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Découvrez la maison où a vécu Aretha Franklin pendant 20 ans

La maison où Aretha Franklin, décédée en août, a vécu pendant vingt ans, a été mise en vente pour 800.000 dollars (près de 700.000 euros), rapporte la presse locale. La chanteuse s’était installée en 1997 dans cette maison en brique de deux étages située dans une résidence sécurisée du quartier huppé de Bloomfield Township (banlieue nord de Détroit).

Construit en 1990, ce cinq-pièces de 385 m2 compte entre autres cinq chambres, sept salles de bains, une cuisine au sol de marbre, un sauna, un garage pour trois voitures ainsi qu’un accès à une piscine et à des courts de tennis. Les photos postées en ligne montrent des pièces spacieuses, toutes vides. Rénovée en 2002, la maison, acquise 1,2 million de dollars (un peu plus d’un million d’euros) aurait besoin d’une nouvelle remise à neuf, selon l’annonce publiée par The Michael Team qui appartient au réseau immobilier Re/Max.

La «reine de la soul», qui a quitté cette maison en 2017 pour s’installer dans un appartement du centre-ville de Détroit, est décédée sans laisser de testament. Ses quatre enfants devraient se partager un héritage estimé, selon les médias, à 80 millions de dollars (près de 70 millions d’euros). Une trentaine de ses tenues de scène et accessoires vont être mises aux enchères lors d’une vente organisée les 9 et 10 novembre par la maison Julien’s. Parmi les lots proposés, estimés entre 800 et 4000 dollars pièce, figure notamment une veste portée en septembre 1999 lors de la cérémonie de remise de la médaille nationale des Arts par le président américain de l’époque Bill Clinton.

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Que faire si votre immeuble fait l’objet d’un arrêté de péril ?

Deux immeubles mitoyens se sont effondrés ce lundi matin à Marseille. L’un des deux faisait l’objet d’un arrêté de péril depuis «une dizaine de jours». Les pompiers démolissent un troisième bâtment qui menaçait de s’écrouler.

• Quand un habitat est-il jugé en péril?
Le péril suppose qu’un appartement ou une maison présente un danger pour la sécurité de ses occupants. Il peut s’agir d’un effondrement de planchers, d’escaliers, d’un garde-corps, de balcons, d’une toiture ou d’une façade. Pour l’immeuble à Marseille, une «difficulté sur une cloison au premier étage» avait été repérée.

• Que faire lorsque la sécurité des occupants n’est plus assurée?
Les faits révélant l’insécurité d’un logement doivent être signalés à la mairie par téléphone ou par courrier. Les services chargés d’établir un constat doivent intervenir dans un délai de trois mois à compter du signalement. Ceci étant fait, le maire notifie au propriétaire du logement ou au syndic (dans le cas d’un immeuble en copropriété) qu’une procédure de péril va être prise. À noter que la procédure de péril s’applique uniquement à la solidité du logement et non pas à son état ou à ses conditions d’occupation qui sont traités par la procédure d’insalubrité. Dès réception du courrier, le propriétaire (ou le syndic) dispose d’un mois maximum pour présenter leurs éventuelles observations à la mairie, par lettre recommandée avec avis de réception.

• Et si les désordres persistent?
Dans ce cas, le maire prend un arrêté de péril (ordinaire ou d’urgence) mettant en demeure le propriétaire (ou le syndic) d’effectuer les travaux nécessaires dans un délai d’au maximum un mois. S’il y a urgence, un expert est nommé, sur demande du maire, par un juge des référés. Ce dernier doit examiner la solidité du logement dans les 24 heures qui suivent sa nomination et doit dresser un constat puis proposer des mesures pour mettre fin au péril. Le maire peut assortir l’arrêté d’une interdiction temporaire ou définitive d’habiter les lieux si l’état de solidité du logement ou une des parties ne permet pas de garantir la sécurité des occupants. En cas d’urgence, il peut aussi décider d’une démolition partielle du logement pour supprimer les parties qui menacent de s’effondrer.

• Et si les travaux n’ont pas été réalisés dans les temps?
Le maire peut faire réaliser les travaux aux frais du propriétaire (ou du syndic) et majorés d’intérêts. Ce dernier peut également faire l’objet de poursuites pénales. Le maire peut appliquer une astreinte d’au maximum 1000 euros par jour de retard à l’encontre du propriétaire (ou du syndic).

• Dois-je continuer de payer mon loyer?
Le loyer versé par les occupants cesse d’être dû à compter du premier jour du mois qui suit l’envoi de la notification du maire pour prévenir qu’une procédure de péril va être prise.

• Qui doit assurer le relogement des occupants?
C’est au propriétaire (ou au syndic) de reloger les occupants dans un nouveau logement ou de trouver un habitat temporaire en cas d’interdiction temporaire d’habiter les lieux. En cas de défaillance, c’est le maire qui prend ces dispositions.

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Airbnb assigné en justice par les hôteliers pour «concurrence déloyale»

Après la mairie de Paris, c’est au tour des hôteliers d’assigner Airbnb en justice. Le motif? Le principal syndicat professionnel du secteur accuse la plateforme de location de «concurrence déloyale». L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) estime que «le non-respect de la réglementation par Airbnb a pour effet une appropriation illicite de clientèle» au détriment des hôteliers, selon l’assignation que Le Figaro s’est procurée. «Airbnb traîne des pieds et saisit toutes opportunités pour interpréter à sa façon la loi, déplore Laurent Duc, président d’Umih Hôtellerie française. La plateforme se contente de retirer les offres au delà des 120 jours autorisés dans seulement quatre arrondissements de Paris. C’est scandaleux. Ils font ce qu’ils veulent des textes. Même la mairie de Paris vient de les attaquer».

«Nous n’avons pas encore reçu les détails de cette assignation mais nous ne sommes pas surpris de cette nouvelle tentative des lobbies hôteliers français, qui suit une longue série d’actions en justice, toutes infructueuses, répond Airbnb, contacté par Le Figaro. Les lobbies hôteliers continuent à protéger leurs intérêts et à tenter de restreindre les droits des Français de bénéficier également du tourisme».

Pour motiver son action, le syndicat pointe du doigt les annonces pour lesquelles les hôtes n’ont pas demandé à la mairie un numéro d’enregistrement, ont dépassé le seuil maximal des 120 jours par an ou ont vu leur logement sous-loué illégalement et qu‘Airbnb n’a pas retirées de son site. «Ce non-respect de la réglementation est parfaitement assumé par Airbnb car sur son propre site Internet, elle reconnaît expressément ne procéder à la désactivation des annonces que pour les quatre premiers arrondissements de Paris», peut-on lire dans l’assignation. Dans le cadre d’une convention signée l’été dernier avec le gouvernement, Airbnb et d’autres plateformes de location touristiques se sont engagées à appliquer ce système de blocage à tous les arrondissements dès janvier prochain. Surtout, la loi logement prévoit de sanctionner, outre les propriétaires, les plateformes qui ne supprimeraient pas les annonces illégales. Elles risquent une amende comprise entre 10.000 et 50.000 euros.

Une indemnité symbolique de 143 euros
Les hôteliers s’appuient également sur une décision de justice datant de février dernier où Airbnb a été reconnue responsable de ne pas avoir supprimé une annonce de sous-location illégale. «Si Airbnb n’avait pas violé ses obligations légales dans cette annonce, sept hôtels situés à proximité auraient pu potentiellement louer une chambre aux voyageurs qui ont séjourné dans le logement sous-loué illégalement», explique l’Umih qui affirme que six de ces sept hôtels sont d’ailleurs moins chers que le prix de la nuitée demandé par le locataire (143 euros). Enfin, les hôteliers dénoncent «les acteurs qui font du meublé de tourisme à des fins commerciales sans supporter les risques inhérents à cette activité» tout en bénéficiant «d’avantages concurrentiels».

L’audience se tiendra le 14 février 2019 devant le Tribunal de commerce de Paris. «Ne pouvant pas être à même d’obtenir une réparation en lieu et place de ses membres, l’Umih ne réclame que 143 euros (le prix de la nuitée dans l’affaire de la sous-location illégale de février dernier) de préjudice moral à titre symbolique. «L’Umih mène cette action pour les hôteliers. Si la concurrence déloyale est reconnue, tous les hôteliers seront en droit d’obtenir réparation. C’est un enjeu à plusieurs milliards d’euros», prévient Me Jonathan Bellaïche, avocat de l’Umih.

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C’est le moment de s’occuper de la luminosité de votre logement

Avec le changement d’heure, le manque de lumière peut s’avérer plus déprimant que jamais. Voici quelques astuces pour mesurer la luminosité de votre habitation et l’améliorer quand c’est nécessaire.

Rien de tel qu’une bonne dose de lumière naturelle pour se sentir bien chez soi. Élément essentiel de qualité de vie, la luminosité se mesure désormais de plus en plus facilement. C’est notamment le cas grâce à l’application mobile Solen. Créée il y a deux ans, elle permet à des professionnels de l’immobilier de générer des certificats à la manière des diagnostics de performance énergétique afin de classer l’ensoleillement et la luminosité de toutes les pièces. Pour le grand public, cette appli gratuite permet aussi de simuler la trajectoire du soleil en réalité virtuelle sur l’écran de son téléphone.

Que faire si la clarté attendue n’est pas au rendez-vous? La solution la plus basique consiste à miser sur des tons très clairs pour ses murs voire pour ses meubles. Récemment encore, Le Figaro immobilier vous livrait un truc de décoratrice pour accentuer encore cette luminosité: opter pour un blanc plus pur pour le plafond que pour les murs. Il ne reste plus qu’à jouer sur les miroirs et sur des cloisons transparentes et le tour est joué, comme dans cette rénovation d’un appartement parisien.

Et si le compte n’y est toujours pas, il reste une dernière possibilité: l’installation de réflecteurs, permettant de faire rentrer la lumière dans les pièces les plus sombres. La société Espaciel propose par exemple divers modèles métalliques, qui réfléchissent plus qu’un miroir sans avoir ni sa fragilité, ni son côté éblouissant. Ces éléments disponibles dans de nombreux formats peuvent aussi bien se poser dans un jardin que sur un balcon ou un mur ainsi qu’à l’extérieur d’une fenêtre voire sur son rebord intérieur.

En version plus coûteuse, si l’on dispose d’un toit mais pas de fenêtre dans la pièce à éclairer, il existe aussi des solutions de «conduit de lumière». Ce tube réfléchissant est proposé notamment par la société américaine Solatube aussi bien pour des locaux professionnels que chez les particuliers.

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Comment devenir diagnostiqueur immobilier ? | Métier

Le diagnostiqueur est un professionnel incontournable, notamment lors des transactions immobilières. Spécialiste des diagnostics techniques, il doit remplir un certain nombre d’exigences pour pouvoir exercer sa profession.

Les points à retenir pour devenir diagnostiqueur immobilier
Le diagnostiqueur immobilier tient un rôle important lors des transactions immobilières, puisqu’il est connu pour réaliser un certain nombre de diagnostics techniques obligatoires. Si vous souhaitez devenir diagnostiqueur immobilier, vous pouvez retenir les informations suivantes :

Le diagnostiqueur immobilier est spécialisé dans les normes de construction.
Il réalise les diagnostics obligatoires et facultatifs, qui ont trait à la sécurité et la santé des occupants ainsi qu’à la surface ou aux performances thermiques des biens.
Différentes formations existent pour pouvoir accéder au métier de diagnostiqueur immobilier.
Pour pouvoir exercer, le diagnostiqueur immobilier doit obtenir un certificat délivré par un organisme indépendant (COFRAC).
Bon à savoir
Le diagnostiqueur peut être sanctionné s’il ne respecte pas son devoir d’impartialité, et il encoure une amende.

Qu’est-ce que le métier de diagnostiqueur immobilier ?
Le métier de diagnostiqueur est récent, puisqu’il date des années 90, et il n’a cessé d’évoluer depuis sa création. Il s’agit d’un professionnel spécialisé dans les normes de construction et à ce titre, il peut intervenir lors des transactions immobilières, lors de la construction, pour des travaux ou lors de l’exploitation usuelle d’un bâtiment. Il réalise des diagnostics immobiliers, certains obligatoires et d’autres facultatifs, qui ont trait à la sécurité et la santé des occupants ainsi qu’à la surface ou aux performances thermiques des logements. Il s’agit des diagnostics qui portent sur les éléments suivants :

L’exposition au plomb.
La présence ou l’absence de matériaux contenant de l’amiante.
L’état des installations de gaz de plus de 15 ans.
Le diagnostic de performance énergétique.
Le diagnostic des installations électriques de plus de 15 ans.
La recherche de termites.
Le métrage en loi Carrez.
L’état des risques naturels et technologiques.
Le diagnostiqueur a l’obligation d’être neutre et impartial, quelle que soit la personne qui le mandate. Il doit souscrire une assurance de responsabilité civile qui le couvre en cas de conséquences liées à l’une de ses interventions. Le diagnostiqueur travaille seul et exerce la majeure partie de son travail à l’extérieur de son bureau. Il est équipé d’appareils spécifiques aux diagnostics qu’il réalise. Il se déplace souvent car il réalise de multiples visites dans plusieurs différents logements ou bâtiments, plusieurs fois par semaine.

Différentes voies pour accéder au métier de diagnostiqueur immobilier
Il n’existe pas une seule formation pour accéder au métier de diagnostiqueur immobilier, vous bénéficiez donc d’un choix assez vaste de formations, en fonction de votre profil et des disponibilités dans les différents établissements :

Bon à savoir
Vous pouvez choisir entre différents diplômes de diagnostiqueur immobilier qui permettent de valider une formation ou une expérience, grâce à la certification professionnelle de Niveau II, III et IV.

Diagnostiqueur immobilier : des certifications obligatoires
Pour pouvoir exercer, le diagnostiqueur immobilier doit obtenir un certificat délivré par un organisme indépendant (COFRAC), et dont la validité est de 5 ans. Cette certification n’est obligatoire que pour certains diagnostics :

Le diagnostic amiante : certification obligatoire sans mention ou avec mention.
Diagnostic plomb : certification obligatoire sans mention ou avec mention.
Diagnostic termites : certification obligatoire.
DPE : certification obligatoire sans mention ou avec mention.
Le diagnostic gaz : certification obligatoire.
Le diagnostic électricité : certification obligatoire.
Diagnostic assainissement : pas de certification.
Etat des risques naturels et technologiques : pas de certification.
Ces certifications permettent de vérifier et valider les compétences théoriques et pratiques du diagnostiqueur immobilier, et s’assurer également qu’il se tient à jour des évolutions techniques, législatives et réglementaires. Elles sont délivrées à la suite d’un examen théorique et d’un examen pratique.​

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sa maison : 90 % des Français vont au moins une fois par semaine sur le chantier | Actualités

Pendant la construction de leur maison, les Français se préoccupent fortement de l’avancée de leurs travaux : plus de 90 % d’entre eux se rendent sur le chantier au moins une fois par semaine et près de 4 sur 10 le visitent même tous les jours. 

Construction : 39 % des Français visitent leur chantier quotidiennement
Lorsqu’ils font construire leur maison, les Français ne semblent pas se contenter des visites de chantier organisées à chaque appel de fonds. En effet, selon une étude menée par ForumConstruire.com, plate-forme d’échanges entre particuliers sur la construction de maison et l’amélioration de l’habitat, dans leur grande majorité (91,7 %), les Français qui font construire leur maison se rendent au moins une fois par semaine sur leur chantier. Dans le détail, pour 16,6 % des Français, la visite est hebdomadaire, 36,3 % s’y rendent jusqu’à 2 à 3 fois par semaine, et pour 38,8 %, ayant la chance de résider à proximité de leur chantier, cette visite est (ou était) même quotidienne. Ainsi, seuls 3,6 % des Français s’y rendent en moyenne une fois tous les 15 jours, et 1,3 % une fois par mois uniquement. 3,4 % des sondés ont indiqué n’avoir été que peu présents sur le chantier car leur lieu de résidence est ou était trop éloigné du site.

Les Français sont très préoccupés par l’avancée de leur chantier. 
Chantier : les visites régulières permettent d’éviter les mauvaises surprises
Le suivi des travaux est donc essentiel pour les Français, et ceux qui visitent fréquemment leur chantier veulent avant tout éviter des soucis à la réception des travaux. En effet, une présence régulière sur place permet de suivre l’avancement de la construction, d’éviter certaines erreurs ou, le cas échéant, de pouvoir les corriger rapidement et avant qu’il ne soit trop tard, en remontant l’information auprès du conducteur de travaux. Certains Français affirment également avoir profité de ces visites pour « négocier » certains changements avec les artisans. Par ailleurs, ces visites régulières leur permettent d’immortaliser (photos, vidéos) les différentes étapes de la construction de leur maison, en connaître les moindres détails et rencontrer et échanger avec les artisans et ouvriers qui auront contribué à l’aboutissement de leur projet immobilier. Enfin, ces visites peuvent aussi être l’occasion de premiers échanges avec leurs futurs voisins.

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Rénovation énergétique : seuls 25 % des travaux sont efficaces | Actualités

Alors que le gouvernement veut éradiquer les « passoires thermiques », 75 % des travaux de rénovation énergétique réalisés ne seraient pas assez efficaces. Néanmoins, 83 % des Français affirment que leur confort thermique s’est amélioré par la suite.

Rénovation énergétique : 75 % des travaux sont inefficaces
De plus en plus de Français souhaitent réaliser des travaux de rénovation énergétique. Entre 2014 et 2016, plus de 5 millions de maisons ont fait l’objet de travaux de rénovation énergétique, générant près de 60 milliards d’euros de chiffres d’affaires, soit une dépense moyenne de 11 750 € par logement. Et pourtant, une enquête réalisée par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) montre que ces travaux ne sont pas assez efficaces. Seuls 25% d’entre eux ont permis aux habitations d’améliorer leur classe inscrite dans le diagnostic de performance énergétique (DPE), même si 83 % des ménages qui ont réalisé des travaux trouvent qu’ils ont permis d’améliorer le confort thermique de leur habitation. L’étude constate donc « un vrai décalage entre la réalité des rénovations et la perception des ménages. (…) Ces observations confirment que le chemin à parcourir est très important pour parvenir à un parc de logements au niveau bâtiment basse consommation à l’horizon 2050 », résume l’Ademe.

Seuls 620 000 travaux sont liés à la ventilation, contre 2,7 millions pour la rénovation des fenêtres. © Ademe
Travaux : les Français privilégient l’isolation à la ventilation
Cette étude montre également que les ménages français privilégient les travaux liés à l’isolation du logement. Ainsi, les fenêtres, toitures et murs représentent le trio des travaux les plus réalisés. « Cette logique est la bonne pour gagner en efficacité énergétique », selon l’Ademe. En effet, ce sont des toits et des murs que les pertes de chaleur sont les plus importantes. Autre constat positif, 65 % des ménages réalisent des bouquets de travaux, c’est-à-dire qu’ils agissent sur au moins deux postes de travaux à la fois. En dépit de ces bonnes nouvelles, la performance énergétique n’est pas au rendez-vous : un tiers des travaux sur les toitures/combles est performant, et 16 % en ce qui concerne les fenêtres et les murs. Cela s’explique notamment par le fait que les Français oublient l’importance de la ventilation et de la qualité de l’air intérieur. « La ventilation est clairement le parent pauvre de la rénovation énergétique alors qu’il s’agit d’un poste clef ayant un impact sur le confort mais aussi sur la santé des occupants », affirme l’Ademe.

Seules 5 % des rénovations ont eu un impact important, soit un saut de deux classes énergétiques du DPE. © Ademe
Rénovation énergétique : les Français sont-ils mal informés ?
Les Français sont souvent mal informés sur les aides dont ils peuvent bénéficier pour entreprendre des travaux. Ainsi, une étude menée par l’IFOP pour QuelleEnergie.fr révèle que, si les Français sont presque unanimement convaincus (92 %) de l’importance de la rénovation énergétique, 89 % pensent que ces travaux coûtent trop chers, principalement par manque d’information. En effet, plus du tiers des ménages disent qu’ils n’ont jamais eu de renseignements suffisants, alors que 75 % d’entre eux (selon l’Ademe) attendent justement des aides pour entreprendre des travaux. Et pourtant, ces aides sont nombreuses, à commencer par le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE), qui devrait prochainement être remplacé par une prime, versée immédiatement, contre 1 an après pour le CITE. Il y a également l’éco-PTZ, cumulable avec le crédit d’impôt, qui permet d’emprunter jusqu’à 30 000 €. Selon l’Ademe, le gouvernement doit donc opérer un changement de stratégie, s’il veut atteindre son objectif de faire passer tous les logements au niveau basse consommation d’ici 2050. 

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Crédit immobilier : emprunter en étant en CDD, c’est possible | Actualités

Si près de 9 embauches sur 10 s’effectuent désormais en CDD, il reste toujours compliqué de souscrire un crédit immobilier sans avoir de CDI. C’est cependant possible, à condition de prouver la régularité de ses revenus.

Obtenir un crédit sans CDI, c’est possible mais toujours compliqué
Alors qu’en France, selon la Direction de l’animation, de la recherche, des études et des statistiques (Dares), 87 % des embauches se font aujourd’hui en contrat à durée déterminée (contre 76 % de CDD en 1993) et que les indépendants, micro-entrepreneurs et ceux qui cumulent plusieurs emplois (appelés les « slashers »), sont de plus en plus nombreux, il est toujours difficile d’emprunter sans avoir de CDI. En effet, les banques considèrent généralement ces candidats à l’emprunt comme des profils à risque. Ainsi, en 2018, parmi la clientèle du courtier Artémis Courtage, seuls 4 % des emprunteurs sont en CDD (en incluant les intermittents). « Détenir un contrat à durée indéterminée reste le graal pour devenir propriétaire. Ceux qui sont en CDD sont peu nombreux à pouvoir décrocher un prêt », confirme Ludovic Huzieux, associé fondateur du courtier en crédit immobilier.

Bon à savoir
Alors que les CDI se font rares, seuls 4 % des emprunteurs immobiliers sont en CDD en 2017. 

Pour emprunter en CDD, il vaut mieux avoir des revenus stables
Si cela est compliqué, emprunter en CDD reste néanmoins possible. « Les emprunteurs qui ont un statut précaire peuvent toujours tenter leur chance car les banques étudient chaque dossier au cas par cas en fonction du profil de risque et de la nature de l’activité exercée », explique Ludovic Huzieux. Ainsi, un salarié qui vient de décrocher son premier job en CDD aura du mal à emprunter. En revanche, si l’emprunteur est en CDD depuis au moins deux ans et qu’il a soigné son dossier (pas de découvert, ni d’incident de paiement), son dossier aura bien plus de chance d’être accepté par les établissements bancaires. Si l’on exerce en tant qu’indépendant ou micro-entrepreneur, il faut être en mesure de fournir ses trois derniers bilans comptables et que ces derniers soient stables pour convaincre la banque. Du côté des intermittents du spectacle, ils doivent prouver qu’ils travaillent régulièrement et qu’ils bénéficient du statut depuis de nombreuses années.

Contrats précaires : certaines professions ont plus de facilité à emprunter
Pour emprunter, toutes les personnes en CDD ne sont pas logées à la même enseigne : certaines professions ont plus de facilité que d’autres. C’est notamment le cas des personnes qui détiennent un CDD dans la fonction publique d’État, territoriale ou hospitalière. « Leur contrat est assimilé par la banque à un CDI », précise Ludovic Huzieux. Par ailleurs, dans certains secteurs (hôtellerie, restauration…) où les salariés sont régulièrement employés en intérim ou en CDD, les banques peuvent également se montrer plus souples. Néanmoins, leur dossier ne devra présenter aucun incident de paiement ou découvert durant les 3 à 6 derniers mois, ni de crédit à la consommation. Par ailleurs, quand on n’est pas en CDI, il est plus facile d’emprunter à 2. Selon Vousfinancer, lorsqu’il y a 2 emprunteurs, la proportion de CDD, de travailleurs indépendants et d’intérimaires parmi les emprunteurs monte respectivement à 5 %, 8,5 % et 2 %, car ils empruntent généralement avec une personne en CDI. 

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En France, la taxe foncière a augmenté de 12 % en 5 ans | Actualités

En France, la taxe foncière a augmenté de 11,7 % en moyenne, sur les 5 dernières années : c’est 5 fois plus que l’inflation et même 8 fois plus que les loyers. Une hausse qui pourrait se poursuivre avec la suppression programmée de la taxe d’habitation.

Taxe foncière : une hausse de 11,7 % entre 2012 et 2017
Sur les 5 dernières années, la taxe foncière a augmenté de 11,7 % en France, selon les chiffres de l’Union nationale de la propriété immobilière (UNPI). Cela représente une hausse 5 fois supérieure à celle de l’inflation (+ 2,35 % selon l’INSEE) et 8 fois supérieure à celle des loyers. Par ailleurs, si la hausse de la taxe foncière a légèrement ralenti en 2017 et 2018, elle pourrait de nouveau s’accélérer dans les prochains mois avec la suppression de la taxe d’habitation. Dans le département de l’Aude, de nombreuses communes figurent en tête du classement des taux les plus élevés, alors que les taux les plus bas sont souvent pratiqués dans les Hauts-de-Seine, les plus faibles étant ceux de Neuilly-sur-Seine (12,2 %), Courbevoie (13,7 %) et Marnes-la-Coquette (13,9 %). De son côté, Paris bénéficie aussi de taux bas (13,5 %). Néanmoins, il convient de relativiser ces écarts dans la mesure où, en Ile-de-France, si les taux sont bas, les valeurs locatives sont particulièrement fortes. A contrario, le Gers et l’Aude compensent des bases très faibles par des taux très élevés.

Bon à savoir
Entre 2012 et 2017, la grande ville qui a connu la plus forte hausse de taxe foncière est Lille, avec + 30 %.

Dans certaines communes, les impôts locaux ont doublé en 5 ans
Dans la commune corse d’Ortale, l’imposition a plus que doublé en 5 ans (+ 115,6 %), tandis que dans 3 autres communes, la hausse a dépassé 80 %. Il s’agit de La Bauche (Savoie), Arçay (Vienne) et Rochonvillers (Moselle). A l’inverse, la taxe foncière a baissé dans 728 communes entre 2012 à 2017. A Les Vallées de la Vanne (Yonne) et Pastricciola (Corse-du-Sud), la baisse des taxes a même dépassé 30 %. Cependant, cette baisse est parfois compensée par un report sur la création d’une TEOM (taxe d’enlèvement des ordures ménagères). Concernant les 50 plus grandes villes de France, les taux cumulés dépassent 50 % dans 13 d’entre elles. Le record est détenu par Angers (56,4 %), suivie par Amiens (55,9 %), Le Havre (54,4 %) et Grenoble (53,9 %). Parmi les grandes villes où les taux sont modérés, on retrouve Boulogne-Billancourt (15,1 %), Nanterre (20,7 %), Lyon (29,87 %) et Villeurbanne (28,1 %). En moyenne, les taux des grandes villes sont de 42,7 %, soit 4 points de plus que la moyenne nationale.

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Habiter à deux pas du stade de votre équipe de foot favorite, ça vous coûterait combien ? | Prix immobilier

Bon, on ne va pas se mentir : voir un match de foot à la télé, c’est bien mais dans un stade, c’est encore mieux. Surtout s’il s’agit de votre équipe préférée ! Et si, pour ne rater aucune des rencontres disputées par l’équipe que vous supportez, vous achetiez un logement près de son stade, combien ça vous coûterait ? Éléments de réponse.

Près du stade Louis II, un logement coûte 47 fois plus cher qu’aux abords du stade de Roudourou !
C’est bien connu : quand on aime, on ne compte pas ! Et ce ne sont pas les amateurs de ballon rond qui diront le contraire. Sauf que vivre à deux pas du stade qui abrite les matches de son équipe de foot préférée a un prix. Et ce prix n’est – clairement – pas le même selon que l’on supporte le LOSC (2 049 € du m²), les Girondins (3 836 € du m²), l’AS Saint-Étienne (1 196 € du m²), les joueurs du Stade Malherbe (2 219 € du m²), les Canaris (3 037 € du m²), l’OGC Nice (4 031 € du m²), les Costarmoricains de Desplat (1 107 € du m²), les Rouge et Bleu (8 401 € du m²) ou encore le onze monégasque (52 560 € du m² !). Eh oui, qu’il s’agisse de football ou d’immobilier, il y en a pour tous les goûts et pour toutes les bourses. Force est d’ailleurs de constater de la position qu’ils occupent au classement général de la Ligue 1, certaines équipes sont parfois aux antipodes l’une de l’autre car entre le stade de Roudourou de Guingamp, dans les Côtes-d’Armor, à la pointe occidentale du pays et le stade Louis II, en principauté monégasque, les prix immobiliers font le – très – grand écart ! À Monaco, aux abords du stade, le m² coûte, en moyenne, 47 fois plus cher qu’à proximité du Roudourou guingampais !

Bon à savoir
Pouvant accueillir 80 698 supporters, le Stade de France est le plus grand stade français. C’est en Corée du Nord, sur l’île de Rungnado, que se trouve le plus grand stade de la planète : sa contenance est de… 150 000 personnes !

Louis II, le Parc des Princes et l’Allianz Riviera : le trio gagnant !
Le classement qui suit n’a rien à voir avec les points marqués ni avec les buts encaissés par les équipes monégasque, parisienne et niçoise. Non, il résulte purement et simplement des données qu’a recueillies le baromètre LPI-SeLoger. Et il ressort des chiffres que nous avons analysés que c’est aux abords du stade Louis II qu’il coûte le plus cher de se loger (en principauté, le m² dépasse allègrement les 50 000 € !). La deuxième place du podium est occupée par le Parc des Princes parce qu’il est situé dans le – très chic – XVIe arrondissement, y acheter un appartement à proximité vous coûtera aux alentours de 8 401 € du m² et pour devenir propriétaire d’un appartement près de l’Allianz Riviera, terrain de jeu des joueurs de l’OGC  – et accessoirement médaille de bronze de notre palmarès –  comptez 4 031 € du m².

Bon à savoir
Savez-vous ce qu’est un « corner à la rémoise » ? Il s’agit d’un corner tiré en deux temps et à ras de terre.

Près du Roudourou et du stade Robert-Pires, vous serez logés à petits prix !
Qu’on se le dise, ce n’est pas la taille qui compte et loin de nous l’idée de juger une équipe ou encore un stade de football par rapport au prix de l’immobilier local. Les chiffres qu’a compilés le baromètre LPI-SeLoger nous apprennent que ce sont les supporters guigampais qui devront dépenser le moins s’il leur prend l’envie d’acheter un logement à deux pas de leur stade. Avec un prix au m² avoisinant les 1 196 €, les supporters stéphanois ne sont pas à plaindre non plus. Enfin, les amateurs du « football champagne » et de l’équipe des rouges et blancs ne devront débourser que 1 920 € pour avoir la chance d’admirer leurs joueurs en chair et en os.

Le top 5 des abords de stades les plus chers
VILLE STADE PRIX AU M²
Monaco Louis II 52 560 €
Paris Parc des Princes 8 041 €
Nice Ray 4 031 €
Marseille Vélodrome 3 871 €
Bordeaux Chaban-Delmas 3 836 €

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