Pas de commentaire

VIDÉO. Danemark: La démolition d’un silo tourne mal, le bâtiment s’écrase sur un centre culturel

La destruction d’un silo à Vordingborg (Danemark), ce dimanche, ne s’est pas vraiment déroulée comme prévu. La tour de 53 mètres s’est écroulée du mauvais côté et a endommagé une bibliothèque et un centre culturel, rapportent The Guardian. Les bâtiments étaient vides et aucune victime n’est à déplorer mais les dégâts sont considérables.

Une enquête ouverte
La vidéo de cette scène impressionnante a été postée sur Youtube. On aperçoit le silo s’effondrer puis les dégâts occasionnés sur les locaux municipaux.

Tout au long de la nuit, des sapeurs-pompiers ont tenté de sécuriser le site. La mairie a indiqué qu’une grande partie du centre culturel avait été détruite. La bibliothèque a pour sa part été épargnée, hormis de la poussière sur les ouvrages.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les raisons de cet accident.

Sourced through Scoop.it from: www.20minutes.fr

Pas de commentaire

Energie& Vous : Comment se passe le relevé du compteur ? – Boursorama

(Relaxnews) – Vous déménagez ou emménagez, vous êtes locataire ou propriétaire… Le Médiateur de l’énergie vous livre ses conseils pratiques pour comprendre le marché de l’électricité, du gaz ou encore du photovoltaïque, que ce soit pour vos démarches, réclamations, renseignements ou votre quotidien. Cette semaine, la composition d’une facture d’électricité.

Si vous avez un compteur communicant, Linky en électricité, Gazpar en gaz naturel, un relevé du compteur est transmis automatiquement tous les mois à votre fournisseur.

Si vous avez un compteur d’ancienne génération, non communicant, deux fois par an, un technicien vient le relever. Il travaille pour le gestionnaire de réseau, appelé également distributeur : Enedis pour l’électricité et GRDF pour le gaz naturel sur 95% du territoire. Le distributeur est le même, quel que soit votre fournisseur ; il transmet le relevé à votre fournisseur afin que celui-ci puisse vous facturer sur votre consommation réelle.

Le compteur peut se trouver dans votre logement (entrée, cuisine, cave ou garage…) ou à l’extérieur (palier de l’immeuble, local technique, coffret sur un mur extérieur ou encastré dans un muret). Dans certains immeubles, les compteurs sont regroupés dans les parties communes.

En cas d’absence au moment de la relève, transmettez dans la semaine suivante un auto-relevé au distributeur soit en retournant par courrier la carte-réponse déposée par le technicien, soit par téléphone ou Internet. Précisiez bien la référence du compteur (appelée PDL ou PRM en électricité et PCE en gaz) qui se trouve sur vos factures.

Pour le gaz, il faut prendre en compte uniquement les chiffres sur fond noir (pas les derniers chiffres sur fonds rouge). Il s’agit d’une information en m3.

Pour électricité : s’il s’agit d’un compteur électro-mécanique, relevez les chiffres sur le cadran ou les deux cadrans, si l’abonnement est en heure pleine heure creuse. Si le compteur est électronique, il faut appuyer sur la touche défilement jusqu’à ce que les chiffres s’affichent sur l’écran. Il s’agit d’une information en kiloWattheures (kWh).

En l’absence de relevé de compteur, le fournisseur réalise la facturation sur la base d’une estimation de la consommation (sauf si vous lui communiquez un auto-relevé tous les 2 mois). Ce qui peut donner lieu ensuite à des factures de régularisation, à la hausse ou la baisse.

Pour en savoir plus : www.energie-info.fr/Fiches-pratiques/Ma-facture-mon-compteur/Comment-lire-les-index-sur-mon-compteur-d-electricite-ou-de-gaz

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

Pas de commentaire

Dans le Bassin d’Arcachon, un terrain sans « vue sur mer » peut se vendre 1 M€ | Actualités

La Gironde, dont l’attractivité n’a cessé d’augmenter au cours des dernières années, doit actuellement faire face à une pénurie de terrains entraînant une hausse des prix. Et le secteur du Bassin d’Arcachon n’échappe pas à la règle.

En Gironde, le Bassin d’Arcachon est un secteur très prisé
D’après une étude sur l’évolution du foncier en Gironde, réalisée par le groupe IGC, spécialisé dans la construction de maisons individuelles, les terrains se font rares en Gironde et leurs prix explosent depuis 6 ans. La Côte Sud du bassin d’Arcachon, proche de la Dune Du Pyla et de l’Océan Atlantique est extrêmement prisée. S’il y a 5 ans, il était possible d’y trouver des parcelles avec « vue sur mer » à des prix relativement élevés (235 000 € pour 200 m²), aujourd’hui, il est très difficile de trouver ce type de produit, qui arrive sur le marché à des prix démesurés : un terrain sans « vue sur mer » peut se vendre 1 million d’€. Les surfaces des terrains disponibles en centre-ville restent sur le même ordre de grandeur aujourd’hui qu’il y a 5 ans (en moyenne entre 400 et 700 m²). On note une augmentation de 50 à 60 % sur les parcelles proche du centre de La Teste-de-Buch. Sur la Côte Est du Bassin, tous les terrains disponibles sont situés au centre-ville ou à proximité. On remarque que les parcelles disponibles y sont nettement plus petites qu’en 2012 pour un prix au m² ayant triplé.

Les Hub de Bordeaux et du Bassin d’Arcachon ont eu un développement commun et convergeant. Les zones proches de la métropole vont continuer à se développer, en se nourrissant de cette attractivité que possède la région ».
Groupe IGC, spécialiste de la construction de maisons individuelles dans le Grand Sud-Ouest.

Dans le reste du département, les terrains se font rares et leurs prix explosent
En 2012, dans la ville périphérique de Bouscat, pour 250 m² de superficie, les prix des terrains oscillaient entre 200 000 et 250 000 €, tandis que dans le secteur de Caudéran, on pouvait, pour le même prix, trouver des parcelles de 350 m². Mais en 2018, les prix ont doublé, voire triplé: les parcelles de Caudéran de 245 m² se vendent au prix moyen de 350 000 € (+ 75 %) et celles de 350 m² partent au prix de 460 000 € (+ 90 %). Aujourd’hui, pour pouvoir acquérir une grande superficie à un prix raisonnable, il faut se rendre sur le secteur de Mérignac Chemin Long (près de l’aéroport de Mérignac) ou sur la commune de Bruges, même si on peut, là aussi, noter des augmentations allant de 40 à 100 %.

Bon à savoir
On remarque une augmentation des prix d’environ 50 % sur toute la rive droite de la métropole bordelaise.

La rive droite et la 2e couronne de Bordeaux sont en pleine expansion
À une trentaine de minutes à l’Ouest du centre de Bordeaux, la commune de Saint-Médard-en-Jalles, qui offre l’avantage de se rapprocher de la côte Atlantique, est victime de son attractivité. Les grands terrains y sont si rares qu’ils enregistrent de plus grandes inflations (+ 90 %) que les petites parcelles (+ 30 %). Les personnes souhaitant habiter cette commune ont donc tendance à se tourner vers les villes voisines (Sainte Hélène, Castelnau, Saint-Laurent Médoc, etc.). De son côté, la rive droite de la métropole voit son attractivité augmenter de façon exponentielle grâce à l’axe rapide de l’A89, qui permet de rejoindre le centre de Bordeaux en une vingtaine des minutes. Cependant, cette zone, qui s’étend de l’entrée de la Rocade (Artigues, Yvrac) jusqu’au Libournais, n’échappe pas à la folle montée des prix et à la pénurie de terrains : il faut compter 125 000 € pour un terrain de 450 m².

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

Pas de commentaire

Les prix de l’immobilier à Nice vont du simple au double en fonction des quartiers ! | Actualités

À Nissa la bella, les prix immobiliers sont à la hausse. Sur l’année, les prix des appartements progressent de 1,9 %. Combien devrez-vous débourser pour acheter un bien à Nice ? Quels sont les quartiers les plus chers de la ville ? Pour le découvrir, SeLoger a mené l’enquête.

À Nice, le prix immobilier dépasse en moyenne les 4 000 € du m²
Dans celle que l’on surnomme la capitale azuréenne, les prix des logements anciens progressent. Sur l’année, ce sont ainsi 1,1 % de hausse que les prix des appartements niçois ont enregistrés. C’est, entre autres, grâce à l’attrait qu’elle exerce sur les acquéreurs et les investisseurs, qu’ils soient Français ou étrangers, que Nissa la bella doit la hausse de ses prix immobiliers. Sans oublier les nombreux atouts que compte cette ville qui a vu naître Dick Rivers, Georges Lautner (le réalisateur des Tontons Flingueurs) et Hugo Lloris, à savoir un cadre de vie paradisiaque, du soleil en abondance, la montagne et l’Italie à proximité… Sans oublier les beignets de fleurs de courgettes !

Bon à savoir
À Nice, un appartement dans l’ancien coûte environ 4 193 € du m².
En France, comptez 3 579 € du m², en moyenne.
Prix des logements dans le quartier de Gairaut : 6 947 €/m² !
C’est dans le (verdoyant) quartier de Gairaut que les prix immobiliers niçois sont les plus élevés. De l’avenue du Plateau de Rimiez à l’allée des Citronniers, en passant par le chemin de Rosemont, comptez un peu moins de 7 000 € (6 947 € plus précisément) du m². Très prisé également, le quartier Carré d’Or-Rue de France décroche la médaille d’argent au classement des quartiers niçois où se loger fait le plus mal au porte-monnaie. Le long de la célèbre promenade des Anglais, rue Bottero ou encore boulevard Victor Hugo, les prix des logements peuvent atteindre 6 629 € du m². Pour espérer profiter de logements moins coûteux, les futurs acquéreurs devront mettre le cap à l’est. En effet, avec 2 816 € du m²,  le quartier Pasteur est le moins cher de la ville. Les familles et les étudiants, très nombreux rue du Colonel Gassin, avenue Gautier Roux ou encore rue du professeur Delvalle, ne s’y sont d’ailleurs pas trompés.

Le prix des logements à Nice quartier par quartier
Quartier niçois
Prix moyen au m²
Arenas 3 348 €
Ariane 2 318 €
Baumettes 5 207 €
Carabacel 5 189 €
Caucade 4 083 €
Cimiez 5 831 €
Crémat / Saint Roman de Bellet 5 435 €
Fabron 4 760 €
Fleurs / Gambetta 4 545 €
Gairaut 6 947 €
Le Piol 3 827 €
Le Port 5 406 €
Le Ray 3 494 €
Libération 4 570 €
Madeleine / Magnan 4 049 €
Mantega 4 260 €
Médecin 5 695 €
Mont Boron 7 294 €
Pasteur 2 816 €
Rimiez 4 871 €
Riquier 4 871 €
Roquebillière 2 886 €
Saint Antoine / Archet 4 844 €
Saint Augustin 3 362 €
Saint Maurice 4 005 €
Saint Philippe 4 757 €
Saint Roch 3 562 €
Saint Sylvestre 3 712 €
Sainte Marguerite / Corniche Fleurie 4 602 €
Ventabrun 3 277 €
Vernier 3 215 €

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

Pas de commentaire

Le Salon de l’Immobilier de Toulouse ouvre ses portes du 9 au 11 mars 2018 | Actualités

Du 9 au 11 mars 2018, les potentiels acheteurs et investisseurs ont rendez-vous au Salon de l’Immobilier de Toulouse. Au programme : des dizaines de conférences et des conseils entièrement personnalisés avec des experts du secteur.

Le Salon de l’immobilier, un évènement dédié aux acheteurs et investisseurs
Si vous avez un projet immobilier en tête mais que vous avez encore quelques doutes sur les démarches à suivre, n’hésitez pas une seconde et foncez au Salon de l’immobilier. Rendez-vous devenu incontournable, le Salon de l’Immobilier propose de nombreuses rencontres entre les professionnels du secteur et les visiteurs de façon à les éclairer sur leur projet. Du 9 au 11 mars 2018, le Salon s’exposera à Toulouse, au Parc des expositions, pour sa 39e édition. L’année dernière, le Salon avait rassemblé 9210 visiteurs venus à la rencontre des 95 exposants. En mars prochain, tous les acteurs de l’immobilier se réuniront une nouvelle fois pour guider et accompagner au mieux les futurs acquéreurs et investisseurs.

Bon à savoir
Le prix moyen d’un logement toulousain est de 175 609 €.

Besoin de conseils pour votre projet immo ? Les experts vous écoutent !
Se rendre au Salon de l’Immobilier, c’est se donner l’opportunité d’aller à la rencontre d’agents immobiliers, de promoteurs, de constructeurs ou d’organismes de financement. Qu’on est comme projet un achat dans le neuf ou dans l’ancien, qu’on souhaite faire construire son logement ou que l’on souhaite obtenir des informations sur la gestion de patrimoine, le Salon de l’immobilier reste l’évènement le plus favorable pour trouver des solutions. Des conseils sont en effet offerts au travers de consultations gratuites sur rendez-vous et des conférences thématiques sont également proposées. En bonus, pour la 39e édition, les visiteurs pourront profiter d’une nocture le 9 mars… Laissez-vous guider !

Le Salon de l’immobilier à Toulouse
Du 9 au 11 mars 2018.
Parc des Expositions de Toulouse, Hall 5 Rond-Point Michel Benech.
https://www.salons-immobilier.com/toulouse

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

Pas de commentaire

Le Pas-de-Calais prêt à accueillir la plus grande serre tropicale du monde

Et si en 2021 on voyait pousser des bananiers, manguiers et autres orchidées du côté de Berck-sur-Mer et de la Côte d’Opale? Sans oublier quelques poissons et papillons tropicaux… Rassurez-vous, le réchauffement climatique n’y serait pour rien. C’est la création d’une immense serre qui permettrait ce miracle. Dévoilé il y a peu, le projet Tropicalia pourrait voir le jour dans 3 ans, entre Berck-sur-Mer et Rang-du-Fliers (Pas-de-Calais), selon son concepteur Cédric Guérin.

Avec ses 20.000 m², cette construction serait le plus grand dôme tropical du monde, l’équivalent de trois terrains de football. Un projet à 50 millions d’euros, lancé par un ancien vétérinaire, spécialisé dans les NAC (nouveaux animaux de compagnie) s’appuyant sur le cabinet d’architectes Coldefy&Associates ainsi que sur la filiale d’EDF spécialisée dans les énergies renouvelables Dalkia.

Isolation renforcée
L’endroit se veut une «bulle d’harmonie» avec ses trois vastes bassins accueillant pour l’un des raies d’eau douce très colorées, pour l’autre des carpes Koï, le troisième étant destiné aux caïmans et tortues. Et pour éviter un gâchis écologique dans une région qui n’est pas particulièrement réputée pour la douceur de son climat un soin particulier sera apporté à l’isolation. Le dôme sera partiellement enterré pour augmenter son inertie thermique et bénéficiera d’un double vitrage très performant afin de maintenir une température constante de 26 à 28°C tout au long de l’année.

Quant à la chaleur excédentaire qui pourrait être produite et s’accumulerait au sommet du dôme, elle sera recyclée pour les logements environnants. En plus de la faune et de la flore tropicale, les lieux promettent une impressionnante cascade de 25 mètres de haut sans oublier un auditorium, un restaurant, des hébergements ainsi qu’un espace de recherche avec salle de conférences et laboratoire. Début des travaux prévu l’an prochain pour une ouverture en 2021.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Des signes de fragilité derrière les bons chiffres de la construction

Le secteur de la construction de logements a enregistré une année 2017 de forte activité, à l’instar du marché des transactions immobilières dans l’ancien (record de 968.000 transactions selon la dernière note de conjoncture des notaires de France et l’Insee). Selon les chiffres du ministère de la Cohésion des territoires publiés ce 28 mars, de mars 2017 à février 2018, 504.800 logements ont été autorisés à la construction et 427.300 logements ont été mis en chantier, soit une augmentation respectivement de 8 % et 12,5 % par rapport à la même période, un an plus tôt.

Cependant, si l’on y regarde de plus près, ces bons résultats sur une année montrent des signes de faiblesse à plus court terme. En effet, au cours du dernier trimestre 2017, les autorisations de logements à la construction fléchissent (- 4,8 % après + 3,7 %) par rapport au trimestre précédent. Les logements collectifs (y compris en résidence) sont en net repli (- 12,4 % après + 4,3 %). En dépit d’un redressement sur les trois derniers mois, de nombreux professionnels multiplient les appels à la prudence.

Interrogé au Club Immo/Le Figaro, Jacques Chanut, président de la Fédération Française du bâtiment (FFB) est catégorique. «Il y a des signes de ralentissement pour les chantiers à venir. C’est assez logique car les ventes de logements neufs sont en baisse. Les chiffres des permis de construire commencent aussi à ralentir. Ce qui veut dire moins de mises en chantier pour 2018 et 2019. Le secteur de la maison individuelle est particulièrement impacté avec un recul des ventes de 15 à 20 % sur le dernier trimestre. Dans le collectif, c’est moins significatif mais l’on enregistre aussi un recul des ventes», assure-t-il.

L’impact de la baisse des aides au logement
Parmi les raisons qui expliquent ce recul, Jacques Chanut cite «le recentrage du Prêt à taux zéro, le rognage du Pinel et la quasi-suppression de l’APL accession. Pour des raisons budgétaires, un certain nombre de mesures ont été prises en se disant que cela n’aura pas d’incidence sur la bonne santé du marché. Or, les mêmes erreurs provoquent les mêmes résultats lorsque l’on diminue l’environnement permettant aux Français d’être solvables pour acheter ou pour investir dans un logement. Forcément cela ralentit tout de suite les ventes et donc les constructions, les chantiers et par voie de conséquence les emplois.»

De son côté, l’économiste Michel Mouillart, directeur des études de Crédit Logement CSA met en parallèle cette détérioration conjoncturelle avec la baisse des demandes de crédits immobiliers, effective depuis déjà plusieurs mois. «Si l’attractivité des taux d’intérêt compensait la progression des prix dans les grandes villes, ce n’est plus le cas aujourd’hui.» Et de poursuivre: «La dégradation de la demande est amplifiée par la détérioration des aides au logement.»

Sans être alarmiste, le président la FFB prône la vigilance. Le choc d’offres promis par Emmanuel Macron va, selon lui «dans le bon sens» mais les effets ne se feront sentir que dans 3, 4 ou 5 ans. Parmi les enjeux du futur projet de loi logement qui sera présenté le 4 avril en conseil des ministres, Jacques Chanut livre ses pistes: «Il faut simplifier, enlever des normes contre-productives et alléger la fiscalité sur le logement neuf. Attention à ne pas casser ce qui fonctionne. Notre marché reste fragile. N’oublions pas aussi qu’il rapporte beaucoup de recettes fiscales à l’État, que ce soit à moyen ou à long terme.»

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Une maison à Manhattan coûte 6,6 millions de dollars en moyenne

Décidément, le marché immobilier new-yorkais ne connaît pas d’accalmie. Alors que les tours ultrafines se multiplient autour de Central Park pour répondre à la demande de millionnaires avides de vues imprenables, les rares maisons qui se vendent chaque année dans la Grosse pomme voient également leurs tarifs augmenter. Dans ce micro-marché qui ne dépasse jamais 300 ventes par an, le réseau immobilier new-yorkais Corcoran en a comptabilisé 198 en 2017, selon sa dernière étude. Un volume très limité mais qui marque tout de même un bon de 10% du nombre de ventes après 6 années de baisse continue.

Du côté des prix, la transaction moyenne s’affiche désormais à 6,61 millions de dollars (5,33 millions d’euros) en très légère hausse de 1% par rapport aux 6,53 millions de dollars (5,27 millions d’euros) de l’année précédente. Le prix médian (celui qui représente la moitié des transactions) a quant à lui fondu de 12% à 4,64 millions de dollars (3,74 millions d’euros) tiré vers le bas par un plus grand nombre de ventes dans les quartiers les moins chers de la ville. En moyenne, sur ce marché, le mètre carré se négocie à 13282 euros, soit 44% au-dessus des prix moyens parisiens qui ont pourtant atteint leur record à 9200 euros le mètre carré.

2 ventes à plus de 30 millions
Preuve de la vitalité du luxe à New York, ce sont les ventes entre 10 et 20 millions de dollars qui ont le plus augmenté en 2017, p

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Dès 2019, les locations de type Airbnb seront toutes déclarées au fisc

Le principe était acté depuis plus d’un an: toutes les recettes issues de l’économie collaborative doivent être déclarées dès le premier euro. Restait à disposer d’outils législatifs pour s’assurer de l’application de ce principe. Ce sera chose faite avec le projet de loi contre la fraude fiscale présenté par le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, ce mercredi qui impactera fortement les sites tels que Airbnb (mais aussi les sites de location entre particuliers de matériel de bricolage ou de voitures).

Dès l’an prochain, ces plateformes numériques auront donc l’obligation de transmettre automatiquement les revenus encaissés par leurs utilisateurs au plus tard le 31 janvier de chaque année. Les plateformes seront tenues de rappeler aux usagers leurs obligations fiscales en leur proposant des liens vers les administrations concernées pour faciliter les démarches. Ces revenus devraient être préremplis automatiquement sur la feuille d’imposition envoyée par l’administration en 2020 (pour les revenus 2019) aux côtés des salaires ou des revenus de l’épargne.

Le retour du paiement en liquide?
La mesure devrait permettre de rétablir un peu d’équité entre les acteurs traditionnels de l’hébergement (hôteliers, résidences de tourisme…) et les nouveaux venus numériques tout en apparaissant très simple d’usage. Il n’y aura qu’un fichier à extraire chaque année et à transmettre au fisc. D’ailleurs Airbnb ne verrait pas d’un trop mauvais œil cette mesure en déclarant aux Echos: «Nous sommes tout à fait disponibles à aller dans ce sens à partir du moment où cela simplifie les démarches de nos hôtes»… Des déclarations de revenus plus faciles à remplir (et surtout plus exhaustives), tout le monde en rêve évidemment.

Le dispositif laisse pourtant de côté une partie non négligeable de ce marché en plein développement: celui des sites de petites annonces. Ces sites qui mettent simplement en relation des particuliers sans servir de plateforme de paiement en ligne ne sont pas concernés. C’est le cas d’un acteur aussi important que Leboncoin mais aussi, en partie, de sites tels que Abritel ou Homelidays. Alors que le paiement en ligne était apparu comme un progrès majeur en termes de sécurité et de fiabilité apporté par Airbnb notamment, il y a fort à parier que le paiement de la main à la main entre particuliers reprenne un peu de vigueur dans les mois et années qui viennent. Il n’en reste pas moins que ce dispositif qui devra s’appliquer à tous les sites, français ou étrangers, devrait générer des recettes fiscales supplémentaires. Prudente, l’étude d’impact de ce projet de loi se contente de préciser: «des recettes fiscales sont attendues de la nouvelle obligation déclarative, mais elles sont non chiffrables». Le document est plus clair concernant le coût de mise en œuvre de cette mesure: 220.000 euros pour la première année de mise en œuvre à répartir entre coûts de développements informatiques et maîtrise d’ouvrage du projet.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

Pas de commentaire

Le château de Rubens, immortalisé sur certaines de ses toiles, est à vendre

L’un des derniers grands tableaux de Rubens vendu aux enchères, «Loth et ses filles», est parti pour la bagatelle de 52,4 millions d’euros lors d’une vente aux enchères organisée en 2016. À côté de ces sommets, le prix de la demeure du maître de la peinture flamande pourrait presque ressembler à une affaire. C’est le réseau Engel & Völkers qui se charge de la mise en vente du château belge de Het Steen, la dernière demeure de Pierre Paul Rubens. Le peintre baroque flamand a vécu dans cette propriété durant les cinq dernières années de sa vie jusqu’en 1640, dans le village d’Elewijt, à une trentaine de kilomètres au nord-est de Bruxelles.

Le domaine couvre 8 hectares et comprend le château principal datant de 1304, ainsi que trois autres résidences remontant au XVIIIe siècle. L’ensemble développe pas moins de 33 pièces pour près de 900 m² habitables. La propriété comprend deux ailes principales: l’une constituait l’espace de vie du seigneur du château et l’autre était réservée aux domestiques. Le château comprend notamment sept chambres, cinq salles de réception avec cheminées, trois bureaux et deux cuisines.

Plusieurs restaurations depuis 1955
Si Rubens n’a occupé les lieux que pendant 5 ans, à compter de son achat en 1635, c’est ici qu’il a peint certains de ses tableaux les plus connus et il n’a pas hésité à inclure la bâtisse dans plusieurs de ses toiles comme en atteste ce «Paysage d’automne avec une vue de Het Steen au petit matin» visible à la National Gallery de Londres. Le peintre y a d’ailleurs fait graver ses armoiries au-dessus de la cheminée du salon. Le château devrait son nom «Het Steen»au fait qu’il s’agisse du premier bâtiment en grès dans la région, Steen signifiant «pierre» en néerlandais. D’autres sources estiment que le nom ferait référence à la tour de pierre carrée qui faisait partie de la propriété jusqu’au XVIIIe siècle et que l’on voit clairement sur la toile de Rubens.

Démarré au XIVe siècle, le château avait une fonction militaire stratégique aux XVe et XVIe siècles avant de devenir plus résidentiel peut avant l’arrivée de Rubens avec sa deuxième épouse, Helena Fourment. Après avoir connu une période d’abandon et de délabrement, le château a eu droit à des restaurations successives depuis 1955, menées par le propriétaire actuel. Les lieux sont inscrits au patrimoine culturel belge depuis 2009.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr