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Le prélèvement à la source va-t-il pénaliser les investisseurs ? – 11/11/2018 07:00:25 – Boursorama

Avec l’instauration de la retenue à la source en 2019, les particuliers qui ont investi dans le neuf en Pinel vont bénéficier d’un effet de trésorerie favorable. Explications.
Le dispositif d’investissement locatif Pinel permet à un particulier qui acquiert et met en location un bien neuf (maison ou appartement), sous certaines conditions de prix et de loyer, de bénéficier d’une réduction d’impôt en fonction de la durée de location qui peut être de 6 ans, 9 ans ou 12 ans. Le taux de la réduction d’impôt, calculée dans la limite d’un investissement de 300 000 euros, varie selon l’engagement de durée de location retenu, de respectivement 12, 18 ou 21 %.

Une avance de trésorerie
Mais avec l’instauration de la retenue à la source au 1er janvier 2019, l’année 2018 est considérée comme blanche fiscalement. Les contribuables perdent-ils alors l’avantage de la réduction d’impôt Pinel? Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’Epargne est catégorique. «La réponse est non. Si le crédit d’impôt de modernisation du recouvrement annule bien l’impôt dû sur les revenus de 2018, il n’efface pas les réductions d’impôt «Pinel». L’avantage fiscal sera intégralement restitué au contribuable.

Le principe du décalage d’un an est maintenu pour les réductions et les crédits d’impôt. Ces derniers donneront toujours lieu à déclaration. De son côté, Franck Vignaud, directeur du Baromètre de l’immobilier abonde en ce sens. «Les particuliers qui ont investi en Pinel vont bénéficier d’un effet de trésorerie favorable avec le prélèvement à la source puisque le gouvernement a finalement décidé de leur rembourser 60 % de leur crédit d’impôt dès le mois de janvier, et non 100 % au mois d’août comme prévu initialement.»

Concrètement, pour ceux qui ont réalisé leur acquisition avant le 31 décembre 2017, l’acompte devrait être versé dès le 15 janvier 2019. Le solde sera reçu par le contribuable au mois de septembre après la déclaration d’impôt adressée aux services fiscaux au mois de mai. Le contribuable ne fera pas d’avance de trésorerie à l’État.

Ainsi, par exemple, un contribuable ayant été livré au mois de mai 2017 d’un logement neuf à Boulogne-Billancourt d’une valeur de 250.000 euros et s’étant engagé à le louer dans durant 9 ans bénéficie d’une réduction d’impôt annuel de 5000 euros. Avec la retenue à la source, il percevra au mois de janvier 3000 euros de la part du ministère des Finances. Le solde, 2000 euros, sera versé au mois de septembre», précise Philippe Crevel.

Qu’en est-il des opérations livrées en 2018? «L’administration fiscale n’en aura connaissance qu’au mois de mai 2019 au moment de la déclaration d’impôt. Le contribuable devra alors attendre le mois de septembre pour bénéficier de la réduction d’impôt d’un montant de 5000 euros dans le cadre de l’exemple précédent. La mesure d’acompte de 60 % versée dès janvier étant censée être reconduite, il en profitera en 2020 comme les autres bénéficiaires du Pinel» indique le directeur du Cercle de l’Epargne. Enfin, au cas où le zonage géographique du Pinel serait modifié, les règles seront-elles revues et corrigées? «Dans tous les cas, s’il y a modification, elle ne saurait être rétroactive, cela ne s’est jamais vu et c’est toujours le zonage en vigueur au moment de l’acquisition qui demeure valable», affirme Franck Vignaud.

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Airbnb : les amendes pleuvent au profit de la ville de Paris

Les condamnations de propriétaires indélicats se multiplient dans la capitale. Et les amendes sont salées.
Les petits malins qui se jouent des règles de location via Airbnb n’ont qu’à bien se tenir. D’après les chiffres que nous nous sommes procurés auprès de la ville de Paris, un peu plus 1,48 million d’euros d’amendes ont été infligés entre le 1er janvier et le 5 novembre 2018, aux particuliers portés en justice par la mairie. Le montant de ces condamnations dépassent déjà celui de 2017 (1,3 million d’euros).

Individuellement, la facture est aussi salée. Depuis le début de l’année, 127 condamnations ont été prononcées, ce qui se traduit par une amende moyenne de 11.655 euros par logement. Preuve de la récurrence de ces condamnations : le 25 octobre dernier, la Cour d’appel de Paris a condamné, coup sur coup, trois propriétaires indélicats à payer des amendes de 12.000, 8.000 et 2.000 euros à la ville de Paris !

Les litiges sont divers. A l’image des dernières condamnations d’octobre, la plupart portent sur une absence de demande de changement d’usage des biens mis en location. De fait, tout propriétaire parisien souhaitant mettre en location saisonnière un logement – autre que sa résidence principale – doit obtenir une autorisation de changement d’usage auprès de la mairie. La même règle prévaut d’ailleurs dans toutes les agglomérations de plus de 200.000 habitants. A Paris, la règlementation est même encore plus stricte puisque le bailleur doit, pour être autorisé à louer, aussi transformer en logement résidentiel une surface de bureaux équivalente à celle du logement qu’il veut louer. Voire même le double de superficie dans les arrondissements les plus touristiques… De leur côté, les propriétaires souhaitant louer leur résidence principale à titre saisonnier, ne sont autorisés à le faire que dans la limite de 120 nuitées par an.

L’explosion des condamnations enregistrées cette année résulte, aussi et surtout, d’une intensification des contrôles opérés par la ville de Paris. “Aujourd’hui une trentaine d’agents sont mobilisés à ce titre toute l’année pour des contrôles inopinés”, explique-t-on auprès du cabinet de Ian Brossat, adjoint au Logement. La chasse aux bailleurs peu scrupuleux est donc encore loin d’être terminée.

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Immobilier : que risque-t-on à entraver un partage de communauté ?

Vos questions juridiques traitées par Capital avec l’aide de nos avocats experts.
Le cas : Madame V. refuse de répondre à l’agent immobilier missionné par son ex-mari afin de vendre leur ancien logement commun. A quoi s’expose-t-elle ?

La réponse de l’avocat : De devoir payer des dommages et intérêts à son ancien conjoint. Un tel comportement d’obstruction relève en effet souvent d’une faute, comme l’a rappelé la Cour de cassation à un homme qui avait lui aussi cherché, après son divorce, à retarder au maximum la cession de l’ancienne villa du couple (1re chambre civile, arrêt n° 17-17.243 du 12 juin 2018). Il faut dire que celui-ci s’était systématiquement opposé à la signature des mandats de vente et avait refusé de communiquer au notaire comme aux experts les éléments techniques nécessaires à la transaction. Au point que la vente n’avait finalement abouti que cinq ans après la libération du bien de toute occupation. Pour les juges, de tels agissements en avaient "empêché l’aliénation pendant une période favorable du marché, faisant perdre une chance d’en obtenir un meilleur prix". Et justifiant dès lors une indemnisation de 90.000 euros, à verser à son ex-femme.

Mieux vaudra donc que ma dame V. se montre plus coopérative, car elle risque sinon de subir le même reproche, alors que les prix de l’immobilier sont en hausse.

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Les SCPI les plus prometteuses pour le classement 2019

Une nouvelle fois à l’honneur en 2018, les SCPI de rendement continueront probablement de faire l’actualité en 2019. Avec des rendements supérieurs à ceux offerts par les livrets et les contrats d’assurance-vie en fond euro, ces produits d’épargne immobilière qui augmentent votre pouvoir d’achat n’ont pas déçu. Voici un avant-goût des SCPI de rendement pouvant prétendre au titre parmi les 180 SCPI existantes compte tenu des résultats affichés au 3em trimestre 2018. Décryptage du mécanisme de la SCPI de rendement.
Les sociétés civiles de placement immobilier sont des outils de gestion patrimoniale permettant à leurs porteurs de parts appelés associés de percevoir trimestriellement ou mensuellement des dividendes. Investir en SCPI, c’est réaliser un investissement immobilier et les dividendes sont fiscalisés comme tels. Il existe près de 180 SCPI gérées par une trentaine de sociétés de gestion. Les SCPI les plus connues sont les SCPI de rendement.

Le fonctionnement des SCPI est très simple : les sociétés de gestion achètent des biens immobiliers pour le compte des associés qui ont acquis des parts de la SCPI. Les SCPI de rendement investissent presque exclusivement en immobilier d’entreprise. Cette catégorie d’actifs correspond aux bureaux, à l’immobilier commercial, à l’immobilier de stockage et d’entreposage, à l’immobilier de loisir et de tourisme (campings et hôtels). Les SCPI s’intéressent aussi à des thématiques immobilières particulières comme la santé (établissements de soins, EHPAD, cabinets médicaux, structures pour les patients atteints de la maladie d’Alzheimer…), la petite enfance (crèches) et l’éducation (écoles et universités privées).

La diversification constitue le maître-mot des épargnants en SCPI
Si la diversification sectorielle est très importante, il en est de même de la diversification géographique. Pendant de très nombreuses années, les SCPI ont exclusivement investi en France (Paris, région parisienne et province). Désormais, les sociétés de gestion se lancent à l’assaut de l’Europe et de plus en plus de SCPI investissent en zone euro, voire hors zone euro pour y chercher de la valeur pour leurs associés.

Ainsi que le constate Véronique Baron, l’une des associés fondateurs de LA CENTRALE DES SCPI, la plateforme leader de la distribution de parts de SCPI par Internet : "L’infinité de choix permettant de se constituer un portefeuille équilibré de SCPI conduit nécessairement à en mixer plusieurs, à savoir au moins trois afin de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. En fonction de la capacité d’investissement du futur associé, il est possible d’aller jusqu’à cinq ou six SCPI différentes."

Bien évidemment, plus la surface financière de l’investisseur est importante plus son choix de SCPI est varié. Il suffit néanmoins de quelques milliers d’euros pour se constituer un portefeuille de SCPI de base avec les meilleures SCPI. Libre à chacun de l’étoffer en fonction de ses disponibilités financières et de sa capacité d’épargne. Il est en effet possible à tout moment de réinvestir afin de se constituer un beau patrimoine dans la pierre. Pour ceux qui ne jurent que par l’immobilier en direct, les SCPI vous épargnent toute contrainte de gestion et toute relation avec les locataires. Il est bien évidemment possible d’acheter ses parts de SCPI à crédit, mais également en démembrement temporaire de propriété.

Les meilleurs choix de SCPI sont proposés par des hyper-spécialistes du support
Lorsque l’ingénierie patrimoniale se complexifie (achat en démembrement temporaire de propriété afin d’annihiler toute pression fiscale y compris l’Impôt sur la Fortune Immobilière), mieux vaut faire appel à des experts comme ceux de La Centrale des SCPI par exemple. Ils fournissent un service clé en main, notamment la recherche d’un crédit SCPI et une aide pour remplir sa déclaration d’impôt, aide appréciable lorsque les dividendes perçus sont d’origine étrangère.

Ces précisions rappelées, quelles sont les SCPI de rendement pouvant prétendre à la première place dans chaque catégorie ?

Nous ne rentrerons pas dans le détail des SCPI citées, les spécialistes de la question vous donneront toutes les précisions correspondant à votre situation patrimoniale ainsi que toute la documentation adéquate. Chaque profil patrimonial étant unique, un bilan patrimonial personnalisé s’avère indispensable avant toute préconisation de SCPI.

Les SCPI nominées pour le titre de meilleure SCPI 2019 de leur catégorie d’après La Centrale des SCPI
Nominé dans la catégorie de Meilleure SCPI internationale : CORUM XL de la société de gestion Corum Asset Management
Avec la reprise de la croissance en Europe et la baisse du chômage, la SCPI Corum XL qui est la première SCPI à avoir réalisé des investissements immobiliers hors zone euro pourrait être la meilleure SCPI internationale l’an prochain du fait de sa diversification et de la connaissance des cycles immobiliers de ses gestionnaires qui ont fait leurs preuves depuis de nombreuses années. À noter que les dividendes sont versés chaque mois aux associés.

Nominé dans la catégorie de Meilleure SCPI européenne : CORUM ORIGIN de la société de gestion Corum Asset Management
SCPI européenne par excellence investie dans 11 États de la zone euro, Corum Origin, grâce à sa diversification inégalée, offre une palette d’investissement extrêmement diversifiée. Son caractère opportuniste lui permet de s’intéresser à tout type de bien immobilier pour générer de la valeur. Les dividendes sont également versés chaque mois.

Nominé dans la catégorie de Meilleure SCPI allemande : NOVAPIERRE ALLEMAGNE de la société de gestion Paref Gestion
Novapierre Allemagne est une SCPI investie à 100 % dans l’immobilier commercial allemand qui profite du dynamisme de la première puissance économique européenne. Novapierre Allemagne qui étend son maillage outre-Rhin, c’est également moins de fiscalité du fait de la convention fiscale franco-allemande et de l’absence de prélèvements sociaux sur les revenus étrangers.

Nominé dans la catégorie de Meilleure SCPI française : ÉPARGNE PIERRE de la société de gestion Voisin
La SCPI Épargne Pierre n’est pas la plus grosse SCPI de la place mais c’est sans conteste celle dont on parlera l’an prochain du fait de sa diversification sur tout le territoire national et de la qualité des investissements immobiliers réalisés. Ces derniers sont extrêmement soucieux de la protection de l’environnement et réalisés par une équipe de professionnels aguerris.

Nominé dans la catégorie de Meilleure SCPI de santé : PIERVAL SANTE de la société de gestion Euryale Asset Management
Incontournable secteur d’avenir, la santé a trouvé sa SCPI avec Pierval Santé, investie à la fois en Allemagne, en France et en Irlande dans la thématique de la santé au sens large. La force de ce véhicule d’épargne immobilière assistée réside dans la capacité de son équipe de gestion à investir dans tout type de bien en relation avec la santé et le bien-être de nos aînés, notamment les EHPAD, et ce à l’échelle européenne.

Le support d’épargne immobilière SCPI, avec ses taux de rendement attractifs comparativement à ceux d’un appartement en immobilier locatif ou de l’assurance vie en fond euros, fait véritablement figure d’exception dans le monde de l’épargne.

Vous disposez désormais de tous les atouts en main pour réaliser de fructueux investissements immobiliers en 2019 grâce aux SCPI.

Souvenez-vous de la règle mise en pratique chaque jour par Lionel Benhamou, associé fondateur de LA CENTRALE DES SCPI, 1er comparateur gratuit de SCPI en ligne (www.lacentraledesscpi.com) : "Un investissement réussi en SCPI se résume à trois verbes : mixer, mixer et mixer encore et toujours vos achats en SCPI"

Comme le souligne encore Lionel Benhamou, un classement de SCPI ne se résume pas uniquement aux meilleurs rendement, il faut analyser la stratégie, le taux d’occupation financier, la qualité et les emplacements des immeubles entres autres.

Avertissement

L’investissement dans une SCPI n’est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers. Avant toute décision d’achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d’être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial. Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.

Avertissement concernant la SCPI Corum XL

Comme tout investissement immobilier, la liquidité de la SCPI CORUM XL est limitée, le capital et les revenus non garantis. Le risque lié aux cours des devises accroit le risque sur les revenus et le capital. Avant tout investissement, vérifiez qu’il est adapté à la situation patrimoniale de l’épargnant et à ses objectifs d’investissements.

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Faillites en série dans l’assurance construction : comment éviter le piège des offres low-cost

Plusieurs milliers de particuliers, qui ont fait construire ou rénover leur logement, pourraient se retrouver sans assurance suite aux défaillances en cascade de sociétés low-cost étrangères. Notre décryptage et nos explications pour se prémunir contre ce risque.
L’affaire est inédite ! Des milliers de particuliers, ayant fait construire ou rénover leur logement, pourraient se retrouver dans la panade suite à la faillite des sociétés d’assurances qui étaient censées garantir les travaux. Leur point commun ? Avoir souscrit à l’aveugle des contrats low-cost auprès de sociétés d’origine étrangères (basées au Danemark, à Gibraltar ou encore au Liechtenstein…), sans avoir pris le soin de s’assurer qu’elles avaient bien les reins solides…

Dans cette affaire, deux types d’assurances sont précisément concernées. D’une part, les assurances dommages ouvrages souscrites directement par les particuliers afin de se prémunir contre les malfaçons (fissures sur les murs, problèmes liés à la toiture…). D’autre part, les assurances constructions, dites garanties décennales, souscrites par les promoteurs et artisans eux-mêmes. Des assurances sur lesquelles les contrats dommages ouvrages se reposent habituellement après avoir couverts les particuliers…

Mais comment diable des particuliers et entrepreneurs ont-ils ainsi pu se faire berner ? Pour bien comprendre l’origine du problème, soulignons que tous les assureurs mis en cause intervenaient en France dans le cadre de la réglementation européenne sur la “libre prestation de service.” Poussées par les courtiers en assurance lors des appels d’offres, ces sociétés étrangères se sont multipliées ces dernières années, au point de s’arroger près de 10% du marché dans l’Hexagone, selon un spécialiste du secteur.

Evidemment, toutes ces entreprises ne doivent pas être considérées comme à risque. Reste que le gendarme français de l’assurance (l’ACPR) n’a aucun accès à leurs comptes. Et donc aucun moyen de s’assurer de leur solidité financière. “Lorsque l’ACPR publie la liste des sociétés en difficultés, c’est que l’information leur a été communiquée par leurs homologues étrangers, et il est malheureusement déjà trop tard”, explique un expert de l’assurance.

Dans ce contexte, mieux vaut donc redoubler de vigilance. Assurez-vous de l’identité de l’assureur choisi par votre constructeur, et si elle vous est inconnue, demandez-lui des garanties sur sa solidité financière. S’il refuse, passez votre chemin. Dans le cas d’un d’appel d’offre d’assurance engagé par un courtier à l’occasion de travaux, vous serez également toujours en droit de refuser un contrat qui vous semble douteux… car trop avantageux. “Dans tous les cas, retenez qu’une société d’assurance dont les primes sont moitié moins élevées que celles pratiquées habituellement en France est de facto suspecte”, alerte notre expert de l’assurance.

Quid malgré tout, du cas où vous vous retrouvez un jour dans la situation de ces milliers de particuliers dont l’assureur a fait faillite ? Rassurez-vous : depuis le 1er juillet 2018, le fonds de garantie des assurances obligatoires (FGAO) se substitue aux contrats d’assurance dommage ouvrage souscrits par les particuliers, dès lors que l’assureur national ou européen s’est vu retirer son agrément. Le fonds vous couvrira alors durant les 40 jours qui suivent le retrait de l’agrément de votre assureur. Passé ce délai, vous devrez avoir souscrit une nouveau contrat pour pallier le défaut du premier. Evidemment, cette nouvelle assurance ne sera pas aussi compétitive que la première…

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Le Salon National de l’Immobilier revient pour une nouvelle édition à Paris | Actualités

Les professionnels de l’immobilier vous donnent rendez-vous au Salon National de l’Immobilier, du 12 au 14 octobre 2018, au Carrousel du Louvre, à Paris. L’occasion d’échanger sur les projets qui vous tiennent à cœur, qu’il s’agisse d’achat, d’investissement ou de gestion.

Le Salon National de l’Immobilier, un évènement unique à ne pas rater
Se lancer dans un projet immobilier n’est pas une chose à prendre à la légère. Entre l’aspect financier qui tient une grande place, la règlementation à prendre en compte et l’investissement personnel que cela représente, mieux vaut être bien informé avant de se lancer ! Mais avec le Salon National de l’Immobilier, plus aucune crainte. L’évènement, qui a lieu une fois par an, permet aux particuliers de rencontrer et d’échanger directement avec les meilleurs experts du secteur pour obtenir des réponses à leurs nombreuses questions. De l’achat immobilier dans l’ancien, en passant par l’investissement locatif dans l’immobilier neuf ou encore de la gestion de patrimoine à l’acquisition d’une résidence secondaire, tout y passe ! Pour cette nouvelle édition, qui aura lieu au Carrousel du Louvre à Paris, le public sera accueilli du 12 au 14 octobre 2018. Au programme : des conférences spécialisées, des stands et des exposants qualifiés.

L’évènement n’a lieu qu’une seule fois par an, ne le ratez pas. © DR
Téléchargez votre invitation !
La Salon National de l’Immobilier est un évènement gratuit, pour y participer, n’oubliez pas votre invitation.

Des conférences et des espaces conseils adaptés aux besoins des particuliers
Pendant 3 jours, les visiteurs auront l’opportunité d’assister à de nombreuses conférences notamment sur le thème de la primo-accession, de l’investissement en France ou à l’étranger et même de la fiscalité en vigueur, grâce à l’intervention de professionnels. Les potentiels acheteurs et investisseurs pourront également bénéficier de rendez-vous personnalisés exclusifs et gratuits sur l’espace conseils du salon. Ces rencontres pourront durer jusqu’à 30 minutes sous forme de consultation individuelle. Accessible sans rendez-vous, il suffit  de se présenter  directement à l’accueil de l’animation sur le salon pour pouvoir en profiter : « Le Salon National de l’Immobilier est l’évènement de référence pour s’informer sur l’actualité immobilière. Grâce à la qualité des expertises qu’il réunit, notamment à travers un programme de conférences, le Salon permet d’apporter des conseils concrets à ses visiteurs », Stéphanie Collot, Directrice du Salon National de l’Immobilier.

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Crédit immobilier : combien allez-vous gagner avec la baisse des cotisations salariales ? | Actualités

Avec la fin des cotisations chômage, début octobre, les emprunteurs salariés ont l’opportunité de réduire la durée et le coût de leur crédit immobilier. En moyenne, ils peuvent gagner 1 an de remboursement et faire une économie de 5 %.

Baisses des cotisations salariales : un gain de pouvoir d’achat pour les Français
Après une première baisse au 1er janvier 2018, les cotisations salariales d’assurance chômage des salariés du privé sont entièrement supprimées depuis le 1er octobre 2018. Malgré la hausse de la CSG (contribution sociale généralisée) de 1,7 point, les emprunteurs salariés vont donc voir leur salaire net augmenter de plusieurs dizaines d’euros à la fin du mois. Un gain qui pourrait être utilisé par les emprunteurs pour diminuer le coût total de leur crédit immobilier, en le réinjectant dans leur mensualité de prêt pour en diminuer la durée grâce à la modularité. Au total, selon le courtier Vousfinancer et la plate-forme Previssima.fr, pour une personne au SMIC, (1498,5 € brut mensuels), le gain net est de 7,4 € par mois depuis le 1er janvier et de 21,7 € par mois depuis le 1er octobre. Avec un salaire de 5 000 € brut, la hausse de salaire net est de 24,8 € par mois depuis 1er janvier et 72,3 € au 1er octobre.

Ceux qui ont déjà un crédit peuvent faire le choix d’augmenter leurs mensualités de 10 à 30 % pour diminuer la durée d’emprunt et le coût total »
Sandrine Allonier, porte-parole de Vousfinancer.

Une durée d’emprunt réduite d’un an pour les crédits immobiliers
Pour les emprunteurs salariés détenant un crédit immobilier égal à leur capacité d’emprunt maximale (33 % d’endettement), le gain de salaire net en 2018 réinjecté dans la mensualité du prêt à partir de janvier 2019 permet de faire passer la durée totale du prêt de 240 mois à 227 mois, soit un gain de 1 an de remboursement, et une économie de 5 % sur le coût total du crédit. « La modularité est une option proposée par la plupart des banques permettant aux emprunteurs de moduler leurs échéances de prêts à la hausse (en général dans la limite de 10 à 30 % de l’échéance) ou à la baisse, dans la limite d’un allongement de la durée du prêt de 2 ans. Cette option est gratuite et son application doit être détaillée dans l’offre de prêt. Les emprunteurs doivent donc vérifier les conditions proposées par la banque au moment de la souscription du crédit », explique Sandrine Allonier.

Fin des cotisations chômage : quelles économies pour les emprunteurs salariés ?

SALAIRE BRUT GAIN NET AU 1ER OCTOBRE PRÊT SOUSCRIT EN 2016 À 2,4 % SUR 20 ANS ECONOMIE POTENTIELLE
1 498,5 €  21,7 €  70 000 €  963,5 € 
3 000 €  43,4 €  145 000 €  1930,6 € 
5 000 €  72,3 €  245 000 €  3 219,7 € 
8 000 €  115,7 €  390 000 €  5150,3 € 
Pour faire baisser vos mensualités, utilisez la modularité
La modularité peut être utilisée au bout de 12 à 24 mois de remboursement, sur simple demande effectuée par courrier. Elle s’applique dès la prochaine échéance, ou celle d’après, en fonction de la date de réception du courrier par la banque. Dans le cas d’une demande de hausse de l’échéance supérieure à un certain seuil (généralement 10 %), la banque se réserve le droit d’étudier à nouveau la capacité de remboursement et l’endettement de l’emprunteur avant de donner son accord. Notons également que l’évolution de l’échéance s’applique durant 12 mois minimum, mais peut aussi être valable pour toute la durée restante du prêt. Pour pouvoir utiliser la modularité, le changement de mensualité doit être au minimum d’un montant équivalent à 2 % de la mensualité ou 15 €, selon les établissements bancaires. À chaque demande de changement d’échéance, la banque calcule un nouveau tableau d’amortissement prenant en compte la hausse ou la baisse de la mensualité.

Bon à savoir
La cotisation salariale d’assurance chômage a vu son taux baisser de 2,40 % à 0,95 % en janvier 2018, avant de disparaitre au 1er octobre.

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Agrandir une pièce sans pousser les murs : nos conseils

Pour agrandir une pièce sans faire tomber les murs, rien de mieux que les effets d’optiques et les aménagements malins. La preuve avec 8 conseils pour créer une sensation d’espace dans vos pièces trop petites.
Plafonds bas, pièces de petite taille, murs sombres et couloirs étriqués : dans un intérieur, les obstacles sont parfois nombreux pour empêcher nos rêves de grand espace. Mais avec quelques clés en main, il  n’est pas impossible de créer une sensation d’espace sur-mesure, agréable et pratique à vivre. Jouer avec la couleur, choisir le bon éclairage, agencer différemment l’espace, découvrez les solutions les mieux adaptés à votre espace…

1/Choisissez des meubles bas

Pour donner une sensation d’espace à une pièce, oubliez les étagères grimpantes jusqu’au plafond ainsi que les armoires lourdes et hautes. L’impression d’espace s’obtient en effet en choisissant des meubles bas qui permettent de dégager le champs visuel et donc d’ouvrir l’espace. Oubliez les meubles hauts et choisissez de jolies consoles, tables et buffets bas pour ranger vos affaires. Pour les indispensables armoires à vêtements, choisissez-les de couleurs claires et optez pour des portes coulissantes qui prennent moins d’espace que les portes battantes.

2/Rangez, triez et faites du vide

Rien de pire que le bazar ! Pour créer une sensation d’espace, il est en effet indispensable de ranger vos pièces. Ce conseil est valable pour les bibelots en trop qui obstruent l’espace mais aussi pour les meubles inadaptés ou trop encombrants. Débarrassez-vous donc du superflu et gardez le minimum nécessaire. Toute pièce trop encombrée semble immédiatement plus petite. Vidée, on respire. Et surtout pensé aux rangements malins. À vous le ménage de printemps !

3/Optez pour des couleurs claires

Le choix des couleurs est primordial pour donner une impression d’espace à une pièce. Pour bien faire, optez pour des teintes claires qui donnent l’illusion d’une pièce plus grande et permettent de gagner en luminosité. Les couleurs froides et les pastel fonctionnent aussi très bien. Blanc, blanc cassé, crème, mais aussi vert pâle, rose poudré, bleu clair : les gammes de couleurs claires disponibles sont très larges. Ce conseil vaut bien sûr pour le choix de votre peinture (aidez-vous pour cela d’un nuancier et choisissez la couleur qui vous convient), mais aussi pour votre choix de carrelage, de parquet, de moquette, etc…

 

4/Pensez au pouvoir des miroirs

Les miroirs n’ont pas leur pareil pour donner une sensation d’espace à une pièce. Leur secret ? Ils réfléchissent la lumière et y reflètent votre intérieur pour donner immédiatement une impression de grandeur. Pour encore plus d’espace, choisissez des miroirs de grande taille et placez-en à plusieurs endroits de la pièce, si possible en face des fenêtres pour y refléter l’extérieur. Vous pouvez aussi en placer deux l’un en face de l’autre : l’effet d’espace infini apportera une dimension surprenante à votre pièce.

5/Allégez les fenêtres

Pour agrandir une pièce, il est important de laisser entrer la lumière. Évitez donc d’obstruer les fenêtres avec des rideaux lourds ou des tentures en velours épais. L’idéal ? Choisissez au contraire de légers voilages, en coton ou encore en lin, qui filtrent les rayons du soleil en douceur, quitte à en installer plusieurs pour augmenter l’opacité quand cela est nécessaire. Choisissez-les de couleur claire pour éviter qu’ils n’absorbent la lumière entrante et ouvrez-les en grand chaque matin. En bref, laissez entrer le soleil !

6/Jouez avec les contrastes

Si vous manquez d’espace et disposez d’une pièce étriquée et mal proportionnée, il est possible de rétablir les volumes et rééquilibrer la pièce en jouant sur les contrastes. Le plafond est trop bas ? Misez sur la verticalité. Si au contraire il est trop haut, optez pour l’horizontalité en dessinant par exemple des lignes parallèles au sol sur les murs afin de donner l’impressionnant visuelle que le plafond est plus bas. De même, si une pièce vous semble trop rectangulaire, vous pouvez atténuer cette sensation en choisissant une couleur claire pour les murs les plus longs et une plus foncée pour les plus petits.

7/Misez sur la continuité dans l’espace

L’espace aime la continuité. Pour donner l’illusion de superficie et de volume, il est donc important d’éviter les coupes franches dans votre déco, notamment au niveau du choix du revêtement et de la couleur du sol et des murs. Choisir un revêtement de sol identique, notamment pour les petites pièces placées en enfilade, permet en effet de ne pas casser la perspective. Sur les murs, une seule et même couleur offre une vision plus large de la pièce et évite au regard de butter sur ces séparations immatérielles que sont les différences de couleurs. L’idéal est également de choisir les mêmes matériaux pour créer ici encore une continuité et donc une impression d’espace agrandi.

8/Soignez l’éclairage

L’éclairage aussi peut vous aider à agrandir l’espace d’une pièce. Un salon bien éclairé semble par exemple plus grand qu’un salon sombre. Le soir, ou si votre pièce manque de lumière naturelle, n’hésitez donc pas à multiplier les sources d’éclairage. Appliques, lampadaires, suspensions : variez les lampes en fonction de vos envies et de vos besoins. Contrairement aux idées reçues, le lampadaire halogène ne permet pas d’agrandir l’espace, au contraire : il a tendance à donner l’impression visuelle que le plafond s’écrase vers le sol. À éviter ! Une bonne solution consiste à intégrer les luminaires dans le plafond ou pourquoi pas dans les meubles. Sans lampes posées ici et là dans la pièce, l’atmosphère est tout de suite allégée.

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Comment aménager les combles de votre maison pour gagner de la place ? | Actualités

Si vous souhaitez gagner en surface sans déménager, avez-vous pensé à aménager vos combles ? Penchez-vous sur les éléments à prendre en compte, les démarches administratives à effectuer ainsi que le budget à prévoir.

Quels combles peuvent être aménagés dans une maison ?
Si toutes les maisons contiennent des combles, tous les combles ne sont pas aménageables pour autant. En effet, pour devenir habitables, vos combles doivent répondre à quelques critères incontournables :

La charpente ne doit pas empiéter sur la surface du plancher. Si la charpente ne vous permet pas d’exploiter l’espace directement, il vous faut alors faire appel à un professionnel qui va la transformer.
Vos combles doivent présenter une hauteur suffisante, à savoir 1,80 mètre grand minimum. En-dessous de ce seuil, les combles ne sont pas considérés comme habitables, et en réalité, il faudrait même que la hauteur soit bien supérieure à 1,80 mètre pour que l’espace soit exploitable, en particulier si la pente du toit est très raide. Mais tout dépend également de l’utilisation que vous allez faire de vos combles et des aménagements que vous allez prévoir.
L’aménagement des combles : une hauteur suffisante est requise
Les combles peuvent par définition abriter n’importe quelles pièces, du moment que les aménagements nécessaires ont été réalisés. Vous pouvez aussi bien prévoir d’en faire une salle de jeux, une chambre, une salle de bains, des WC, voire un studio indépendant. Mais pour toutes ces pièces, il est important que la hauteur sous les toits soit bien supérieure à 1,80 mètre, et il faudra faire installer l’électricité, ainsi que l’arrivée d’eau le cas échéant, si vous prévoyez la création d’une salle d’eau.

Bon à savoir
Si l’aménagement des combles porte la surface totale de la maison à 150 m² ou plus, vous devez faire appel à un architecte.

Les travaux à prévoir pour aménager des combles
Pour que votre projet d’aménager les combles aboutisse, vous devez prendre en compte certaines exigences concernant les travaux à effectuer :

Vous allez devoir renforcer l’isolation du toit, car vos combles ne seront habitables qu’une fois isolés. Vous devez prévoir de réduire au maximum les déperditions de chaleur par la toiture : plusieurs solutions et plusieurs matériaux existent.
Vous allez devoir également prévoir l’installation de l’électricité et du chauffage dans les combles. Il faudra donc installer un tableau secondaire qui sera raccordé au tableau principal. De plus, vous devrez installer un ou des radiateur(s) supplémentaire(s).
Si vous souhaitez installer des salles d’eau, il faudra prolonger le circuit de distribution sanitaire ainsi que des évacuations.
Il s’agit de prévoir l’accès aux combles, c’est-à-dire l’emplacement de l’escalier qui permettra d’y accéder.
Conseils de pro
Prévoyez l’installation d’une fenêtre afin d’éclairer les combles.
Quelles démarches pour aménager des combles ?
Les combles qui sont aménagés entraînent une augmentation de la surface plancher de la construction. Cela implique des formalités administratives à effectuer :

Si la surface aménagée est inférieure à 20 m² et que la surface totale de la maison n’excède pas 150 m², vous n’avez pas de formalité à accomplir.
Si vous créez une surface comprise entre 20 et 40 m², vous devez effectuer une déclaration de travaux.
Si vous créez une surface supérieure à 40 m², vous devez déposer une demande de permis de construire.

Sourced through Scoop.it from: edito.construire.seloger.com

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Insolite : à Nantes, le « Tinder de l’immobilier » bientôt disponible sur Smartphone ? – actu.fr

Deux Nantais ont développé la version française de l’application belge Ozaam. Le principe : dénicher la maison de ses rêves en "balayant" les différentes annonces.

Deux Nantais lancent une application mobile dédiée à l’immobilier. 
Et si vous rencontriez la maison ou l’appartement de vos rêves grâce à une application ? L’idée à de quoi séduire et pourrait bientôt se fondre parmi les milliers d’applications mobiles proposées. C’est du moins ce qu’espèrent les initiateurs du projet, Vincent Perrocheau et Bruno Da Costa, deux Nantais.

Ces derniers, issus du monde de l‘immobilier pour l’un et du numérique pour l’autre, se sont en effet associés pour développer « Ozaam », une application qui propose aux utilisateurs de trouver, en un clic, un logement.

Prendre contact en un clic
Celle-ci a été créée il y a deux ans, en Belgique, et se « limite aux agences », confiait le duo à Presse Océan. La version française, elle, devrait couvrir « tout le secteur de l’immobilier : mandataires, promoteurs et syndics, à la vente et à la location, dans le neuf et l’ancien ».

Quant au principe, il ressemble trait pour trait à celui de Tinder, la célèbre application de rencontres. Les utilisateurs devront se référer à un code chiffré inscrit sur les panneaux à vendre ou à louer afin d’obtenir toutes les informations sur le bien. Ils pourront ensuite prendre contact, toujours en cliquant, avec l’agent en charge de la vente ou de la location du bien. 

Par ailleurs, les utilisateurs de l’application pourront également se renseigner sur les offres du secteur en utilisant un code postal ou une géolocalisation. En consultant la liste des biens correspondant aux recherches, ils pourront « balayer » ceux qui ne les intéressent pas et passer aux suivants. 

150 000 biens à découvrir
Mais les particuliers devront se montrer patients avant de pouvoir tapoter sur leur clavier : les deux associés présenteront leur projet les 3 et 4 octobre 2018 lors du salon RENT, dédié à l’immobilier et aux nouvelles technologies, à Paris, pour un lancement prévu en janvier 2019.

L’application devrait couvrir les villes de Nantes, Bordeaux et Paris, avec 150 000 biens à la clé.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr