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Ces technologies qui mettent l’immobilier en mouvement

Le secteur immobilier porte de plus en plus mal son nom. Visite, aménagement, paiement… découvrez ces innovations qui transforment votre rapport au logement.

Faire bouger l’immobilier, serait-ce une mission aussi délicate que celle d’un ministre de l’Éducation nationale qui rêvait jadis de dégraisser le mammouth? Visiblement non, si l’on en croit la multitude de start-up qui ne cessent de se créer autour de l’univers du logement et de la construction tandis que les acteurs historiques du secteur multiplient les initiatives autour de l’innovation. C’est ainsi que Bouygues dispose de son e-Lab, quand Vinci peut compter sur Leonard, sa «structure transverse dédiée à l’innovation et à la prospective» sans oublier le Nexity Lab ou encore le Maison des start-up chez Icade. Les réseaux d’agents immobiliers eux aussi s’y sont mis: après le partenariat signé par Orpi avec l’incubateur de la Silicon Valley Plug and Play, c’est la Fnaim qui vient de lancer son Fnaim Lab.

Restait à trouver un nom à ce secteur en effervescence. Après les Cleantech, Fintech, Medtech, Biotech… nous avons droit aux Proptech, à moins que l’on préfère parler de Real Estech (contraction de Real Estate et Tech) comme le font Robin Rivaton et Vincent Pavanello dans un ouvrage consacré à cette tendance et dans une association qui porte le même nom et œuvre à rassembler les acteurs de l’immobilier autour des questions d’innovation. Si la tendance est incontestable, pourquoi le secteur immobilier est-il touché aussi tardivement par la digitalisation? «Il faut reconnaître qu’il y a un certain conservatisme des acteurs traditionnels de ce marché lié notamment au fait que l’activité se porte plutôt bien depuis des années, estime Robin Rivaton. Par ailleurs, ce marché reste très fragmenté et manque encore d’une véritable logique industrielle. Enfin, les entrepreneurs et autres fonds d’investissement ne s’y intéressaient pas trop jusque-là, mais maintenant qu’Internet a déjà tout dévoré ils y viennent.»

Les technologies ne menacent pas les métiers traditionnels
Doit-on s’attendre alors à une révolution numérique qui va tout bousculer tel Amazon rebattant les cartes de la distribution ou Airbnb celles de la location touristique? La disruption, expression en vogue dans les nouvelles technologies, ne semble pas de mise dans l’immobilier. Si près de 400 start-up sont en train de bouleverser les façons de concevoir et consommer l’immobilier à coups de visites à distance (immersion en 3D, modélisation, etc.), de signature électronique, d’utilisation des données publiques et d’intelligence artificielle (voir ci-dessous et ci-contre), elles le font en association ou en séduisant des professionnels établis plutôt qu’en espérant les remplacer. Et malgré les levées de fonds qui se multiplient, les budgets restent limités. «L’immobilier investit finalement peu dans les technologies par rapport à d’autres secteurs, souligne Cyril Aulagnon, fondateur du cabinet de conseil spécialisé Stonup. Il n’y a pas de foncière qui investit plus de 0,25 % de son chiffre d’affaires dans les nouvelles technologies.»

« Le parcours immobilier en ligne, loin de réduirela part de marché des professionnels, l’a finalement accrue »
Hervé Parent, fondateur du salon RENT
Autre idée reçue à balayer: l’irruption de ces nouvelles technologies ne devrait pas menacer l’existence des professions «traditionnelles» du secteur. «Nous nous sommes tous trompés et moi le premier en pensant que le parcours en ligne réduirait la part de marché des professionnels, admet Hervé Parent, fondateur du salon RENT et administrateur de la Fédération française de l’Internet immobilier. C’est le contraire qui s’est passé et d’ailleurs bon nombre de start-up françaises à succès proposent leurs services aux professionnels comme Habiteo, pour la modélisation 3D et la personnalisation des logements neufs, ou Meero, pour la photographie immobilière.»

Une révolution tranquille qui a déjà modifié profondément la façon de concevoir et gérer des bureaux (coworking) ainsi que les petites annonces immobilières mais qui mettra sans doute plus longtemps à faire évoluer sensiblement les modes de financement, les techniques de construction ou de gestion immobilière.

Sourced through Scoop.it from: immobilier.lefigaro.fr

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Quelles sont les conditions d’octroi de l’APL ? | Aides logement

Contrairement à certaines idées reçues, l’aide personnalisée au logement (APL) peut être octroyée à certains locataires mais aussi à certains propriétaires. Explications.

Locataires : pour percevoir les APL, certaines conditions sont requises
L’aide personnalisée au logement est accordée au titre de la résidence principale, quel que soit le lieu de son implantation sur le territoire national. Le versement de l’APL dépend dans un premier temps du type de logement. L’article L351-2 du code de la construction et de l’habitation dresse une liste des biens concernés :

Les logements à usage locatif appartenant à des organismes d’habitations à loyer modéré ou gérés par eux ou appartenant aux bailleurs du secteur locatif conventionné.
Les logements à usage locatif construits, acquis ou améliorés à compter du 5 janvier 1977 au moyen de formes spécifiques d’aides de l’Etat.
Les logements-foyers des jeunes travailleurs.
Les logements occupés par des titulaires de contrats de location-accession.
Bon à savoir
L’aide personnalisée au logement n’est pas attribuée aux personnes qui sont locataires d’un logement appartenant à l’un de leurs ascendants ou descendants ou ceux de leur conjoint ou concubin ou de toute personne liée à elles par un contrat conclu en application de l’article 515-1 du code civil.

Mais comment sont calculés les montants ?
Le montant de l’aide personnalisée au logement est calculé en fonction d’un barème établi en prenant en considération :

La situation de famille du demandeur et le nombre de personnes à charge vivant habituellement au foyer.
Les ressources du demandeur et, s’il y a lieu, de son conjoint et des personnes vivant habituellement à son foyer.
Le montant du loyer.
Bon à savoir
Le barème de l’Aide Personnalisée au Logement est révisé chaque année au 1er janvier.

Et pour les propriétaires, comment ça se passe ?
Les logements occupés par leurs propriétaires, construits, acquis ou améliorés, à compter du 5 janvier 1977, au moyen de formes spécifiques d’aides de l’État ou de prêts accordés pour financer :

L’acquisition des droits de construire ou de terrains destinés à la construction de logements, la construction de ces logements et leur acquisition ; sont assimilés à la construction de logements l’agrandissement de logements existants, par extension ou surélévation, et l’aménagement à usage de logement de locaux non destinés à l’habitation.
L’acquisition de logements en vue de leur amélioration et les travaux d’amélioration correspondants.
La réalisation des dépendances de ces logements, et notamment les garages, jardins, locaux collectifs à usage commun, annexes.
Quoi qu’il en soit, que le bénéficiaire soit propriétaire ou locataire, il doit être de nationalité française ou remplir les conditions exigées pour résider régulièrement en France.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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À Paris, vous pouvez désormais troquer votre HLM

Changer de logement est bien souvent un calvaire pour les locataires du parc social. Pour leur faciliter la vie, une "bourse d’échange" via une plateforme numérique est lancée ce mercredi 3 octobre leur permettant de trouver un appartement plus adapté en terme de prix, de superficie et de distance par rapport à l’emploi.

La plateforme sera déployée dans toute l’Ile-de-France au printemps 2019. (Crédit : Shutterstock / DR)
Un nouvel emploi, la famille qui s’agrandit, une envie de changer de quartier… Autant de raisons qui peuvent pousser un locataire à vouloir changer de logement.
 
Sur les 700 000 demandes de logement social en Ile-de-France, 30 %, soit environ 210 000 foyers, sont des demandes de mutation. Or, les demandes de logement social ne cessent de croître tandis que le nombre d’attribution reste stable, compliquant ainsi la mobilité au sein du parc social.
 
Pour faciliter ces changements, la Ville de Paris, l’Association des organismes de logement social d’Ile-de-France (Aorif) et 12 bailleurs métropolitains lancent ce mercredi 3 octobre la première plateforme d’échange de logements sociaux dans la capitale, baptisée Échanger Habiter. Son objectif : mieux ajuster l’offre et la demande en terme de prix, de superficie et de distance à l’emploi.

LE BON COIN DU LOGEMENT SOCIAL
Sur cette plateforme, ce seront les locataires eux-mêmes qui pourront publier une annonce pour mettre en location leur appartement, organiser des visites et chercher un autre logement plus adapté à leurs attentes. Toute demande d’échange devra ensuite être validée par la Commission d’attribution des logements.

La plateforme sera déployée dans toute l’Ile-de-France au printemps 2019, où le parc social s’étend sur 1,2 million de logements, gérés par 141 organismes. À noter que les locataires pourront échanger leurs appartements, même s’ils ne sont pas gérés par le même bailleur. 
 
La création d’Échanger Habiter était prévue par la Charte des mutations, signée en 2015 par la Ville de Paris, l’État, l’Aorif et 20 bailleurs sociaux. Cette charte prévoit également de consacrer 25 % des logements parisiens et 20 % des logements de l’État au relogement dans le parc social. Une bonne nouvelle, sachant qu’il faut parfois attendre plusieurs années avant de se voir attribuer un logement social à Paris. 

Sourced through Scoop.it from: www.wedemain.fr

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Les propriétaires craignent un retour du bonus-malus pour les logements – 29/09/2018 07:00:36 – Boursorama

Alors que le débat parlementaire autour du projet de budget 2019 va bientôt s’engager, une association de propriétaires craint de voir resurgir le fameux bonus-malus pour les logements, idée défendue par l’ancien ministre Nicolas Hulot.
Dans le projet de budget 2019, le gouvernement n’a pas prévu de relancer l’idée de bonus-malus pour les logements privés, mise au placard avec la démission de Nicolas Hulot. Et pourtant, l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) semble craindre de voir resurgir cette mesure. «Il semblerait que l’arbitrage n’ait pas eu lieu, ce qui a participé au départ de Nicolas Hulot, déclare Pierre Hautus, directeur de l’UNPI. À la Direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature, on nous dit que ce n’est pas dans la matrice de François de Rugy (le ministre de la Transition écologique). Mais tout peut resurgir.» Le dirigeant de l’association prend l’exemple de la taxe sur les loyers fictifs. Bien que le gouvernement ait toujours démenti vouloir mettre en place cette mesure, l’idée que les propriétaires perçoivent l’équivalent d’un loyer théorique pour le logement qu’ils occupent a été récemment remise sur le tapis par l’Insee.

À l’heure où le débat parlementaire autour du projet de budget 2019 va s’engager, l’UNPI joue son rôle de lobby et met la pression sur le gouvernement. L’association rappelle son rejet d’un «malus écologique» pour les logements privés. «Les propriétaires ne doivent pas être tenus responsables de la qualité énergétique de leurs logements», affirme Jean Perrin, président de l’UNPI. Et de rappeler: «Tous n’ont pas la capacité financière permettant de payer des travaux obligatoires».

À un dispositif punitif, l’UNPI préfère des mesures incitatives pour relancer l’investissement locatif. Dans une récente étude, le Crédit Foncier faisait état d’un fort recul (de 16% à 14,1%) de la part de logements qui seront achetés pour être loués. Parmi les explications, la fiscalité jugée trop lourde. C’est un des chevaux de bataille de l’UNPI qui n’a eu de cesse, depuis l’élection d’Emmanuel Macron de dénoncer sa politique fiscale «anti-propriétaires». «La confiance est mise à mal par l’augmentation de la CSG, la réforme de l’ISF, transformé en IFI, et l’exclusion de l’immobilier du prélèvement forfaitaire unique», dénonce Jean Perrin.

Le président de l’UNPI n’oublie pas également de souligner les inquiétudes liées à l’augmentation «massive» de la taxe foncière pour combler le manque à gagner lié à la suppression de la taxe d’habitation. Selon leurs derniers arbitrages, la grande majorité des départements se sont montrés moins gourmands qu’il y a un an. Ce qui, redoute l’UNPI, ne devrait pas être le cas des communes.

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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On ne peut pas forcément rehausser son terrain pour construire – 01/10/2018 06:00:43 – Boursorama

La justice a donné tort à un propriétaire qui pensait avoir forcément le droit de surélever significativement son terrain, car selon lui cela découlait de l’obtention du permis de construire.
Le droit de modifier le terrain, en rehaussant le niveau du sol, n’est pas nécessairement accordé par la délivrance d’un permis de construire. Le bénéficiaire du permis, selon la Cour de cassation, ne doit pas se considérer comme autorisé à exhausser le terrain au prétexte que cela découlerait naturellement de son projet. La Cour, selon ce principe, a donné tort à un justiciable qui était poursuivi pour avoir relevé le terrain sans autorisation ni déclaration. Celui-ci soutenait qu’il était évident, logique et indispensable de niveler la parcelle puisqu’elle présentait une forte pente alors que le projet devait se situer sur un terrain parfaitement horizontal.

En délivrant le permis de construire, disait-il, le maire a nécessairement autorisé ces modifications indispensables du terrain. Mais les juges n’ont pas admis ce raisonnement. Le Code de l’urbanisme ne permet un exhaussement de plus de deux mètres de haut sur plus de cent mètres carrés que si une déclaration a été faite ou s’il est indispensable au permis de construire. Mais ils ont rejeté l’idée d’une déduction logique.

Manque d’une présentation claire
Soit le projet d’exhaussement a été présenté, plans à l’appui, avec le permis de construire, et devient nécessaire à l’exécution de ce permis, soit il n’a pas été clairement présenté et le maire n’avait pas alors à opérer des déductions logiques pour comprendre qu’une telle demande était indispensable et formulée implicitement.

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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Immobilier : Le top 5 des villes françaises les plus chères – 01/10/2018 17:03:18 – Boursorama

Alors que le marché immobilier est en très bonne santé dans les plus grandes métropoles françaises, cinq villes d’Ile-de-France présentent un prix au mètre carré supérieur à 7 000 euros. A part Paris, elles se situent toutes dans le département des Hauts-de-Seine. 

Les prix de l’immobilier continuent de grimper dans les plus grandes villes françaises. Cinq d’entre elles, toutes situées en Ile-deFrance, voient le mètre carré dépasser les 7 000 euros, selon le baromètre LPI-SeLoger.

C’est à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) que les prix sont les plus élevés. Il faut débourser en moyenne 10 344 euros/m² pour acquérir un logement, soit une augmentation de 4,9% sur 12 mois. La commune attire les familles aisées qui profitent d’un cadre de vie préservé et verdoyant, à deux pas de la capitale.

La plus forte hausse à Levallois-Perret
Paris se classe deuxième de ce baromètre avec une hausse de 7% sur 12 mois, pour atteindre 9 857 euros/m². Dans les IVe, VIIe, XVIe et XVIIIe arrondissements, la hausse dépasse les 10%. Le centre de la capitale reste toujours inaccessible. « Les VIIe, VIe et IVe arrondissements affichent des prix au m² de respectivement 13 658 euros, 13 098 euros et 12 819 euros », note Se Loger.

Jouxtant la capitale et le quartier d’affaires de La Défense, Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) bénéficie de la plus forte augmentation avec +12,3 % sur 12 mois et un prix au mètre carré s’affichant à 8 544 euros. Environ 4 500 entreprises et commerces siègent dans la commune la plus dense de France (27 000 habitants au km²). « Ce dynamisme économique, qui attire les investisseurs immobiliers, et la densité de la ville, expliquent en partie la hausse continue des prix des logements », souligne le site spécialisé dans l’immobilier.

Aménagements urbains et verdure
Quatrième ville apparaissant dans ce classement : Boulogne-Billancourt. Les prix au m² se situent à 7 890 euros en moyenne, soit une hausse de +3,4 % sur un an. Forte de plus d’un millier d’entreprises sur son territoire, la deuxième plus grande ville d’Ile-de-France bénéficie d’un cadre verdoyant et d’un renouvellement urbain engagé depuis déjà plusieurs années.

Au Sud des Hauts-de-Seine, Issy-les-Moulineaux ferme ce top 5. Les prix au m² s’affichent à 7 308 euros et sont en hausse de +10,8 %. Le quartier d’affaires et le réaménagement urbain avec les nouveaux éco-quartiers (Fort Numérique et Bords de Seine) privilégiant la verdure et la circulation douce sont des arguments de poids pour les familles qui cherchent un bien.

Sourced through Scoop.it from: www.boursorama.com

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Toulouse : bientôt une nouvelle zone où les véhicules les plus polluants ne pourront plus rouler – actu.fr

Un périmètre encore à définir
D’ici 2020, Toulouse Métropole va compléter le dispositif national instauré lors des très gros pics de pollution. Vendredi 28 septembre 2018, elle a en effet annoncé qu’elle allait mettre en place sur son territoire une zone à faibles émissions (ZFE) dans laquelle les véhicules les plus polluants, toujours en ce basant sur la vignette Crit’Air, ne pourront pas rouler.

Le périmètre géographique, les périodes d’application et le parc de véhicules concernés seront déterminés localement par Toulouse Métropole.

Vendredi 28 septembre 2018, Toulouse Métropole a précisé :

Dans la dynamique de la Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte et dans le cadre de l’appel à projets « Ville Respirable en 5 ans », Toulouse Métropole a lancé en mai 2018, en partenariat avec Atmo-Occitanie et l’Agence d’Urbanisme et d’Aménagement Toulouse (AUAT), une étude pour créer une Zone à Faibles Emissions (ZFE) sur son territoire. Une ZFE est une zone dans laquelle l’accès aux véhicules les plus polluants est interdit, cette sélection étant faite sur la base des vignettes Crit’air. Cette étude doit permettre de déterminer les périmètres géographiques, les périodes d’application et le parc de véhicules concernés par la ZFE.

Seule certitude pour l’heure : la mesure devrait sans nul doute être plus contraignante que le dispositif actuel de la vignette Crit’Air qui nécessite trois jours de très forte pollution pour être déclenché.

Toulouse Métropole s’aligne sur la demande du gouvernement
En mettant sur orbite cette mesure sur son territoire, Toulouse Métropole met en application l’une des 20 mesures visant à favoriser les alternatives à la voiture individuelle, présentées par le gouvernement le 20 juillet 2018. Cette mesure prévoit que la quinzaine des villes les plus polluées de France doivent mettre en place ce type de zone d’ici 2020.

Reste à savoir comment la mesure pourra être appliquée sans que cela ne devienne une usine à gaz. Le gouvernement s’est, en juillet, engagé à mettre en place les conditions pour la rendre faisable. L’instauration du contrôle automatique des plaques à l’entrée de la future zone fait partie des pistes envisagées.

Réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40% en 10 ans…
Toulouse Métropole rappelle « qu’en juin 2018, elle a voté un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) qui comporte 80 actions portées par la collectivité mais aussi par les acteurs économiques, sociaux, associatifs pour la période 2018-2023.

Parmi les axes forts de ce plan, figure notamment un programme d’actions d’ici 2020 autour de trois objectifs prioritaires : la réduction de l’exposition des populations intégrée dans les projets d’aménagement, le développement de solutions alternatives de mobilité (réseau de bus Linéo, réseau vélo, 3e ligne de métro… ) et la sensibilisation des habitants. A l’horizon 2030, l’ambition du PCAET est de parvenir à une réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre (GES) sur le territoire de la Métropole.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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Immobilier de luxe : la maison du « Parrain » de nouveau mise en vente

Le domaine de Beverly Hills ayant servi aux tournages des films de la saga du Parrain, The Godfather, en version originale, est de nouveau mis en vente au prix de 135 millions de dollars.
Si vous rêvez de vous prendre pour Don Corleone, alors cette annonce immobilière est faite pour vous. A Beverly Hills, quartier très huppé de la très ensoleillée et très glamour Los Angeles, un des domaines ayant servi aux tournages de la saga filmée par Francis Ford Coppola est en vente. Prix : 135 millions de dollars, soit 116 millions d’euros, rapporte le Wall Street Journal.

Si le prix pourrait en faire reculer plus d’un, la propriété a toutefois de quoi séduire. Selon le quotidien américain, cette maison est apparue à plusieurs reprises sur le marché américain de l’immobilier ces dix dernières années. Et à chaque fois, son prix semble varier de façon conséquente.

Ainsi, la demeure des Corleone avait été mise en vente en 2007 au prix de 165 millions de dollars (142 millions d’euros), avant d’apparaître une nouvelle fois sur le marché presque dix ans plus tard, en 2016, mais cette fois-ci au prix fort de 195 millions de dollars (167 millions d’euros). Aucun acheteur n’avait semblé intéressé et le domaine avait été retiré du marché.

28 chambres, 38 salles de bain
Les souvenirs laissés par le film de Coppola y seraient-ils pour quelque chose ? Le Wall Street Journal rappelle que l’une des scènes filmées dans la demeure a de quoi marquer de nombreux esprits. On peut y voir Jack Woltz (incarné par John Marley) se réveiller dans l’une des chambres de la demeure avec, dans ses draps, la tête coupée de son cheval favori…

La propriété au style colonial espagnol présente toutefois de sérieux atouts, tous plus démesurés les uns que les autres, précisait Forbes en 2016 : plus de 4.000 mètres carrés de surface comprenant six bâtiments différents, quelque 28 chambres et 38 salles de bain, une bibliothèque de deux étages, un court de tennis, une piscine olympique, un salon de massage, une terrasse capable d’accueillir 400 personnes, etc.

Le domaine avait été acheté en 1927 par le magnat américain de la presse William Randolph Hearst pour la somme de 120.000 dollars (103.000 euros). En 1953, deux ans après la mort de l’homme d’affaires, John Fitzgerald et Jackie Kennedy y avaient passé une partie de leur lune de miel et en 1960, JFK en avait même fait son QG de campagne sur la côte ouest. Une demeure à l’histoire longue et aujourd’hui plus accessible que jamais.

Sourced through Scoop.it from: www.capital.fr