champs-Elysées.

(LaVieImmo.com) – Cet immeuble, dont le loyer sera de 14 millions d’euros par an selon L’Opinion, fera à la fois office de siège et de boutique géante. Sur les 5.400 m2 du bâtiment, le nouvel Apple Store s’étendra sur 2.900 m2. C’est deux fois plus grand que son magasin d’Opéra et même quatre fois plus de superficie que sa boutique du Carrousel du Louvre. Autre chiffre fou : le montant des travaux sera de 55 millions d’euros, soit 10.000 euros par mètre carré ! La firme à la pomme a confié le chantier à l’architecte Norman Foster (du cabinet Foster + Partners), un habitué des projets d’envergure comme l’hôtel de ville de Londres ou encore le nouveau siège géant en forme d’anneau d’Apple en Californie. L’immeuble appartient au fonds de pension allemand BVK, qui l’a récemment racheté 600 millions d’euros, soit 110.000 euros du mètre carré. C’est près de dix fois le prix moyen dans la capitale dans l’ancien.

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Le siège d’UBS à Londres vendu pour 1,1 milliard d’euros – International

Achevé en 2015, ce bâtiment de 12 étages peut accueillir 5.000 personnes.

(LaVieImmo.com) – Le fonds d’investissement de l’homme d’affaires hongkongais Li Ka-shing, 23e fortune de la planète selon Forbes, s’est offert pour 1 milliard de livres (1,1 milliard d’euros) un vaste immeuble du coeur de la City de Londres abritant le siège européen de la banque UBS. Cette vente a été annoncée jeudi par le groupe immobilier britannique British Land, qui possédait l’immeuble aux côtés du fonds souverain de Singapour GIC.

Achevé en 2015, ce bâtiment de 12 étages, qui peut accueillir 5.000 personnes, abrite le siège européen de la banque suisse UBS et a la particularité d’être très étendu en surface, à l’opposé des gratte-ciel. Il fait partie d’un ensemble de bâtiments du quartier de Broadgate, actuellement en transformation sous l’égide de British Land et GIC, qui prévoient notamment l’ouverture de nombreux commerces et lieux de loisirs.

L’acheteur est la société d’investissement CK Asset Holdings, qui appartient à l’empire fondé par Li Ka-shing, l’homme le plus riche de Hong Kong qui a pris sa retraite récemment à l’âge de 89 ans pour transmettre les rênes à son fils Victor.

Le "Talkie-Walkie" reste la tour la plus chère de Londres
Cette transaction montre que l’appétit des investisseurs asiatiques ne faiblit pas pour l’immobilier britannique, en particulier à Londres, malgré les incertitudes découlant du Brexit. Les acquéreurs ont pu en outre profiter de la baisse de la livre sterling depuis le référendum sur la sortie de l’UE en juin 2016, rendant les investissements étrangers au Royaume-Uni plus attractifs.

L’immobilier freine à Londres pour la première fois en 8 ans
Spire London, une nouvelle tour dans le ciel de Londres
Immobilier: les investisseurs chinois profitent de l’apaisement du dossier nord-coréen
En 2017, dans le quartier de la City, le magnat chinois Cheung Chung Kiu avait acquis le plus haut immeuble de Londres, surnommé la "Rape à fromage", pour 1,15 milliard de livres, tandis que le groupe agroalimentaire hongkongais Lee Kum Kee avait déboursé la somme de 1,3 milliard de livres pour racheter le gratte-ciel "Talkie-Walkie".

La vente du "Talkie-Walkie" avait alors établi un nouveau record dans les transactions immobilières au Royaume-Uni. Elle dépassait l’achat, pour 1,175 milliard de livres, de la tour HSBC, située dans le quartier de Canary Wharf, en 2014 par le fonds d’investissement souverain du Qatar, le Qatar Investment Authority.

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