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Location meublée : les règles se durcissent

Entre le renforcement des règles qui encadrent la location saisonnière et le retour prochain de l’encadrement des loyers, les bailleurs qui louent en meublé ont du souci à se faire.

Finis de jouer ! Avec le vote prochain à l’Assemblée nationale du projet de loi Élan, le gouvernement siffle la fin de la récrée pour les locations meublées. En effet, le texte prévoit un renforcement des amendes civiles à l’encontre des propriétaires qui loueraient leur résidence principale plus de 120 jours par an. Elle passera de 5 000 € à 10 000 €. Quant aux plateformes qui laisseraient faire ou qui publieraient une annonce sans numéro d’enregistrement, comme l’oblige certaines villes, elles se verraient punis d’une amende pouvant atteindre les 50 000 €. Des mesures qui semblent déjà produire leurs effets sur ces sites internet.

Ces derniers ont récemment décidé de mettre en place, à partir de la fin de l’année 2018, un mécanisme permettant de bloquer automatiquement la mise en location d’une résidence principale au-delà de 120 nuitées par an. Abritel, Airbnb et consorts s’engagent également à croiser leurs données internes afin de vérifier qu’il n’y ait pas plusieurs annonces pour un même logement. Là encore, l’idée est de débusquer ceux et celles qui tenteraient de dépasser le seuil obligatoire des 120 jours. Enfin, les plateformes s’engagent, dès le dépôt de l’annonce, les résidences principales des résidences secondaires.

L’encadrement des loyers sur le retour
Dans le même temps, l’encadrement des loyers pourrait bien signer un retour prochain fracassant. Dopé par la loi Élan, le dispositif tant décrié, si le texte est voté en l’état, s’appliquera pendant 5 ans dans les villes qui se porteront volontaires pour l’expérimenter. Des observatoires des loyers seront également déployés dans les 28 agglomérations les plus tendues, soumises à la taxe sur les logements vacants, sans pour autant que l’encadrement ne soit automatiquement instauré.

Enfin, une amende viendra frapper les propriétaires bailleurs qui ne respecteront pas l’obligation de ne pas faire dépasser de plus de 20% le loyer de référence fixé par arrêté préfectoral. Cette dernière pourra atteindre jusqu’à 15 000 € pour une personne morale. De quoi dissuader plus d’un propriétaire de se mettre hors la loi.

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Taxe d’habitation : qui paye quoi en 2018, 2019 et 2020 ? | Impôts

Vous êtes un peu, beaucoup, perdu dans la mise en place d’un abattement dégressif de la taxe d’habitation ? Pas de panique, SeLoger fait le point !

L’exonération de la taxe d’habitation sera totale en 2020
En 2018, le dégrèvement est de 30 %.
65 % de dégrèvement en 2019.
100 % d’éxonération pour la taxe d’habitation de 2020.
Qui peut bénéficier de l’éxonération ?
Le dégrèvement de la taxe d’habitation est conditionné au montant du revenu fiscal de référence (RFR) du foyer fiscal à ne pas dépasser en fonction du nombre de parts. Par exemple, un couple marié avec deux enfants, soit un quotient familial de 3 parts, peut bénéficier du dégrèvement de 30 % si leur revenu fiscal de référence de 2017 n’excède pas 57 000 €.

Le revenu fiscal de référence pour bénéficier de l’exonération de la taxe d’habitation
NOMBRE DE PARTS REVENU FISCAL DE RÉFÉRENCE (RFR)
1 27 000 €
1.5 36 500 €
2 45 000 €
2.5 51 000 €
3 57 000 €
3.5 63 000 €
4 69 000 €
4.5 70 000 €
5 81 000 €

Bon à savoir
Si votre revenu fiscal de référence est trop élevé, vous paierez la taxe d’habitation en totalité.

Un dégrèvement atténué pour certain contribuable
Les particuliers pourront diminuer le montant de la taxe d’habitation dont ils sont redevables si leur revenu fiscal de référence est compris entre deux limites de revenus. Par exemple : un couple marié avec 2 enfants à charge, soit 3 parts, a un RFR de 56 000 €. Sa cotisation de taxe d’habitation est de 2 000 €. Le dégrèvement auquel il pourra prétendre sera de 300 € soit 15 % : 2000 x 30 % x [(57 000 € – 56 000) / (57000 € – 55000 €)].

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De la réservation à la signature de l’acte de vente, le processus d’achat en Vefa se digitalise | Actualités

De la rédaction du contrat de réservation à la signature de l’acte de vente, les acquéreurs d’un logement dans un programme Constructa pourront suivre en ligne les formalités d’achat de leur bien. Un service innovant, sécurisé et écologique.

La digitalisation du processus de vente en VEFA est en route !
Grâce à la technologie de Legalife, première légal tech proposant la rédaction automatisée des documents juridiques 100 % en ligne, les acheteurs du programme « Brickline » à Nanterre, n’ont plus à se prendre la tête pendant des heures pour compléter à la main les trois exemplaires de contrat de réservation à parapher et signer. Il suffit désormais de répondre à quelques questions et un contrat de réservation sur-mesure se crée automatiquement et instantanément. La signature du contrat de réservation et de ses annexes, ainsi que la notification SRU, se fait de manière électronique en quelques clics grâce à l’intégration de Docusign, leader mondial de la signature électronique et d’AR24, solution de recommandé électronique utilisée quotidiennement par 6 000 notaires.

Bon à savoir
Le lien entre le promoteur et le notaire est toujours assuré. Le promoteur dispose d’un compte administrateur, partagé avec le notaire du programme, leur permettant de suivre l’avancement des dossiers et d’être notifiés en temps réel des actions à effectuer par chacune des parties prenantes.

Un traitement accéléré du dossier et zéro papier
Une fois le lot réservé, l’acheteur dispose d’un compte personnel lui permettant d’être en contact avec le promoteur jusqu’à la livraison. Ce compte lui permet de suivre l’évolution de son dossier chez le promoteur, puis chez le notaire, de suivre les travaux via photos, vidéos, newsletter… Une messagerie est également accessible pour dialoguer avec le promoteur et le notaire. Par ailleurs, ce compte client lui permet de suivre l’ensemble des appels de fonds et d’avoir une vision complète des échéances. La digitalisation permet d’accélérer le traitement des dossiers entre la réservation et la signature de l’acte authentique et d’apporter un suivi en temps réel par les trois acteurs du projet : l’acheteur, le promoteur et le notaire. Elle réduit par ailleurs l’impact environnemental en offrant une solution zéro papier tout au long de l’opération.

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Taxe d’habitation : qui paye quoi en 2018, 2019 et 2020 ? | Impôts

Vous êtes un peu, beaucoup, perdu dans la mise en place d’un abattement dégressif de la taxe d’habitation ? Pas de panique, SeLoger fait le point !

L’exonération de la taxe d’habitation sera totale en 2020
En 2018, le dégrèvement est de 30 %.
65 % de dégrèvement en 2019.
100 % d’éxonération pour la taxe d’habitation de 2020.
Qui peut bénéficier de l’éxonération ?
Le dégrèvement de la taxe d’habitation est conditionné au montant du revenu fiscal de référence (RFR) du foyer fiscal à ne pas dépasser en fonction du nombre de parts. Par exemple, un couple marié avec deux enfants, soit un quotient familial de 3 parts, peut bénéficier du dégrèvement de 30 % si leur revenu fiscal de référence de 2017 n’excède pas 57 000 €.

Le revenu fiscal de référence pour bénéficier de l’exonération de la taxe d’habitation

NOMBRE DE PARTS REVENU FISCAL DE RÉFÉRENCE (RFR)

1 27 000 €
1.5 36 500 €
2 45 000 €
2.5 51 000 €
3 57 000 €
3.5 63 000 €
4 69 000 €
4.5 70 000 €
5 81 000 €

 

Bon à savoir
Si votre revenu fiscal de référence est trop élevé, vous paierez la taxe d’habitation en totalité.

Un dégrèvement atténué pour certain contribuable
Les particuliers pourront diminuer le montant de la taxe d’habitation dont ils sont redevables si leur revenu fiscal de référence est compris entre deux limites de revenus. Par exemple : un couple marié avec 2 enfants à charge, soit 3 parts, a un RFR de 56 000 €. Sa cotisation de taxe d’habitation est de 2 000 €. Le dégrèvement auquel il pourra prétendre sera de 300 € soit 15 % : 2000 x 30 % x [(57 000 € – 56 000) / (57000 € – 55000 €)].

Le revenu fiscal de référence pour bénéficier partiellement de l’exonération
QUOTIENT FAMILIAL REVENU FISCAL DE RÉFÉRENCE (RFR)
1 27 000 € < RFR ≤ 28 000 €
1.5 35 000 € < RFR ≤ 36 500 €
2 43 000 € < RFR ≤ 45 000 €
2.5 49 000 € < RFR ≤ 51 000 €
3 55 000 € < RFR ≤ 57 000 €
Etes-vous concerné par l’éxonération de la taxe d’habitation ?
Pour le savoir : www.impots.gouv.fr/TaxeHabitation

Tout comprendre la réforme de la taxe d’habitation en un seul coup d’œil

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Pologne : un gratte-ciel gonflable contre les catastrophes naturelles – LesFurets.com

Pologne : un gratte-ciel gonflable contre les catastrophes naturelles
Des architectes polonais ont imaginé une tour qui se déploie comme un origami. Cette structure originale se monte rapidement sur un terrain frappé par une catastrophe naturelle. Ses concepteurs ont remporté un prix d’architecture.

Imaginez une tour capable de se déplier et replier à la demande… Vous avez le concept du Skyshelter.zip, inventé par trois architectes polonais. Damian Granosik, Jakub Kulisa et Piotr Pańczyk ont gagné le 16 avril dernier la première place du concours organisé par le magazine américain eVolo.

Un abri en cas de catastrophe naturelle
Le nom « Skyshelter » se traduit en français par « abri du ciel ». C’est une référence au mot « skyscraper », qui signifie gratte-ciel en anglais. Ce bâtiment innovant présente « une structure semblable à un origami ou un accordéon ». Tremblement de terre, inondation ou ouragan… Ses concepteurs l’ont imaginé pour venir en aide aux populations touchées par des catastrophes naturelles. Ils ont misé sur un transport rapide et facile dans des zones difficiles d’accès.

La structure peut être « soigneusement emballée dans une boîte relativement petite, avec une hauteur minimale et des dimensions de base réduites à l’empreinte du bâtiment », précisent les inventeurs. Le colis reste suffisamment léger pour voyager par la voie des airs. De cette façon, les équipes de secours ne dépendent plus des infrastructures routières. C’est un sérieux avantage dans le cadre d’une catastrophe naturelle, quand les victimes se retrouvent isolées.

Une structure légère gonflée à l’hélium
Cette tour reste au stade du concept. Elle pourrait toutefois remplacer un jour les abris actuellement utilisés dans les zones sinistrées. Son empreinte au sol se révèle « environ 30 fois plus faible que les tentes ou les conteneurs », assurent les trois architectes. La structure n’a pas besoin de fondations, à la différence d’un immeuble traditionnel. Il suffit d’un peu de préparation pour l’installer sur un sol instable. Seuls les supports de base ont besoin d’être ancrés dans le sol.

Pour construire un « Skyshelter », il suffit ensuite de libérer « un grand ballon gonflé avec de l’hélium à l’intérieur ». La tour se déploie ensuite comme une sorte d’énorme château gonflable, composé de dalles légères imprimées en 3D. Des câbles d’acier renforcent la structure pour résister à la force du vent. Le bâtiment final peut servir de lieu d’accueil, d’entrepôt de stockage ou même d’hôpital de secours.

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Baisse des APL : « plus aucun perdant » promet Julien Denormandie – LesFurets.com

Le secrétaire d’Etat à la cohésion des territoires Julien Denormandie a qualifié de « mauvaise décision » la baisse des aides personnalisées au logement (APL) à l’automne dernier. Le gouvernement avait imposé une baisse généralisée de 5 euros, sans distinction de revenus.

C’est une déclaration qui sonne comme un aveu d’échec. Le secrétaire d’Etat à la cohésion des territoires, Julien Denormandie, a reconnu ce dimanche 6 mai sur le plateau de France 3 que la baisse des aides personnalisées au logement (APL) était une « mauvaise décision ». Le gouvernement avait imposé une baisse de 5 euros mensuels.

« Plus aucun perdant » en matière d’APL
La mesure avait touché 6,5 millions de ménages bénéficiaires, sans distinction de revenus. Les ONG de défense des mal-logés, les bailleurs sociaux et certains syndicats avaient vivement désapprouvé la démarche. Ce dimanche, Julien Denormandie a regretté ce « coup de rabot ». Le secrétaire d’Etat a promis qu’il n’y « aurait plus aucun perdant » en matière d’APL. « Nous avons corrigé la chose, nous avons lancé une réforme de fond sur le logement social », a-t-il affirmé.

Dorénavant, « toutes les personnes qui sont aux APL ne seront en rien impactées par toute la réforme du logement social », a affirmé Julien Denormandie. Ce mea culpa rejoint la réaction du Premier ministre. Edouard Philippe avait qualifié de « pas intelligent » ce coup de rabot, bien qu’il représente une économie mensuelle de 32,5 millions d’euros pour l’Etat. Le Premier ministre l’avait expliqué par la nécessité de réaliser les économies prévues dans le budget 2017.

18 milliards d’euros par an pour l’Etat
D’après Edouard Philippe, il s’agissait d’un héritage de la majorité précédente. Pour rappel, les APL coûtent 18 milliards d’euros par an à l’Etat. Elles se divisent en trois catégories de subventions à destination des particuliers. L’aide personnalisée au logement (APL) bénéficie notamment à 800 000 étudiants. L’allocation de logement familial (ALF) s’adresse aux Français qui habitent dans une zone tendue en termes d’immobilier. L’allocation de logement social (ALS) touche les foyers les plus modestes.

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Prix de l’assurance habitation : qu’en est-il en France ? – LesFurets.com

Prix de l’assurance habitation : qu’en est-il en France ?
L’assurance habitation est essentielle pour bon nombre de ménages français, et constitue un budget plus ou moins important. Dépendant bien entendu de plusieurs critères liés au bien lui-même, comme son type (appartement ou maison) ou sa superficie, le prix de cette assurance dépend également de l’emplacement géographique du logement. Petit focus sur la situation de l’assurance habitation en France pour le mois d’avril 2018.

Pour information, la prime annuelle moyenne de l’assurance habitation en France au mois d’avril 2018 est de 284 € (pour tous types de logements et situations confondus), ce qui constitue une hausse d’environ 30 euros par rapport à 2017.

En février 2018, les appartements affichaient une prime de 225 euros, contre 365 euros par an pour les maisons.

Prix moyen de l’assurance habitation par région en avril 2018
Région Prime annuelle de l’assurance habitation
Bretagne 241 €
Pays de la Loire 254 €
Auvergne-Rhône-Alpes 270 €
Normandie 271 €
Centre-Val de Loire 278 €
Champagne-Ardenne-Alsace-Lorraine 280 €
Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon 283 €
Poitou-Charente-Limousin-Aquitaine 285 €
Bourgogne-Franche-Comté 285 €
Ile-de-France 289 €
Nord-Pas de Calais 296 €
Provence-Alpes-Côte d’Azur 304 €

La zone PACA est ainsi la région la plus chère en termes d’assurance habitation, avec 304 €/an en moyenne, tandis que la Bretagne demeure la moins onéreuse. D’autres régions du Nord et du Nord-Ouest sont également parmi les plus basses en termes de prix, comme la Normandie ou les Pays de la Loire.

Le prix onéreux de l’assurance habitation de la région PACA s’explique entre autres par un taux de cambriolages plus élevé, forçant les assureurs à gonfler leurs prix. Le grand nombre d’habitations de valeur (maisons avec piscines ou grands jardins) du au beau temps et à un niveau de vie aisé dans cette partie de la France joue également sur la prime annuelle de l’assurance habitation.

En Bretagne, le faible taux de sinistralité (2% des sinistres déclarés en France l’année dernière) peut par exemple expliquer ce prix assez bas de l’assurance habitation.

Prix moyen de l’assurance habitation par ville en avril 2018

 

Prime annuelle de l’assurance habitation :

Rennes 175 €
Nantes 193 €
Strasbourg 193 €
Angers 204 €
Dijon 215 €
Reims 222 €
Lille 227 €
Grenoble 233 €
Bordeaux 233 €
Saint-Etienne 237 €
Lyon 237 €
Toulouse 238 €
Villeurbanne 239 €
Montpellier 242 €
Toulon 259 €
Paris 270 €
Nîmes 273 €
Nice 294 €
Marseille 300 €

Sans surprise, la ville de Rennes, située en Bretagne, possède l’assurance habitation la moins chère de France. De même, dans la même zone géographique, Nantes se place en deuxième position avec 193 €/an, à égalité avec Strasbourg. Angers passe légèrement la barre des 200 €.

A contrario, Marseille et Nice demeurent les lieux au sein desquels les prix d’assurance habitation sont les plus forts, suivis par Nîmes et Paris.

Pour information, dans la capitale, les primes annuelles moyennes des assurances ont baissé d’environ 20 € en un an. Ceci peut s’expliquer par une différence comportementale des parisiens, qui optent progressivement pour des logements de plus en plus petits intra-muros, à cause d’un budget habitation plus serré d’une part, et d’une volonté d’économiser d’autre part.

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Miami : un promoteur bâtit une tour adaptée aux voitures volantes – LesFurets.com

Miami : un promoteur bâtit une tour adaptée aux voitures volantes
Ne confondez pas avec un héliport ! Le promoteur immobilier Daniel Kodsi va équiper sa tour Paramount à Miami (Floride) d’un « skyport », une piste d’atterrissage pour voitures volantes. Elles seront plus légères que des hélicoptères ou des petits avions, ce qui devrait influencer le design de l’immeuble.

Pourquoi ne pas garer sa voiture volante sur le toit ? C’est l’idée de Daniel Kodsi pour son dernier projet, la tour Paramount Miami Worldcenter en Floride (Etats-Unis). « Le futur de l’industrie du transport fera son entrée dans notre quotidien dans les 10 ou 15 prochaines années. L’aviation urbaine est plus proche qu’on ne le pense », assure-t-il.

Une piste d’atterrissage sur le toit
Le promoteur immobilier imagine déjà un univers de véhicules urbains volants. Pour les intégrer dans le paysage, il a décidé d’installer un skyport sur le toit de la tour en construction. Le 60e étage de l’immeuble accueillera une piste d’atterrissage pour aéronefs à décollage et atterrissage verticaux (ADAV). Le grand public connaît déjà ces véhicules sous le nom de « drones avec passager » ou « taxis volants ». L’entrepreneur croit au développement de ce nouveau mode de transport.

Daniel Kodsi voit en eux une solution aux embouteillages qui paralysent les grandes villes américaines. « Les véhicules volants utiliseront l’espace aérien afin de décongestionner la circulation et rendre les déplacements plus fluides, rapides et faciles », affirme-t-il. Les futurs résidents embarqueront en taxi volant directement sur leur toit. « On peut s’imaginer voyager de Miami à Palm Beach — un trajet qui peut prendre 2 heures en voiture — en seulement 30 minutes », anticipe Daniel Kodsi.

Ne pas confondre avec un héliport
La tour Paramount devrait sortir de terre au printemps 2019. Juste au bon moment, estime le site Tom Travel. Uber Elevate devrait expérimenter ses premiers taxis volants en 2020. Les véhicules devraient d’abord faire leur apparition entre Dallas et sa banlieue Fort Worth (Texas), à Los Angeles (Californie) et à Dubaï (Émirats arabes unis). La compétition dans ce domaine sera mondiale. En Chine, le drone EHang 184 a déjà réussi son premier vol avec passagers.

L’immeuble de Daniel Kodsi sera le premier spécialement conçu pour accueillir des voitures volantes. Notez qu’un skyport diffère sensiblement d’un héliport. Les ADAV s’avèrent bien plus légers que les hélicoptères. De quoi s’offrir des matériaux plus modernes que le béton armé ! « Cela a un impact sur l’expérience pour les résidents, qui débarqueront dans un lobby tout en verre avec une vue imprenable sur Miami », conclut le promoteur.

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Déménagement : 8 Français sur 10 iraient s’installer dans la région de leurs vacances – LesFurets.com

Déménagement : 8 Français sur 10 iraient s’installer dans la région de leurs vacances
Déménager pour changer de vie n’effraie pas les Français ! Ils sont prêts à partir s’installer dans le Sud où ils passent leurs vacances. D’après un récent baromètre Bien’ici, les candidats rêvent d’une meilleure qualité de vie et d’un environnement plus agréable.

Cap vers le sud ! Les Français sont prêts à partir s’installer dans la région où ils passent leurs vacances (88%). D’après le baromètre Bien’ici publié ce lundi 28 mai, nos concitoyens plébiscitent les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur (23%), Occitanie / Pyrénées-Méditerranée (21%) et Nouvelle Aquitaine (13%).

52% veulent une maison ancienne
Un Français sur quatre (24%) se dit freiné dans son envie de déménager. La raison principale diffère selon le genre. Les hommes citent d’abord les liens avec leurs proches (38%) quand les femmes invoquent plutôt le manque d’audace (31%). Les deux sexes évoquent ensuite les moyens financiers (21% pour les femmes, 17% pour les hommes) et l’absence de biens immobiliers correspondants à leurs critères (16% pour les femmes, 13% pour les hommes).

Quand ils décident de partir, plus d’un Français sur trois (37% des femmes et 36% des hommes) planifie son projet à court terme dans l’année qui vient. En termes de type de bien, un Français sur deux (52%) envisage de s’installer dans une maison ancienne. Cette envie reste plus prononcée chez les hommes (56%) que chez les femmes (47%). Les appartements neufs (18%) et anciens (16%) complètent le podium. En revanche, la maison neuve n’attire que 15% des sondés.

Vendre son bien ou le mettre en location
Le baromètre montre bien que le travail n’est pas le principal frein au déménagement dans une autre région. Seuls 13% des femmes et 12% des hommes évoquent ce critère comme un obstacle à leur envie d’ailleurs. Changer de vie reste une opération délicate, qui dépend de nombreux facteurs. « Pourtant, de nombreuses personnes passent ces caps et concrétisent leur rêve de vivre dans une région qui sent bon les vacances » pointe David Benbassat, directeur Général de Bien’ici.

Côté propriétaires, partir signifie majoritairement vendre son bien (78%). Cette opération ralentit leur mobilité, mais ne les arrête pas pour autant. Plus d’un propriétaire sur cinq (22%) choisit ainsi de mettre son bien en location pour pouvoir déménager. Quelle que soit l’option retenue, 68% des Français se tournent vers un professionnel de l’immobilier. C’est une manière d’être mieux accompagnés dans leur projet, pour le rendre pérenne et s’assurer de son bon déroulement.

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Plan climat : C’est parti pour la rénovation énergétique des bâtiments publics et privés ! | Actualités

Le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, a présenté son plan visant à rénover les bâtiments publics et privés. Objectifs : réduire la consommation énergétique et les émissions de gaz à effet de serre et simplifier les aides. 

Un plan d’envergure pour lutter contre la précarité énergétique
Alors que le secteur du bâtiment représente 45 % de la consommation d’énergie finale et 27 % des émissions de gaz à effet de serre, et que 7 millions de logements sont mal isolés, le Gouvernement va accélérer la rénovation énergétique de tous les bâtiments afin de baisser la facture de chauffage des Français, d’augmenter leur pouvoir d’achat, d’améliorer leur confort et de lutter contre le changement climatique. Avec ce plan, le Gouvernement fait de la rénovation énergétique une priorité nationale avec une mobilisation générale pour réduire notre consommation d’énergie. L’exécutif souhaite accompagner tous les ménages dans la rénovation de leur logement et lutter en priorité contre la précarité énergétique. Il veut également faire des bâtiments publics des bâtiments exemplaires en matière d’efficacité énergétique, créer une nouvelle dynamique de filière pour rénover plus, mieux et moins cher, et entraîner les territoires par la mobilisation des acteurs locaux.

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