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À Paris, avec le smic, on peut acheter seulement 10 mètres carrés

À Paris, une personne payée au smic (qui a augmenté de 1,24% sans coup de pouce supplémentaire) peut aujourd’hui acheter un logement de 10 m², soit exactement la même taille que sept ans auparavant. Dans la capitale, la baisse des taux d’emprunt a été compensée par l’envolée (+39%), entre 2010 et 2017, des prix immobiliers qui devraient, selon les prévisions des notaires, frôler les 9200 euros par m² en janvier. «À Paris, il n’y a pas de raison que la hausse des prix s’arrête brutalement, estime Me Thierry Delesalle, notaire dans la capitale. Il y a peu de produits disponibles, les taux d’intérêt sont toujours aussi bas et la durée des prêts s’allonge.»

À l’inverse des Parisiens, la plupart des autres actifs au smic ont vu leur accès à la propriété facilité par rapport à 2010. Leur capacité d’emprunt avec un salaire minimum et un crédit sur 25 ans a progressé, entre 2010 et aujourd’hui, de 41%, passant de 66.300 à 93.506 euros, selon une étude publiée ce mardi par le courtier immobilier Vousfinancer qui a analysé 12 villes françaises. La raison? La baisse des taux d’intérêt qui ont été divisés par plus de deux sur la même période (de 3,95% à 1,80%).

C’est ainsi qu’à Grenoble, Rouen et Marseille, les personnes qui touchent un salaire mensuel brut de 1498,5 euros (au 1er janvier 2018) ont vu leur pouvoir d’achat immobilier (c’est-à-dire le nombre de mètres carrés achetés), entre 2010 et 2018, augmenter de respectivement 15, 14 et 11 m² (voir notre infographie ci-dessous). Soit l’équivalent de la surface d’une chambre. Outre la baisse des taux, les actifs au salaire minimum habitant ces trois villes bénéficient également de la baisse des prix (de -1% à -6% entre 2010 et 2018). Ils peuvent désormais se porter acquéreurs d’un deux-pièces d’une surface comprise entre 40 et 43 m². «Il est possible d’emprunter avec des revenus équivalents au smic à condition de ne pas afficher un taux d’endettement supérieur à 33%, souligne Sandrine Allonier, directrice des relations banques de Vousfinancer.

Bordeaux est la seule ville où le pouvoir d’achat immobilier des personnes payées au smic a diminué, de 4 m² exactement. Reliée désormais à Paris en un peu plus de deux heures (contre 3h14 jusque-là), la préfecture de la Gironde a vu ses prix immobiliers flamber de plus de 62% ces sept dernières années. Conséquence: les smicards ne peuvent plus y acheter qu’un 26 m² là où ils pouvaient convoiter un 30 m² en 2010.

A Lyon, le pouvoir d’achat immobilier a progressé, mais la surface que les personnes payées au smic peuvent acheter reste réduite (26 m²). Ces calculs ne tiennent toutefois pas compte des dispositifs d’aide à l’accession tels que le prêt à taux zéro ou encore l’APL accession qui ont été partiellement maintenus et qui permettent d’acheter plus grand.

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Mauvaise nouvelle pour l’APL accession !

 

Le projet de loi de finances 2018 a été définitivement validé par l’Assemblée Nationale ce jeudi. Parmi les mesures polémiques adoptées figure l’évolution de l’APL accession qui faisait partie du fameux article 52 relatif à la réforme des aides au logement.

Le gouvernement a finalement réussi à faire supprimer l’APL accession dans le neuf à partir du 1er janvier 2018, tout en maintenant cette aide pour 2 ans dans l’ancien, mais seulement dans certaines zones détendues. Un arrêté ministériel doit maintenant préciser lesquelles des communes ne se caractérisant pas par un déséquilibre important entre l’offre et la demande de logements entraînant des difficultés d’accès au logement dans le parc résidentiel existant satisfont à ces conditions de zones détendues.

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Taxe d’habitation, ISF, Pinel… les principales mesures du budget 2018

Les députés ont adopté jeudi le projet de loi de finances pour 2018. Retour sur les principales mesures qui concernent propriétaires comme locataires.
(LaVieImmo.com) – Voici les principales mesures du projet de loi de finances pour 2018, définitivement adopté jeudi par le Parlement. Ne sont sélectionnées que celles qui touchent de près ou de loin au marché immobilier.
Taxe d’habitation

La réforme de la taxe d’habitation débutera par une première baisse de 30% en 2018, soit 3 milliards d’euros. Près de 80% des foyers actuellement assujettis à cet impôt, soit plus de 17 millions de ménages, seront concernés.
Deux étapes similaires suivront en 2019 et 2020, avec des réductions de 6,6 milliards d’euros et de 10,1 milliards, aboutissant à la suppression de cette taxe pour les ménages concernés. Le gouvernement a promis de compenser « à l’euro près » le manque à gagner pour les communes.

 

Impôt sur la fortune

L’ISF, qui touche aujourd’hui 351.000 foyers dont le patrimoine dépasse 1,3 million d’euros, sera transformé en « impôt sur la fortune immobilière » (IFI), de façon à inciter les épargnants aisés à investir dans les entreprises. Cette réforme devrait entraîner un manque à gagner de près de 3,2 milliards d’euros pour l’État. En 2016, l’ISF a rapporté près de 5 milliards.
les députés ont augmenté la taxation de certains biens de luxe. Ils ont taxé les propriétaires de grands bateaux de plaisance, augmenté la taxe sur la cession des métaux précieux et créé une taxe additionnelle pour les voitures de sport. Mais le tout ne devrait rapporter qu’entre 40 et 50 millions d’euros.
« Flat tax »

Un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30%, parfois qualifié de « flat tax », sera mis en place sur les revenus mobiliers, exceptés Livret A, PEA (épargne en actions) et contrats d’assurance-vie de moins de 150.000 euros gardés plus de huit ans.
Cette réforme, visant à simplifier la fiscalité du capital et à la rapprocher du niveau des autres pays européens, coûtera 1,3 milliard d’euros en 2018.

La réduction d’impôt sur le revenu (« Madelin ») pour un investissement dans les PME passe de 18 à 25% sous un plafond de 10.000 euros.
Fiscalité énergétique

La taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) augmentera de 2,6 centimes par litre de gazole chaque année pendant quatre ans, pour s’aligner sur la fiscalité de l’essence.
Avec la hausse programmée de la taxe carbone, la taxation du gazole devrait rapporter 3,7 milliards d’euros de plus à l’État en 2018. Le crédit d’impôt transition énergétique (CITE) est réduit et même supprimé là où le bénéfice environnemental est faible.
Le Pinel et le PTZ prolongés mais rétrécis

L’avantage fiscal « Pinel » pour les particuliers achetant un logement pour le louer est prorogé pour quatre ans mais réduit aux zones tendues. Dans les autres zones (B2 et C), le logement devra être acquis avant fin 2018. De même le prêt à taux zéro (PTZ) dans le neuf ne sera maintenu que pendant deux ans en zone B2 et C.
Avec AFP

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Immobilier : attention aux fausses promesses des artisans en rénovation

Si rénover son logement permet d’augmenter le prix de son bien, les propriétaires font souvent face à des artisans peu scrupuleux. Malfaçons et fausses promesses sont légion. Nos conseils pour ne pas vous faire avoir.

En moyenne, 20.000 euros : voilà ce que les audacieux dépensent pour une rénovation thermique complète de leur maison (doubles vitrages, isolation de la toiture et des murs), selon les fédérations professionnelles du bâtiment. Ils devraient d’ailleurs être de plus en plus nombreux, la loi pour la transition énergétique fixant, au sein du parc privé, l’objectif annuel en la matière à 380.000 logements. Pour les principaux concernés, il y a en apparence gros à gagner : une étude des notaires montre qu’une maison aux performances énergétiques classées D (le milieu de gamme) se vend 8% plus cher qu’une passoire thermique notée E ou F en petite couronne parisienne, et jusqu’à 20% plus cher en Occitanie.

Le hic, c’est que les promesses de performance formulées par les artisans spécialisés sont rarement tenues, ceux-ci n’ayant aucune obligation de résultat et n’étant soumis à aucun contrôle. Impossible, dès lors, de dire si vos travaux seront amortis au bout de dix ans, quinze ans ou… un jour. “La ouate de cellulose écologique posée dans les combles perdus de ma maison ne devait quasiment pas s’aplatir, selon l’artisan missionné. Quelques années plus tard, son épaisseur est déjà passée de 40 à 30 centimètres. Soit un tassement de 25% !”, déplore ainsi Guido Muyshondt, propriétaire à Lisle-sur-Tarn (81). Parfois, c’est le matériel installé qui n’est pas adapté à la bâtisse. “La chaudière à bois préconisée consomme le triple de la consommation en granulés promise, pour avoir une température tout juste confortable pour mes locataires”, s’emporte Yves, un bailleur d’Assé-le-Boisne, dans la Sarthe.

C’est encore pire en matière d’installation de panneaux photovoltaïques, que certains vendeurs n’hésitent pas à présenter comme une opération blanche, les subventions et les tarifs de rachat garantis par EDF devant couvrir les mensualités du crédit. Un discours servi à notre témoin, dont la maison se situe pourtant… à Loos, dans le Nord ! Sachez que les recours, en la matière, sont quasiment nuls, les professionnels se gardant bien de coucher leurs promesses sur un devis, qui risquerait ensuite de leur être opposable. “Et inutile d’espérer que les assureurs couvrent un jour ce risque, tant le secteur n’est pas structuré”, déplore Nicolas Mouchnino, chargé d’études à l’UFC-Que choisir. Pour un moindre mal, mieux vaudra, parmi les artisans disposant du label Reconnu garant de l’environnement (RGE, désormais obligatoire pour accéder aux aides d’Etat), privilégier ceux estampillés “offre globale”. Une étude de l’UFC-Que choisir a en effet montré que 40% d’entre eux étudiaient au moins deux des trois critères indispensables à l’évaluation efficace d’un bâti. Contre 27% de ceux spécialisés sur une seule thématique, et… 0% de ceux affichant la simple étiquette Eco Artisan.

A ces fausses promesses s’ajoutent, le plus souvent, les traditionnelles malfaçons. Exemple avec la famille Chevalier-Boudon : la laine de verre, soufflée dans leurs combles par un artisan sous franchise, interdit désormais tout accès à leur installation de VMC, tombée en panne. Quant à Guido Muyshondt, il doit lutter chaque hiver contre l’invasion de rongeurs, que le sel de bore inséré dans la ouate devait suffire à repousser. Bien évidemment, dans de tels cas, l’artisan se met aux abonnés absents, refusant d’assurer le service après-vente. Pour éviter de telles déconvenues, c’est en amont qu’il faut agir. Notamment en ne versant, avant la fin des travaux, pas plus de 60 à 70% de la note finale, et en étant vigilant à la livraison.

44%, en moyenne, de malfaçons pour les travaux de rénovation intérieure selon l’association CLCV.
2.500 litiges reçus depuis 2010 par l’UFC-Que choisir en matière de panneaux solaires.
24.000 euros dépensés pour des panneaux solaires à l’arrêt depuis 2 ans

Démarchée à domicile, Myriam Shettle (photo ci-dessous) s’est laissé convaincre en 2015 d’installer des panneaux solaires sur sa maison de Loos (59). L’opération, qui devait se financer avec la revente à EDF, a capoté : l’entreprise n’a pas demandé de raccordement (700 euros à payer de sa poche), ni délivré de certificat de conformité. Ses panneaux étant à l’arrêt, Myriam a tout de même réussi, avec l’aide d’un avocat, à suspendre le crédit.

3.500 euros de travaux mal réalisés + 760 euros de subventions promises, finalement perdues

Malgré ses labels Qualibat et RGE, l’entreprise chargée, en juillet 2017, d’isoler en laine de verre soufflée les combles de la maison des Chevalier-Boudon (photo-ci-dessus) à Saint-Siméon (77) a mal travaillé. Aucun chemin de visite n’a été prévu jusqu’à la ventilation mécanique contrôlée (VMC), tombée en panne depuis, et donc impossible à réparer. Ce qui cause de graves problèmes de condensation. Quant à la prime Butagaz, le dossier ayant été mal ficelé, elle ne s’est élevée qu’à 269 euros, au lieu des 1.029 promis. Face au silence de l’artisan, le couple devra sûrement s’en remettre à une association de consommateurs, ou à un avocat, via une mise en demeure.

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Immobilier : comment les notaires freinent la baisse de leurs émoluments

Les notaires ne sont pas pressés d’appliquer la loi Macron de 2015 sur l’ouverture à la concurrence de leur profession.

A peine 508 nouveaux offices créés, à fin octobre, sur le millier promis d’ici novembre 2017. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ouverture à la concurrence des notaires, prévue par la loi Macron de 2015, a pris du retard. La faute aux quelque 10.000 de ces officiers ministériels déjà installés, prêts à tout pour torpiller le système de tirage au sort des (jeunes) candidats. D’abord en obtenant que ce processus leur soit ouvert, et contribuant aux près de 30.000 demandes déposées !

Selon l’association Liberté d’installation des diplômés notaires (LIDN), cette tactique leur a permis de s’adjuger 12% des nouveaux offices. Peu de chances que s’applique la remise facultative de 10% sur leurs émoluments, prévue par la même loi pour la part des transactions immobilières supérieures à 150.000 euros. Soit, c’est toujours ça de pris, un rabais de 690 euros, dans le cas d’un bien acheté 1 million d’euros.

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Locataires, attention aux charges cachées

Les agences immobilières n’hésitent pas à minorer les charges pour « embellir » leurs annonces. Un piège pour les futurs locataires.

Voilà une astuce à laquelle certains agents immobiliers recourent, notamment dans les marchés détendus, où le nombre d’appartements à la location est important. Minorer le montant de la provision pour charges permet en effet aux biens qu’ils proposent d’apparaître compétitifs. Une tentation qui devrait se renforcer avec l’obligation, en vigueur depuis avril 2017, de libeller les annonces de façon « tout compris », c’est-à-dire loyer, éventuel complément de loyer et provisions sur charges incluses. Une fois le locataire appâté, rien de plus simple, l’année suivante, que de régulariser les charges, à partir du décompte détaillé. Puis de doubler ou tripler le montant de la provision, pour le ramener à son niveau réel.

Il est certes difficile de connaître à l’avance le montant précis des charges, plaident parfois les agences. Mais si vous pensez être victime d’un tel abus, il faudra alors solliciter la commission de conciliation. Dans certains cas, le surcoût est tel que le seul choix revient à quitter les lieux. Se défendre sera alors plus simple. « Il suffira de se rapprocher du nouveau locataire, qui sera sans doute lui aussi tombé dans le panneau, et dont les charges seront revenues à un tarif minoré », explique David Rodrigues, de la CLCV.

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Immobilier : comment les assureurs jouent la montre pour ne pas vous rembourser

Il n’est pas toujours facile de se faire indemniser par les assurances.

Les catastrophes naturelles ont bon dos. Selon les assureurs, leur multiplication expliquerait l’essentiel des hausses récentes des primes de multirisque habitation. Après +2,2% en 2017, l’inflation devrait ainsi atteindre + 2% en 2018, selon le comparateur en ligne Assurland. Et si encore les sinistrés étaient vite indemnisés !

C’est pourtant loin d’être le cas, à en croire le parcours du combattant enduré par cet architecte qui avait vu les murs de sa maison près d’Aix-en-Provence se fissurer suite à un épisode de sécheresse. Alors même qu’un arrêté de catastrophe naturelle avait été pris dès août 2008, l’expert missionné par l’assureur a mis… près de deux ans à produire son rapport, excluant la sécheresse comme cause du sinistre.

Ce n’est que neuf ans plus tard, et après avoir fait appel, que cet assuré a eu gain de cause, à hauteur de 290.000 euros. “Il ne faut pas hésiter à suivre de près son dossier et à prendre des initiatives dès qu’il traîne, au risque, sinon, que le délai de prescription biennal s’applique”, prévient l’avocate spécialisée Ganaëlle Soussens. Par exemple, l’envoi d’une lettre recommandée avec accusé de réception, à condition qu’elle porte sur le paiement de l’indemnité, suffit à interrompre ce délai.

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Ces villas ultra-luxueuses pourraient battre les records de vente en 2018

La fin d’année 2017 avait été marquée par l’identification du propriétaire du château le plus cher du monde, à Louveciennes. Mais dès 2018, ce record du monde détenu par un prince héritier saoudien pour un bien situé en France pourrait lui échapper au profit d’une autre villa d’exception, française elle aussi…
À VENDRE

• Villa Les Cèdres (Saint-Jean-Cap-Ferrat): 415 millions de dollars (347 millions d’euros)
Depuis la cession des célèbres spiritueux Grand Marnier en mars 2016, la villa Les Cèdres (1672 m²) est à vendre. Près de deux ans plus tard, elle l’est toujours. Et pourtant, cette villa, installée sur un territoire très prisé des milliardaires – Saint-Jean-Cap-Ferrat -, a tout pour plaire.

La propriété est entourée de 14 hectares de jardin botaniques et ne comporte pas moins de 25 serres chauffées. Au total, 20.000 espèces y sont cultivées dont 14.000 tropicales. Construite vers 1870, la propriété figure à l’Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2008. Son prix de vente? Autour de 350 millions d’euros. Si un acheteur se décidait à mettre le prix, elle pourrait décrocher le prix de la propriété la plus chère vendue en 2018.

• The Chartwell Estate (Los Angeles): 350 millions de dollars (293 millions d’euros)

Cette villa a acquis une certaine renommée auprès du grand public car elle a servi de décor à la série télé “The Beverly Hillbillies” («Les Allumés de Berverly Hills» en français). Conçue par l’architecte Sumner Spaulding en 1933, la propriété a été entièrement rénovée par son ancien propriétaire dans les années 1990. La belle façade, inspirée de l’architecture néoclassique française du XVIIIe siècle, tranche avec celles plus modernes de villas voisines.
À l’intérieur, les propriétaires peuvent profiter de 2300 mètres carrés habitables. La maison contient notamment une salle de bal, une grande salle à manger ainsi qu’une cave à vin. La propriété est entourée d’un immense terrain, agrandi pendant trente ans pour atteindre 10,3 hectares. Les sites adjacents ajoutés au terrain d’origine comprennent de beaux jardins, des courts de tennis ainsi qu’un garage couvert pouvant abriter jusqu’à quarante voitures de luxe.

• Résidence de Kurt Rappaport (Malibu): 120 millions de dollars

Vendue ou pas? La propriété, acquise en 2007 par l’homme d’affaires canadien Kurt Rappaport serait sur le point d’être cédée à un investisseur canadien, selon certains médias américains. Il s’agirait de Daryl Katz, propriétaire de l’équipe canadienne de hockey sur glace, Edmonton Oilers, dont la fortune est estimée par Forbes à 2,9 milliards de dollars. D’autres, au contraire, affirment que la transaction est au point mort. Quoi qu’il en soit, dès que cette villa de près de 1400 m² située à Malibu sera vendue, une jolie plus-value de quelque 113 millions de dollars (!) est à la clé.
Et pour la bonne bouche, nous vous rappelons quelques-unes des plus grosses transactions de l’année écoulées
VENDUES en 2017

• 149 millions de dollars (Hong Kong)

Comme en 2016, c’est Hong Kong qui décroche le gros lot avec une propriété de plus de 836 m², perchée sur la montagne (à Mount Nicholson) et cédée pour la modique somme de 149 millions de dollars (près de 125 millions d’euros). Soit un montant légèrement inférieur aux 154 millions de dollars (129 millions d’euros) déboursés l’année dernière par l’acquéreur du bien le plus cher du monde.

Mount Nicholson peut également se vanter d’être le lieu où se sont vendues les trois résidences les plus chères d’Asie en 2017. Outre cette propriété de 836 m², deux luxueux appartements qui ont été cédés au même acheteur pour la somme totale de 147 millions de dollars. Le plus petit des deux biens est parti pour un peu plus de 71 millions de dollars (60 millions d’euros), soit 170.000 dollars le m² (145.000 euros). Un nouveau record du mètre carré!

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Le Secours catholique va lancer son agence immobilière

Le dossier est prêt, on n’a plus qu’à appuyer sur le bouton». Véronique Fayet, présidente du Secours catholique, a annoncé ce week-end la création en 2018 de la première «agence immobilière sociale» du Secours catholique. L’objectif? Résoudre la question du logement pour les personnes sans-abri ou mal logées.

En effet, selon l’Insee, en France, 4 millions de personnes sont sans-abri ou mal logés alors que le parc immobilier Français comptait 2,7 millions de logements vides en janvier 2017. La présidente du Secours catholique explique que bien que le nombre de nombre de places en hébergement d’urgence se soit accru, il reste «insuffisant en hiver» et ce, particulièrement pour les familles refusant d’être séparées.

Afin d’y remédier, l’association caritative veut inciter les propriétaires immobiliers à mettre ou remettre leur bien à la location, de préférence à l’attention des plus démunis. Pour ce faire, elle pourra se porter caution via son agence immobilière. Des bénévoles seront susceptibles d’accompagner les nouveaux locataires pendant leur aménagement. «L’agence va chercher du logement privé, rassurer les propriétaires en expliquant qu’elle va prendre en compte toute la gestion et sécuriser les loyers. On se porte caution, rassure la présidente du Secours catholique, on leur demande de modérer le loyer, mais en contrepartie ils sont complètement sécurisés».

Les propriétaires acceptant de ne toucher qu’un loyer modéré auront donc en échange l’assurance d’être payés grâce à la caution de l’association. La présidente de Secours Catholique espère «capter» de 150 à 200.000 logements en Ile-de-France. «La grande majorité des propriétaires immobiliers ont un, voire deux logements. Ce ne sont pas des grands propriétaires, ça, c’est une image d’Épinal. Mais si un jour ils ont eu des ennuis avec un locataire, ils ont peur de louer et de se trouver empêtré», assure Véronique Fayet.

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Eco : renégocier son emprunt immobilier sera plus simple en 2018

Jouer la concurrence entre assurances et banques pour réduire le coût de son emprunt immobilier. La démarche pouvait être compliquée, mais à partir du 1er janvier, cela sera plus facile. Serge a déjà pu changer d’assurance en renégociant son prêt : sur un emprunt de 187 000 euros, il gagne 20 euros par mois, plus de 3 000 euros en tout. À partir du 1er janvier 2018, tous les propriétaires vont pouvoir changer d’assurance emprunteur chaque année.

Les banques saisissent le Conseil constitutionnel

Cette agence constate déjà une augmentation des demandes de renégociations. Aujourd’hui, près de 80% des emprunteurs prennent l’assurance de leur banque. Cette mesure s’appliquera aux nouveau contratx comme aux anciens. Face au risque de perdre 6 milliards d’euros de cotisation par an, les banques ont saisi le Conseil constitutionnel qui rendra sa décision le 12 janvier.

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