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Propriétaire : Les points clés à contrôler avant de louer votre logement | Actualités

Vous venez d’investir dans un logement dans le but de le louer ? Diagnostics obligatoires, niveau d’humidité, état des équipements intérieurs… tout ce qu’il faut vérifier dans votre appartement ou maison avant la mise en location. 

Gestion locative : les éléments d’équipement et de confort à vérifier
Avant de mettre leur logement en location, les propriétaires doivent s’assurer qu’il présente un niveau de confort suffisant : installation permettant un chauffage normal, cuisine aménagée pour recevoir un appareil de cuisson, évier raccordé à une installation d’alimentation en eau chaude et froide, réseau électrique permettant l’éclairage de toutes les pièces, équipements (fenêtres et portes, tuyauterie, interphone…) fonctionnant de façon convenable, etc. Lors de la visite du logement, de nombreux points seront inspectés par les locataires potentiels, à commencer par le niveau d’humidité. Les propriétaires doivent donc penser à vérifier que l’appartement ou la maison ne souffre pas d’un problème d’humidité au préalable. Des traces de moisissures sur les murs ou les plafonds, des papiers peints qui se décollent ou une odeur dérangeante sont des signes qui doivent alerter le propriétaire-bailleur.

Mise en location : les diagnostics immobiliers obligatoires
Le propriétaire doit fournir au locataire un logement décent, répondant à des critères de surface et de confort minimum et ne portant pas atteinte à la sécurité ou à la santé du locataire. Ainsi, les réseaux d’électricité et de gaz, les équipements de chauffage et de production d’eau chaude doivent être aux normes. Le propriétaire doit notamment annexer au bail un état des lieux et les 4 diagnostics exigés par la loi, à commencer par l’État des Servitudes Risques et d’Information sur les Sols (ESRIS), qui indique si le logement se situe ou non dans un périmètre d’exposition à un ou plusieurs risques. De son côté, le diagnostic de performance énergétique (DPE) informe le locataire sur la consommation du logement en énergie (sur une échelle allant de A à G).  Vous devez aussi effectuer un état de l’installation intérieure de gaz et d’électricité, dont l’objet est d’évaluer les risques pouvant porter atteinte à la sécurité des personnes. Enfin, le constat des risques d’exposition au plomb (CREP) n’est obligatoire que si le logement a été construit avant 1949. Si du plomb est détecté, il vous incombera de refaire les peintures afin d’éviter tout risque d’intoxication. Ce document sera valable 6 ans.

Vous souhaitez louer votre logement en location meublée ? 
Le mobilier du logement doit se composer, au minimum des éléments suivants :

Une literie comprenant couette ou couverture.
Un dispositif d’occultation des fenêtres dans les pièces destinées à être utilisée comme chambre à coucher.
Des plaques de cuisson.
Un four ou four à micro-ondes.
Un réfrigérateur et congélateur, ou au minimum un réfrigérateur doté d’un compartiment permettant de disposer d’une température inférieure ou égale à -6°C.
De la vaisselle nécessaire à la prise des repas.
Des ustensiles de cuisine.
Une table et des sièges.
Des étagères de rangement.
Des luminaires.
Du matériel d’entretien ménager adapté aux caractéristiques du logement.
Cette liste mentionne les équipements minimum devant être délivrés au locataire.

Bon à savoir
En cas d’insuffisance d’ameublement, le bail sera requalifié en location vide et cela avec toutes les conséquences juridiques (durée du bail initial, du préavis, etc.) mais aussi fiscales que cette requalification implique…

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Pour un déménagement écolo, pensez au vélo cargo !

Un déménagement en vue pour la rentrée ? Venu du Québec, le déménagement à vélo se développe de plus en plus en France. Ecologique, économique, ce nouveau mode de transport se veut aussi solidaire.

Chez Tout en vélo, un chargement est prêt à partir ! (Crédit : Tout en vélo)
“Derrière nous, les têtes se tournent, surtout quand nous transportons des frigos et des armoires normandes sur nos remorques !”, s’amuse Samuel De Gentil.

Le jeune homme a co-fondé la coopérative Tout en vélo, qui propose des déménagements et des livraisons en bicyclette, aidé d’une remorque.

C’est lors d’un voyage au Québec que Jérôme, un des membres de Tout en vélo, a découvert l’entreprise Myette. Cette dernière voit le jour en 2008 et développe  le déménagement à vélo, cette idée qui se développe aujourd’hui dans toute la France. 
 
Créée à Rennes en 2009 par Samuel de Gentil et Rémi Dionisi tous deux séduits par ce concept, Tout en vélo  a aujourd’hui des antennes à Grenoble, Rouen et Caen. Selon les villes, la société emploie entre trois et huit personnes. 
 
"Le déménagement à vélo a de nombreux bénéfices, il est écologique, souvent économique et réduit les nuisances sonores !", poursuit Samuel De Gentil.

Compliqué, peut-on penser, de déménager une maison à bicyclette ?  Tout en vélo assure que non, "Le poids des meubles et des cartons est diffusé sur nos remorques adaptées à ce genre de déménagement. Evidemment notre conduite est prudente mais dans les virages tout est stable et reste en place."

Les cyclo-travailleurs viennent en amont pour évaluer le volume et le poids à transporter et proposent un devis au client. Le jour du déménagement, ils chargent cartons et meubles sur leurs remorques, capables de supporter jusqu’à 300kg. Au fil du temps, ils ont développé et mis en vente toutes sortes de remorques adaptées aux différents types de cargaisons et besoins professionnels. Et lorsqu’il faut monter une côte, l’aide supplémentaire des vélo électriques n’est pas négligeable. Ainsi, "nul besoin d’avoir de gros mollets pour faire un déménagement à vélo !"

DÉMÉNAGEMENT SOLIDAIRE
Ce mode de déménagement inclut aussi une dimension solidaire. L’association l’Atelier Remuménage, basée à Bordeaux s’implique a développé son activité en tant que chantier d’insertion par l’activité économique. Après des débuts en 2001 avec des camions roulants au biogaz, elle développe depuis 2017 le déménagement à vélo.

Pour Wiame Benyachou, présidente de l’association, "le déménagement est un facteur de stress, il intervient souvent après une séparation, un nouvel emploi, le départ de la maison familiale ou quitter un logement insalubre ou inadapté… Il est donc important pour nous d’apporter une attention particulière à nos clients."

Wiame Benyachou, présidente de l’Atelier Remuménage (Crédit : Atelier Remuménage)
Caractéristique de l’association, ses tarifs sont adaptés aux revenus et à la situation des clients. Grâce aux partenariats de l’Atelier Remuménage, des personnes en situation de grande précarité peuvent même se voir financer leur changement de domicile. "Il est primordial de prendre en compte les impératifs et les nécessités de chacun. Par exemple, quand une femme victime de violences conjugale avec trois enfants doit déménager dans l’heure, nous répondons dans à l’urgence de sa situation", poursuit Wiame Benyachou.
 
DÉMÉNAGEMENTS, CARTONS ET INSERTION SOCIALE
C’est aussi le cas de l’association parisienne Carton Plein, créée en 2012, qui emploie 55 personnes en insertion à temps partiel.

Orientées vers l’association grâce au dispositif Premières Heures, ces personnes en situation de grande exclusion viennent y travailler quelques heures par semaine durant un an. "Le but est de leur redonner confiance, de les aider à reprendre pied dans la société par le travail", explique Adrien Calvez, le coordinateur économique de l’association.
Il poursuit : "On essaye de prendre soin des gens qui travaillent chez nous autant que de nos clients".

Carton Plein distribue aussi des cartons (Crédit : Carton Plein)
La structure, comme l’Atelier Remuménage, propose aussi la collecte et la vente de cartons à moindre coût à la boutique de l’association ou livrés à vélo. D’autres sont re-conditionnés ou broyés pour en faire du compost.

Petit bémol, le déménagement à vélo n’est possible que sur des distances limitées à un rayon d’environ 10 kilomètres. La tâche des cyclotravailleurs peut s’avérer compliquée en hiver ou lors des intempéries. Mais le concept se développe peu à peu : Tout en vélo livre aujourd’hui 250 000 colis et fait 70 déménagements par an.

En moyenne, les devis s’élèvent à 250 euros et seraient 20 à 30% moins élevés que pour un déménagement classique. 

L’objectif, à l’avenir : "Nous aimerions montrer aux gens qu’il est possible de tout transporter en vélo et que cela devienne un réflexe en ville d’utiliser une remorque, un triporteur, un vélo cargo pour ses besoins du quotidien", lance Samuel de Gentil, de Tout en vélo.

Alors que 3 millions de Français déménagent chaque année, le transport à vélo a de l’avenir ! Et ce sera autant de trajets en camion

Sourced through Scoop.it from: www.wedemain.fr

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Passez à l’éco-construction avec la maison écologique ! | Actualités

L’écologie est aujourd’hui au cœur de tous les projets car les bâtiments ont un impact significatif sur l’environnement. Si vous souhaitez une maison respectueuse de l’environnement à toutes les étapes de la construction, tournez-vous vers une maison écolo.

Une maison écologique est respectueuse de l’environnement
Une maison écologique est une maison conçue pour respecter l’environnement. Il s’agit donc d’une habitation qui entraîne le moins de pollution possible et dont les besoins et les pertes d’énergie sont réduites au maximum. La conception est donc étudiée minutieusement. Les plans sont établis de telle sorte que la maison soit en harmonie avec son environnement, en permettant de limiter voire de supprimer le recours au chauffage ou à la climatisation. Les matériaux sont également choisis en fonction de leurs caractéristiques écologiques. Il s’agit de matériaux d’origine naturelle, recyclables et qui ne produisent pas de pollution. Les équipements d’une maison écologique doivent permettre aux occupants de réaliser des économies d’énergie : on installe donc notamment des systèmes alternatifs de chauffage ou de production d’eau chaude, des panneaux photovoltaïques, etc.

Bon à savoir
Si vous souhaitez construire une maison écologique, il est préférable de vous tourner vers un architecte ou un constructeur spécialisé, afin de vous assurer de ses connaissances et de son expérience.

Du chantier à l’isolation : l’écoconstruction à toutes les étapes
Une maison écologique doit être conçue pour respecter l’environnement, depuis la construction jusqu’à l’usage quotidien de la maison :

Le chantier doit utiliser le moins d’énergie possible et réduire au maximum les déchets émis.
Les matériaux que l’on privilégie sont le bois, la brique de terre cuite ou crue ou encore la paille. Il s’agit de matériaux naturels, recyclables et non toxiques et qui seront idéalement produits localement.
La maison écologique est conçue en fonction du climat, de l’environnement et de l’ensoleillement. Il s’agit de tirer profit au maximum de l’ensoleillement dans les pièces à vivre comme le salon, de protéger l’habitation du vent grâce aux arbres, d’installer des doubles voire des triples vitrages idéalement, de réaliser une avancée de toit pour limiter l’entrée du soleil dans certaines pièces, etc.
L’isolation thermique et la ventilation sont des priorités dans une maison écologique. On utilise des matériaux isolants d’origine naturelle, tels que le lin, la laine de chanvre, la fibre de bois ou l’ouate de cellulose. Les fenêtres sont choisies en fonction des pièces et du niveau d’ensoleillement voulu, et le système de ventilation doit permettre aussi bien le maintien d’une température constante que le renouvellement de l’air dans toutes les pièces de la maison.

Sourced through Scoop.it from: edito.construire.seloger.com

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Fin de la taxe d’habitation : la taxe foncière bientôt reversée aux communes ? | Actualités

Alors que la taxe d’habitation sera bientôt supprimée pour l’ensemble des Français, l’Etat est la recherche de solutions pour compenser le manque à gagner pour les communes. Il envisage notamment de leur reverser la taxe foncière. 

Impôts locaux : la taxe foncière va-t-elle remplacer la taxe d’habitation ?
Pour compenser le manque à gagner engendré par la fin de la taxe d’habitation après 2020, l’exécutif envisage d’affecter aux communes les parts départementales et intercommunales de la taxe foncière, a indiqué une source proche du gouvernement. Ce projet doit être dévoilé dans les prochains jours, dans le cadre de la réunion préparatoire à la conférence nationale des territoires du 12 juillet. Pour rappel, le gouvernement a assuré en mai que la suppression complète de la taxe d’habitation interviendrait au plus tard d’ici 2021 et promis une concertation sur les pistes destinées à compenser le manque à gagner pour les collectivités. « Si on prend la totalité de la taxe foncière aux départements et qu’on la donne aux communes, on compense pratiquement la totalité » soit environ 14 milliards), précise la source gouvernementale.

Un nouvel impôt national pour financer les départements ?
Dans ce contexte, le gouvernement envisagerait d’affecter un impôt national pour financer les départements. « On reviendrait sur une réaffectation d’un impôt national, du type IRPP (impôt sur le revenu), qui est plus facilement redistribuable à 100 départements qu’à 36 000 communes », a ajouté la source proche de l’exécutif. Ce projet reprend l’une des propositions du rapport sur la refonte de la fiscalité locale, présenté en mai dernier par le sénateur LREM (La République en Marche) Alain Richard et le préfet Dominique Bur. En effet, ce rapport proposait de transférer au « bloc communal » (communes et communautés de communes) la part départementale de la taxe foncière, estimée à 14 milliards d’euros en 2020. Une solution qui implique une compensation pour les départements, qui pourraient bénéficier d’une fraction d’un impôt d’Etat, selon les parlementaires.

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Crowdfunding immobilier : les collectes en hausse de 72 % sur 1 an | Actualités

Après une année 2017 de tous les records, le 1er semestre 2018 a encore été très dynamique pour le crowdfunding immobilier. Plus de 62 millions d’euros ont été collectés, soit une croissance de 72 % sur 1 an. 

Crowdfunding: un record au 1er semestre 2018 
Si 2017 a été une année record, avec plus de 100 millions d’euros collectés et 29 millions d’euros remboursés, le crowdfunding immobilier a toujours le vent en poupe au 1er semestre 2018. Le baromètre semestriel de la plate-forme Fundimmo, réalisé auprès de 23 plates-formes de crowdfunding en collaboration avec Hellocrowdfunding, constate que 62 millions d’euros ont été collectés au 1er semestre 2018, soit une augmentation de 72 % sur un an, pour 126 projets financés contre 85 au 1er semestre 2017. De son côté, le rendement annuel moyen atteint 9,7 %, en augmentation de 0,2 point par rapport au 1er semestre 2017. « Ces chiffres témoignent également de l’augmentation des montants collectés : 499 786 € par projet en moyenne contre 423 529 € au 1er semestre 2017. S’en suit une augmentation logique de la durée moyenne de placement, passant de 16,9 mois en moyenne au 1er semestre 2017 à 19 mois aujourd’hui. », précise Stéphane Bombon, Président de la plate-forme de crowdfunding.

L’Île-de-France est la région la plus dynamique, devant l’Auvergne-Rhône-Alpes, la PACA et l’Occitanie. © Fundimmo
126 projets immobiliers financés grâce au crowdfunding
Au 1er semestre 2018, on peut noter une diversification plus importante parmi les 126 projets financés grâce au crowdfunding. La typologie des projets est la suivante : 57 % de résidentiels, 14 % de marchands de biens, 10 % de projets d’aménagement, 8 % de commerces, 5 % de projets hôteliers et 5 % autres (comprenant notamment de la logistique et du bureau). Côté remboursement, un montant plus de deux fois supérieur à celui de l’année précédente est enregistré avec 19 millions d’euros remboursés. Le nombre de projet a lui aussi progressé avec 49 projets remboursés au 1er semestre 2018, contre 31 sur la même période en 2017. On note que les retards de remboursement sont plus fréquents sur certaines plates-formes, avec un taux moyen de 11,3 % depuis 2012. Toutefois, on observe une concentration du nombre des retards sur une poignée seulement d’acteurs. Ainsi, parmi les 23 plates-formes, 18 n’enregistrent aucun retard, 2 ont un retard compris entre 0 et 25 % et 3 autres ont un retard supérieur à 25 %.

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Le gouvernement lance un grand plan pour développer l’énergie solaire | Actualités

Dans le cadre du débat sur la programmation pluriannuelle pour l’énergie, le gouvernement a lancé la démarche « Place Au Soleil ». Son objectif est d’accélérer le déploiement du photovoltaïque et du solaire thermique en France. 

Les mesures du gouvernement pour développer l’autoconsommation
Pour accélérer le déploiement d’infrastructures photovoltaïques chez les particuliers, le gouvernement a présenté une série de mesures visant à simplifier les démarches. L’exécutif veut notamment protéger les particuliers en renforçant les exigences de qualité qui portent sur les installateurs de dispositifs d’autoconsommation. Il entend également faciliter le financement des projets d’autoconsommation en rendant possible le tiers investissement, l’objectif étant de faciliter le financement des projets et d’éviter aux particuliers de devoir payer l’ensemble du projet à son démarrage. Parallèlement, le gouvernement va mettre en place des mesures d’aide au solaire thermique. Il va augmenter le soutien de l’État aux dispositifs « thermo-solaire », à savoir les chauffe-eau solaires et les chauffages solaires combinés (chauffage et eau chaude), dans le cadre du recentrage du CITE sur les travaux les plus efficaces. Il envisage également de mettre en place un taux minimum en chaleur renouvelable dans tous les bâtiments neufs (résidentiel individuel, collectif, tertiaire), dès 2020.

Bon à savoir
Les particuliers peuvent vendre toute leur production d’énergie à un prix supérieur au marché : le tarif est néanmoins fixé par arrêté.

Installation de panneaux solaires : les aides existantes
Le nombre de raccordements en autoconsommation a augmenté de 50 % en 2017, pour atteindre les 30 000 ménages raccordés. En effet, avec la baisse des coûts de production de l’électricité solaire, l’autoconsommation est de plus en plus attractive. Une fois l’investissement réalisé, le prix de revient de l’électricité n’est plus soumis aux variations et aux évolutions du tarif d’un fournisseur d’électricité. Aujourd’hui, pour produire leur propre énergie, les particuliers peuvent bénéficier de la TVA à 10 % pour l’achat du matériel et son installation. Seules conditions, les travaux doivent être réalisés par des professionnels, le logement doit être achevé depuis plus de 2 ans, et la puissance nominale de l’installation solaire doit être inférieure ou égale à 3 kilowatts (taux à 20 % pour les installations supérieures à 3 kilowatts). Les particuliers peuvent également bénéficier du crédit d’impôt transition énergétique de 30 % pour l’installation d’équipements solaires thermiques ainsi que d’une TVA à 5,5 % pour l’équipement.

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La réduction des aides publiques plombe la vente des maisons individuelles | Actualités

L’impact de la réforme du PTZ et de l’APL accession se fait sentir sur les ventes des maisons qui reculent de plus de 14,3 % en un an. Une situation préoccupante reflétant une désolvabilisation des acquéreurs dans un segment de marché plébiscité.

Maisons individuelles : une chute de 14,3 % des ventes !
Ce chiffre reflète une moyenne avec des disparités selon les régions et surtout selon les zonages qui pâtissent de la réduction du montant du PTZ. Une enquête réalisée par LCA/FFB révèle combien l’achat d’une maison individuelle, en secteur diffus, est dépendante des aides :

Dans les zones A1 et B1, la suppression de l’ALP Accession explique 40 % de la baisse, le solde relevant de la dégradation de l’environnement économique et psychologique.
En zone B2 et C, la disparition de l’APL Accession s’invite à hauteur de 42 % mais il faut y ajouter le rabotage du PTZ, de 40 % à 20 % sur ces secteurs, qui contribue à 45 % du repli des ventes.
Au global, la dégradation de l’environnement institutionnel explique près des neuf-dixièmes de la chute de l’accession dans les territoires supposés ou pas tendus. Près de 40 % de la baisse des ventes relèvent de la suppression de l’APL accession »
Patrick Vandromme, président de LCA/FFB.

De l’impact du rabotage du PTZ en chiffres pour un accédant en zone B2 et C
L’hypothèse se fonde sur un couple avec deux enfants et des revenus annuels de 27 000 € correspondant à deux SMIC pour une maison de 95 m² à 220 000 € en zone B2 et 200 000 € en zone C avec apport de 5 000 € et un prêt de 2,5 % sur 25 ans.

Plan de financement de 2017 : PTZ de 88 000 € en B2 et 80 000 € en C avec différé de 15 ans amortissables sur 10 ans et une APL de 150 €/mois.
Plan de financement de 2018 : PTZ réduit de 40 à 20 % du montant de l’opération de 44 000 € en zone B2 et de 40 000 € en zone C avec différé de 15 ans et amortissables sur 10 ans. APL terminée.
Plan de financement pour 2020 : PTZ terminé tout comme l’APL.

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Crédit immobilier : les taux sous la barre des 1,5 % ! | Actualités

En juin 2018, les taux de crédit immobilier se sont établis à 1,44 % en moyenne en France. Un niveau record qui résulte notamment d’une concurrence très vive entre les différents établissements de crédit.

Les taux de crédit immobilier en baisse constante depuis 1 an
En juin 2018, les taux ont retrouvé leur niveau de la fin de l’hiver 2017, en dépit de l’allongement de la durée des crédits accordés. Ainsi, ils s’établissement à 1,44 % en moyenne, contre 1,46 % en mai 2018. Au 2e trimestre, ils se sont établis à 1,45 % en moyenne, contre 1,48 % au 1er trimestre 2018 et 1,52 % au 4e trimestre 2017. Cette baisse des taux est rendue possible par des conditions de financement et de refinancement de la production qui prévalent, ainsi que par une concurrence sur les taux toujours très vive entre les établissements de crédit. D’autant que face à une demande qui s’est affaiblie au cours de l’été 2017, et afin de limiter l’impact de la dégradation des soutiens publics à la primo-accession à la propriété, la plupart des établissements bancaires ont amélioré les conditions d’emprunt qu’ils proposent aux ménages les plus modestes.

Taux moyen des prêts immobiliers en France
DURÉE DU CRÉDIT IMMOBILIER TAUX MOYEN
15 ans 1,25 %
20 ans 1,43 %
25 ans 1,67 %

Les durées d’emprunt des prêts immobiliers s’allongent : + 4 mois en 2018
Au 2e trimestre 2018, la durée des prêts accordés s’est allongée, pour atteindre 221 mois en moyenne, contre 218 mois au 1er trimestre 2018 et 217 mois au 4e trimestre 2017. Depuis le début des années 2014, les durées des prêts bancaires se sont accrues de 17 mois (+ 5 mois sur la seule année 2017 et + 4 mois depuis le début de l’année 2018), même si on note une légère baisse de mai à juin, où la durée moyenne est passée de 223 mois à 222 mois. La hausse de la durée moyenne des emprunts permet aux ménages modestes, dont ceux en primo-accession, de continuer à réaliser leurs projets immobiliers. Cependant, depuis avril 2017, la demande a présenté des signes d’essoufflement qui se sont renforcés au fil des mois, en raison de la hausse des prix de l’immobilier et des réformes des dispositifs d’aide à l’accession (PTZ, Pinel, etc.). En juin 2018, le rythme d’évolution était de – 3.2 % pour la production de crédits et de – 8,5 % pour le nombre de prêts bancaires accordés.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Votre pouvoir d’achat immobilier a-t-il augmenté ces six derniers mois ?

La constante mais légère baisse des taux d’intérêt ne parvient pas totalement à compenser l’incessante hausse des prix immobiliers. Confirmation en chiffres avec le baromètre semestriel du courtier Meilleurtaux.com: sur les 20 plus grandes villes de France, le pouvoir d’achat immobilier n’a progressé, ces six derniers mois, que pour huit communes. Pour sept d’entre elles, il n’a grimpé que modérément (entre 1 et 2 m²).

Une seule, en l’occurrence Le Mans, a vu la surface achetable, pour une mensualité de 1000 euros, fortement augmenter (+11 m²). L’explication est simple: ces dix dernières années, les prix immobiliers ont chuté de près de 14% dans la préfecture de la Sarthe, et ce malgré sa proximité avec Paris. Les appartements s’y vendent en moyenne 1341 euros par m², selon le site d’évaluation Meilleursagents.com. Un prix sept (!) fois moins élevés qu’à Paris. Le Mans profite aussi du recul des taux qui permettent à ses habitants de gagner l’équivalent d’une pièce en six mois.

À l’inverse, pour dix autres villes, le pouvoir d’achat immobilier des ménages a reculé. C’est le cas notamment de Paris (-1m² en six mois) ou encore des deux villes de province où les prix ont le plus augmenté ces derniers mois, à savoir Lyon (-2m²) et Bordeaux (-3m²). Mais les habitants de ces trois villes ne peuvent espérer s’offrir, en empruntant 215.000 euros (emprunt moyen ) et en remboursant chaque mois 1000 euros, qu’un logement dont la surface est comprise entre 22 et 47 m². Des surfaces bien faibles alors que les taux pris en compte sont ceux relevés par Meilleurtaux.com pour les excellents dossiers (0,96% sur 15 ans, 1,12% sur 20 ans, 1,45% sur 25 ans).

«La grande braderie sera lancée»
Huit villes sur vingt où le pouvoir d’achat immobilier a progressé: le bilan est bien maigre. Et pourtant, les taux inférieurs à 1% pour des prêts d’une durée de 15 ans ou autour de 1% pour ceux sur 20 ans, sont légion. «Les records sont atteints et même pulvérisés», affirme Maël Bernier, de Meilleurtaux.com qui souligne également un changement dans le profil des heureux bénéficiaires des taux records. «Jusqu’alors réservées aux excellents dossiers, les décotes sont aujourd’hui monnaie courante y compris pour des emprunteurs ne disposant pas d’apport, sur des longues durées, et ce quel que soit l’âge des candidats à l’acquisition», explique-t-elle.

Reste à savoir si les taux resteront aussi bas d’ici la fin de l’année. «Il n’y a aucune panique à avoir de ce côté-là, répond Maël Bernier. Certaines banques locales, estimant avoir trop de dossiers à gérer et pas assez d’agents disponibles, pourraient éventuellement augmenter un peu leur taux. Mais cela ne changera rien à la tendance: en septembre et en octobre, la grande braderie sera lancée.».

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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5 chiffres clés sur le logement étudiant en France en 2018 | Au coeur de l’Immo

Alors que le ministère de l’enseignement supérieur prévoit une augmentation de 65.000 étudiants à la rentrée 2018, la question du logement étudiant reste une préoccupation majeure à l’approche de l’été. Après avoir analysé plus de 43.000 demandes de locations d’étudiants réalisées sur les 12 derniers mois, LocService.fr, spécialiste depuis 13 ans de la location entre particuliers, publie une infographie pour illustrer le marché de la location étudiante dans le parc locatif privé. Quels types de biens recherchent les étudiants ? Quelles sont les villes universitaires les moins chères ou les plus prisées ? Qui sont les garants ? Retrouvez tout ce qu’il faut savoir sur le marché du logement étudiant en France en 2018 dans cette étude.

56 % des étudiants préfèrent se loger dans un studio ou un T1
Sur les 43.145 demandes de locataires étudiants analysées par LocService.fr, une majorité (56 %) recherche en priorité un studio ou un appartement T1 (une pièce). L’appartement avec une chambre (T2) est le choix de 15 % d’étudiants en couple ou plus aisés. La chambre étudiante, indépendante ou chez l’habitant, recueille 8 % des recherches alors qu’un logement en colocation est plébiscité par 21 % des étudiants. Au niveau national, le budget logement des étudiants est de 596 € mais varie fortement selon les secteurs. En province, un étudiant dispose d’un budget de 527 € contre 777 € en région parisienne. Quant aux étudiants qui souhaitent habiter dans Paris même, leur budget moyen mensuel, charges comprises, s’élève à 842 €.

Il faut en moyenne 499 € pour louer un studio en France
En moyenne, les chambres étudiantes se louent 401 € pour une surface de 14 m2, les studios 499 € pour 24 m2 et les appartements T1 496 € pour 30 m2. Pour les appartements T2, la surface constatée est de 43 m2 et le loyer moyen de 646 €. En général, la colocation est une solution particulièrement économique. De plus, l’étudiant bénéficie d’un espace commun plus important. Ainsi, un logement partagé par plusieurs colocataires revient en moyenne à 429 € par mois charges comprises. Une chambre en résidence étudiante privée a un niveau de prix à mi-chemin entre un studio et un appartement 2 pièces, du fait des services annexes et de l’emplacement souvent avantageux qu’elle propose. Par ailleurs, notons que près d’un étudiant sur deux préfère un logement loué meublé.

Sourced through Scoop.it from: www.aucoeurdelimmo.com