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Les seniors privilégient l’investissement locatif pour complémenter leur retraite !

L’immobilier pour sécuriser la retraite !
L’étude menée par Foncia révèle que les propriétaires-bailleurs investissent dans l’immobilier principalement pour sécuriser leur retraite, puisque les loyers perçus représentent un complément de revenu pour 36 % d’entre eux. Ainsi, les Français sont 32 % à estimer que l’investissement immobilier est un placement sûr et fiable dans le temps. D’ailleurs, un peu plus d’un Français sur 10 est propriétaire d’un logement qu’il met en location, et 58 % des bailleurs affirment envisager de revendre le logement dans lequel ils ont investi lors de leur passage à la retraite. 
Chiffre clé
69 % des Français de plus de 65 ans sont propriétaires ou copropriétaires de leur logement.
Un tiers des seniors déménage en devenant retraité
Les Français affirment, pour 36 % d’entre eux, vouloir déménager à la retraite, et c’est une réalité pour 31 % des seniors qui choisissent effectivement de changer de lieu de résidence. Ces retraités font le choix de déménager pour des raisons généralement motivées par le plaisir et le confort, puisque 33 % des seniors partent dans un lieu qui leur est cher, 31 % d’entre eux pour pouvoir profiter d’un climat plus agréable, et 19 % des retraités pour se rapprocher de leurs enfants.
56 % des retraités ne souhaitent pas revendre leur logement !
Si un tiers des seniors déménage lors du passage à la retraite, 2 propriétaires sur 3 refuseraient en revanche de vendre leur bien à terme. 56 % d’entre eux ne le souhaitent pas afin de pouvoir transmettre le bien à leurs enfants, et 34 % le conservent pour des raisons affectives. De même, le viager est une option qui n’attire que peu de Français, puisque c’est l’option choisie par seulement 13 % des seniors.

Sourced through Scoop.it from: edito.seloger.com

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Quel loyer prévoir dans les grandes villes pour un logement étudiant ?

Vous êtes admis à l’université ? SeLoger vous livre un état des lieux du logement étudiant en France pour vous donner une idée des prix.

Prix moyens d’un studio 1 pièce de 323 € à 852 €
Logement étudiant par excellence des étudiants, le studio 1 pièce affiche des loyers très variables en France. Un grand écart même entre la capitale où il va vous falloir compter avec un loyer moyen de 852 € et certaines villes moyennes de province comme Saint-Étienne où l’addition mensuelle tombe à 323 € ! Quelle que soit la ville universitaire, les agences immobilières demeurent le meilleur moyen de trouver un logement étudiant. Il vous coûtera pour ce service l’équivalent d’un loyer et sachez que les propriétaires ont tendance à privilégier les étudiants boursiers.

Un bail de courte durée et sans dépôt de garantie
A la fin de l’année ou dès 2018, un bail mobilité, d’une durée allant de 1 mois à 10 mois, destiné principalement aux personnes en formation professionnelle et aux étudiants, sans aucun dépot de garantie, sera mis en place avec l’extension de la garantie Visale, financée par Action Logement.
Pour 500 à 750 €, vous pouvez avoir comme surface un 74 m² ou un 19 m² 
Là encore les différences d’une ville à l’autre sont très marquées. Vous obtiendrez plus de 74 m² à Saint-Étienne tandis qu’il vous faudra vous contenter de moins de 19 m² à Paris. Les grandes surfaces sont d’autant plus avantageuses qu’elles permettent d’envisager une colocation avec à la clé un partage très intéressant du loyer. Vous pourrez aisément trouver un colocataire sur le Web. De nombreux sites sont en effet consacrés à cette solution intelligente en matière de logement étudiant comme Appartager.com.

Les logements étudiants les moins chers : Saint-Étienne, Brest et Poitiers !
Paris avec 852 € / mois pour un studio, suivi de Nice avec 542 € et Lyon avec 502 € affichent les loyers les plus élevés de France métropolitaine en matière de logement étudiant. Comme toujours, plus le logement est situé en centre-ville, plus son prix est élevé. Il vous faudra peut-être, dans ces trois villes bien dotées dans les transports en commun, opter pour une solution un peu plus éloignée mais plus abordable. À l’opposé, Saint-Étienne avec 323 € / mois, Brest avec 328 € et Poitiers avec 330 € proposent les logements étudiants les moins chers de France.

Loyer élevé ne rime pas avec grande surface !
Malheureusement, en matière de logement étudiant, loyer cher ne rime pas avec grande surface : c’est même tout à fait l’inverse ! Paris avec 18,91 m², Lille avec 42,39 m² et Nice avec 34 m² offrent les surfaces les plus étriquées. Saint-Étienne avec 74,42 m², Brest avec 70,54 m² et Troyes avec 67,34 m² proposent les appartements les plus vastes.

Comment constituer votre dossier de location ?
Présentez-vous aux agences de votre ville avec un dossier complet. Vous gagnerez en temps et en efficacité. Celui-ci comprendra :
La copie de votre pièce d’identité.
La copie de votre carte d’étudiant ou de votre attestation d’inscription.
Une attestation d’hébergement si vous résidiez précédemment chez vos parents.
La copie de vos 3 dernières quittances de loyers si vous étiez locataire.
La copie de la pièce d’identité de votre garant.
La copie de ses 3 derniers bulletins de salaire.
La copie de son contrat de travail.
La copie de son avis d’imposition.

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Un marché de la maison en demi-teinte au 1er semestre 2017 !

ur le marché de la maison individuelle, après un premier trimestre dynamique, le second montre des signes d’essoufflement liés à la période électorale. Mais la tendance pourrait s’installer avec la réforme annoncée du PTZ version 2018.

Maison individuelle : -1,9 % au 2e trimestre ! 
Avec une croissance de + 15, 8 % au premier trimestre 2017 comparée à la même époque de 2016, le marché de la maison individuelle a fait grise mine au second trimestre, affichant un recul de 1,9 % par rapport au deuxième trimestre 2016. Une contre-performance pas trop inquiétante selon le syndicat LCA-FFB, due vraisemblablement à la longue période électorale. Toutefois, c’est la première baisse depuis 2014. Malgré tout, les ventes restent supérieures à celles des quatre années précédentes, estimées entre 135 000 et 140 000 unités.
+ 15 % de mises en chantier sur 1 an

Sur une année, les mises en chantier enregistrent une belle hausse. 

Bretagne, Pays de Loire et Paca tirent leur épingle du jeu
Avec une croissance respective de 14 %, 4 % et 2 %, ces trois régions, où la maison individuelle est majeure en termes de mode d’habitat, tirent leur épingle du jeu. Les autres secteurs ont connu une baisse au deuxième trimestre de 1 à 11 %  alors qu’elles affichaient un bon premier trimestre. La Normandie accuse une chute de 11 %, les Hauts-de-France 9 %, l’Occitanie 7 %…
La maison bretonne cartonne : + 14 % au 2e trimestre ! 

De nombreuses régions accusent une baisse.

PTZ 2018 = beaucoup d’inquiétude pour les prochaines années
Les mesures prévues par le gouvernement, notamment la suppression du prêt à taux zéro (PTZ) dans les zones B2 et C inquiètent les constructeurs de maisons individuelles. La courbe, ci-dessous, illustre les tendances longues du marché. La chute des ventes dans les années 2013 et 2014 est liée à la mise en place d’un PTZ restrictif notamment en matière de différé de remboursement. La reprise, en 2015, correspond à la « révision » du PTZ.
Les ventes des maisons devraient atteindre 140 000 unités en 2017

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Nantes : un HLM construit en seulement 3 jours grâce à l’impression 3D !

Nantes : un HLM construit en seulement 3 jours grâce à l’impression 3D !

Si l’on entend parler d’impression 3D pour des objets et des prototypes, on sait d’ores et déjà que la technique peut être appliquée au bâtiment. C’est le pari de l’agence nantaise TICA, qui a décidé de réaliser un HLM grâce à l’impression 3D. 

À Nantes, seulement 3 jours pour réaliser 95 m² grâce à l’impression 3D

Trois semaines sur un chantier traditionnel : c’est habituellement le temps qu’il faut pour réaliser une bâtisse de 95 m². L’université et la métropole de Nantes se sont alliées pour en réaliser une en seulement 3 jours. La prouesse est rendue possible grâce à une technique révolutionnaire de fabrication additive robotisée : BatiPrint 3D, brevetée par l’université de Nantes. Le projet, appelé  «YHNOVA» , est réalisé dans le cadre de la Nantes Digital Week, dans le quartier de la Bottière, à Nantes. 

Sourced through Scoop.it from: edito.selogerneuf.com

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Les nouveaux propriétaires dépensent en moyenne 45 000 € pour rénover leur logement !

Après une très belle année 2016, le marché de la rénovation poursuit son embellie en 2017. Près de 35 % des Français prévoient de continuer ou de démarrer des travaux dans les prochains mois.

Budget rénovation pour les nouveaux propriétaires : 45 792 €
Pour Nino Sitchinava, économiste au sein de la plate-forme « Houzz » spécialisée dans la rénovation, « si la majorité des rénovations sont menées par des propriétaires désireux d’améliorer la résidence principale dans laquelle ils vivent depuis plusieurs années, les nouveaux propriétaires représentent également une part importante de ce marché. » Ces derniers ont tendance à engager des travaux de rénovation de plus grande envergure, pour des montants plus élevés, et sont plus enclins à engager des professionnels pour les y aider (87 % contre 75 % pour les propriétaires établis). Les nouveaux propriétaires dépensent 45 792 € en moyenne contre 37 514 € pour les autres. 

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Toulouse : voici le périmètre où certains véhicules seraient interdits les jours de pollution

C’est un document envoyé à plusieurs associations d’usagers de la route, et auquel Actu Toulouse a eu accès. Le préfet de Haute-Garonne et d’Occitanie, Pascal Mailhos, y présente une ébauche de son plan de circulation différenciée. Ce plan a pour objectif de faire face à une crise de pollution atmosphérique (particules fines) importante comme on a pu en connaître ces dernières années. Depuis 2016, pas moins de 11 épisodes de la sorte ont concerné la Haute-Garonne.

Une zone de 50 km2

Parmi les mesures auxquelles réfléchit la préfecture, il y a celle de la mise en place d’une zone de circulation restreinte (ZCR) de 50 km2 sur le département. Celle-ci concerne l’intérieur du périphérique toulousain, excluant le périphérique lui-même. « Cette zone est desservie par un réseau de transports en commune dense ; son identification par le public est facile ; elle permet des solutions d’évitement ; les moyens d’information des usagers de la route y sont nombreux (panneaux à message variable) ; l’application des mesures y est facile à contrôler », justifie le préfet dans ce document.

C’est-à-dire que, dans cette zone, la circulation de certains véhicules sera interdite à partir du 2e jour de pollution, « après la consultation d’un comité d’experts ». Quant aux véhicules concernés, cela dépendra de leur émission polluante, déterminée par les vignettes Crit’air. Seraient interdits de la circulation dans ce périmètre les voitures diesel d’avant 2005 et les poids lourd diesel avant 2009. Tous les véhicules sans vignette seraient aussi interdits.

Sourced through Scoop.it from: actu.fr

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«Le propriétaire d’un appartement familial dans une grande ville, dernier à payer l’ISF»

TRIBUNE – Mesurons l’amertume des contribuables qui vont continuer à payer l’ISF après la réforme, souligne l’économiste Pascal Salin.

Conformément à son programme, Emmanuel Macron entend supprimer l’ISF pour les actifs financiers, mais pas pour l’immobilier. Cette proposition est d’autant plus critiquée qu’il existe depuis longtemps en France une opinion – totalement erronée – qui considère que le capital est moins taxé que le travail. À cela s’ajoute le préjugé idéologique courant à l’encontre du capitalisme. Dans ces conditions, affirmer que le capital est surtaxé – comme le soutient l’auteur de ces lignes – peut paraître étrange. Telle est pourtant la réalité.

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Crédit immobilier: ce que votre banque peut vous imposer et ce que vous pouvez refuser

À partir de janvier 2018, un emprunteur ne sera plus obligé de domicilier ses revenus pendant toute la durée de son crédit dans l’établissement qui lui a accordé un prêt. Tout ce qu’il faut savoir quand on emprunte.

La pierre séduit plus que jamais les Français. Le nombre de ventes immobilières recensées par les notaires de France a atteint ces derniers mois des niveaux inédits. La faiblesse des taux d’intérêt, qui ne sont que légèrement remontés depuis leur plus bas atteint en décembre 2016, constitue en effet une aubaine pour les emprunteurs… et pour les banques, qui glanent ainsi de nouveaux clients. Mais face à tel afflux de demandes, certaines sélectionnent de plus en plus sévèrement les profils des emprunteurs, ou conditionnent désormais l’octroi d’un bon taux à la souscription de produits annexes. Objectif: rentabiliser des prêts immobiliers sur lesquels leurs marges sont réduites à la portion congrue. «Les banques sont particulièrement attentives ces derniers mois à capter une clientèle avec laquelle elles peuvent construire une relation de long terme», constate Sandrine Allonier, directrice des relations banques du courtier Vousfinancer.

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Assurance habitation : un nouvel outil vous permet de comparer les tarifs

Une hausse de 20% en cinq ans! C’est le parcours emprunté par le tarif moyen de l’assurance habitation qui est passée, en France, d’environ 211 à 253 euros. Face à cette envolée des prix, l’UFC-Que Choisir a décidé de lancer un comparateur qui, souligne l’association, est indépendant. «C’est l’antidote au matraquage tarifaire des clients fidèles», assure l’association de consommateurs.

Disponible librement en ligne jusqu’au 31 décembre prochain, cet outil évalue les contrats de 23 sociétés quel que soit leur statut (mutuelles, assureurs ou bancassureurs) et couvre 95% des contrats souscrits par les consommateurs, souligne l’association. Pour ce faire, l’UFC-Que Choisir vous propose, dans un premier temps, de renseigner votre situation (locataire ou propriétaire), votre type de logement (appartement ou maison) et votre code postal de référence. Pour information, si vous déclarez être propriétaire d’un appartement, le comparateur choisit automatiquement un 3-pièces. Idem si vous êtes locataire d’une maison, l’association prend l’exemple, pour une simulation, d’une maison de 4 pièces.

Un détail plutôt surprenant: l’outil ne prend pas en référence la ville correspondante au code postal que vous avez renseigné. Ainsi, si vous habitez Paris (quel que soit votre arrondissement), l’UFC-Que Choisir s’appuie sur les tarifications en vigueur à… Clamart (92). Pour Marseille, ce sera Montpellier qui sera pris en référence. Idem pour Lyon. «Nous n’avons pas mené les enquêtes dans toutes les communes de France, répond l’association. C’est pourquoi la tarification proposée n’est pas celle de la commune en question mais celle d’une ville de référence qui présente un risque assurantiel proche (tissu urbain, sinistralité) et donc des tarifs de contrats d’assurances habitation comparables».
Obligatoire et résiliable à tout moment après un an

Une fois que vous avez renseigné ces critères, le comparateur vous suggère une liste des différentes offres correspondant à votre profil. L’outil, qui renseigne le tarif annuel pour chacun des contrats proposés, note également cinq critères – dommages aux biens, l’indemnisation, les garanties annexes, l’assistance et la responsabilité civile – et vous donne une appréciation globale. À titre d’exemple, les tarifs, pour un propriétaire habitant un appartement à Paris, vont de 243,9 euros par an (Matmut) à 540,27 euros (GMF). Et si vous êtes locataire d’un studio ou d’un 2-pièces à Paris, les prix sont compris entre 128,19 euros (Amaguiz qui appartient à Groupama) et 273 euros (Axa). Vous avez également la possibilité de filtrer votre recherche en choisissant vous-même votre assureur ou encore la fourchette de tarifs. Si votre contrat d’assurance habitation ne vous satisfait pas, sachez que, depuis 2015, la loi Hamon vous permet de changer à tout moment, après un an, votre contrat d’assurance habitation en adressant à votre assureur un courrier recommandé avec accusé de réception.

Pour rappel, que vous soyez locataire ou propriétaire, la loi (loi Alur de 2014) vous impose de prendre une assurance habitation pour votre logement. Dans le premier cas, sachez que si vous ne le faites pas, votre propriétaire est en droit de souscrire à votre place un contrat d’assurance habitation et de vous en facturer le coût dans le loyer, au prorata de la durée du bail. Si vous êtes propriétaires, vous n’êtes pas obligés de prendre une assurance habitation si vous ne vivez pas dans une copropriété. Mais dans les faits, il reste évidemment plus prudent d’en souscrire une. En effet, en cas de sinistre dont le propriétaire serait responsable, tous les dégâts causés à autrui (notamment aux voisins) seraient entièrement à sa charge.

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Les frais d’achat dans le neuf

Pour un investissement immobilier dans le neuf, de nombreux frais viennent s’ajouter au prix de vente. Pensez à tous les identifier et à bien évaluer leur coût pour établir votre budget global de manière fiable.
Les frais de notaire dans le neuf

Les frais exigés par votre notaire correspondent à ses honoraires et aux taxes perçues par l’Etat. Les honoraires varient en fonction de la valeur du bien, de l’importance de l’emprunt et des garanties prises. Par ailleurs, il faut penser à y ajouter les frais notariés annexes d’environ 1000 euros.
Quant aux taxes reversées à L’Etat, il s’agit de la taxe de publicité foncière (0,715% du prix de vente HT) et de la contribution de sécurité immobilière correspondant à 0,1% du prix du bien. Il faut donc ajouter au prix d’achat du bien immobilier des frais variant entre 3 et 4% de son montant (contre 6 à 8% pour un investissement dans l’ancien).
Bon à savoir
Les émoluments notariés sont soumis à une TVA au taux de 20%.
Les frais d’achat liés à l’emprunt bancaire

La souscription à un crédit immobilier a un coût. Les intérêts d’abord, dont le montant varie en fonction du taux proposé par la banque. Le taux proposé par votre établissement financier prêteur dépend principalement de deux critères: la somme empruntée et le délai de remboursement. Cependant, il faut également compter les frais de dossier évalués à environ 1% de la valeur du prêt. Sans oublier la garantie (hypothèque ou caution) et l’assurance décès-invalidité qui s’élèvent toutes deux entre 1,5 et 2% du montant de l’emprunt.

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