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Quels sont les pièges à éviter lorsque l’on vend un logement ? | Guide immobilier

Il peut paraître facile de vendre un logement et pourtant les pièges sont nombreux, d’où l’importance d’être accompagné par un professionnel de l’immobilier. Mettez donc le doigt sur les pièges à éviter, afin de mener à bien votre projet.

1. Surestimer le prix de son logement
C’est l’erreur que font de nombreux vendeurs : vendre à un prix excessif par rapport au marché immobilier. En effet, tous les biens sont vendables, même ceux qui présentent les plus gros défauts, à condition que le prix fixé soit juste et cohérent. Gardez à l’esprit que les acheteurs connaissent les prix justes, ils se renseignent, visitent, négocient, sont accompagnés, et savent parfaitement s’ils ont affaire à un bien surévalué. Et un logement ne se vend jamais à un prix surévalué : à l’inverse, il reste longtemps en vente et sa valeur finit par diminuer progressivement.

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2. Vendre sans l’aide d’un professionnel de l’immobilier
Il peut être tentant de vouloir vendre soi-même son logement sans faire appel à un agent immobilier, simplement pour économiser les honoraires. Pourtant, vendre un logement est un véritable métier avec tout ce que cela implique : l’agent immobilier connaît le marché immobilier de votre commune et de votre quartier sur le bout des doigts, il sait mettre en avant les atouts d’un logement, adopte un discours rassurant auprès des acheteurs, les informe, les conseille, et cela nécessite beaucoup de temps. Rédiger une annonce, publier des photos avantageuses, répondre à tous les appels, tous les mails, prendre les rendez-vous, effectuer les visites, répondre aux questions, faire l’intermédiaire au moment des offres d’achat, rédiger l’avant-contrat dans les règles de l’art, recevoir les parties… tout cela vous prendra l’équivalent du temps que vous prenez vous-même à exercer votre profession, sans avoir forcément les connaissances équivalentes.

Bon à savoir
Sachez que les logements vendus par l’intermédiaire d’un agent immobilier se vendent plus rapidement que ceux pour lesquels les propriétaires s’en sont chargés eux-mêmes.

3. Confier le mandat de vente à plusieurs agences immobilières
S’il est généralement recommandé de faire appel à un agent immobilier pour vendre un logement, il ne faut pas, à l’inverse, tomber dans le travers de confier un mandat de vente à plusieurs agences. En effet, lorsqu’un acheteur tombe sur plusieurs annonces concernant le même bien, ils ont systématiquement le même sentiment : que le logement cache quelque chose parce qu’il a du mal à se vendre. A contrario, un bien confié en exclusivité à une agence donne le sentiment d’un bien unique, et sa valeur baisse moins rapidement.

4. Essayer de cacher les défauts de votre bien immobilier
Evitez absolument d’essayer de cacher les défauts ou ce que vous croyez être un défaut dans votre logement. Si par exemple, votre logement est en rez-de-chaussée, ne le cachez pas, faites en sorte que le visiteur soit au courant avant de le visiter. Une personne préparée à visiter un logement en rez-de-chaussée viendra visiter en connaissance de cause et ne sera pas déçue à ce moment-là. A l’inverse, une personne qui ne s’y attend pas pourra être déçue et ne parviendra pas à y voir d’autres qualités durant la visite. Sans compter que certains défauts qui se révèlent par la suite peuvent entrer dans le champ des vices cachés et cela se retournera contre vous. C’est le cas si vous dissimulez les traces d’humidité sur les murs, par exemple.

5. Vendre durant la mauvaise période
On sait que certaines saisons sont plus propices que d’autres à une vente rapide, comme c’est le cas du printemps. A l’inverse, l’hiver n’est pas une saison idéale : la luminosité est faible, le temps ne met pas votre logement en avant, les familles par exemple déménagent rarement à cette période à cause du calendrier scolaire, et le nombre d’acheteurs est donc réduit. Comme il est rarement bon de garder un bien sur le marché trop longtemps, il est préférable de décaler votre projet de vente à plus tard si c’est possible, si vous songez vendre à l’automne ou en hiver.​

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Comment estimer une maison dans le cadre d’une succession ? | Hértiage

Comment estimer une maison dans le cadre d’une succession ?
Par Vincent Cuzon le 4 Novembre 2018
Lors d’une succession, une partie de l’héritage concerne souvent une ou plusieurs maisons. Comment s’effectue l’estimation d’un bien immobilier dans le cadre d’une succession et quels sont les risques d’une sous-évaluation ?

Pour estimer une maison dans le cadre d’une succession, veillez au marché
Une fois la succession ouverte, les héritiers doivent évaluer les biens immobiliers qui la composent. Ceux-ci doivent être déclarés à leur valeur vénale, c’est-à-dire au prix du marché au jour du décès. Néanmoins, plusieurs abattements peuvent s’appliquer. Ainsi, dans le cas d’une résidence principale, un abattement de 20 % peut être appliqué si la maison abrite toujours le conjoint survivant, le concubin pacsé ou des enfants mineurs. Cet abattement ne s’applique pas si la maison a été transmise par donation et si elle était occupée par le donateur. Une décote peut également être admise si le bien est loué : cette décote dépendra de la durée du bail en cours. Notons que la valeur figurant dans la déclaration de succession peut être rectifiée à la hausse si la maison est vendue plus cher à l’occasion d’une vente aux enchères dans les deux années qui suivent. Notons que dans certains cas, les héritiers ne recueillent que la nue-propriété d’un bien immobilier, notamment en présence d’un conjoint survivant (l’usufruit lui étant souvent attribué). Cette nue-propriété est évaluée selon le barème administratif de l’usufruit, basé sur l’espérance de vie de l’usufruitier.

Bon à savoir
Pour connaître le prix du marché immobilier, consultez notre rubrique des prix.

Quels sont les risques d’une sous-évaluation ?
Lors d’une succession, la tentation de sous-estimer une maison est grande, notamment dans l’optique de payer moins de droits. Néanmoins, cela peut engendrer des sanctions très lourdes. En dehors du redressement auquel s’exposent les héritiers, la sous-évaluation d’une maison peut être très pénalisante dans le cas d’une revente rapide. En effet, si les héritiers vendent la maison à un prix supérieur à celui indiqué dans la déclaration de succession, ils seront contraints de payer l’impôt sur le revenu sur la plus-value réalisée. D’autre part, s’ils décident de déposer une déclaration rectificative pour payer des droits de succession, ils risquent une condamnation. Ainsi, si les héritiers veulent vendre la maison dont ils ont hérité à un prix supérieur à celui de l’évaluation, ils doivent réaliser une déclaration de succession rectificative avant d’avoir signé la promesse de vente. Notons qu’il est possible de faire des déclarations rectificatives afin de tenir compte d’éléments apparus à la suite de la première déclaration (dettes de succession…). Dans tous les cas, pour l’estimation du prix d’une maison, le notaire préconisera toujours la solution la plus favorable aux héritiers.

Chiffre clé
L’administration fiscale dispose de 3 ans pour contester une évaluation.

Quid des biens meubles du logement ?
Dans le cadre d’une succession, les biens meubles (mobilier, tableaux…) sont généralement évalués individuellement et inscrits sur une liste déposée chez le notaire (legs et donation). En cas de legs, les biens meubles peuvent être estimés globalement et forfaitairement. Dans ce cas, cette évaluation forfaitaire ne peut pas être inférieure à 5 % du montant total de la succession, qui comprend le reste de l’héritage. Cependant, si la succession se compose de biens autres que les meubles « meublants » (qui garnissent le bien), il est préférable de faire un inventaire détaillé et estimatif de chaque bien : le forfait risque sinon d’être trop élevé. Notons que les meubles « meublants » doivent normalement être vendus dans les 2 ans suivant le décès, et le produit de la vente doit être déclaré. Dans le cas contraire, il est indispensable de déclarer la valeur retenue dans l’inventaire, pouvant être effectué dans les 5 ans suivant le décès. Concernant les bijoux et objets de valeur, l’estimation ne peut être inférieure à la valeur déclarée dans un contrat d’assurance au jour du décès.

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Projet de Loi de Finances 2019 : quel impact sur le secteur de l’immobilier ? | Actualités

Alors que l’immobilier est une préoccupation majeure des Français, le Projet de Loi de Finances 2019 devrait impacter directement le secteur. Taxes, rénovation énergétique, aides au logement… SeLoger vous en dit plus sur ce qui pourrait changer dans les prochains mois.

Une nouvelle taxe assurance emprunteur avec la Loi de Finances 2019 ?
Le Gouvernement a récemment annoncé que la taxe spéciale sur les conventions d’assurance (TSCA) sera désormais étendue à la garantie décès des contrats d’assurance emprunteur à hauteur de 9 %. Elle s’appliquera à tous les nouveaux contrats souscrits à compter du 1er janvier 2019. Un alourdissement de la fiscalité des contrats d’assurance emprunteur qui, selon le courtier La Centrale de Financement, « n’est pas sans conséquence ». En effet, cette taxation limitera les bénéfices liés au changement d’assurance emprunteur, réalisé au titre de l’amendement Bourquin, permettant aux emprunteurs de résilier chaque année leur contrat initial pour une offre plus compétitive. « Cette mesure va à l’encontre de la libéralisation du marché initiée par l’amendement Bourquin, les investisseurs actuels n’ayant aucun intérêt à changer d’organisme de financement sous peine d’être impacté par une hausse fiscale », affirme le courtier en crédit. 

Chiffres clés
Avec cette nouvelle taxe sur l’assurance emprunteur, le rendement budgétaire pour l’État est estimé à 100 M€.

L’éco-PTZ prolongé mais modifié
L’éco-prêt à taux zéro (éco-PTZ) est une aide publique destinée au financement de travaux de rénovation énergétique des logements anciens, sous la forme d’un prêt sans intérêt sur 10 ou 15 ans. Alors que cette aide devait initialement prendre fin en 2018, le projet de loi finances 2019 prévoit une prolongation du dispositif jusqu’au 31 décembre 2021 et devrait entrer en application à partir du 1er mars 2019. Néanmoins, c’est à un éco-PTZ modifié qu’auront le droit les Français en 2019. On peut par exemple noter la suppression de la condition de réalisation d’un bouquet de travaux et la fixation d’une durée d’emprunt unique de 15 ans, quel que soit le nombre de travaux financés. L’éco-prêt à taux zéro permettrait donc de financer les travaux de rénovation énergétique des logements, jusqu’à 30 000 €, sans conditions de ressources, et ce jusqu’en 2021. « La simplification du processus d’accès à l’éco-PTZ devrait permettre aux ménages de réduire le coût significatif de dépense d’énergie dans leur budget mensuel » s’enthousiasme Sylvain Lefevre.

Un nouveau mode de calcul en 2019 pour les APL
À partir du 2e trimestre 2019, les Aides Personnalisées au Logement (APL) seront calculées sur la base du revenu en cours des bénéficiaires, et non plus sur le revenu de deux années auparavant, comme c’est le cas actuellement. De plus, alors que les APL faisaient l’objet de deux revalorisations par an, ces aides seront augmentées de seulement 0,3 % en 2019 et 2020 : une augmentation « bien inférieure à l’inflation attendue ». Cette désindexation s’ajoute au gel des APL intervenu au 1er octobre 2018, qui impacte directement les candidats à l’accession immobilière. En effet, lorsque le contractant bénéficie des conditions d’un prêt conventionné ou d’un prêt à l’Accession Sociale (PAS), il peut prétendre aux APL : il bénéficie d’un taux plafonné qui peut être accordé sur des périodes de 5 à 35 ans pour le financement d’une résidence principale. Or, certains organismes prêteurs comptabilisent l’APL dans le calcul du taux d’endettement. « C’est donc un impact direct sur la capacité d’endettement des ménages les plus modestes », affirme le courtier en crédit.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Gardez votre maison au chaud pour limiter les dépenses

L’automne est déjà bien entamé et laissera prochainement sa place à l’hiver. Alors que le mercure n’est pas près de remonter, il est grand temps de rallumer la chaudière pour maintenir une bonne température dans la maison. Cette année, limitez facilement votre facture de chauffage en adoptant les bons réflexes !

1. Faire entrer le soleil
Il serait dommage de se priver de cette source naturelle et gratuite de chaleur ! Même si les températures extérieures sont basses, ouvrez grand vos rideaux, volets et stores pour laisser les rayons UV faire leur travail et chauffer les différentes pièces de la maison. C’est d’autant plus conseillé si vous êtes exposé plein sud, car vous bénéficierez ainsi de la clarté tout au long de la journée.

2. Fermer les volets et rideaux la nuit
Vous le faites déjà dans votre chambre ? Appliquez la même consigne aux autres pièces de votre appartement ou maison. Ces jours-ci, le mercure baisse fortement la nuit et le meilleur moyen d’empêcher les pertes de chaleur est de fermer les rideaux, volets et stores. Cela vous évitera de prendre vos petits déjeuners dans une cuisine glacée, par exemple.

3. Isoler la porte d’entrée
Directement en contact avec l’extérieur ou le hall de l’immeuble, la porte d’entrée est l’une des principales causes de la déperdition de chaleur dans un logement. C’est encore plus vrai si elle est mal isolée, peu épaisse ou avec une paroi en verre. Il est donc recommandé de la couvrir avec un rideau, par exemple, et de placer un chien sur le sol pour empêcher l’air de passer.

4. Installer des tapis au sol
En hiver, il est possible de perdre jusqu’à 10 % de la chaleur du foyer à travers le sol. Épargnez-vous donc la sensation désagréable de marcher sur un carrelage ou plancher gelé et investissez dans un ou plusieurs tapis. En plus de leur responsabilité thermique, ils joueront un rôle essentiel dans votre déco hivernale en rendant les lieux plus cosy.

5. Recouvrir les murs
Les murs en contact avec l’extérieur peuvent aussi jouer un rôle dans le refroidissement de votre maison. Vous pouvez toutefois réduire cette perte de chaleur en les recouvrant de cadres, miroirs et autres accessoires. Laissez parler votre créativité pour créer de jolies compositions. Les étagères remplies de livres constituent également une excellente option afin d’éviter la baisse des températures dans la maison.

6. Bien positionner ses meubles
Il est préférable d’éloigner les canapés et assises des murs en contact avec l’extérieur et de les rapprocher des cloisons internes, surtout si vos voisins ont tendance à bien chauffer leur intérieur ! Vérifiez aussi que vos meubles ne sont pas trop proches d’un radiateur. Ils risqueraient d’en absorber la chaleur et d’empêcher sa diffusion dans toute la pièce.

7. Ne chauffer que les pièces utilisées
Inutile de chauffer les pièces que vous n’utilisez pas tous les jours, comme la chambre d’amis ou celles de vos grands enfants qui ont quitté le nid. Vous ferez des économies d’énergie et d’argent en vous concentrant sur les espaces dans lesquels vous passez le plus de temps avec votre famille. Alors n’hésitez pas à couper les radiateurs et fermer les portes ailleurs.

8. Fermer les portes
Si vous avez du mal à atteindre une température confortable dans votre intérieur, fermez bien les différentes pièces. Plus les espaces sont petits, plus ils seront faciles à chauffer. Fermez donc la porte de la chambre pour dormir afin de passer de meilleures nuits.

9. Penser à toutes les sources de chaleur
En cas de vague de froid, toutes les sources de chaleur sont bonnes à prendre, même les plus inattendues. Ainsi, pensez à laisser les portes de la cuisine ouvertes lorsque vous faites cuire un plat au four, ou celles de la salle de bains après avoir pris une douche ou un bain bien chaud. La chaleur créée se répandra alors dans toute la maison ou appartement.

Sourced through Scoop.it from: www.houzz.fr

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Héritage, contrat de mariage, vente immobilière… Les notaires de Toulouse consultent gratuitement – actu.fr

Une question sur un contrat de mariage, la transmission d’un patrimoine ou la mise en place d’un bail de location ? Cet événement vous est destiné : le vendredi et le samedi 6 octobre 2018, les Notaires de la chambre interdépartementale de la cour d’appel de Toulouse répondront à toutes vos questions.

Dix postes de consultation gratuite
Ces journées notariales se tiendront square Charles-de-Gaulle, rue Alsace-Lorraine, de 10h à 19h. Chaque jour, dix postes de consultations gratuites seront mis à la disposition du public. Les notaires répondront à toutes les questions et garantissent la confidentialité à leurs interlocuteurs.

Avec des conférences
Un pavillon digital sera également installé derrière le Capitole. C’est là que se tiendront les trois visio-conférences organisées pendant ces deux journées. La première se tiendra à 15h, le vendredi 5 octobre 2018 et aura pour thème « Pacs, mariage… prévoir sa vie à deux ». Il sera de nouveau possible d’y assister le samedi 6 octobre 2018, à 16h.

La dernière aura lieu le samedi 6 octobre à 11h30 sur le thème « Acheter un bien immobilier : mode d’emploi ». 

Infos pratiques :
Les vendredi 5 et samedi 6 octobre 2018, de 10 h à 19h
Square Charles-de-Gaulle à Toulouse

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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Toulouse. Dernières images, stations desservies : voici à quoi ressemblera le téléphérique – actu.fr

Après Grenoble (Isère) et Brest (Finistère), Toulouse va avoir son téléphérique. Celui-ci devrait être mis en service à la fin de l’année 2020 a confirmé Tisséo mercredi 3 octobre 2018. Il reliera l’université Paul-Sabatier à l’Oncopole par les airs par un tracé de trois kilomètres.

Alors que l’enquête publique sur le projet doit se tenir début 2019 et que les travaux pourraient débuter mi-2019 selon le calendrier de Tisséo, l’autorité des transports a présenté dans le détail le projet, l’emplacement précis des stations et dévoilé les nouvelles images de synthèse du téléphérique. Voici ce qu’il faut retenir…

Où seront situées précisément les stations ?
Le tracé du téléphérique va partir de l’Oncopole, franchir la Garonne puis le coteau de Pech-David avant de desservir le CHU de Rangueil puis l’université Paul Sabatier.

À l’Oncopole, la station sera construite sur pilotis en raison des risques d’inondation. Elle doit permettre de desservir l’Institut Universitaire du Cancer, les laboratoires présents sur place, l’établissement Pierre Fabre, l’Hôpital Marchant mais aussi assurer une bonne connexion avec le futur bus Linéo 5 (ligne Empalot-Portet-sur-Garonne) qui sera mis en service en 2019. Un parking de 500 places va être réalisé sur place.

Au CHU de Rangueil, la station a été positionnée juste devant l’entrée principale de l’hôpital, au niveau du parking P2. La station sera sur trois niveaux.

La station UPS est la nouvelle station réalisée suite à la reprise de la concertation, fin 2017. Elle remplace celle qui était prévue au lycée Bellevue. « Cette nouvelle station  à l’entrée de Paul-Sabatier a engendré un surcoût par rapport à l’ancien tracé mais au final, du point de vue du transport du public, c’est la meilleure solution puisqu’elle nous permet de franchir la route de Narbonne, très fréquentée, par les airs », estime Francis Grass, président de Tisséo Ingénierie.

Tisséo ajoute : La station UPS est la station motrice de la ligne, c’est-à-dire qu’elle sera la seule station à accueillir les moteurs permettant la mise en mouvement du câble tracteur. C’est aussi cette station qui accueillera le garage et l’atelier de maintenance qui seront utilisés pour l’entretien et le stockage des cabines

La station de Rangueil sera réalisée sur trois niveaux (© Groupement Poma/Architectes-urbanistes Sequences/Images : Les Yeux Carrés)
 
Le vent pourrait-il empêcher le téléphérique de fonctionner?
Tisséo a choisi la technologie « débrayable 3S », soit des cabines transportées par trois câbles (deux porteurs et un tracteur) garantissant la bonne marche du téléphérique jusqu’à des vents soufflant jusqu’à 108 km/h, seuil choisi pour l’arrêter. Ce qui selon les statistiques prises sur les 20 dernières années garantie l’accessibilité de l’engin 99,3% du temps.

La technologie du monocâble qui avait été choisie par nos prédécesseurs engendrait une fermeture du téléphérique dès que la vitesse du vent dépassait 70km/h, soit environ 14 jours par an, a indiqué Francis Grass.

Le tracé du téléphérique sera long de 3 kilomètres. Cinq piliers porteront les câbles et donc les cabines (©Groupement Poma)
Combien de personnes pourront monter dans chaque cabine?
Quinze cabines circuleront sur la ligne et chacune pourra accueillir 34 personnes (la moitié des places seront assises). Le service sera assuré de 5h du matin à 0H30 comme pour le métro ou le tramway. La durée du trajet sera de l’ordre de 10 minutes. En heure de pointe, les cabines circuleront à une fréquence de 1 minute 30 avec un débit maximum de 1 500 personnes transportées par heure. Tisséo estime que dans un premier temps, ce sont 7 000 personnes qui pourraient emprunter le téléphérique chaque jour. Un téléphérique conçu pour être 100% accessible et dans lequel il sera possible de transporter son vélo.

Combien ça va coûter?
Le téléphérique va coûter 82 millions d’euros, somme à laquelle il va falloir ajouter plus de 2 millions d’euros annuels en coût de fonctionnement, sur les 20 prochaines années. Sur les 82 millions d’euros du projet, l’Etat va verser 5,2 millions d’euros et la Région Occitanie 6,6 millions d’euros. Il restera donc 70 millions d’euros à la charge de Tisséo. « Le projet initial porté par l’ancienne municipalité coûtait 97 millions d’euros et surtout, elle n’avait pas prévue le coût de fonctionnement dans le contrat avec le constructeur du téléphérique.

Le téléphérique pourra-t-il être prolongé à  l’avenir?
Le Plan de déplacements urbains (PDU), qui prévoit près de quatre milliards d’euros d’investissements dans les transports, envisage en effet une extension du tracé vers Montaudran, à l’est, et Basso Cambo, à l’ouest pour établir une « Ceinture Sud de transports de l’agglomération ».

Si des études techniques ont été lancées depuis 2016 à ce sujet et que les terrains situés sur l’éventuel prolongement vers Basso-Cambo ont été gelés, rien ne dit que ces extensions se feront à l’avenir. Francis Grass en convenait il y a quelques semaines :

L’idée, c’est d’abord de réaliser ce premier tronçon. Les positions respectives des deux terminus du téléphérique permettront à l’avenir de prolonger ce premier tronçon, mais ce n’est ni financé, ni décidé.

Néanmoins, mercredi 3 octobre 2018, Tisséo confirme dans une délibération le gel du foncier le long du tracé envisagé pour prolonger le téléphérique vers Basso-Cambo. Selon Tisséo, l’extension vers Basso-Cambo permettrait de doubler la fréquentation à 15 000 voyageurs par jour. Mais aucune estimation des coûts n’a été portée sur la place publique jusqu’ici.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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Toulouse aura bientôt son téléphérique urbain : voici à quoi il va ressembler et où il sera installé – actu.fr

Mercredi 3 octobre 2018, Tisséo a annoncé la livraison du futur téléphérique urbain de Toulouse pour fin 2020. Un tracé de trois kilomètres reliera l’université Paul-Sabatier à l’Oncopole.

Par-dessus la Garonne et la route de Narbonne
Depuis l’Oncopole, le téléphérique va franchir la Garonne et continuer jusqu’à la future station du CHU de Rangueil qui sera sur trois niveaux, ainsi que la station UPS en franchissant la route de Narbonne, avant de se terminer à l’université Paul Sabatier. 

Les travaux pourraient débuter mi-2019.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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VIDÉO. Voici (dans le détail) les 55 projets qui vont intégrer le futur Central Park de Toulouse – actu.fr

Depuis le jeudi 4 octobre 2018, l’on en sait beaucoup plus sur la façon dont va s’orienter, ces prochaines années, le projet de « Central Park Toulousain » sur l’île du Ramier en plein cœur de Toulouse.

Lors d’une réunion publique qui a rassemblé plusieurs centaines de personnes, le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, et les architectes du projet ont en effet présenté dans le détail l’ensemble des projets imaginés pour créer un véritable poumon vert central  de Toulouse à l’horizon 2032. Poumon vert qui sera également tourné vers les pratiques sportives, écologiques et culturelles…

Quatre passerelles en projet pour franchir la Garonne
Le grand plan présenté prévoit quatre parcs qui quadrillent l’ensemble de l’île du Ramier : un Parc des îlots, un Coeur du Parc, un Parc des Sports et un Eco-Parc de la Poudrerie

Le Parc des îlots est le plus avancé des quatre puisque les premières réalisations ont déjà débuté avec la démolition de l’ex-discothèque le Studio One, la réalisation à sa place d’un parc public puis d’une guinguette sur l’écluse Saint-Michel.

Les changements vont se poursuivre avec le déménagement des terrains de tennis de l’Émulation Nautique et la réalisation d’une halle sportive. La délocalisation ailleurs sur l’île du Ramier de la déchetterie de Daturas, pour libérer un espace public et créer un café-restaurant culturel. C’est d’ici que partira l’une des quatre passerelles, dédiées aux piétons et cyclistes, prévues pour franchir la Garonne. Cette passerelle ira vers le quartier Saint-Michel.

La passe à poisson de l’usine hydroélectrique sera elle aménagée et valorisée pour que les Toulousains puissent mieux apprécier le spectacle du passage des poisson remontant la Garonne. L’espace social sera conservé.

Le Parc des ilots va voir son lien avec le reste de l’île modifié. Le Plan Guide présenté envisage en effet le passage à sens unique de l’avenue du Grand Ramier de cette voie qui relie l’Institut des Fluides Mécaniques au pont Saint-Michel en franchissant des petits bras de la Garonne. Jusqu’ici à double sens, cette route voit un important trafic de transit chaque jour. L’objectif du sens unique est de limiter le trafic.

Une « place du Capitole » à la place du parc des Expositions
Plus au sud de l’île, le gros morceau va être le départ du parc des Expositions à partir de 2020. Cet espace en mutation sera le Cœur du Parc. Le Plan Guide prévoit ici la démolition de cinq des neuf halls (les 1, 2,4, 5 et 6) du parc des Expositions ainsi que des parkings situés devant les bâtiments.

Une esplanade « grande comme la place du Capitole », dixit les porteurs du projet, a été imaginée pour remplacer certains bâtiments démolis. Elle donnerait directement sur l’une des passerelles prévues pour franchir Garonne, ici vers le quartier Saint-Cyprien. Elle est imaginée pour accueillir de grandes manifestations sportives et culturelles.

Cité des sports extrêmes, recyclerie, « plaine des jeux »
Le hall 3 deviendra une cité des Sports urbains ou extrêmes (skate, BMX, escalade, trottinette…). Le hall 7 laisserait la place à un gymnase municipal et à un Pavillon du bien-être où le public pourrait notamment trouver un espace spas, hammams et remise en forme. Le hall 8 restera quant à lui un hall dédié à certains événements festifs ou aux événements pas voués à intégrer le nouveau parc des Expositions à Beauzelle.

Le hall 9 deviendra une déchetterie-recyclerie et par ces fonctions, pourrait ainsi pallier au départ de la déchetterie de Daturas. La rotonde, ce bâtiment tout rond que l’on peut voir juste à côté du parc des Expositions, accueillerait elle les clubs et les associations mais aussi certaines manifestations sportives. 

Une « plaine de jeux » pour les enfants est prévue en lieu et place d’un des deux demi-échangeurs (ces bretelles qui descendent vers le Stadium depuis le pont Saint-Michel, ndlr) du pont Saint-Michel qui pourraient être démolis à moyen terme. Une mesure radicale qui va dans le sens d’une limitation certaine de l’accès à l’île par les véhicules motorisés.

Outre les deux demi-échangeurs détruits, le Plan guide prévoit donc création de quatre passerelles pour relier l’île au quartiers voisins, vers Croix-de-Pierre et les Recollets au sud de l’île et vers Saint-Cyprien et Saint-Michel au nord. Des passerelles uniquement pour les modes de déplacements doux.

Presque deux tiers des parkings devraient disparaître
Surtout, le Plan guide prévoit la suppression de plus de la moitié des places de stationnements, de 1700 places actuellement à 600 places à l’horizon 2030. Le cœur de l’île du Ramier serait, lui, interdit aux véhicules motorisés.

La fin des véhicules motorisés au cœur de l’île donnera l’occasion de recréer les allées historiques de l’ancien Parc Toulousain, bien connu des habitants de la Ville rose au début du XXe siècle. Des allées arborées qui relieraient le nord de l’île à la piscine Nakache et au Stadium, qui seront les éléments phares du Parc des Sports.

Dans ce Parc des Sports, la piscine Nakache verra son grand bassin ouvert au public, en dehors de la saison estivale, pour y pratiquer des activités nautiques. Des terrains de skate-board, de beach-volley, de basket et un city-stade seraient aménagés sous le pont Saint-Michel, entre la salle Mermoz dont le bâtiment est classé et le Stadium.

Des jardins partagés dans un éco-parc
Des allées « vertes et piétonnes », artères du Coeur de l’île et du Parc des Sports, traverseront le centre d’entraînement du Toulouse football club (TFC) destiné à être agrandi. Ces cheminements doux connecteraient ensuite le coeur de l’île avec le sud de l’île où sera créé l’Eco-Parc de la Poudrerie qui fera la part belle aux initiatives liées au développement durable et à l’agriculture urbaine, ceci jusqu’au niveau du Casino Barrière.

« Les fonctions de cet Eco-Parc de la Poudrerie seront à définir avec les habitants », dixit les porteurs du projet.

Des jardins partagés sont néanmoins déjà imaginés et devraient voir le jour entre la Cité Daniel-Faucher et le bras de la Garonne dit de La Loge. Un bras du fleuve qui sera dédié à la pratique du Canoë-Kayak comme cela était demandé par les associations sportives. Avec une dimension supplémentaire de découverte de cette discipline, notamment en direction des enfants.

L’ancien resto U devient un espace culturel
Un Éco-parc de la Poudrerie proposera aussi son espace culturel situé sur le site de l’ancien restaurant universitaire à côté de la cité Daniel Faucher. Un projet porté par la compagnie de Phalsbourg, les promoteurs de la Tour d’Occitanie, qui ferait de ce bâtiment désaffecté une résidence d’artistes. À confirmer. De ce lieu partira l’une des passerelles prévues entre l’île et les berges de la Garonne, ici vers Empalot.

Les anciens hangars de la Poudrerie accueilleraient des pratiques sportives et culturelles liées à la thématique de l’Éco-parc. Ces anciens hangars vont constituer, avec le foncier de 5 hectares que Toulouse Métropole est en train de racheter à la SNPE pour 8 millions d’euros, un nouvel espace de promenade privilégié pour les Toulousains. Des espaces jusqu’ici tout aussi méconnus que la partie la plus sauvage (et peu entretenue) de l’île situé au sud-ouest.

On pourra (enfin) faire le tour complet de l’île du Ramier
Une partie sauvage qui verra la promenade qui fera tout le tour de l’île. Une île où devrait être favorisée la pratique des sports nautiques avec la création, en plusieurs endroits de petits haltes fluviales.

Autant d’annonces et de projets qui ne sont que des orientations qui devront être affinées dans la cadre d’une nouvelle phase de concertation qui va se dérouler jusqu’à la fin de l’année 2019. Les appels à projets seront ensuite lancés en 2020, année qui verra la démolition du Parc des expositions débuter.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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Lille, Paris, Toulouse… Top 5 des meilleures villes étudiantes ! | Actualités

Lille, Paris, Toulouse… Top 5 des meilleures villes étudiantes !
Par Yaëlle Besnainou le 4 Juillet 2017

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Pour les étudiants, l’été est une saison propice pour la recherche d’un logement. L’occasion de faire le point sur le marché immobilier des 5 plus grandes villes étudiantes de France et sur leur évolution.

Logements : les 5 villes qui attirent le plus les étudiants
En tête du palmarès, l’indétrônable ville de Paris. La capitale attire chaque année plus de 500 000 étudiants, séduits par le cadre de vie de la ville Lumière et sa concentration d’établissements de renom. Avec près de 150 000 étudiants, Lyon s’impose comme la deuxième ville universitaire du pays. Son enseignement supérieur varié (grandes écoles d’ingénieurs, Normale Sup ou les CHU) présente de multiples débouchés aux jeunes diplômés. Vient ensuite Toulouse. Les 4 universités et les 16 grandes écoles de cette ville festive et cosmopolite séduisent chaque année près de 130 000 étudiants. Au Nord, la ville de Lille arrive en quatrième position et offre à ses 107 000 étudiants de multiples activités et de nombreuses perspectives d’emplois dans la région. Elle est suivie de Nantes, très bien classée en termes de qualité de vie, d’enseignement et d’emploi. Elle compte 55 000 étudiants et ne cesse d’attirer de nouveaux profils notamment dans le secteur des nouvelles technologies.

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Un marché de la location généralement en baisse
Bonne nouvelle pour les étudiants  de ces grandes villes : le marché de la location poursuit globalement sa baisse en 2017. Par rapport à 2016, on constate un recul des loyers de 2,4 % à Paris, 4,8 % à Toulouse, 6,7 % à Nantes et 7,7 % à Lille. Cette érosion  a été favorisée par l’encadrement des loyers de la loi ALUR mais s’explique aussi plus simplement par le franchissement du budget limite des étudiants et de leur famille : « La pénurie de logement est toujours vraie mais la limite de budget est maintenant atteinte. Les bailleurs nous disent qu’à loyer égal, ils mettent plus de temps à louer qu’il y a un an », constatait  en septembre dernier Brice Boullet, fondateur du site Location-etudiant.fr. Seule la ville de Lyon maintient ses prix avec une légère hausse de 0,7 %.

Paris, de loin la ville la plus chère
Si l’ensemble des villes affichent des prix moyens au m2 sous le seuil des 15 €, la capitale fait figure d’exception avec des prix 40 % plus élevés. Ainsi, à surface égale, un étudiant devra débourser environ 730 € pour louer son studio à Paris, 480 € à Lyon, 460 € à Lille, 440 € à Toulouse et 390 € à Nantes (source baromètre location-etudiant.fr).

La colocation, une solution pour réduire les coûts
Une alternative existe pour réduire son budget logement : la colocation. Dans les grandes villes – exceptée la capitale qui connaît une pénurie d’appartements familiaux –  les grandes surfaces affichent des loyers au m2 inférieurs à ceux des petites. Un 4 pièces de 100 m2 coute en moyenne 1500 € à Lyon et à Lille (soit 500 € par colocataire), 1300 € à Toulouse et 1000 € à Nantes (soit respectivement 430 et 330 € par colocataire). Ainsi, à  budget équivalent, voire inférieur, l’étudiant disposera de sa propre chambre mais aussi de la jouissance des pièces communes (salon, salle de bains, cuisine…).

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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L’une est la préfecture des Hauts-de-France et l’autre celle de l’Occitanie. Il vous faut traverser pratiquement toute la France dans sa longueur pour vous rendre de l’une à l’autre et pourtant Lille et Toulouse sont toutes deux attractives et dynamiques. Alors laquelle vous convient ?

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Elle est assurément la ville la plus importante et la plus attractive du nord de la France : Lille, la capitale des Flandres, est une ville aux multiples facettes. A la fois ville d’histoire et d’innovations, elle attire sans cesse de nouveaux habitants qui apprécient son cadre de vie et son dynamisme.

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Toulouse est une ville jeune, qui abrite un nombre important d’étudiants et qui est sans cesse tournée vers l’avenir, comme en témoigne ses industries aéronautiques et aérospatiales. La ville rose offre, outre la douceur de son climat, un cadre de vie recherché.​

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