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Le Liebian International Building possède la plus grande chute d’eau artificielle du monde

Le Liebian International Building possède la plus grande chute d’eau artificielle incorporée à un bâtiment, du monde. Culminant à 108 mètres de haut, elle fonctionne au moyen de quatre pompes qui l’alimentent grâce à des réserves souterraines contenant de l’eau de pluie. Ludi Industry Group, le responsable de la construction de la tour, a annoncé que le jeu d’eau fonctionne parfaitement depuis deux ans. En revanche, la chute d’eau n’a été mise en route que six fois à cause du coût élevé de son fonctionnement. Il faut compter 100 euros par heure.

Il y a encore peu d’informations sur le bâtiment, mais il fera partie d’un complexe qui inclura une seconde tour de la même hauteur, s’étendant vers le haut à partir d’un podium. Ce dernier deviendra un centre commercial tandis que des bureaux et un hôtel de luxe prendront place dans les tours.

Le Liebian Internation Building est l’un des nouveaux bâtiments possédant un grand jeu d’eau en Asie. À Changi on trouvera une fontaine de 40 mètres de haut située à l’intérieur du Jewel Changi Airport à Singapour et la plus grande chute d’eau indoor du monde (50 mètres)au sein du Chinese Eden Project.

Sourced through Scoop.it from: archicree.com

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Nolla : La cabane scandinave éco responsable en bois

La société finlandaise d’énergie renouvelable Neste a créé la cabane Nolla, un prototype à zéro émission que vous pouvez ériger n’importe où, sans laisser de traces.Cette cabane en bois contemporaine, conçue par le designer finlandais Robin Falck, est située juste à l’extérieur du centre-ville d’Helsinki, sur l’île de Vallisaari.
La cabane a été construite à partir de matériaux durables et est conçue pour un style de vie simple avec des émissions minimes à nulles, en tenant compte de la nature environnante à tous égards.

À l’intérieur, le mobilier est minimaliste. L’approvisionnement en énergie de la cabane est entièrement renouvelable; l’électricité est produite par des panneaux solaires, tandis que le poêle, réservé à la cuisson et au chauffage, est entièrement alimenté par un conbustible confectionné à partir de déchets et de résidus.
Plus d’infos sur neste.com

Sourced through Scoop.it from: www.amenagementdesign.com

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Avec le départ de Hulot, que va devenir le bonus-malus pour les logements ?

L’annonce avait fait grand bruit en novembre 2017: le gouvernement envisageait d’imposer un bonus-malus pour pénaliser (ou récompenser) les propriétaires qui ne rénoveraient pas leur logement avant de le vendre. L’idée avait été défendue par Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique. Son principe? Moduler la taxe foncière ou les droits de mutation en fonction du diagnostic de performance énergétique. Autrement dit, si le propriétaire n’isole pas (ou mal) son logement ou si son système de chauffage reste obsolète, sa taxe foncière ou ses droits de mutation (plus connus sous le nom de «frais de notaire») en cas de cession du logement, augmenteront.

Moins d’un an plus tard, l’idée a, semble-t-il, été mise au placard. Avec la démission de Nicolas Hulot qu’il a annoncée ce mardi, le dossier pourrait être définitivement enterré. Fin avril, le dispositif de bonus-malus ne figurait même pas dans le plan de 14 milliards d’euros pour rénover les logements. Au ministère, l’entourage de Nicolas Hulot expliquait au Figaro Immobilier que «la question n’a pas été abordée car une mission sur le sujet est en cours et qu’aucune date n’a encore été arrêtée». À l’heure actuelle, ce rapport n’a toujours pas été rendu. Et pourtant, malgré ce coup dur, le ministre se disait «toujours favorable» et espérait une décision «avant l’été». Force est de constater que le dossier n’a pas avancé aussi rapidement qu’il l’espérait.

Il semblerait que d’autres ministres auraient fait traîner l’affaire en longueur. «Hulot veut de la répression à tout va. Il voulait sans doute aller trop vite sur le sujet, confiait au Figaro Immobilier un expert qui a participé à plusieurs réunions sur le sujet avec les cabinets des ministres concernés. Jacques Mézard (ministre de la Cohésion des territoires, NDLR), est favorable à une politique plus douce et sur la durée. Quant à Bruno Le Maire (ministre de l’Économie et des finances), il craignait que ce dispositif fasse chuter les ventes de logement et par conséquent les droits de mutation».

Entre 7 et 8 millions de «passoires thermiques»
Si ce bonus-malus est définitivement abandonné, nul doute que cela enlèvera une sacrée épine du pied des propriétaires. Ce dispositif aurait constitué en effet une double peine pour eux: coût élevé des travaux de rénovation et hausse des impôts s’ils ne réalisent pas ces rénovations. «Nous nous réjouissons que les pistes relevant de l’écologie punitive, parmi lesquels le bonus-malus, n’apparaissent plus parmi celles évoquées par les ministres. Une telle mesure conduirait inévitablement à un blocage des marchés, notamment dans les territoires aujourd’hui en difficulté», avait réagi la FFB fin avril.

Il n’empêche: l’enjeu reste de taille. Les bâtiments résidentiels et tertiaires représentent 45% de la consommation du pays en énergie. Le secteur est aussi à l’origine d’environ 25% des émissions de gaz à effet de serre, selon le ministère de la Transition écologique. En France, on dénombre entre 7 et 8 millions de «passoires thermiques». Parmi elles, 3,8 millions sont occupées par des ménages modestes dont 1,5 million sont propriétaires de leur logement. «On veut rénover 500.000 passoires thermiques (par an). Or, on a baissé de moitié les moyens pour rénover ces bâtiments, déplore Nicolas Hulot. Je sais déjà, au moment d’acter ce plan de rénovation, que l’on ne pourra pas atteindre les objectifs.» Le gouvernement a pourtant récemment décidé de porter de cinq à dix milliards d’euros l’enveloppe allouée à la rénovation urbaine dans les 480 quartiers concernés en métropole. Dont acte.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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La construction du train du futur arrive à Toulouse ! – Blog Immobilier

La construction du train du futur arrive à Toulouse !5 avril 2018
On en sait plus sur les projets de l’implantation de l’Hyperloop à Toulouse. La construction de la piste d’essai de 300 mètres de ce train du futur ainsi que le bâtiment de la société Hyperloop TT devrait débuter à l’automne 2018.

Permis de construire validé
Il y a pratiquement 1 an de cela, j’écrivais un article sur le concept de l’hyperloop, aujourd’hui, ce train du futur imaginé par Elon Musk va bel et bien voir le jour à Toulouse via la société Hyperloop Transportation Technologies. En effet, la commune de Cugnaux a autorisé la construction d’un bâtiment de 2 560 m² ainsi que d’une piste d’essai de 300 mètres sur l’ancienne base aérienne de Francazal.

Ce projet dont les procédures administratives avaient commencé en janvier 2017, n’attend plus que le conseil de Toulouse Métropole pour pouvoir signer un bail de construction avec l’État. Cette signature va être actée le jeudi 12 avril 2018 et va permettre à Hyperloop TT de construire ses premiers prototypes et les tester sur la piste d’essai.

Toulouse, capitale européenne de l’aérospatiale et de l’aéronautique va donc détenir le centre européen de R&D de ce mode de transport innovant.

Les détails de ce projet colossal
Afin de réaliser une piste d’essai de 300 mètres de long, les travaux nécessitent la construction de 25 pylônes ancrés bien profond dans le sol afin de soutenir le tube contenant les capsules “supersonique”. Ces tubes vont être construits avec 40 mètres d’écarts sur un kilomètre de linéaire. Le tube se trouvera à 5 mètres de haut et plusieurs passerelles permettront d’accéder aux capsules.

Le fonctionnement de cette technologie sera mise en route grâce aux panneaux photovoltaïques qui se trouveront sur le dessus du tube. Les capsules dans lesquelles les usagers devront s’installer pour voyager vont mesurer plus de 30 mètres de long et le diamètre sera de 2,7 mètres. Au maximum, la capacité d’affluence de la capsule pourra atteindre 40 passagers.

Toulouse, cité des transports du futur ?
“Un incroyable écosystème de l’industrie aérospatiale”

Ces mots proviennent du directeur opérationnel de l’Hyperloop TT et confirment que Toulouse semble devenir une ville pionnière dans le développement des transports du futur. L’hyperloop qui a donc décidé de s’implanter à Toulouse sera accompagné par d’autres projets innovants et futuristes ! En effet, les taxis volants autonomes ainsi que les voitures autonomes ou encore les drones sont des projets qui se développent grâce aux startups qui viennent s’installer dans la ville rose.

Une véritable cité technologique est en train de s’installer à Toulouse. La combinaison de savoir-faire aérospatiaux et automobiles vont permettre de développer les transports de demain plus rapidement. De nombreux partenariats sont établis à Toulouse entre les différentes startups qui proposent des innovations technologiques.

Sourced through Scoop.it from: blog-immobilier-toulouse.fr

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Projet Milestone : 5 maisons habitables seront imprimées en 3D

À Eindhoven, le premier quartier résidentiel imprimé en 3D va voir le jour d’ici 2019 dans le cadre du projet Milestone. Les Pays-Bas s’assument ainsi en tant que pionner de l’impression 3D à travers le monde.

Projet Milestone : 5 maisons imprimées en 3D
Eindhoven va sûrement être la première ville au monde à mettre en vente des maisons imprimées en 3D d’ici 2019. Cette nouveauté est possible grâce au projet Milestone qui est né d’une collaboration entre l’entreprise Van Wijnen et l’université de technologie de la ville d’Eindhoven. On remarque que les universités font un travail important pour la recherche de l’innovation dans les nouvelles technologies. En effet, c’est aussi une université qui est à l’origine du projet Ynhova, il s’agit de l’université de Nantes et de leur innovation nommée BatiPrint3D. Il s’agit d’un logement social qui a été attribué à une famille depuis juin et qui est devenu la première famille à emménager dans une maison imprimée en 3D.

Contrairement au projet Ynhova, le projet Milestone devrait être la première opération commerciale au monde avec la mise en vente de toutes les maisons qui seront construites. Elles pourront être achetées puis louer par une société immobilière. Ces maisons innovantes seront ainsi toutes occupées et elles répondront à toutes les normes de confort modernes.

L’idée est aussi d’imprimer les maisons au fur et à mesure afin de pouvoir appliquer de nouvelles innovations et un nouveau savoir-faire dans la construction de la maison suivante. La première maison devrait voir le jour pour l’été 2019 et le projet va durer 3 à 5 ans pour finaliser l’intégralité du quartier résidentiel.

Une innovation bientôt “populaire” ?
Le PDG de la société Van Wijnen, Rudy Van Gurp, croit au futur de cette technologie et estime à 5 % le nombre de logements construits en 3D au Pays-Bas d’ici les 5 ans à venir. On assiste donc à l’avènement de la construction 3D aux Pays-Bas où le pays connaît une pénurie de maçons et de salariés de la construction. Cette nouvelle technologie répond donc à de nouveaux problèmes que connaît la société. En plus de cela, il y a un côté écologique non-négligeable. Cette technique de construction permet d’éviter le gaspillage des matériaux de construction.

L’impression 3D est un marché qui évolue rapidement depuis les années 2000 et des innovations ont déjà été testée avec succès aux Pays-Bas avec notamment le premier pont en béton imprimé en 3D au monde. Depuis fin 2017, les cyclistes peuvent donc emprunter ce pont construit avec la technologie innovante. Les habitants du Pays-Bas commencent donc à bien connaître cette technologie et cela se ressent dans l’engouement autour du projet Milestone où des dizaines de candidatures ont été envoyées pour devenir locataire d’une de ces maisons. Le loyer mensuel devrait s’élever entre 900 et 1 200 €. C’est le prix moyen pour une maison de cette superficie aux Pays-Bas.

La personnalisation : un point fort de l’impression 3D
L’impression en 3D donne une nouvelle forme d’architecture à ses habitations. Cela est notamment dû au fait que le béton traditionnel est beaucoup plus rigide que celui utilisé avec l’impression 3D. Ainsi, on peut imaginer toutes sortes de formes et de détails rendus possibles par cette innovation. Rudy Van Gurp s’est réjoui du “design très futuristes” et de la volonté “d’aller plus loin pour que les gens puissent concevoir leur propre maison et ensuite les imprimer”. Cette personnalisation de la construction est un vrai point fort du projet car elle va permettre d’adapter le design à l’environnement.

La construction en 3D ouvre également d’autres possibilités plus pratiques. On peut par exemple parler de la possibilité d’installer un isolant acoustique ou thermique dans les murs. Le réseau d’eau et d’électricité sera lui, directement intégré dans la construction et permettra d’éviter l’étape de l’aménagement intérieur. Enfin, la construction en impression 3D est tout à fait compatible avec l’autre innovation technologique très en vogue dans l’immobilier : les logements connectés. Il suffira de prévoir les capteurs voulus dans la construction des murs pour rendre le logement intelligent (réglage de la lumière, du chauffage…).

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Propriétaire : Les points clés à contrôler avant de louer votre logement | Actualités

Vous venez d’investir dans un logement dans le but de le louer ? Diagnostics obligatoires, niveau d’humidité, état des équipements intérieurs… tout ce qu’il faut vérifier dans votre appartement ou maison avant la mise en location. 

Gestion locative : les éléments d’équipement et de confort à vérifier
Avant de mettre leur logement en location, les propriétaires doivent s’assurer qu’il présente un niveau de confort suffisant : installation permettant un chauffage normal, cuisine aménagée pour recevoir un appareil de cuisson, évier raccordé à une installation d’alimentation en eau chaude et froide, réseau électrique permettant l’éclairage de toutes les pièces, équipements (fenêtres et portes, tuyauterie, interphone…) fonctionnant de façon convenable, etc. Lors de la visite du logement, de nombreux points seront inspectés par les locataires potentiels, à commencer par le niveau d’humidité. Les propriétaires doivent donc penser à vérifier que l’appartement ou la maison ne souffre pas d’un problème d’humidité au préalable. Des traces de moisissures sur les murs ou les plafonds, des papiers peints qui se décollent ou une odeur dérangeante sont des signes qui doivent alerter le propriétaire-bailleur.

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Congé pour vente à un locataire : quel intérêt à faire appel à un huissier de justice ? | Réglementation

Vous êtes propriétaire bailleur et souhaitez donner congé pour vente à votre locataire. Même s’il n’est pas obligatoire, le recours à un huissier de justice peut présenter un important intérêt.

Faire appel à un huissier de justice facilite les démarches
Lorsqu’un propriétaire souhaite vendre libre de toute occupation un logement loué non meublé, il doit donner un congé pour vente à son locataire par lettre recommandée avec accusé de réception, acte d’huissier ou remise en main propre contre récépissé, au moins six mois avant la fin du bail. L’article 15 de la loi du 6 juillet 1989 rappelle que le congé pour vente délivré à un locataire doit contenir des mentions impératives, à peine de nullité du congé, à savoir :

Le motif du congé : l’intention du vendeur de vendre le bien.
Le prix du bien et les conditions de la vente projetée.
La reproduction des cinq premiers alinéas de l’article 15, II de la loi du 6 juillet 1989.
Un huissier de justice est un professionnel du droit. Avoir recours à lui, vous permet, en principe, de ne pas omettre une mention obligatoire emportant la nullité du congé, et potentiellement la reconduction du bail.

Bon à savoir
La jurisprudence admet que la reproduction des dispositions de l’article 15 de la loi de 1989, peut avoir lieu dans un document annexe au congé.

Le délai de préavis remis à un locataire est sécurisé avec un huissier
Le délai de préavis de six mois court à compter de la réception du courrier recommandé par le locataire, et non à compter de l’avis de passage. Le locataire doit avoir réceptionné ce congé au plus tard six mois avant la fin du bail. Le problème se pose s’il ne se déplace pas immédiatement dans son bureau de poste pour le récupérer après avoir reçu un avis de passage. Si aucun congé n’est reçu par le locataire dans le délai de six mois avant la fin du bail, le bail sera reconduit tacitement, et la vente du bien ne pourra avoir lieu. Le recours à l’huissier de justice présente un intérêt dans le sens où le délai de préavis court, dans ce cas, à compter de l’avis de passage que l’huissier laissera dans la boite aux lettres du locataire s’il est absent. Si vous vous rendez compte que vous n’êtes qu’à quelques jours du début du délai de six mois avant la fin du bail, il est donc conseillé de faire rapidement appel à un huissier de justice. À noter que les frais liés à l’établissement de ce congé par l’huissier seront à votre charge.

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Bébé arrive ! Plutôt que de déménager, ajoutez une extension à votre maison | Actualités

À la naissance d’un enfant, il peut arriver que l’on se sente un peu à l’étroit chez soi. No stress, il existe un moyen de « pousser les murs » et de gagner en volume : l’extension de maison. Comment procéder ? Quelles sont les règles à respecter ? Découvrez-le.

1. L’extension de maison : une alternative au déménagement
Si vous et votre petite famille (qui vient de s’agrandir) êtes en manque de m², jouer la carte de l’extension de maison pourra vous éviter de devoir acheter plus grand et de déménager. Plusieurs solutions s’offrent à vous selon le type d’extension que vous choisirez : transformer un garage en habitation, surélever votre habitation, en aménager les combles, faire installer une véranda, creuser dans les fondations de votre maison pour augmenter – par « décaissement » – l’espace disponible, faire construire une habitation indépendante…

2. Combien ça coûte, une extension de maison ?
Il est difficile de chiffrer précisément le coût des travaux que nécessite l’arrivée de bébé avec l’extension de votre maison. Et pour cause, l’enveloppe budgétaire sera susceptible de varier en fonction des matériaux utilisés, de la complexité du chantier, de la destination (stockage, habitation…) de la pièce qui sera créée et du gain – en m² – souhaité. À titre indicatif, sachez toutefois que pour faire aménager vos combles, il vous en coûtera, en moyenne, entre 300 € et 1 000 € du m². Dans le cas d’une surélévation de maison, comptez de 1 500 à 2 000 € du m². Pour une véranda en PVC de 20 m², votre budget devrait osciller entre 15 000 et 30 000 €. Si c’est une extension « horizontale », dont vous avez envie, faire bâtir une pièce attenante à votre habitation vous coûtera entre 1 000 et 1 500 €  du m² selon le matériau (brique, bois) sur lequel vous aurez jeté votre dévolu. Enfin, dans le cas d’un aménagement de cave, les prix les plus fréquemment relevés vont de 1 500 à 2 000 € du m².

Bon à savoir
Augmenter la superficie de votre maison aura pour effet de faire grimper le montant de votre taxe foncière.

3. Extension de maison : quelles sont les formalités à respecter ?
Si vous faites procéder à l’extension de votre maison, différentes démarches devront être effectuées selon l’ampleur et l’impact des travaux réalisés. Dans une zone couverte par un PLU, aucune démarche administrative n’aura à être accomplie si le gain en superficie de votre extension ne dépasse pas 5 m² et que l’aspect extérieur de votre habitation demeure inchangé. Dans le cas contraire, ou si l’extension aboutit à un gain d’espace compris entre 5 m² et 20 m², votre chantier devra faire l’objet d’une déclaration préalable de travaux. Enfin, un permis de construire sera requis si, après travaux, la superficie totale de votre habitation dépasse 150 m² ou que les travaux d’extension vous ont fait gagner plus de 20 m². Dans une zone non couverte par un PLU, un permis de construire ne sera obligatoire qu’à partir de 40 m² de gain. Enfin, différentes réglementations seront applicables selon la superficie que vous aurez gagnée. Si la surface totale envisagée après la réalisation de vos travaux d’extension dépasse 150 m² (ou 170 m² pour toute demande de permis de construire qui aurait été déposée avant le 1er mars 2017), vous serez dans l’obligation de faire appel à un architecte.

Les points clés à retenir
À l’arrivée de bébé, réaliser des travaux d’extension dans votre habitation permet d’éviter de déménager.
Effectuer des travaux visant à agrandir votre logement ne doit pas se faire à la légère : l’intervention d’un professionnel est, sinon obligatoire, au moins vivement conseillée, différentes démarches doivent être effectuées, votre taxe foncière sera revue à la hausse, etc.

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Votre époux est décédé… Pouvez-vous vendre le logement sans l’accord de vos enfants ? | Succession

Vous venez d’hériter d’un bien de votre époux. Il vous est en principe possible de le vendre. Ce droit peut être limité, notamment dans le cadre de vos relations avec vos enfants.

L’indivision et le démembrement de propriété : l’accord de tous est nécessaire
Au décès d’une personne, le conjoint survivant recueille à son choix l’usufruit de la totalité des biens immobiliers ou la pleine propriété du quart des biens. Les enfants issus des deux époux recueillent le reste.

Si vous optez pour le quart des biens en pleine propriété, vos enfants recueillent les ¾ en pleine propriété. Vous serez donc co-indivisaire. La vente d’un bien en indivision nécessite l’accord de tous les indivisaires.
Si vous optez pour la totalité des biens en usufruit, vos enfants en seront nus propriétaires et vous serez usufruitier. C’est ce qu’on appelle un démembrement de propriété. Pour vendre le bien, il sera impératif d’obtenir l’accord de vos enfants.

Bon à savoir
Lorsqu’un indivisaire fait obstacle à la vente du bien indivis, une procédure de vente forcée devant le tribunal de grande instance est possible. En matière de démembrement de propriété, il n’existe pas de procédure de vente forcée comme en matière d’indivision.

Attention à ne pas oublier un héritier lors de la succession !
Si un héritier a été oublié dans le partage successoral, celui-ci peut être annulé. L’héritier lésé dispose, en effet, de ce que l’on appelle une action en complément de parts. Ayant été oublié dans le partage, il n’a pas obtenu la part à laquelle il aurait pu prétendre, et dispose donc de la possibilité de faire annuler le partage afin de percevoir sa part.

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Pourquoi la taxe sur l’électricité pourrait encore augmenter

C’est la fin d’une longue bataille juridique entre Enedis et les copropriétés. Dans le cadre de l’examen du projet de loi Elan, le Sénat a adopté cette nuit un amendement du gouvernement visant à confier à la filiale d’EDF la responsabilité des colonnes montantes, ces fameux conduits qui permettent d’acheminer l’électricité aux différents étages des immeubles.

Le sujet est loin d’être anodin, tant la question de la propriété, et donc de l’entretien de ces conduits, a suscité de litiges ces dernières années. Sur les quelque 1,6 million de colonnes montantes recensées, 800.000 (non gérées par les collectivités locales) posaient problème, Enedis (ex-ERDF) et les copropriétaires se renvoyant la responsabilité de la gestion de ces installations électriques par tribunaux interposés. “Rien que depuis 2013, on recense 30 à 40 procès”, constate Jean Gaubert, le médiateur de l’énergie.

Face à ce flou juridique, un nombre croissant de colonnes se sont ainsi retrouvées dans un état de vétusté avancée, pouvant être à l’origine de coupures intempestives, voire dans les cas extrêmes de risques d’incendie. Un rapport gouvernemental de 2015 avançait le chiffre de 300.000 colonnes obsolètes même s’il n’existe en réalité pas d’études précises sur la question…

Et maintenant ? L’amendement qui doit être voté au Sénat vise donc à confier la gestion des équipements à Enedis. “Nous assumerons la mise aux normes des colonnes dès que nécessaire”, promet François Blanquet, directeur des infrastructures d’Enedis, qui se range derrière l’amendement du gouvernement…

L’accord semble donc gagnant donc pour les copropriétés, même si cet élargissement des prérogatives d’Enedis ne sera somme toute pas gratuit. En moyenne, le coût d’une mise au norme d’une colonne électrique est estimée à 10.000 euros. Mais la facture peut évidemment grimper au-delà. De fait, la filiale d’EDF ne cache pas que cette nouvelle charge de travail sera nécessairement répercutée sur la Turbe (Tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité), une taxe directement prélevée sur les factures d’électricité. Cette taxe pèse déjà 30% du montant de la facture. De combien augmentera-t-elle ? Tout dépendra de l’ampleur des travaux à supporter pour la mise aux normes des colonnes. A l’arrivée, les copropriétaires dont la colonne est en mauvais état pourraient y gagner. Tandis que ceux qui l’ont bien entretenue y perdront sans doute financièrement.

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