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Quels avantages y a-t-il à défiscaliser avec la location meublée non professionnelle ?

Parmi les dispositifs de défiscalisation liés à l’immobilier, la location meublée non professionnelle permet de bénéficier d’une réduction d’impôt à l’achat et de se décharger des soucis de gestion. Mais il faut se montrer sélectif. Nos conseils.

Pour ceux qui veulent le beurre, l’argent du beurre et la crémière ou le crémier qui vont avec, investir dans une résidence services ou de tourisme semble la solution idéale. Vous bénéficiez du système fiscal favorable de la location meublée, d’une réduction d’impôt à l’achat et vous ne vous occupez pas de la gestion de votre bien. Mais justement, cette gestion peut poser problème !  

Une diminution d’impôt et des loyers peu taxés
Si, en vue d’une location meublée, vous investissez dans un logement neuf, ou de plus de quinze ans mais faisant l’objet de lourds travaux de rénovation, vous bénéficierez de la réduction d’impôt Censi-Bouvard. Elle est égale à 11 % d’un plafond d’achat de 300 000 euros. Soit un total de diminution d’impôt de 33 000 euros lissée sur neuf ans.  

En contrepartie, vous devrez louer votre bien meublé pendant la même période. Vos loyers, quant à eux, sont soumis au régime favorable des loueurs non professionnels. Vous bénéficiez ainsi du système micro-BIC, un abattement forfaitaire avant taxation de 50 %. Pour y avoir droit, vos loyers annuels meublés ne doivent pas excéder 32 900 euros. Si vos charges sont supérieures à ce pourcentage de 50 %, notamment en raison d’un emprunt, vous pouvez opter pour le régime réel qui vous permettra de les déduire en totalité, mais le déficit éventuel ne sera imputable que sur des bénéfices de même nature.  

Des investisseurs et des biens de typologie diverse
Tout va dépendre du type de bien acheté. Si vous optez pour une résidence de tourisme classée, vous aurez le droit d’occuper vous-même votre appartement sur une période prédéterminée. Le reste de l’année, le bien sera exploité par une société de gestion qui vous versera un loyer. Ces logements à la montagne, à la mer ou à campagne sont donc destinés à ceux qui souhaitent avoir une résidence secondaire qu’ils occuperont entre quinze jours et un mois dans l’année et qui leur rapportera un revenu le reste du temps sans avoir à gérer sa location.  

Pour les autres biens procurant l’avantage Censi-Bouvard (établissements médico-sociaux, résidences services pour personnes âgées, résidences étudiants…), il s’agit uniquement de réaliser un investissement locatif rentable. L’investisseur se préoccupera donc du coefficient d’occupation, du sérieux du gestionnaire et de la qualité des prestations proposées, trois critères essentiels pour vous assurer un revenu locatif régulier.  

Des programmes pour toutes les bourses
C’est un investissement accessible. On peut acquérir en province, dans les grandes villes universitaires, des logements étudiants, en général de petits studios, pour moins de 100 000 euros. Pour une belle chambre-studio dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), il faut compter au moins 130 000 euros et parfois dépasser 200 000 euros. Quant aux résidences de tourisme classées, on trouve de petits logements pour 100 000 euros, mais pour un appartement correct à la montagne, il faut compter au moins 200 000 à 250 000 euros, voire beaucoup plus. En effet, pour trouver des vacanciers prêts à payer un loyer élevé, les prestations doivent être à la hauteur.  

Une gestion déléguée sans souci… pendant un temps
Pour un particulier qui n’a pas le temps de s’investir dans la gestion de ses biens, la résidence services est idéale. L’entreprise exploitante meuble, entretient et loue le bien et vous verse un loyer. Si le gestionnaire est de qualité, il n’y a donc aucun souci à se faire.  

Mais lors du renouvellement du contrat liant propriétaires et exploitant, souvent à l’expiration des neuf ans d’engagement de location des acheteurs, il peut y avoir de sérieuses déconvenues. Il est de plus en plus fréquent dans les résidences de tourisme que l’exploitant impose aux propriétaires à la fois des travaux et une baisse des loyers. C’est notamment le cas au Center Parcs du lac d’Ailette, dans l’Aisne, où les copropriétaires se voient exiger 15 000 euros de travaux pour des cottages de 75 mètres carrés, avec une baisse de loyers de 15 à 18 %.

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Renouveau du coeur de Blagnac

La dynamique démographique de Blagnac et l’essor de son pôle économique appellent une modernisation de l’accueil des publics. Pour faciliter le quotidien des Blagnacais, la ville va ouvrir et proposer un guichet d’accueil unique où les usagers pourront désormais effectuer l’ensemble de leurs démarches administratives sur un seul site.

Ce Guichet unique qui deviendra la future porte d’entrée de la mairie, sera situé sur la place des Arts, en lieu et place des bâtiments vacants de l’ancienne école Jean-Moulin dont le déménagement en 2014 permet de repenser aujourd’hui l’organisation urbaine du centre-ville, de réaménager la mairie et de construire un parking souterrain.

En sous-sol de la place des Arts, un parking de 150 places facilitera l’accès des automobilistes au centre-ville ainsi qu’à l’ensemble des commerces et services. La place deviendra une vaste esplanade ouverte sur le quartier accueillant le marché et les animations traditionnelles. Elle sera bordée d’espaces verts et proposera un bel espace arboré à côté du conservatoire. 

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Immobilier : le projet de réaménagement aux Amidonniers en suspens

Début juillet, Voies Navigables de France (VNF) publiait un appel à projets pour la valorisation du site des Amidonniers. Ce projet a finalement été suspendu afin de « poursuivre la démarche de consultation », précise VNF. Le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc avait en effet reproché à l’organisme, dans une lettre ouverte, d’avoir passé outre les procédures de concertation en vigueur et de ne pas tenir compte du PLU (plan local d’urbanisme). Explications.

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Logements neufs : les recours bloquent 40 % de la production à Toulouse

Le marché du logement neuf à Toulouse est en plein essor, mais il est pénalisé par un nombre considérable de recours portés par les particuliers ou associations. Ce matin, lors des Rencontres de l’Immobilier organisées par la rédaction de La Tribune Toulouse, promoteurs et aménageurs ont donné leur vision du secteur.

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Bientôt une tour en bois de 10 étages à la Cartoucherie

Toulouse fait partie des lauréats de l’appel à manifestation d’intérêt lancé par l’association ADIVBois pour construire 36 immeubles de grande hauteur en bois dans toute la France dès l’an prochain. La Ville rose aura donc sa première tour en bois à la Cartoucherie en 2018.
En 2014, la filière bois a été reconnue comme 14e filière stratégique nationale, au même titre que l’aéronautique, l’automobile, le numérique ou encore la mode et l

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1,5 million d’euros pour aider les toulousains à devenir propriétaires en 2017

La ville de Toulouse lance le mois prochain un nouveau dispositif d’aide à l’accession sociale à la propriété. Ce prêt à taux zéro facilitera l’achat d’un premier logement neuf ou ancien et bénéficiera d’une enveloppe de 1,5 million d’euros en 2017.
Annoncé dès l’arrivée de Jean-Luc Moudenc à la mairie de Toulouse en 2014, le nouveau prêt à taux zéro (PTZ) municipal verra le jour avant la fin de l’année et remplacera le dispositif premier logement instauré en avril 2011.

Remboursable sur une durée de 10, 12 et 15 ans, ce nouveau prêt d’accession toulousain concerne les primo accédants qui habitent à Toulouse depuis plus d’un an et souhaitent acheter un logement neuf ou ancien.

Tous les logements anciens de plus de cinq ans (contre quatorze auparavant), situés sur l’ensemble du territoire communal sont éligibles au dispositif. Pour les achats de logements neufs, le prêt concerne en revanche uniquement des biens situés dans l’un des quartiers prioritaires identifiés dans le cadre du contrat de ville. A savoir le grand Mirail, Mirail université, Reynerie, Bellefontaine, Milan, Bagatelle, La Faourette, Papus, Tabar, Bordelongue, Les Pradettes, Arènes, Cépière-Beauregard, Izards-La Vache, Bourbaki, Negreneys, La Gloire, Soupetard, Empalot, Breguet-Lécrivain et les Maraîchers.

L’enveloppe forfaitaire pour l’achat d’un logement ancien est de 6000 euros et de 10 000 euros pour un logement neuf. Les conditions d’obtention ont été élargies avec notamment des plafonds de ressources calés sur ceux du prêt à taux zéro de l’Etat.

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Comment comparer les offres des crédits immobiliers ?

Vous souhaitez souscrire à un crédit immobilier et vous n’avez pas encore fait votre choix ? Prenez le temps de comparer les offres afin de choisir la moins coûteuse et la plus adaptée à vos besoins.

Il est impératif de comparer plusieurs offres de crédits immobiliers afin de ne pas payer plus cher que vous ne le devriez. Pour y voir plus clair, vous pouvez vous appuyer sur ces

 

4 astuces :

 

Faites appel à un courtier pour décrocher un meilleur taux.
Sollicitez plusieurs établissement bancaires.
Prenez en compte tous les frais annexes.
Assurez-vous de bénéficier de l’option crédit modulable ou transférable.

 

1. Faites appel à un courtier pour décrocher un meilleur taux
Le moyen le plus sûr et le plus rapide pour comparer les différentes offres de crédits immobiliers, c’est de faire appel à un courtier en crédit immobilier qui va se charger de comparer les offres afin d’en retirer la plus intéressante et de négocier différents critères auprès des banques afin de vous apporter des offres encore plus avantageuses : le taux de crédit immobilier, les options telles que le crédit modulable, le coût de l’assurance emprunteur, etc.

N’oubliez pas de toujours comparer le coût global de l’offre, avant d’étudier de près les différents éléments un par un.

 

2. Sollicitez plusieurs établissements bancaires
Si vous ne souhaitez pas confier votre dossier à un courtier, vous allez devoir solliciter plusieurs établissements afin de comparer les offres de crédits immobiliers de chacun. Et pour que la comparaison soit fiable, il va falloir que votre projet soit abouti afin que vous puissiez fournir les mêmes informations et obtenir des offres comparables.

Choisissez bien entre taux fixe et taux variable, prenez le temps de vous renseigner.

Taux variables ou taux fixes ?
Avec des taux fixes, il vous faudra comparer les taux nominaux des crédits hors assurance.
Avec des taux variables, vous n’avez pas la garantie que votre taux reste stable. Il peut aussi bien baisser qu’augmenter durant toute la durée du prêt.

3. Prenez en compte tous les frais annexes
Dans une offre de crédit immobilier, les taux ne sont pas les seuls éléments à vérifier. Un crédit immobilier comporte en effet de nombreux frais et vous allez devoir comparer le montant de ces frais pour chacune des offres que vous avez reçues :
L’assurance du prêt immobilier
Vérifiez bien le coût et les garanties de l’assurance, en vous penchant sur les taux, puisque certains sont liés au capital restant dû et d’autres portent sur le capital initial. Pour ne pas faire d’erreur, regardez le coût total de l’assurance sur toute la durée du crédit.

Bon à savoir :
Les frais de dossier s’élèvent en moyenne à 600 € mais ce montant varie d’une banque ou d’un courtier à l’autre, alors n’oubliez pas de comparer ces montants.

La garantie du crédit immobilier
Vous pouvez vous voir proposer l’hypothèque ou les organismes de caution. Dans le premier cas, c’est la vente du bien au bénéfice de la banque qui sert de garantie. Dans le second cas, c’est une société gérant un fond mutualisé qui se substitue à l’emprunteur défaillant.

Les indemnités de remboursement
Si vous comptez revendre votre bien avant la fin du crédit, vous devez être attentif aux indemnités de remboursement anticipé, car vous serez soumis à des pénalités pouvant s’avérer élevées.

Bon à savoir :
N’oubliez pas de comparer également les différentes offres de crédit en fonction de votre apport et des aides que vous pouvez obtenir, tel que le PTZ, par exemple. Votre capacité d’emprunt pourra également varier d’une banque à l’autre.

4. Assurez-vous de bénéficier de l’option crédit modulable ou transférable.

Parmi les options à étudier lorsque vous comparez les différentes offres de crédits, il y a l’option crédit modulable. Vous pouvez choisir d’augmenter progressivement vos mensualités au cours du crédit afin de diminuer le coût total, mais vous pouvez également baisser les mensualités, ce qui augmentera la durée du prêt. Cette option est intéressante si vos revenus sont variables et si vous prévoyez des dépenses importantes à certaines périodes. Il y a aussi l’option crédit transférable qui permet de conserver ces taux bas pour votre future acquisition durant le temps qu’il vous restait à rembourser le crédit initial. Si besoin, vous compléterez avec un nouveau prêt au taux applicable à ce moment-là et vous pourrez aussi demander un lissage pour obtenir des mensualités fixes pendant toute la durée du prêt.

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2016 : Top 10 des villes où le prix de l’immobilier a le plus augmenté !

Nîmes, Metz, Bordeaux, Le Mans… Découvrez le palmarès des dix villes françaises où le prix de l’immobilier s’est envolé en 2016 !

 

+10 % sur les prix de l’immobilier à Nîmes et à Metz !

Décrochent respectivement les médailles d’or, d’argent et de bronze de notre classement, Nîmes, Metz et Bordeaux. Dans la Cité des Antonins, les appartements ont enregistré une hausse de 11,5 % en un an pour un prix qui avoisine actuellement les 2 052 € au m². Du côté de la Ville de la Mirabelle, la progression annuelle atteint 10 % pour un prix moyen au m² de 2 235 €. Quant à la Belle Endormie, ce sont 9,5 % qui ont été gagnés sur les douze derniers mois. À Bordeaux, le m² se monnaye désormais aux alentours de 3 667 €. À la 4e place de notre palmarès, on retrouve Le Mans. Avec une progression de 9 % sur l’année pour un prix moyen au m² de 1 920 €, le moins que l’on puisse dire est qu’immobilièrement parlant, la Cité Mancelle se porte bien.

 

Toulouse et Strasbourg gagnent près de 5 % au m²

Affichant toutes les quatre une nette tendance haussière avec des progressions sur leurs prix immobiliers allant de + 5,1 % à + 6,9 %, Nantes (3 117 € du m²), Limoges (1 513 €), Mulhouse (1 436 €) et Nice (4 066 €) se tiennent dans un mouchoir de poche. Enfin, Strasbourg (3 168 €) et Toulouse (2 962 €) complètent notre top 10 avec plus de 4 % de hausse (+ 4,7 % pour être précis) sur les prix des appartements.

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