Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) sont, depuis quelques années, la nouvelle coqueluche des épargnants. Mode d’emploi d’un produit star en fonction de ses objectifs.
Depuis 2014, les société civiles de placement immobilier (SCPI) n’en finissent pas de séduire les épargnants. Publiée il y a quelques semaines par l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim), la collecte nette 2017 bat un nouveau record : 6,1 milliards d’euros. C’est 15,2 % de plus qu’en 2016. Quant au taux moyen de distribution des SCPI d’immobilier d’entreprise, il s’élève à 4,43 % contre 4,64 % en 2016.La raison de ce succès auprès du grand public s’explique évidemment par des performances qui, même en repli, dament le pion aux autres produits. Mais ce placement dans la pierre papier séduit aussi pour ses usages multiples.
« La SCPI ne doit pas être seulement utilisée à titre de diversification de patrimoine. L’achat de parts doit se faire régulièrement au fil de l’eau, dans différentes sociétés de gestion, le tout avec une durée de détention longue », estime Jonathan Dhiver, fondateur du site MeilleureSCPI.com.
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