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France: les prix de l’immobilier ancien gardent leur rythme (+2,9%) au 3T – 29/11/2018 09:18:37 – Boursorama

Les prix de l’immobilier ancien ont gardé leur rythme de progression au troisième trimestre en France, tandis que le nombre de ventes confirme sa stabilisation, montre l’indice Notaires-Insee publié jeudi.

Au troisième trimestre, les prix ont progressé de 2,9% par rapport à la même époque de 2017, soit le même rythme qu’au précédent trimestre, tandis que les ventes sur l’année écoulée à fin septembre se sont établies à 956.000, un niveau semblable à trois mois comme un an plus tôt.

Le marché poursuit ainsi sur sa lancée une année 2018 qui marque une dynamique solide après deux années florissantes: les transactions y avaient atteint des niveaux sans précédent, dans un contexte de très bas taux d’intérêt favorisant les prêts immobiliers.

Les chiffres des notaires de l’Insee confirment, à ce titre, les premières remontées données début octobre par les principaux réseaux d’agences. Ils témoignaient d’un marché toujours solide mais donnant des signes de ralentissement en matière de ventes.

Si les chiffres donnés jeudi témoignent toujours d’une forte hausse des prix à Paris, ils montrent que cette dynamique ralentit de plus en plus dans la capitale: leur progression dépasse à peine 6% contre plus de 7% les précédents trimestres.

Surtout, l’évolution des prix se rééquilibre peu à peu entre l’ensemble de l’Ile-de-France, en pointe depuis des années, et le reste du pays. Dans le premier cas, la hausse trimestrielle ralentit à 3,5% et dans le second, elle accélère à 2,7%.

A ce niveau, ces hausses de prix restent supérieures au niveau de l’inflation, mais celle-ci s’en rapproche progressivement: après avoir accéléré cette été, elle s’est établie à 2,2% en octobre en France.

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Bouygues UK choisi pour construire 214 logements dans le centre de Londres – 29/11/2018 09:37:20 – Boursorama

Bouygues UK, filiale britannique de Bouygues Construction, a été choisie pour réaliser la première phase d’un projet résidentiel au coeur de Londres, qui comprend la construction de 214 logements, pour plus de 100 millions d’euros, a annoncé jeudi l’entreprise.

Le projet est piloté par Taylor Wimpey Central London, présenté comme l’un des principaux promoteurs immobiliers du Royaume-Uni, avec qui Bouygues UK a déjà réalisé des projets, selon un communiqué de Bouygues Construction.

Les logements vont du studio au 3 pièces, a précisé le document, ajoutant que "les résidents bénéficieront d’espaces partagés parmi lesquels une conciergerie, un rooftop, une salle de cinéma, une salle de sport et une aire de jeux pour les enfants".

Appelé Postmark, le projet résidentiel comprend quatre phases pour un total de 681 logements réunis sur deux ensembles immobiliers dans le quartier de Farringdon. Les travaux ont déjà débuté et les premières livraisons sont attendues en 2020 avec une livraison finale en 2021, a ajouté le communiqué.

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L’Anah veut rénover 120.000 logements en 2019, à l’aide d’un budget en hausse – 29/11/2018 17:32:42 – Boursorama

L’Agence nationale de l’habitat (Anah), organisme public destiné à soutenir les travaux sur les logements privés, vise à en rénover 120.000 en 2019 à l’aide d’un budget en hausse, a-t-elle annoncé jeudi.

Le conseil d’administration de l’agence, qui dépend du ministère de la Cohésion des Territoires, a adopté un budget "qui s’élève à 874,1 millions d’euros (et) permettra l’amélioration et la rénovation de 120.000 logements", est-il indiqué dans un communiqué.

Alors que le budget de l’ensemble du ministère doit diminuer l’an prochain, celui de l’Anah augmente de près de 10% et ses objectifs progressent aussi, par rapport aux 104.000 logements visés pour l’année 2018.

"Nous avons conforté le budget de l’Anah dans un contexte budgétaire qui n’est pas évident", s’est félicité dans le communiqué Julien Denormandie, ministre du Logement.

Le bilan de 2018 sera communiqué début 2019. En 2017, l’agence avait contribué à la rénovation de quelque 81.000 logements, un chiffre nettement en dessous de l’objectif de 127.000 qu’elle s’était fixé.

Le gros des objectifs de l’Anah concerne, comme les années précédentes, la rénovation énergétique. Elle compte y consacrer l’an prochain plus de deux tiers de son budget et affiche un objectif de 75.000 logements dans ce domaine.

Parmi les évolutions notables, l’agence prévoit de nettement accroître ses aides destinées à adapter les logements dont les occupants deviennent moins autonomes, pour des raisons de vieillissement ou de handicap. Elle double ses objectifs en la matière, à 30.000 logements et y allouera 100 millions d’euros.

Enfin, l’agence commencera l’an prochain à mettre en oeuvre le plan annoncé à l’automne par le gouvernement en faveur de la rénovation des copropriétés dégradées. L’exécutif, qui a identifié près de 700 copropriétés en difficulté pour plus de 50.000 logements, compte engager 2,5 milliards d’euros d’argent public sur dix ans pour y remédier.

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Location : les loyers sont en moyenne 88 % plus chers à Paris qu’en province ! | Actualités

A Paris, le marché locatif privé est toujours très tendu et le loyer moyen atteint désormais 1 065 € mensuels en moyenne, c’est 88 % plus cher qu’en province !

Location : + de 35 € du m² par mois pour se loger à Paris
Selon une étude menée par LocService.fr, le loyer moyen charges comprises pour se loger à Paris est de 1 065 € pour 31 m² en moyenne, soit 35,32 € par m² charges comprises. Une forte hausse par rapport à l’année dernière sur la même période (+ 3,53 %), alors que Paris compte 61,7 % de locataires (selon l’INSEE). Néanmoins, cette hausse est principalement due à la forte augmentation des charges, ainsi qu’aux recherches des étudiants, qui concernent généralement des petites surfaces, dont le loyer au mètre carré est supérieur à celui des grandes surfaces. Sans surprise, l’écart de prix avec la province est considérable : les loyers sont en moyenne 88 % plus chers à Paris. Concernant le reste de l’Île-de-France, la petite couronne se situe à 23,77 € par m² et la grande couronne à 18,09 € par m² en moyenne. Boulogne-Billancourt, seconde ville la plus peuplée de la région, est la plus chère après Paris avec un loyer moyen de 29,79 € par m².

Pour un T4, le loyer moyen approche les 2 500 €. © LocService.fr
Paris : 855 € par mois pour louer un studio
A Paris, les chambres se louent en moyenne 572 € pour une surface de 12 m², les studios 855 € pour 21 m² et les appartements T1 983 € pour 27 m². Pour les appartements T2, la surface moyenne constatée est de 39 m² avec un loyer moyen de 1 282 €, tandis qu’un T3 de 61 m² se loue 1 815 €. De leur côté, les très grands appartements se sont négociés en moyenne 2 471 € charges comprises. Dans le détail, nous constatons que le 6e arrondissement reste le plus cher de Paris avec un loyer moyen charges comprises de 43,63 € par m², suivi par le 8e (42,04 € par m²) puis le 2e (40,84 € par m²). Le 19e est toujours le moins cher : 31,31 € par m². Cette étude met également en exergue l’impact négatif des locations touristiques sur les arrondissements centraux, qui accueillent de moins en moins de locations à l’année. Conséquences, les loyers augmentent et les locataires sont contraints à s’excentrer.

Les T3 et T4 représentent moins de 10 % des logements loués à Paris. © LocService.fr
A Paris, 45 % des candidats à la location sont étudiants
Le budget moyen des locataires parisiens est de 992 € et reste inférieur aux loyers pratiqués, signe d’un marché très tendu, et un quart des locataires recherche un logement entre 800 et 1 000 €. Parmi eux, 32 % sont des hommes seuls, 45 % sont des femmes seules, 23 % sont des couples et 45 % des candidats locataires sont étudiants. Notons que la capitale concentre 36 % des recherches de location en Île-de-France, les autres préférant s’orienter vers la petite ou la grande couronne. Conséquence du très grand nombre d’étudiants parisiens, le marché locatif de la capitale favorise largement les studios, qui représentent 46 % des locations réalisées. En ajoutant les appartements T1, on peut observer qu’une location sur deux dans la capitale concerne un logement 1 pièce. Les chambres (indépendantes ou chez l’habitant) représentent 12 % des locations, et les appartements T2 28 %. Enfin, plébiscités par les étudiants et les jeunes actifs, les meublés représentent 67 % des locations.

Les locataires s’orientent principalement vers les arrondissements périphériques. © LocService.fr
Dans la capitale, les demandes des locataires se répartissent à 41 % pour les appartements et 59 % pour les petits logements. Le 15e arrondissement est de loin le plus recherché avec presque 13 % des demandes, alors que les 4 premiers arrondissements sont les moins souvent ciblés ».

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Comment devenir diagnostiqueur immobilier ? | Métier

Comment devenir diagnostiqueur immobilier ?

Les points à retenir pour devenir diagnostiqueur immobilier
Le diagnostiqueur immobilier tient un rôle important lors des transactions immobilières, puisqu’il est connu pour réaliser un certain nombre de diagnostics techniques obligatoires. Si vous souhaitez devenir diagnostiqueur immobilier, vous pouvez retenir les informations suivantes :

Le diagnostiqueur immobilier est spécialisé dans les normes de construction.
Il réalise les diagnostics obligatoires et facultatifs, qui ont trait à la sécurité et la santé des occupants ainsi qu’à la surface ou aux performances thermiques des biens.
Différentes formations existent pour pouvoir accéder au métier de diagnostiqueur immobilier.
Pour pouvoir exercer, le diagnostiqueur immobilier doit obtenir un certificat délivré par un organisme indépendant (COFRAC).
Bon à savoir
Le diagnostiqueur peut être sanctionné s’il ne respecte pas son devoir d’impartialité, et il encoure une amende.

Qu’est-ce que le métier de diagnostiqueur immobilier ?
Le métier de diagnostiqueur est récent, puisqu’il date des années 90, et il n’a cessé d’évoluer depuis sa création. Il s’agit d’un professionnel spécialisé dans les normes de construction et à ce titre, il peut intervenir lors des transactions immobilières, lors de la construction, pour des travaux ou lors de l’exploitation usuelle d’un bâtiment. Il réalise des diagnostics immobiliers, certains obligatoires et d’autres facultatifs, qui ont trait à la sécurité et la santé des occupants ainsi qu’à la surface ou aux performances thermiques des logements. Il s’agit des diagnostics qui portent sur les éléments suivants :

L’exposition au plomb.
La présence ou l’absence de matériaux contenant de l’amiante.
L’état des installations de gaz de plus de 15 ans.
Le diagnostic de performance énergétique.
Le diagnostic des installations électriques de plus de 15 ans.
La recherche de termites.
Le métrage en loi Carrez.
L’état des risques naturels et technologiques.
Le diagnostiqueur a l’obligation d’être neutre et impartial, quelle que soit la personne qui le mandate. Il doit souscrire une assurance de responsabilité civile qui le couvre en cas de conséquences liées à l’une de ses interventions. Le diagnostiqueur travaille seul et exerce la majeure partie de son travail à l’extérieur de son bureau. Il est équipé d’appareils spécifiques aux diagnostics qu’il réalise. Il se déplace souvent car il réalise de multiples visites dans plusieurs différents logements ou bâtiments, plusieurs fois par semaine.

Différentes voies pour accéder au métier de diagnostiqueur immobilier
Il n’existe pas une seule formation pour accéder au métier de diagnostiqueur immobilier, vous bénéficiez donc d’un choix assez vaste de formations, en fonction de votre profil et des disponibilités dans les différents établissements :

Bon à savoir
Vous pouvez choisir entre différents diplômes de diagnostiqueur immobilier qui permettent de valider une formation ou une expérience, grâce à la certification professionnelle de Niveau II, III et IV.

Diagnostiqueur immobilier : des certifications obligatoires
Pour pouvoir exercer, le diagnostiqueur immobilier doit obtenir un certificat délivré par un organisme indépendant (COFRAC), et dont la validité est de 5 ans. Cette certification n’est obligatoire que pour certains diagnostics :

Le diagnostic amiante : certification obligatoire sans mention ou avec mention.
Diagnostic plomb : certification obligatoire sans mention ou avec mention.
Diagnostic termites : certification obligatoire.
DPE : certification obligatoire sans mention ou avec mention.
Le diagnostic gaz : certification obligatoire.
Le diagnostic électricité : certification obligatoire.
Diagnostic assainissement : pas de certification.
Etat des risques naturels et technologiques : pas de certification.
Ces certifications permettent de vérifier et valider les compétences théoriques et pratiques du diagnostiqueur immobilier, et s’assurer également qu’il se tient à jour des évolutions techniques, législatives et réglementaires. Elles sont délivrées à la suite d’un examen théorique et d’un examen pratique.​

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Si un propriétaire n’entretient pas son immeuble, il ne sera pas assuré

En refusant délibérément d’entretenir son bien immobilier, le propriétaire se prive du bénéfice de son assurance, selon la Cour de cassation. Son immobilisme débouchera à coup sur sur un sinistre, on ne peut donc parler d’accident.

En refusant délibérément d’entretenir un immeuble, le propriétaire se prive du bénéfice de l’assurance au cas où surviendrait un dommage. Pour la Cour de cassation (Cass. Civ 2, 25.10.2018, T 16-23.103), ce propriétaire laissant sciemment arriver le dommage, l’a rendu inéluctable et a donc fait disparaître l’aléa sur lequel repose le principe de l’assurance. Il a commis ainsi ce que les assureurs appellent une «faute dolosive», c’est à dire une faute volontaire ou intentionnelle, en sachant qu’un dommage allait se produire.

Ce propriétaire avait laissé un bâtiment s’écrouler malgré les relances des voisins qui l’avaient alerté à trois reprises l’année précédente sur l’état d’abandon de la toiture et sur la nécessité urgente, pour éviter l’effondrement, de procéder à des réparations. Faute de réaction, le bâtiment s’était écroulé et les voisins, victimes de dégâts, avaient demandé des indemnités. Le propriétaire s’était alors tourné vers son assureur, aussi bien pour indemniser les tiers que pour faire reconstruire son bien, mais il avait essuyé un refus.

Pas d’incertitude
L’assureur a raison, a conclu la Cour de cassation, car le dommage étant devenu certain du fait de l’attitude de l’assuré, ce dernier ne remplissait plus les conditions de la garantie qui reposent en premier lieu sur le principe de l’incertitude. En persistant dans l’immobilisme, l’assuré a rendu inévitable la réalisation du dommage et a choisi de l’attendre. Il doit donc seul en assumer les conséquences, ont conclu les juges.

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Assurance emprunteur : fin d’ambiguïté sur la date anniversaire pour résilier

Les professionnels du secteur de l’assurance sont tombés d’accord sur la date qui fera foi afin de résilier son contrat… et de faire jouer plus facilement la concurrence.
C’est la fin d’un flou que les banques entretenaient jusqu’ici à merveille. Depuis l’amendement Bourquin, entré en vigueur au 1er janvier 2018, l’emprunteur peut changer le contrat d’assurance de son prêt immobilier chaque année, à sa date anniversaire, tant qu’il respecte un préavis de deux mois. Oui, mais à quel anniversaire ? La loi ne précisait effectivement aucune date de référence. Aussi, le choix de celle-ci était laissé à l’appréciation des banques, qui jouaient de l’ambiguïté pour empêcher leurs clients de changer de crèmerie.

Sur proposition de la Fédération française de l’assurance, le Comité consultatif du secteur financier (CCSF), instance de concertation qui réunit banques, compagnies d’assurance, courtiers en prêts immobiliers et associations de consommateurs, s’est réunit ce mardi 27 novembre pour trancher : c’est la date anniversaire de la signature de l’offre de prêt qui servira de référence à tous les contrats, en cours et à venir. Afin de laisser le temps à tous les établissements de mettre à jour leurs systèmes d’information, ce dispositif d’harmonisation, adopté à l’unanimité, sera effectif au plus tard au second semestre 2019.

Résiliation de contrat facilitée
Actuellement, certaines banques retiennent déjà la date de signature de l’offre de prêt (Banque Postale, BNP Paribas, Caisse d’épargne, par exemple). Mais d’autres considèrent encore la date d’édition de l’offre de prêt immobilier (Banque Populaire, par exemple), la date d’effet du contrat d’assurance, qui correspond à la date de prélèvement de la première échéance d’assurance (CIC, Crédit Mutuel) ou encore la date de signature de la demande d’adhésion au contrat d’assurance (Crédit Agricole). Ce flou entretenu par les banques ne va bien évidemment pas dans le sens du consommateur qui, mal informé, laisse bien souvent passer la fenêtre de tir.

Ce dispositif vise donc à harmoniser les pratiques, afin de faciliter la résiliation d’un contrat. Hasard de calendrier ou non, cette décision vient une semaine après la publication d’une note de l’ACPR, le gendarme des banques, qui indique constater encore trop souvent l’existence de pratiques vouées à décourager les emprunteurs dans leurs démarches de résiliation. L’ACPR y relève notamment que certains établissement “ne répondent pas, ou très tardivement, à des demandes de changement de contrat”, “formulent des demandes imprécises”, ou encore “retiennent une date d’échéance annuelle du contrat d’assurance incertaine et dont les modalités de communication à l’emprunteur s’avèrent insuffisantes”.

Sourced through Scoop.it from: www.capital.fr

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Immobilier : tout ce que vous devez savoir pour trouver un logement neuf

Pour éviter les déconvenues, plusieurs points sont à vérifier avant d’acheter dans le neuf. Sérieux du promoteur, localisation du bien… les informations à connaître avant de vous engager.
Chantier interrompu, promoteur en difficulté financière, permis de construire annulé suite aux recours des riverains… Les dangers de la vente en l’état futur d’achèvement (on parle de "Vefa") ne manquent pas, d’autant qu’il existe beaucoup d’intermédiaires douteux dans ce secteur d’activité extrêmement atomisé (on dénombre près de 9.000 promoteurs privés sur le territoire), où ce ne sont pas des appartements "en dur" que l’on achète, mais seulement des projets de construction établis sur papier.

Alors, comme 85% des candidats à l’accession dans le neuf, n’hésitez pas à utiliser les outils de recherche disponibles sur Internet pour sécuriser votre choix. Les portails spécialisés vous permettent de comparer toutes les offres disponibles sur le marché pour les mois à venir, ville par ville, les sites des promoteurs de connaître leurs programmes dans le détail. Rendez-vous également sur place, même si le chantier n’a pas encore démarré, sans oublier de faire un détour de quelques heures par les services d’urbanisme de la mairie, afin de vérifier la qualité de l’environnement de votre future résidence.

Les informations y sont plus sérieuses que celles qui sont affichées sur les panneaux. Sur les belles affiches placardées sur les palissades des chantiers ou publiées dans les journaux, les résidences présentées semblent paradisiaques. Mais si vous voulez des informations sérieuses sur les programmes susceptibles de vous intéresser, filez plutôt sur Internet. Les sites sont nombreux (lire ci-dessous), qu’il s’agisse de ceux de grands groupes de construction immobilière (Cogedim, Promogim, Nexity, Bouygues, Kaufman & Broad…), de concurrents locaux ou de portails présentant les offres de différents promoteurs, comme Seloger Neuf ou Explorimmo. Le niveau des renseignements varie d’un site à l’autre, certains se bornant à donner les informations de base (prix, adresse…), tandis que d’autres entrent davantage dans les détails. Et si vous voulez vraiment en savoir plus, adressez-vous directement aux promoteurs.

Les sites internet à visiter pour dénicher son appartement neuf
Les plates-formes généralistes disposent du plus grand choix de programmes. Seul inconvénient, elles ne donnent souvent accès qu’à des informations de base : prix du bien, surface, étage et adresse de l’immeuble. Les sites des promoteurs sont plus complets. Beaucoup fournissent les plans du bâtiment et des appartements, ainsi que celui du quartier, en indiquant la localisation des équipements publics (hôpitaux, crèches…) et des transports en commun. Certains joignent même les notices descriptives des logements, dans lesquelles sont précisés, par exemple, les types de matériaux et d’équipements prévus.

PROMOTEURS
Contrôlez bien leur solidité financière et visitez leurs anciennes réalisations. La promotion immobilière est une activité périlleuse. En témoigne la centaine de faillites enregistrées chaque année sur ce secteur. D’où la nécessité de bien vous renseigner sur l’entreprise à laquelle vous vous intéressez. Le mieux est de consulter les sites reliés aux greffes des tribunaux de commerce, par exemple Infogreffe.fr ou Verif.com. Ils vous donneront des informations sur son ancienneté, ses actionnaires, ses comptes et les procédures éventuelles engagées contre elle. Si l’entreprise a moins de dix ans d’activité ou que ses comptes virent au rouge tous les cinq ou six ans, allez voir ailleurs. Avec les grands groupes, vous n’avez théoriquement rien à craindre du côté de leur solidité financière. Essayez toutefois de vous informer sur leurs réalisations en allant interroger les occupants : les chantiers se sont-ils bien déroulés ? Des sinistres sont-ils apparus ? Pensez aussi à regarder les avis des forums Internet : ils ne sont pas fiables à 100%, mais tout de même instructifs.

BULLE DE VENTE
Préférez les documents officiels aux discours enjolivés des commerciaux. Une offre vous a tapé dans l’œil ? Avant de vous engager, prenez la peine d’aller faire un tour à la bulle de vente du programme en question (où vous pourrez parfois visiter un appartement témoin) ou, à défaut, dans les locaux du promoteur. Cela vous permettra de connaître le nombre de logements déjà vendus et la date à laquelle la signature du contrat est prévue (parfois pas avant deux ans). Demandez aussi à consulter le dossier de permis de construire, qui contient tous les plans détaillés du bâtiment. Les promoteurs sérieux le laissent à la disposition des clients potentiels. Et pour en savoir plus sur les avantages et les inconvénients du quartier, par exemple au niveau des écoles, des commerces ou des transports en commun, ne perdez pas trop votre temps à interroger le vendeur. Ces informations ne figurant pas dans le contrat, il peut vous raconter ce qu’il veut. La seule solution est de vous rendre sur place.

ENVIRONNEMENT
Explorez le quartier et rendez-vous à la mairie pour consulter le cadastre. Beaucoup trop d’acquéreurs négligent de visiter le lieu de construction pour vérifier si le quartier vanté pour son charme et son calme ne risque pas de leur réserver de mauvaises surprises, par exemple quand ils découvriront que leur bel appartement donne sur une friche industrielle ou un cimetière… L’expérience prouve pourtant que ce genre de mésaventure est fréquent. Certes, si le programme est situé au cœur d’une ZAC (zone d’aménagement concerté) récente, il sera difficile de savoir quel visage aura le quartier d’ici quelques années. Aussi devez-vous aller à la mairie pour consulter le cadastre et les documents d’urbanisme, de quoi connaître la localisation et la destination exacte des terrains constructibles dans les dix ans à venir. Si une demande de permis de construire a été acceptée, vous aurez accès aux plans, et saurez donc quel type de bâtiment est prévu. Un coup d’œil sur le plan local d’urbanisme (PLU) vous permettra aussi de savoir quelles limites de hauteur ont été fixées aux immeubles. Si elles sont élevées, gare aux tours qui peuvent venir boucher votre horizon !

VOISINAGE
Évitez les résidences vendues sous le régime de la loi Pinel, insuffisamment sécurisées. Si les environs de votre résidence vous conviennent, peut-être serez-vous moins satisfait de vos futurs voisins. Le risque est grand de vous retrouver dans l’un de ces immeubles Pinel, peu sécurisés du fait de l’important turn over des locataires. Pour ne pas tomber dans ce piège, évitez les programmes, composés essentiellement de studios et de deux-pièces, qui sont présentés dans les plaquettes publicitaires en faisant référence à ce dispositif fiscal. Autre point à contrôler, la présence éventuelle de locaux professionnels. S’il y en a, assurez-vous que le promoteur en a établi une liste restrictive. Dans l’idéal, elle interdira les entreprises du type fast-food, bars de nuit, restaurants, garages… Si rien n’est prévu, demandez-lui d’inclure en votre faveur une clause de renoncement au cas où l’un de ces commerces ouvrirait. S’il refuse, c’est mauvais signe.

Sourced through Scoop.it from: www.capital.fr

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Comment optimiser un chauffage au bois ?

Vous avez un poêle, un insert ou une cheminée, mais connaissez-vous les bonnes pratiques pour optimiser votre chauffage au bois ? Nathalie Brac de la Perrière, animatrice énergie chez Abibois, qui représente les acteurs de la filière bois en Bretagne, et France Bois Bûche, marque collective simple dont les professionnels adhérents conseillent les particuliers pour une utilisation responsable et qualitative du bois, nous livre tous ses conseils pour mieux dompter notre feu domestique et entretenir notre foyer de façon optimale.

Mafcohouse
Comment se servir au mieux de son appareil de chauffage à bois ?
Pour optimiser son feu, il faut bien comprendre comment fonctionne le phénomène de combustion. Il s’agit de faire monter rapidement l’appareil en température pour qu’il atteigne 200°, température à laquelle s’enflamment les gaz retenus dans le bois qui, combinés à l’apport d’air, provoquent la combustion. Il faut donc réchauffer vite et fort le foyer et, pour cela, utiliser un bois bien sec qui s’enflamme rapidement afin que la combustion soit complète. Si le bois fume ou qu’il ne brûle pas complètement, c’est autant d’énergie et d’argent perdus.

Kariouk Associates
Le bon rendement du foyer dépend de la qualité du combustible et également d’une bonne entrée d’air et d’un rechargement optimal.
Dans le cas d’un foyer fermé, en particulier, lorsque vous le rechargez, ouvrez la porte le moins longtemps possible pour ne pas le faire baisser en température et jouez bien avec les arrivées d’air.
Laissez toujours les entrées d’air ouvertes pendant les phases d’allumage et ne les fermez jamais totalement, même lorsqu’il n’y a plus que des braises.

usona
Comment allumer correctement le feu ?
Il est très important d’allumer le feu avec des produits naturels pour éviter de polluer l’intérieur de l’habitation, ou même l’extérieur par la cheminée, via les fumées ou les cendres.

Employez de petits morceaux de blocs d’allume-feu composés de sciure compressée et d’huile de colza, par exemple, ou du bois déchiqueté (plaquettes de bois sec). Rajoutez des éclats de tous les petits morceaux de bois et d’écorce qui se sont détachés à la livraison ou lorsque vous avez préparé votre bois et mettez quelques bûchettes d’allumage en bois de feuillus tendres. Une fois enflammés, les allume-feu tiennent suffisamment longtemps pour embraser le petit bois, qui doit être très sec.

IKEA
Vieux papiers, journaux, cartons, boîtes à œufs, cagettes : peut-on allumer le feu avec des matériaux de récupération ?
Je vous le déconseille bien que l’on ait souvent vu nos grands-parents le faire. On doit être très vigilants car on ne connaît jamais vraiment la composition de ces matériaux, ni leur histoire. Ils peuvent contenir des solvants, colorants ou produits chimiques qui vont souiller les fumées et les cendres. Ce que l’on sait moins, c’est que les solvants (notamment les colles) endommagent aussi le conduit en Inox de la cheminée et peuvent aller jusqu’à le percer à la longue. Vous pouvez néanmoins utiliser sans crainte les cagettes à fruits et légumes car leur bois de peuplier n’est pas traité et est très sec.

LemonTree & Co. Interiors
Quel bois brûler dans sa cheminée, son poêle ou son insert ?
Pour le départ de feu utilisez des feuillus tendres, peuplier, saule, noisetier, bouleau, qui s’enflamment très bien mais ne durent pas longtemps. Ils réchauffent le foyer en un temps record. Pour alimenter le feu, il faut employer un bois de feuillus durs, du chêne, du hêtre ou du châtaignier, qui sont des bois denses avec le meilleur pouvoir calorifique.

Notez que le châtaignier produit des escarbilles incandescentes (on dit communément « pète ») et que pour cette raison, on le réservera aux foyers fermés.
Évitez les résineux qui, en brûlant, vont produire du bistre, une matière très inflammable qui encrassera le conduit d’évacuation de votre appareil de chauffage à bois. Ou alors, assurez-vous qu’il est vraiment très sec.

Tim Wickens Architect
Comment entretenir son foyer à bois ?
Vous devez régulièrement ôter les cendres de votre foyer. Si le bois utilisé était non souillé, vous pouvez vous en servir pour fertiliser votre potager ou apporter des vitamines aux arbres de votre jardin. Servez-vous également de cendre sur un chiffon humide pour nettoyer la vitre de votre insert.

Par ailleurs, vous êtes tenu légalement d’entretenir votre foyer à bois en faisant ramoner deux fois par an son conduit par une entreprise qualifiée, ceci dans le but d’en contrôler l’intégrité et d’en ôter la suie et le bistre qui pourraient s’enflammer. Il vous en coûtera entre 50 et 100 euros. Faites appel à un professionnel « ramoneur-fumiste » doté d’une formation diplômante requise depuis 1996.

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Contre l’habitat indigne et dégradé à Marseille, la métropole et le département dévoilent leur plan

Martine Vassal, présidente de la métropole Aix Marseille Provence et du conseil départemental des Bouches-du-Rhône, a présenté une stratégie territoriale contre l’habitat indigne et dégradé. Alors que Julien Denormandie se rend à Marseille, elle réclame un partenariat renforcé avec l’Etat et un engagement financier de plus de 200 millions d’euros.

Un programme chargé attend Julien Denormandie, ce jeudi 29 novembre. Le ministre du Logement et de la Ville se rend à Marseille, près d’un mois après l’effondrement de deux immeubles rue d’Aubagne. Le matin, il rencontre les experts du centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) envoyés par l’Etat sur le terrain pour identifier les causes du drame. Il doit ensuite installer dans l’après-midi le comité de pilotage marseillais du  plan « initiative copropriétés» qu’il a lui-même lancé le 10 octobre dernier. La visite du parc Corot, une des cinq copropriétés dégradées marseillaises éligibles au plan national, lui permettra déjà de se confronter à la réalité.
Les élus locaux le solliciteront surtout pour mettre en place un projet de lutte contre l’habitat indigne et l’insalubrité dans le centre-ville.

Stratégie
Sur ce sujet, Martine Vassal (LR), présidente de la métropole Aix Marseille Provence et du conseil départemental des Bouches-du-Rhône, l’attend de pied ferme. Elle l’a dit, la veille, au siège de la métropole lors de la présentation de « la stratégie territoriale de lutte contre l’habitat indigne et dégradé » de la métropole.
L’élue s’exprime pour la première fois depuis le drame du 5 novembre. « Nous proposons des mesures pour qu’on ne se retrouve plus jamais dans ce type de situation. J’ai pris le temps nécessaire pour travailler à une véritable stratégie », a-t-elle déclaré pour justifier son silence.
La chasse aux marchands du sommeil, « aux voyous qui profitent de personnes dans la détresse », est sa priorité. Elle souhaite, par exemple, imposer aux marchands du sommeil « plus qu’un permis de louer, un permis de confisquer ». Dans une volonté manifeste de prendre de la hauteur, ce sont les seuls qu’elle ait incriminés.

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